George Soros – Le réseau du stratège mondial dévoilé

Qui est George Soros et quels sont ses objectifs ? Comment Soros exerce-t-il une influence dans le monde entier sur les politiques, les médias et l’éducation ? Cette émission révèle – avec l’exemple de l’Autriche – par quelles instances George Soros a accès aux États-nations. En outre, les spectateurs trouveront dans cette émission des instructions sur la manière de faire des recherches sur ce sujet pour tous les pays du monde !

1. Politiciens européens Document « des députés européens » fiables
2. Réseau médiatique de Soros
https://www.project-syndicate.org/member-publications
3. Partenaires de l’université Soros
https://www.ceu.edu/partnerships
4. Mitglieder ECFR [faire défiler vers le bas jusqu’aux du membres Council]
https://ecfr.eu/council/#council-members
5. Bureaux d’OSF dans le monde https://www.opensocietyfoundations.org/what-we-do

Karl Nehammer est chancelier fédéral d’Autriche depuis décembre 2021. Kla.TV a reçu une photo de spectateurs le montrant lors d’une rencontre avec Alexander Soros en mars 2022. Alexander Soros agit pour le compte de son père George Soros et de sa fondation Open Society Foundations.

Qu’est-ce que l’Open Society Foundations ?

L’OSF est un réseau de fondations et d’organisations non gouvernementales créée par George Soros en 1979. Soros est l’un des grands stratèges mondiaux, dont l’objectif est d’établir un Nouvel Ordre Mondial (également appelé NOM) qui assujettit les peuples.

Soros utilise l’OSF comme un outil pour financer des activités politiques visant à mettre en œuvre ce Nouvel Ordre Mondial. Partout où Soros se produit, il en résulte une déstabilisation, un chaos, une guerre ou des changements politiques dans le sens de ses intérêts. On peut reconnaître sa signature aussi bien dans le coup d’État de l’Euromaïdan de 2013-2014 en Ukraine, que dans le mouvement des réfugiés depuis 2015. Mais il existe également des indices concrets montrant que Soros a participé à toutes les « révolutions de couleur » – c’est-à-dire aux renversements de gouvernements – de ces 15 dernières années. Cela va de la Géorgie au Venezuela en passant par le « printemps arabe ».

L’OSF est active dans 120 pays à travers le monde. Son fils Alexander Soros est vice-président de l’OSF.

Fin 2015, la justice russe a déclaré indésirables deux organisations non gouvernementales de Soros « parce qu’elles menacent l’ordre constitutionnel de la Russie et la sécurité de l’État ». En Hongrie, Soros est considéré comme un ennemi de l’État pour les mêmes raisons. En Israël également, George Soros n’est pas le bienvenu. Benjamin Netanyahu considère Soros comme un danger pour le pays en raison de ses efforts de déstabilisation antinationaux.

Alors que ces pays considèrent George Soros comme un ennemi de l’État et comme très dangereux, le chancelier autrichien lui ouvre les portes et lui déroule le tapis rouge. Avant la rencontre en question en Autriche, il y avait déjà eu plusieurs rendez-vous avec des chefs d’État autrichiens. Soros a manifestement tenté d’exercer une influence sur l’Autriche. Comme Soros est actif dans le monde entier, souvent de manière invisible pour la population, sa manière d’exercer son influence peut servir de modèle à tout autre pays.

Voyez maintenant, chers spectateurs, à l’exemple de l’Autriche, comment Soros tire les ficelles :

  1. Influence sur la politique gouvernementale

Politique autrichienne

Une rencontre avec George Soros ou son fils Alexander Soros, au cours de laquelle on « discute » de la situation politique de l’Autriche, est depuis longtemps une pratique courante chez les chanceliers autrichiens. En 2018, Sebastian Kurz a reçu George Soros à la chancellerie et l’a ensuite rencontré lors de la conférence sur la sécurité à Munich.

Quelques jours seulement après l’entrée en fonction du chancelier Alexander Schallenberg, une rencontre à la chancellerie a également eu lieu entre celui-ci et Alexander Soros en novembre 2021.

Dans le cadre de la rencontre de Schallenberg, l’ex-chancelier Kurz a également reçu la visite d’Alexander Soros et a ensuite écrit sur Twitter que c’était « formidable » de renouer avec son « ami de longue date ». Son prédécesseur, Christian Kern, a également rencontré George Soros. Lors d’une conférence de presse, M. Kern a déclaré qu’il « entretenait personnellement une relation étroite avec M. Soros » et qu’il l’avait « rencontré à plusieurs reprises ».

Le président autrichien Alexander Van der Bellen a également reçu George Soros à la Hofburg en 2017, à son bureau en 2019 et son fils au Tyrol en 2021.

Politique de l’UE

Il est prouvé que Soros tente d’influencer les décideurs politiques à travers l’UE. C’est ce que montre un document publié en 2016 sur la plateforme de divulgation « DCLeaks ». On y trouve une liste de 226 députés européens, avec leur nom et leur fiche signalétique, que l’Open Society Foundations de Soros qualifie « d’alliés fiables au Parlement européen ». En font partie, outre les députés européens autrichiens comme Eugen Freund, Monika Vana et Evelyn Regner, les députés allemands Martin Schulz et Elmar Brok. On peut supposer qu’une telle liste n’a pas été établie uniquement en 2016.

[!] Vous trouverez le document de 2016 avec les députés européens « fiables » sous l’émission.

Soros rencontre également régulièrement des dirigeants politiques européens. En 2019, le quotidien hongrois « Magyar Idök » a révélé en détail les contacts continus et intensifs entre George Soros et des membres de la Commission européenne. Le commissaire européen autrichien Johannes Hahn en fait partie.

L’avocat français Grégor Puppinck vient de dévoiler un type d’influence similaire à la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH). Rien qu’entre 2004 et 2012, George Soros et Bill Gates ont fait don de deux millions d’euros au total à la Cour. On ne sait pas combien d’argent Soros et Gates ont versé à la CEDH depuis cette révélation, car le Conseil de l’Europe a créé en 2015 son propre fonds pour les dons. C’est pourquoi ces fonds ne figurent plus dans ses rapports financiers.

  1. Influence par les médias

Les médias jouent un rôle central dans le réseau Soros. Ils sont les plus à même d’influencer les masses tout en passant sous silence les activités des puissants en arrière-plan. C’est pourquoi George Soros a construit un gigantesque empire médiatique. Il finance notamment le « Project Syndicate » et y apparaît lui-même en tant que rédacteur. Il s’agit d’une association de 430 journaux et magazines de 150 pays, avec un tirage total d’environ 70 millions d’exemplaires. Outre le quotidien britannique « The Guardian » et le journal français « Le Monde », ce sont les quotidiens autrichiens « Die Presse » et « Der Standard » qui sont inscrits comme partenaires officiels.

C’est aussi la raison pour laquelle Der Standard, par exemple, publie des articles écrits par Soros. Il est frappant de constater que la rencontre de Soros avec le chancelier autrichien n’a fait l’objet d’aucun article dans les médias dominants ! Lorsque Soros fait l’objet d’un article, la presse mainstream le défend et le présente toujours, tout comme son allié Bill Gates, comme un philanthrope.

[!] Pour savoir quels organes de presse font partie du réseau Soros dans le monde, cliquez sur le lien en dessous de l’émission.

  1. Influence par l’éducation et les think tanks

Afin de former les futurs hommes clés dès leurs études, Soros a créé en 1991 une université privée à Budapest et à Prague.

Au milieu des années 1990, le gouvernement tchèque a toutefois mis un terme aux activités de l’université Soros et l’a fait fermer. Tant le Premier ministre tchèque de l’époque, Václav Klaus, que l’actuel président de la République tchèque, Miloš Zeman, ont argumenté leur refus de cette université par l’ingérence extérieure incontrôlable dans la science tchèque.

En 2017, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a également tenté d’expulser l’université du pays en modifiant la loi sur l’enseignement. Le chancelier autrichien de l’époque, Christian Kern, s’est alors fortement engagé pour que l’université Soros soit transférée en Autriche. Depuis 2019, Vienne est le nouveau site de l’université Soros – appelée Central European University (CEU) de Vienne – où les étudiants reçoivent un enseignement conforme à la pensée de Soros. Sur son site web, l’université mentionne un réseau mondial d’environ 400 universités et institutions partenaires. Parmi elles, on trouve par exemple l’université de Mannheim ou l’EPF de Zurich.

[!] Vous trouverez un aperçu du réseau mondial des universités Soros sous l’émission.

Les groupes de réflexion, appelés think tanks, sont des institutions stratégiques permettant d’influencer la politique et la population au niveau national ou mondial. L’un des think tanks les plus puissants est le Council on Foreign Relations.

George Soros n’est pas seulement membre de ce groupe de réflexion élitiste. Il est également l’un des fondateurs de la branche européenne, appelée European Council on Foreign Relations, et en est depuis le principal financier. Les membres de l’ECFR sont entre autres les Autrichiens Sebastian Kurz, Hannes Swoboda et la ministre fédérale autrichienne de l’UE et de la Constitution, Karoline Edtstadler. Les membres allemands sont Annalena Baerbock et Wolfgang Ischinger, le chef de la Conférence sur la sécurité de Munich.

[!] Vous trouverez une liste précise des membres pour chaque pays européen dans le lien indiqué sous cette émission.

En Autriche aussi il y a des think tanks qui sont au service de Soros. Le forum européen d’Alpbach est une plate-forme européenne pour la science, la politique, l’économie et la culture. Lors des conférences annuelles, les jeunes cadres (entre 30 et 40 ans) sont encouragés et mis en réseaux. Depuis 2021, les fondations Open Society sont le deuxième plus grand sponsor de cette plate-forme. Jusqu’en 2021, le président du forum Alpbach, Andreas Treichl, était même actif dans le conseil d’administration de l’organisation européenne des fondations Open Society. En plus de cela, on retrouve aussi M. Treichl dans l’European Council on Foreign Relations fondé par Soros.

L’Institut des sciences humaines (IWM) est une autre création stratégique qui a son siège à Vienne. Son président est Heinz Fischer qui était le président fédéral de l’Autriche jusqu’en 2016. Dans le conseil de soutien et lors d’événements particuliers, c’est Georges Soros en personne qui apparaît.

Chers spectateurs, cette émission n’est qu’un début de réponse concernant Soros et son influence énorme – non seulement en Autriche – sur les personnages-clés et les décideurs. Son emprise et les intentions derrière elle ont pendant longtemps pu être cachées au grand public. Beaucoup est encore et toujours dissimulé. Dès qu’un journaliste d’investigation découvre les arrière-plans et les équipes à l’œuvre, ou bien qu’un politicien nous met en garde par rapport à Soros et ses projets, l’accusation d’antisémitisme est immédiatement déclenchée. Il en va de même pour quiconque expose les machinations et les projets de ses alliés, comme Henry Kissinger par exemple, même s’ils ont eux-mêmes écrit des livres entiers sur leurs opinions et leurs intentions.

Les reproches d’antisémitisme prennent aussi pour cible ceux qui mettent en lumière les véritables arrière-plans et actions de leurs outils comme le forum économique mondial, la fondation Bill et Melinda Gates, le Great Reset ou les réunions Bilderberg.

Conclusion :

L’influence exercée par George Soros et son Open Society Foundations en Autriche et dans le monde doit être considérée comme faisant partie d’un plan ciblé dont le but ultime, en effet, est la domination mondiale dictatoriale. Alors que les stratèges mondiaux du NOM peuvent être classés comme très dangereux, Soros non seulement obtient sa propre université et son admission à la Chancellerie fédérale en Autriche, mais il reçoit même des prix afin de dissimuler ses véritables intentions. Il a ainsi reçu le prix Schumpeter pour ses activités dans le domaine des sciences, de la main d’Ewald Nowotny qui était pendant de longues années gouverneur de la Banque nationale autrichienne.

Nowotny et Soros se connaissaient déjà depuis les réunions secrètes de la Commission trilatérale, un outil supplémentaire pour la réalisation du Nouvel Ordre Mondial. La même année, George Soros a également reçu la médaille d’or d’honneur de l’État de Vienne des mains du gouverneur Michael Ludwig. La distinction lui a été remise lors du transfert de son université privée de Budapest à Vienne.

Il y a de nombreuses indications que toute la pandémie de covid et la guerre actuelle entre la Russie et l’Ukraine sont aussi des crises délibérément provoquées par cette secte de domination mondiale. C’est pourquoi la communauté mondiale doit absolument savoir à qui elle a réellement affaire ici. Car ces stratèges globalistes se sont mis eux-mêmes aux leviers du pouvoir. Il est temps que la population prenne conscience de cela : avec qui les politiciens de premier rang s’impliquent, quelles forces travaillent dans le monde entier pour construire le Nouvel Ordre Mondial et à travers quels organes ils exercent leur influence.

L’abus de pouvoir caché et les réseaux secrets seront révélés au monde entier grâce aux recherches, aux lanceurs d’alerte, aux observations et aux émissions comme celle-ci, et cela dans tous les pays du monde. Les politiciens seront de plus en plus invités à mettre fin à une telle influence. Cela libèrera à son tour la population sans méfiance du filet de ces dictateurs du peuple.

 

yogaesoteric
14 september 2022

 

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