La saga de Louis Pasteur, l’imposteur (partie 3)

 

Lisez la deuxième partie de cet article


Le fameux vaccin-killer de Pasteur!

Le vaccin de Pasteur, à base de moelle desséchée, était donc très dangereux et fut bien vite abandonné, on a aucun compte des expériences faites avec ce vaccin tueur, Pasteur n’en a noté que quelques cas… et le jeune Meister (justement parce qu’il était jeune et « en pleine santé » a eu beaucoup de chance d’en réchapper ! D’ailleurs, le collaborateur de Pasteur, Emile Roux, avait estimé que l’injection du vaccin Pasteur était trop hasardeuse, il eut peur pour la suite, d’être accusé de meurtrier, il savait qu’il n’avait pas la notoriété de Pasteur et que celui-ci s’il en avait besoin se retournerait contre lui ! Il avait donc choisi « officiellement » et devant témoins de se désolidariser des manipulations quasiment meurtrières de son chef, faisant face à Pasteur fou de « rage », il avait refusé catégoriquement de s’associer et d’associer son nom aux premiers essais dits de « traitement intensif », c’est-à-dire plusieurs injections pendant douze jours !

Le jeune Meister ne mourut pas, contre toute attente d’Emile Roux, et donc Pasteur venait d’inoculer le premier vaccin qui guérit de la rage ! Et comme disait Coco : « Circulez, ya rien à voir ».

Malheureusement il y eu à voir.

L’élément le plus caractéristique de la malhonnêteté de Pasteur et de ses collaborateurs fut certainement le drame qui suivi, la mort d’un enfant de douze ans… mort, des suites de la vaccination pratiquée par Pasteur.

Le jeune garçon qui s’appelait Edouard Rouyer n’eut pas la chance de Meister. Il fut mordu le 8 octobre 1886 par un chien dont on ne dit rien, ou dont Pasteur ne dit rien, ce qui en fait un chien errant ! Potentiellement dangereux avec les idées transmises déjà à l’époque. (Gardez en mémoire le nombre de morsure, le nombre de cas très rares.) Si tôt présenté au grand manitou Saint, oh non pardon, ce n’est pas le même ! Pasteur lui inocula son vaccin-killer décrié par Roux, il utilisa de la même manière « la méthode intensive » et deux semaines après, exactement le 26 octobre l’enfant mourut.

Le père porte plainte contre Pasteur

C’est comme de porter plainte contre Sanofi ! Déjà à l’époque ça y ressemblait.
Une enquête judiciaire fut alors ouverte après la plainte déposée par le père de l’enfant qui regretta amèrement d’avoir amené son enfant à ce charlatan, pour déterminer la cause de sa mort. Beaucoup de monde dans le cercle médical, au courant de ce qu’avait fait Pasteur.

Roux qui commençait à se féliciter de ne pas avoir été complice d’un meurtre qui devait fatalement se produire au vu des ingrédients nocifs et mortels utilisés, se vu récupéré et on l’invita à retourner sa veste pour le bien de l’humanité ! Vous allez voir de quelle manière.

Beaucoup de monde donc ne se faisait pas d’illusions sur sa culpabilité, du moins dans les milieux scientifiques et médicaux, mais ce qui était redouté, et qui finalement peinait tout le monde, c’est de voir ternir une si belle carrière, une fierté Française ! Personne ne voulait cela.

Le stratagème qui sauva Pasteur

Donc d’abord les tribunaux se jugèrent eux-mêmes incompétents en la matière et comme par un coup de baguette magique ne pouvant venir que de Dieu en personne, c’est le professeur Brouardel qui se retrouva chargé du dossier Pasteur.

Qui est Brouardel?

Brouardel, à l’époque, un peu l’Abbé Pierre de la médecine, une éminence bardée de diplômes universitaires, de titres honorifiques, qui finira académicien, un sage parmi les sages, ne pouvait prendre QUE la bonne décision, tout le monde était d’accord, et s’en remit à lui. Et (bonne déduction de la part de ses pères) sa décision quel quelle fut, vu le personnage, ne pourrait jamais être contestée.

A lui, qu’incombait maintenant la responsabilité de décharger ou de faire tomber de son piédestal cet escroc de malheur qui s’appelait Pasteur. Brouardel était un ami intime de Pasteur, il l’a très tôt soutenu dans ses thèses, il prononça Le discours concernant la rage à l’Académie de médecine en 1887. Son choix se porta donc tout naturellement à sauver l’honneur de la France.

D’abord découvrir la vérité

Il fallait d’abord découvrir la vérité, ensuite on aviserait. Brouardel avait confiance en Emile Roux qui lui semblait le moins « faux cul » et le moins escroc de l’équipe de (b)granquignols du laboratoire de Pasteur. Après ce qui s’était passé, c’est donc lui qui va aller vers Roux et lui demander son aide.

Dans le laboratoire d’Emile Roux, ils inoculèrent une partie du bulbe cervical de l’enfant à des cerveaux de lapins sains et, quelques jours plus tard, les lapins moururent de la rage. Cela leur confirma ce dont ils craignaient le plus mais qui était évident.

Brouardel alors, en grand sage, lui qui a passé une partie de sa vie à réformer la médecine afin d’en écarter les charlatans, allait agir bien autrement que lui dictait sa conscience intérieure.

Le processus machiavélique pour sauver la peau de Pasteur

Il avait besoin de Roux à ses côtés, tout le monde savait que Roux ne croyait pas en l’efficacité du vaccin-killer de Pasteur. Brouardel pris Roux entre quatre yeux et la main sur l’épaule, ce qui était quand même un grand honneur.

Il lui fit retourner sa veste, le but de la manœuvre était délicate, Pasteur avait beau être une légende déjà vivante, il n’en avait pas moins commis des erreurs plus grosses que lui, mais, déjà à cette époque, Pasteur avait fait envisager l’énorme potentiel financier de la vente de vaccins pour tous ! Là ça n’était plus de l’escroquerie mais à ce niveau, du pure génie ! Si le sage entre les sages disait que Pasteur avait raison, et qu’Emile Roux reconnaissait la même chose, la partie pouvait être gagnée.

En accord avec Roux, Brouardel décida de porter un faux témoignage devant la justice pour dissimuler la vérité.

Il s’agissait (comme il l’avouera enfin beaucoup plus tard), « d’éviter la reconnaissance officielle d’un échec qui entraînerait, selon les termes de Brouardel lui-même, un recul immédiat de cinquante ans dans l’évolution de la science », ainsi que le déshonneur pour Pasteur, comme le rapporte Philippe Decourt dans Les vérités indésirables, le cas Pasteur. Le rapport fourni au procureur contenait un mensonge monumental :
« Les deux lapins sont en bonne santé aujourd’hui, 9 janvier 1887, c’est-à-dire quarante-deux jours après les inoculations. Les résultats négatifs des inoculations pratiquées sur le bulbe de cet enfant permettent d’écarter l’hypothèse que le jeune Rouyer ait succombé à la rage ». Pasteur déclara que l’enfant était mort d’urémie.

Pasteur parrain – système mafieux

Mais il n’était pas suffisant de falsifier les faits, Pasteur et ses deux complices désormais, Roux et Brouardel, s’employèrent à faire taire les opposants qui connaissaient la vérité.

Ca ne fut pas une mince affaire, il y eu tout une série de chantages, pots de vin, menaces en tout genre, un livre n’y suffirait pas, on entrait là dans les manœuvres du grand banditisme, et les méthodes de la Maffia furent employées, c’est étrange comme encore à l’heure actuelle, certains faits se rapprochent des faits de cette époque, notamment avec le cas du Docteur Marie-Hélène Groussac et les nombreuses tentatives d’assassinat sur sa personne, défendue par un faux avocat qui aura accès à tous ses documents les plus secrets et qui se révèlera par la suite appartenir aux services secrets français !

C’est le dessous d’un panier de crabes pourris par le fric qui annoncent ce que sera la médecine de demain, celle que l’on a aujourd’hui ! Digne fille de Pasteur.

Brouardel alla même jusqu’à affirmer que sur cinquante personnes traitées par les inoculations intensives, il n’y avait eu aucun décès. Or des dossiers que l’on a pu récupérer des héritiers de Pasteur, et particulièrement l’un d’eux sans lequel, on en serait encore à penser ce que l’on a voulu à cette époque que l’on pense maintenant ! On sait que la méthode avait fait des émules, et en 1886, dans les cas répertoriés en France et à l’étranger, les morts à mettre officiellement au passif de la méthode Pasteur s’élevaient alors à soixante-quatorze : 40 cas mortels à l’étrangers et 34 cas mortels Français avec la méthode qui avait tué le jeune Rouyer. Certains étaient morts en présentant les symptômes de la rage ordinaire, d’autres avaient succombé à une affection nouvelle qui fut appelée la « rage des laboratoires ». Ces derniers présentaient les symptômes de paraplégie rabiforme observés chez les lapins servant à la culture du virus pasteurien**.
** La Méthode Pasteur contre la rage par le Dr Xavier Raspail – 1888

D’ailleurs, Pasteur allait lui-même signalé que pendant la période du 9 novembre 1885 au 30 décembre 1886, sur 18 malades vaccinés, neuf moururent dans les trois semaines suivant la morsure. Toujours sans considération de savoir si l’animal avait ou non la rage !

Pasteur parrain mafioso est désormais aux commandes !

En mars 1886, Pasteur allait encore monter dans l’escalade à la tricherie et à la manipulation, il se savait soutenu par des industriels qui se préparaient déjà à faire beaucoup d’argent sur le dos de vos aïeux et grands parents ! Il déclara officiellement au Dr Navarre : « Je n’admets pas qu’on discute désormais mes théories et ma méthode; je ne souffrirai pas qu’on vienne contrôler mes expériences. » !

Pasteur venait d’inaugurer une nouvelle pratique désormais qu’il allait institutionnaliser, celle du mensonge scientifique, proféré avec impudence par des hommes de science auréolés d’un prestige usurpé.

Le premier vaccin antirabique, un échec retentissant.

L’histoire n’a finalement retenu ce que l’on a décidé qu’elle retiendrait : le succès de ce vaccin, mais a oublié de dire qu’il avait multiplié les décès par la rage.

En fait de triomphe, ce fut un échec retentissant mais savamment étouffé, un pétard bien mouillé, mais un premier apprentissage de l’art de cacher la vérité au sujet vaccinal. Car il n’y a jamais eu de preuves scientifique apportée, ce que la médecine prétend toujours faire, et elle est la première à refuser de reconnaitre les médecines énergétiques qui faute de preuves scientifiques pourtant apportent des preuves visuelles de résultats. En plus pour la vaccination contre la rage, jamais personne n’a pu prouver son efficacité. Tout d’abord parce qu’il était pratiquement impossible d’apporter la preuve que les chiens incriminés étaient atteints de la rage (aussi parce qu’on s’est bien gardé de les chercher) et ensuite parce que le nombre de vaccinés qui mouraient était trop élevé pour qu’on souhaitât en tenir compte.

Léon Daudet a raconté l’horrible mort de six paysans russes mordus par un loup et vaccinés par Pasteur. À ce propos, l’écrivain s’éleva à l’époque contre ce qu’il appela « la nouvelle morticoli » et publia une série d’articles sur le sujet.

Quant au Pr. Michel Peter, de l’Académie de médecine, il a violemment critiqué les méthodes de Pasteur et a écrit au Dr Lutaud, rédacteur en chef du Journal de médecine de Paris : « Je suis d’accord avec vous sur tous les points : la médication de M. Pasteur, soi-disant préservatrice de la rage, est à la fois une erreur et un danger. »

Pour ce membre éminent de l’Académie de médecine, c’est pour des raisons « peu scientifiques » que Pasteur s’est efforcé de faire croire à la fréquence de la rage. En effet, Pasteur évoquait alors des centaines de cas de rage qui mettaient des vies en danger de mort.

 

yogaesoteric
9 décembre 2018

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