La France, laboratoire de la Secte mondialiste (1)

Transcription de l’intervention de Pierre-Emile Blairon au colloque de la Ligue du Midi, 1er octobre 2023, Villeneuve-lès-Avignon, sur le thème : Décadence et chaos.

Dans mon exposé, je vais utiliser certaines citations, la plupart de ces citations proviennent des responsables eux-mêmes des deux sectes qui prétendent diriger le monde et qui sont complices : la secte mondialiste et la secte transhumaniste, ceci pour prouver que je n’invente rien.

  1. Le coup d’État planétaire de 2020

Je ne sais pas s’il y aura des historiens sur notre planète au XXIIe siècle, ni même s’il y aura quelqu’un, mais s’il y en a, ils retiendront l’année 2020 comme la tentative d’un coup d’État planétaire, c’est le grand reset, comme l’appelle Klaus Schwab, qui semble être le chef, ou l’adjudant-chef, de la secte mondialiste qui a préparé ce coup d’État avec ses amis milliardaires transhumanistes. Ce grand reset est la forme qu’a pris l’accouchement d’un long processus de subversion qui éclate au grand jour ; ce bébé qui est né en 2020 – un bébé merveilleux selon ses géniteurs, puisqu’il est 2.0, et même deux fois 2.0, puisqu’il est né en 2020 ; vous savez ce que signifie ce 2.0 ; selon le dictionnaire, cette formule qualifie « une chose qui s’est totalement renouvelée, transformée, qui a connu une évolution majeure, une quasi-révolution ».

Le représentant des transhumanistes en France, Laurent Alexandre, dans un débat face à Michel Onfray, a dit ceci : « L’Homme 1.0 est mort, l’homme 2.0 modifié par la technologie arrive. Si nous ne nous hybridons pas avec l’IA (l’intelligence artificielle), nous allons être marginalisés, et nous allons disparaître ». Ce qui veut dire que nous devons nous transformer en robots.

Ce bébé 2.0 me rappelle celui du film « Rosemary’s baby », du réalisateur Roman Polanski, dont on connaît les déboires judiciaires, un film sorti en 1968, une année hautement subversive, un film qui sonne comme le signal de départ des événements à venir ; ce bébé universel qui est né alors est bien celui de Satan.

  1. Manifestations juvéniles de « satanisme »

Pour des esprits rationnels, Satan – ou le diable – n’existe peut-être pas, on peut les comprendre, cette référence paraît anachronique, faite pour faire peur aux enfants qui ne sont pas sages, comme l’histoire du Chaperon rouge et du grand méchant loup, mais il faut bien admettre que les satanistes, qui se définissent eux-mêmes comme tels, sont bien réels comme les décisions délirantes qu’ils nous imposent.

Nous allons voir que beaucoup d’actions des mondialistes sont déterminées par rapport à la numérologie, dates, chiffres, nombres symboliques, ou par rapport à d’anciennes formules magiques ; c’est le monde d’Harry Potter couplé à celui de l’Inquisition, ça semble très infantile, à la limite de la débilité, mais il ne faut pas oublier que ça nous vient des États-Unis, la nation qui a été fondée par les premiers pilgrims et les sectes bibliques, et ensuite continué plus ou moins gentiment par Hollywood et Walt Disney. Quand j’emploie le mot «secte» pour désigner la mouvance mondialiste, c’est avec un brin d’humour. Ces gens paraissent ridicules aux yeux de personnes ayant gardé un peu de bon sens. Par exemple, on a peine à imaginer que certains dirigeants des États-Unis, comme la famille Bush, ont appartenu à un groupe plus ou moins secret, appelé Skull and Bones, crâne et os. Ne manque plus que les toiles d’araignée et les déguisements de fantômes pour évoquer Halloween, autrement dit la Samain, l’une des grandes fêtes celtes que les Américains, et même certains Européens, se sont appropriée pour en faire une réjouissance pseudo-satanico-commerciale en y exposant les enfants censés effrayer leurs parents.

Voici quelques exemples de ces curieuses interventions de personnalités qu’on aurait crues moins superstitieuses et plus austères :

Par exemple, Christine Lagarde, qui dirige le FMI, a demandé à son auditoire, lors d’une intervention en 2014, de « penser au 7 magique » (pourquoi en 2014 ? Parce que la somme de tous les chiffres de 2014 est 7, tout bonnement), et elle a prédit « 7 années prospères qui vont suivre jusqu’à 2021 », « année ou le FMI aura quelque chose à faire », rajoute-t-elle sur un ton mystérieux. 7 années prospères peut-être pour les mondialistes et une année 2021 qu’elle espérait sans doute celle du triomphe de ses amis oligarques.

Autre exemple, Bill Gates qui a déposé un brevet concernant un « système de crypto-monnaie utilisant des données sur l’activité corporelle » (celui qui sait ce que ça veut dire est un champion), brevet numéroté : 060606, 666, « le nombre de la bête » dans l’Apocalypse de Jean ; je vous en rappelle le texte d’origine : « À tous, petits et grands, riches et pauvres, hommes libres et esclaves, elle impose une marque sur la main droite ou sur le front. Et nul ne pourra acheter ou vendre, s’il ne porte la marque, le nom de la bête ou le chiffre de son nom. C’est le moment d’avoir du discernement : celui qui a de l’intelligence, qu’il interprète le chiffre de la bête, car c’est un chiffre d’homme : et son chiffre est six cent soixante-six ». La marque, c’est évidemment cette volonté des mondialistes de tracer tous les humains par une puce implantée, mais nous verrons que ce nombre n’est pas que ça.

À propos de ladite « bête », Macron a eu cette phrase : « Je crois que notre génération doit savoir que la Bête de l’évènement est là, elle arrive, qu’il s’agisse du terrorisme, de cette grande pandémie ou d’autres chocs ». C’est une technique habituelle des membres de cette élite autoproclamée : Ils décrivent ce qui va se passer en faisant croire qu’il ne s’agit pas de leur plan mais d’une « fatalité » dont ils ne sont pas responsables et même qu’ils combattraient. C’est ce que fait aussi Laurent Alexandre, le représentant en France de la secte transhumaniste qui est en complète fusion avec la secte sataniste mondialiste, quand il écrit dans son livre au titre très explicite. La Mort de la mort (toujours cette obsession de devenir « immortel ») : « Rien ne garantit qu’une humanité augmentée sera tolérante vis-à-vis des humains traditionnels. La possible tyrannie de la minorité transhumaniste doit être envisagée avec lucidité. » Il écrit encore : « Avoir des millions de nanorobots médicaux dans le corps est une perspective intéressante, à condition que la sécurité informatique soit assurée. Imaginez que des bioterroristes parviennent à prendre le contrôle de ces nanorobots ! En les rendant agressifs, ils pourraient tuer d’un clic de souris des millions d’individus. Une attaque terroriste virale, avec par exemple une version génétiquement modifiée du SRAS (c’est un coronavirus), de la variole ou autre, pourrait provoquer des millions de victimes avant qu’un vaccin ne soit disponible ».

C’est très intéressant, surtout quand on sait que ce livre est paru en avril 2011 ! Donc, en 2011, Laurent Alexandre, tel un prophète, envisage l’éventualité d’une pandémie de coronavirus qui pourrait provoquer des millions de morts et il ajoute : « avant qu’un vaccin soit disponible » !

  1. Les psychopathes

Depuis l’année 2020, nous sommes entrés par la grâce de ces psychopathes, dans un monde de cauchemar que nous ne pouvions même pas imaginer. Et encore aujourd’hui, la plupart de nos concitoyens n’en ont toujours pas pris conscience. Je rappelle la définition d’un psychopathe, elle correspond exactement au caractère de ces gens : « ce syndrome caractérise des gens arrogants, très manipulateurs, insensibles, séducteurs et dominants. Ils n’ont aucun remords ou empathie ».

En France, toutes les avanies qui semblent nous tomber brusquement sur le dos dans des domaines très différents comme l’invasion migratoire préméditée, l’insécurité organisée et la justice politisée, la liquidation de nos fleurons économiques et industriels comme EDF, Alstom et bien d’autres, la totale déliquescence de nos valeurs traditionnelles, la négation de nos principes les plus évidents et naturels comme la différenciation sexuelle ou la préservation de l’innocence et de la pureté de nos enfants, l’abolition de nos frontières, la destruction méthodique de l’instruction publique et de notre système de santé, la disparition de notre qualité de vie dont personne n’ose même plus évoquer ne serait-ce que le concept, tellement c’est devenu un luxe, disparition qui conduit au saccage de nos terroirs, de nos paysages et de notre cadre de vie avec leurs nouvelles énergies soi-disant renouvelables, les diverses manipulations génétiques ou dérèglements climatiques (c’est leur nouvelle lubie – il est probable que toutes ces catastrophes dites naturelles qui se multiplient sur toute la planète actuellement ne soient pas si naturelles que ça), toutes ces épreuves que nous subissons – et la liste est loin d’être exhaustive – ne sont pourtant pas le fruit du hasard.

Il faut bien nous rendre à l’évidence : elles nous sont imposées, il s’agit d’un plan concerté.

Nos esprits raisonnables n’ont pas mesuré l’ampleur de la catastrophe qui s’abattait sur nous. Il ne s’agit pas tant de la nocivité d’un virus qui aurait été concocté dans un laboratoire franco-chinois, mais plutôt de ce qu’il représentait comme test pour mesurer nos capacités de résistance à une manipulation somme toute grossière.

Ce qui nous a effectivement permis de découvrir le véritable désastre : la grande majorité de la population française, européenne et même planétaire est tombée dans le panneau, s’est soumise à toutes les injonctions étatiques sans avoir élevé la moindre objection ; il suffisait de faire peur aux foules.

Certains d’entre nous ont gardé un esprit critique, ceux qu’on a appelés d’abord des lanceurs d’alerte, puis ensuite des complotistes mais qui ne sont que des gens avertis et curieux ; ces personnes lucides ont compris ceci : Les complotistes sont désignés ainsi par ceux qui organisent les complots, à savoir les comploteurs.

Victor Hugo écrivait dans Les Misérables : « Mentir, c’est la face même du démon ; Satan a deux noms : Il s’appelle Satan et il s’appelle Mensonge ».

Au début de leur prise de pouvoir, les mondialistes ont régné effectivement par le mensonge ; on se souvient des déclarations contradictoires de nos gouvernants d’un jour à l’autre, ou d’un ministre à l’autre, au début de cette période covidiste, qui nous ont fait penser qu’ils étaient incompétents ; mais non : nous avons fini par comprendre que chacune de leurs interventions et de leurs actions était parfaitement préméditée et calibrée. Ces gens maîtrisent parfaitement l’art du mensonge, de la manipulation des masses – ou de l’ingénierie sociale, pour parler un langage plus moderne.

Puis, peu à peu, ces mêmes dirigeants, un peu partout dans le monde, ont cessé de mentir, ils n’ont plus rien caché de leurs véritables intentions.

Pourquoi sont-ils si sûrs d’eux-mêmes ? Pour deux raisons principales :

– D’abord parce qu’ils savent qu’ils ont réussi au moins une partie de leur plan : leur emprise sur les masses. Ils peuvent affirmer les pires insanités, exposer leurs projets les plus liberticides, les populations lobotomisées n’y prêtent plus attention, comme si elles refusaient d’y croire. En fait, peu importe aux masses que ce soit vrai ou faux ; elle ne veulent tout simplement pas en entendre parler ; depuis des années, les alerteurs s’échinent à apporter les preuves de la grande manipulation ; en vain ; c’est : « Après moi, le déluge ! »

– Il faut dire aussi que ces dirigeants occidentaux, qui se considèrent comme « l’élite », sont arrogants à ce point pour une deuxième raison : c’est parce que les adjudants–chefs comme Schwab, qui les supervisent, les ont convaincus qu’ils étaient invincibles (voire immortels), parce qu’ils seraient protégés par une caste secrète de Supérieurs inconnus, selon leur jargon, qui est celui d’un occultisme de bas-astral, une caste qui actionnerait tous les rouages qui fabriquent le monde matériel, caste elle-même héritière de très anciennes officines qui ont œuvré depuis des siècles, voire des millénaires, pour prendre ce pouvoir bien terrestre qu’elles pensent avoir arraché aux instances divines. Le satanisme de nos modernes élites est à la fois puéril, archaïque et féroce ; il puise ses références dans les vieux grimoires de magie noire et s’accompagne presque toujours de perversions sexuelles comme nous l’avait montré Stanley Kubrick dans le dernier film qu’il a réalisé, « Eyes wide shut », les yeux grands fermés, un titre qui caractérise bien l’attitude timorée de la masse.

  1. Les origines

Comment en sommes-nous arrivés là ? Pour comprendre un problème et tenter de le résoudre, il faut toujours retourner à ses origines.

A. Origines anciennes

Je parle de siècles et de millénaires.

Nos modernes satanistes sont les héritiers de la race des Titans qui, dans la mythologie grecque, ont voulu se mesurer aux dieux par la révolte de leur figure la plus emblématique qui s’appelle Prométhée, lequel est réputé avoir créé les humains ; le prométhéisme, ou le titanisme, a donné naissance au surhumanisme, qui est lui-même l’antichambre de l’actuel transhumanisme, qui milite pour un homme augmenté, équivalent du surhomme.

Cette vanité, cet orgueil qui a poussé les Titans à défier les dieux s’appelle l’hubris, la démesure élevée en mode de fonctionnement de nos sociétés actuelles, la folie titanesque ; je ne prendrai pour seul exemple de cette folie, exemple qui est caricatural,  que cette course à celui qui élèvera la plus haute tour au monde (on pense à la Tour de Babel), compétition engagée par les Bédouins richissimes du Golfe persique qui les distrait de leurs collections de Ferrari ou des courses de chameaux dont ils sont restés friands ; mais cette frénésie de constructions verticales apparue à New-York et à Chicago, à la fin du XIXe siècle, hautes tours qu’on a appelées gratte-ciel – le mot gratte-ciel symbolise à merveille cette volonté de concurrencer les dieux – , cette frénésie s’est étendue à l’ensemble de la planète, si bien que les villes de culture, qui se distinguaient par une architecture enracinée, perdent leur particularité et sombrent dans l’anonymat et l’uniformité de ces terrifiantes mégapoles dont Oswald Spengler avait si bien prophétisé la sinistre emprise au début du XXe siècle, dans son livre « Le déclin de l’Occident ».

Le psychothérapeute Paul Diel dira que « Les hommes, en tant que créatures de Prométhée, formés de boue et animés par le feu volé, réalisent la révolte du Titan et ne pourront que se pervertir. Guidés par la vanité de l’intellect révolté, fiers de leurs capacités d’invention et de leurs créations ingénieuses, les hommes s’imagineront être pareils aux dieux ».

Et ce n’est pas un hasard si l’équivalent des Titans chez les monothéistes sont les anges rebelles, et de ce fait déchus, dont le chef s’appelle évidemment Satan, dont la racine serait la même que celle de Titan, selon le chercheur Daniel E. Gershenson. La cause de la déchéance de ces anges est identique à celle qui a poussé Prométhée à défier les dieux : l’hubris, l’orgueil, la vanité, la volonté de se mesurer à Dieu, voire de le remplacer.

On peut constater que paganisme et christianisme se rejoignent ici, pour une fois, au moins pour avoir un diable en commun.

B. Histoire contemporaine

Voyons maintenant rapidement quelques épisodes de l’histoire contemporaine qui ont favorisé l’émergence de la Secte.

En même temps que les gratte-ciels, sont apparues tout au long du XIXe siècle quantité d’inventions scientifiques et techniques qui faisaient penser que le monde entrait dans une phase de bonheur et de prospérité matériels.

La fée électricité, le cinéma, la photographie, le télégraphe, le téléphone, la machine à vapeur, le train, l’avion… un tourbillon d’inventions techniques qui ne pourront que tourner la tête des foules et les persuader qu’une ère nouvelle était en train de bouleverser leur vie, celle du progrès sans fin.

Un autre événement, culturel cette fois, va s’insérer dans cette suite de révolutions techniques ; c’est la parution d’un livre qui va changer radicalement l’idée qu’on se faisait de l’origine de l’Homme. Jusqu’à la parution en 1859 de l’ouvrage de Darwin, « L’Origine des espèces », c’était les religions du Livre, les bien nommées, qui expliquaient que c’était leur Dieu unique qui avait créé l’espèce humaine, les animaux, la terre et la nature, le cosmos dans son ensemble. Les thèses de Darwin sur l’évolution supposent que l’ancêtre de l’Homme est le singe et vont, bien sûr, à l’encontre de la doctrine créationniste des monothéistes. L’ouvrage de Darwin eut un grand succès qui perdure encore ; cette théorie de l’évolution a été à l’origine d’une autre théorie qui en découle et qui est tout aussi aberrante : celle du progrès, qui a donné naissance à ses partisans, nos chers amis les progressistes.

On comprend pourquoi l’influence de l’Église commence alors à décliner à cette époque ; et c’est même en 1850 qu’on voit apparaître le mot : anticlérical.

À cette même période, l’Université crée les premières chaires d’Histoire, et va former de nouveaux historiens qui vont réviser leurs connaissances à l’aune de leur époque si fertile en nouveautés. Ils ont alors estimé que le Moyen-Âge était une période obscurantiste, sans doute parce que c’est au Moyen-Âge qu’ont été érigées les plus somptueux édifices réalisés par le génie européen : je veux parler des cathédrales ; c’est encore au Moyen-Âge qu’on a vu le retour des valeurs éternelles qui ont constitué le socle spirituel indo-européen avec l’élaboration du code de chevalerie, c’est toujours au Moyen-Âge que l’on a assisté à une résurgence fugace de la Tradition primordiale avec l’apparition du cycle du Graal.

Selon ces historiens, l’époque moderne débute soit en 1453 avec la chute de Constantinople, soit en 1492 avec la découverte de l’Amérique, en gros à la Renaissance, ce qui induit que la Renaissance, par un retournement sémantique inclus dans toute fin de cycle, était donc le début de la fin ; selon ce même principe, le mouvement philosophique qu’on appellera le Siècle des Lumières (entre 1715 et 1789) sera le début de l’obscurcissement de la pensée et de la disparition des valeurs traditionnelles jusqu’à l’apparition de la Révolution française qui aura été préparée par ce même mouvement rationaliste, individualiste et libéral.

Il est probable que la Révolution française ne fut à l’origine qu’une agitation de quelques fanatiques éméchés, recrutés dans les bas-fonds et manipulés par les bourgeois issus du mouvement des Lumières, des troubles que les historiens progressistes feront passer pour une révolte populaire et qui sera le modèle de toutes les révolutions sanglantes qui lui ont succédé de par le monde. La Révolution engendrera la République française, un concept politique que nos dirigeants contemporains aimeraient bien faire passer pour l’âme même de la France, comme si l’histoire de notre pays avait commencé à la Révolution. Certains se souviennent que nos vieux maîtres d’école nous apprenaient que nous étions Français, de souche gauloise, sous un régime momentanément républicain.

Lisez la deuxième partie de l’article

 

yogaesoteric
1 novembre 2023

 

Leave A Reply

Your email address will not be published.

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.

This website uses cookies to improve your experience. We'll assume you're ok with this, but you can opt-out if you wish. Accept Read More