La science de détecter le mensonge en reconnaissant les indices qu’il génère au niveau corporel et comportemental dans l’être de celui qui ment

 

Du point de vue psychologique, le mensonge représente une affirmation qui est contredite par l’expérience et par l’observation et qui est offerte par une certaine personne parfois de façon préméditée, autrefois spontanément, par une série d’affirmations qui conduisent à dénaturer totalement ou partiellement la vérité ou par argumentation sélective, partiale, imprécise ou exagérée de faits réels.

Conformément aux études du domaine de la psychologie comportementale, le mensonge s’est avéré être un mécanisme lié en grande mesure à l’instinct de survie. Suite à ces études ont été identifiées les zones du cerveau qui sont activées et qui sont sollicitées de façon particulière sous l’influence d’un mensonge ou d’un comportement trompeur.

Du point de vue naturel, le mental humain est formé de sorte que l’être humain affirme la vérité dans presque toutes les situations. Lorsque l’homme ment, il apparaît au niveau corporel par une série de manifestations physiologiques involontaires, qui se constituent comme des véritables signes et indices pour celui qui sait et est attentif pour les observer de façon adéquate. Un réalisant un entraînement adéquat qui implique de l’attention, de la connaissance et de la lucidité, nous pouvons arriver à reconnaître sur la base de ces indices, les situations où les êtres humains avec lesquels nous discutons mentent.

L’action de mentir peut être une action spontanée qui est utilisée dans l’intention de produire de la confusion, de générer des faux espoirs ou pour créer une certaine conjoncture sociale favorable au menteur. Le mensonge répété déforme le caractère de l’individu et peut conduire à des effets dévastateurs et à une grave déformation de la perception sur la réalité.

Un observateur entraîné dans la science de détecter le mensonge peut parvenir à savoir lorsqu’un quelqu’un ment même à partir du premier rencontre ou la première conversation. A cette fin, il est nécessaire de réaliser l’analyse logique de chaque mot prononcé par l’interlocuteur et l’identification de certains signes spécifiques qui indiquent le fait que l’être en question ment. Connaître les indices qui peuvent aider à démasquer un mensonge est toujours utile, quoi qu’elle soit la situation, car presque tous les humains peuvent devenir, à un moment donné, sujets d’une telle forme d’action défavorable.

Les fluctuations de la voix et le manque de concordance dans l’expression forment un premier set d’indices de la présence du mensonge

Lorsque nous tentons à apprendre si notre interlocuteur ment ou pas, il est nécessaire de réaliser une analyse logique de chaque proposition exprimée et identifier les non concordances qui surviennent dans la parole. En ce qui concerne la parole en ensemble, la cohérence de ceux affirmés par un menteur est beaucoup affectée. Du fait que le mensonge perturbe d’une certaine manière le menteur, il peut faire des affirmations plus ou moins contradictoires et peut prouver une bizarre inconséquence et incohérence du scénario qui est véhiculée par la parole. Les non concordances entre les affirmations faites sont les premiers indices qu’il faut chercher lorsque nous parlons à un être que nous suspectons de ne pas dire la vérité. Du fait que le scénario que celui ment exprime n’est pas basé sur la réalité, la répétition de ce scénario hypothétique peut faire ressortir beaucoup d’inconséquences.

Environ 5% parmi les personnes qui mentent presque toujours, et beaucoup d’entre elles le font même très bien, elles arrivent ainsi à croire une grande partie de ce qu’ils mentent. Lorsqu’un humain ment, le plus souvent il raconte des histoires si tordues qu’il finit par les croire lui-même et ainsi il trompe ceux qui l’écoutent. Mais si nous voulons démonter le mensonge lorsque nous sommes face en face avec un tel menteur, nous pouvons regarder à un moment donné notre interlocuteur avec attention et, surtout lorsqu’il ne s’y attende pas, lui demander quelque chose d’inattendu, quelque chose qu’il ne pas prêt à répondre, et, ainsi, il se peut qu’on le faire tomber dans la piège.

Dans le cas du mensonge il survient aussi l’excès de détails. Un discours qui est extrêmement minutieux ou détaillé ou où les détails abondent de façon injustifiée, ou qui est pimenté de détails exagérés de la classe de ceux objectifs, mais non pas forcément nécessaires, peut-être l’indice d’un discours menteur. La présentation de trop de détails au sujet d’une certaine situation à laquelle l’interlocuteur n’a pas été présent, peut indiquer aussi une exposition qui peut être déformée par le mensonge. D’habitude, celui qui ment à tendance à offrir plusieurs détails, ainsi que des réponses en avance aux certaines questions qu’il considère comme probables ou qu’il anticipe comme pouvant être formulées par les autres. Ainsi, si nous observons que dans les descriptions d’une situation sont inclues trop de détails, nous pouvons conclure qu’il se peut que quelque chose ne soit pas vrai. Les détails excessifs sont offerts par celui qui ment surtout pour gagner ainsi la crédibilité de l’interlocuteur.

A tous ceux-ci on ajoute les particularités inhabituelles de la voix et de la parole en ensemble de celui qui ment. Un indice fréquent de l’existence du mensonge consiste dans le fait que la voix de celui qui ment peut devenir anormalement aigue et autrefois anormalement basses, avec une tonalité bien différente que d’habitude. Ce phénomène se passe d’habitude involontairement, justement parce que le processus de contrôle de la voix n’est pas un conscient et, souvent soudainement, la peur subconsciente de ne pas être découvert détermine une légère modification de l’intonation, ainsi que des inflexions de la voix, la rendant d’une certaine façon non naturelle ou différente de la voix habituelle de l’être humain en question.

L’expression du visage reflète fidèlement les états intérieurs de l’humain et ainsi il peut trahir le mensonge

Une autre suite d’indices spécifiques pour l’identification de celui qui ment peut être découverte en examinant attentivement l’expression générale du visage. D’habitude, le rougissement subit et intense du visage ou du cou constitue un des signes fréquemment rencontrés chez ceux qui mentent. Cette modification visible de la couleur de la peau dans ces zones apparaît d’habitude à cause d l’intensification rapide de la circulation sanguine, qui résulte le plus souvent de la manifestation avec intensité du sentiment intérieur, plus ou moins masqué, de coulpe ou d’inquiétude, sentiment généré surtout par certains ressorts psychiques inconscients qui se manifestent avec prépondérance dans le cas de l’expression d’un mensonge. D’ici a résulté dans le langage courant l’expression populaire : « Il est devenu tout rouge d’honte pour le mensonge dit ».

Un autre indice de celui qui ment est le fait qu’il sourit surtout avec la bouche, mais non pas avec les yeux aussi. Son sourire est incomplet et cela peut indiquer d’habitude manque de sincérité. La plupart des gens ne peuvent pas sourire faussement sans que cet aspect ne soit pas évident. Le sourire qui survient à un moment inopportun ou celui qui dure trop pour une situation relativement normale peuvent être des indices du fait que l’individu en cause dit un mensonge. Le sourire de celui qui ment n’est pas un sourire complet, ses lèvres peuvent être serrées et justement pour cela, elles vont sembler plus minces. Ce genre d’expressions sont autant d’indices du fait que la vérité n’est pas prononcée en totalité.

De même, celui qui ment peut avoir une expression du visage qui transmet en même temps des états contradictoires ou opposés, par exemple, fâcherie et joie. De tels états opposés peuvent être remarqués en observant avec attention les soi-disant micro-expressions du visage. Les micro-expressions du visage sont des expressions faciles de courte durée, chacune ayant une durée de quelques secondes, rares fois arrivant à un maximum de la durée possible de 20-25 secondes, et qui apparaissent spontanément, en tant que résultat de certaines émotions cachées ou des états contradictoires. Lorsqu’un être humain semble heureux, bien qu’en réalité il soit fâché, son état réel pourra être révélé, à un moment donné, par une telle micro-expression faciale, même si elle dure quelques secondes. Si l’état émotionnel intérieur, qui est caché par un comportement censuré, est un de furie, de peur ou de jalousie, ces états peuvent cependant être observés dans les gestes inhabituels utilisés, certains aspects de la posture générale du corps, mais aussi dans les expressions micro-expressions qui apparaissent sur le visage et qui se reflètent ensuite dans les yeux et dans le regard de l’être en cause. Dans cette situation il est très important d’être très attentifs pour observer tous ces aspects. La plupart des gens ne reconnaissent pas d’habitude les micro-expressions faciales, mais cet aspect peut être appris par exercice, si nous allons apprendre à être suffisamment attentifs. Chacun de nous, nous pouvons apprendre à être attentifs aux modifications faciles des interlocuteurs et découvrir ainsi comment changent les micro-expressions du visage.

Lorsqu’un être humain manifeste une expansivité et une volubilité excessive, exagérée et injustifiée, lorsque quelque chose semble être exposée dans une lumière disproportionnée, surtout lorsqu’un certain aspect est intensivement promu, presque avec agressivité, nous pouvons nous rendre compte qu’il est très probable que ce discours soit menteur. Une telle façon d’exprimer est fréquemment rencontré dans la publicité commerciale qui tend à accentuer de façon exagérée et trompeuse certaines caractéristiques du produit promu,  caractéristiques qui ne correspondent à la réalité, mais qui sont présentées avec ostentation, seulement pour impressionner d’une certaine façon.

Dans le cas de celui qui ment, il apparaît toujours un état général d’inconfort intérieur

Observer l’état général d’inconfort intérieur peut nous indiquer le fait que quelqu’un ment. Lorsque quelqu’un évite le contact avec le regard de l’interlocuteur au moment où il communique, bien que cet aspect ne soit pas normalement un problème, les chances de dire un mensonge sont accrues. Si le regard de celui qui parle est presque toujours inquiet, s’il transpire abondement, s’il respire de façon saccadée, si trempe fréquemment ses lèvres ou s’il change souvent de position, tous ceux-ci sont des indices de la manifestation spécifique de l’état intérieur d’inconfort et d’anxiété, qui peuvent nous conduire à la conclusion que nous avons à faire à un mensonge.

L’inconfort peut se manifester aussi en touchant ou en grattant involontairement et avec persistance les extrémités, réactions qui physiologique qui apparaît suite au processus d’accélération temporaire du flux sanguin au niveau des extrémités, ce qui peut provoquer une certaine suite de sensations de démangeaison. Celles-ci peuvent apparaître au niveau du nez, soit au niveau des oreilles. D’ici a résulté l’expression populaire qui définit dans une certaine mesure celui qui ment, c’est-à-dire : « Le menteur, son nez le démange ». Il existe aussi une différenciation entre les sexes, dans le sens que lorsqu’elles mentent, les femmes se grattent spontanément surtout au niveau du lobe de l’oreille, à la base du cou ou sur le bras, pendant que les hommes se grattent près du nez, à côté de l’oreille ou dans la zone de la coude.

Un autre indice de l’inconfort associé au mensonge est le geste involontaire de tirer la colle de la chemise, geste qui apparaît surtout à cause de la croissance légère de la tension artérielle. Cela conduit à la croissance de la quantité de transpiration du niveau du cou, ayant d’habitude un effet de rafraîchissement. D’ici l’expression populaire qui peut identifier celui qui ne dit pas la vérité : « Quelque chose semble lui serrer le cou » ou « Le nœud de la cravate semble serrer celui qui ment ».

Dans le cas de ceux qui mentent, peut apparaître spontanément de la transpiration abondante ou peut survenir la croissance soudaine du rythme cardiaque, de règle à cause du fait que celui qui ment expérimente une certaine forme de peur subconsciente ou d’anxiété liée surtout à la perspective du risque que son mensonge soit découvert. Mais, attention, cette réaction d’inconfort corporel à la réaction physiologique générale de croissance de la chaleur corporelle. Dans le cas des femmes, il est aussi possible que se toucher le cou ou l’oreille soit un geste innocent de coquetterie. Autrefois, certaines femmes peuvent jouer spontanément avec le collier. Les femmes qui portent les cheveux longs peuvent se toucher spontanément de façon légère et fréquemment le cou pour se rafraîchir.

Une autre suite de signes qui nous indique l’inconfort généré par le mensonge peut être remarqué au niveau des yeux et du regard. Clignoter fréquemment peut apparaître chez ceux qui se trouvent dans un sévère état de tension intérieure ou ceux qui sont confrontés à une grande pression intérieure suite aux mensonges qu’ils décident d’exprimer. Dans le cas des tensions intérieures générées par l’expression d’un mensonge, la fréquence de clignoter peut arriver jusqu’à 117 par minute, dans les conditions où la fréquence normale du clignotement est de 8-10 par minutes. Le regard qui fuit apparaît souvent inconsciemment lorsque quelqu’un dit un mensonge. Dans l’être de celui qui ment peut apparaître le réflexe de détourner le regard ou de ne pas soutenir le regard en accord avec ses affirmations. Bien sûr, le regard de travers peut indiquer aussi un certain désintérêt et la préoccupation pour un autre aspect que celui mis en discussion, mais le plus souvent il illustre l’inconfort évident généré par le mensonge.

Les modifications radicales du comportement peuvent constituer aussi un indicateur du mensonge. Par exemple, lorsqu’un être humain, qui d’habitude est calme, modifie soudainement son comportement comme si quelque chose le dérangerait, ceci peut être un signe de la présence du mensonge. La situation inverse est aussi valable si un être qui, en général, est nerveux, arrive à se comporter en manifestant un calme apparent, il peut tenter à masquer un mensonge. Il est essentiel de suivre à identifier surtout les modifications radicales par rapport au comportement usuel de l’être en cause, qu’il est supposé que nous le connaissons, et nous remarquons des modifications inattendues, alors cela peut indiquer que quelque chose ne va pas et que l’être humain en cause cache quelque chose, raison pour laquelle il choisit de mentir.

Les gestes inhabituels qui sont bizarres et disharmonieux représentent un important indicateur du mensonge

Les signes du mensonge se manifestent aussi en accentuant certains gestes à part, avec un caractère bizarre et disharmonieux. Il existe des gestes involontaires qui, de règle, caractérisent le menteur, comme placer de façon anormale les mains sur la bouche, ce qui conduit à balbutier les mots, parler avec le poignet ou la paume à la bouche, le geste non naturel de se toucher les lèvres et de les tirer, se frotter rapidement le nez, soulever soudainement les bras au-dessus de la tête ou reculer de façon inattendue, se pencher soudainement de côté, comme si l’être en cause s’heurterai contre quelque chose d’invisible, tous ceux-ci sont des gestes inhabituels, injustifiés, bizarres et disharmonieux qui apparaissent surtout chez les menteurs.

De même, les gestes non naturels d’auto rassurement forcé apparaissent, le plus souvent, comme une réaction involontaire surtout lorsque celui qui ment ressent une certaine insécurité intérieure. Devant l’insécurité provoquée par le mensonge il existe le réflexe presque général de nous calmer nous-mêmes en se touchant certaines parties du corps, ce sont des gestes réflexes qui proviennent de l’enfance et qui sont générés par un besoin compensateur. Les hommes qui mentent ont la tendance de se toucher surtout la barbe, d’ici l’expression populaire qui indique le menteur : « Et il avait une barbe et tellement il la caressait ! » Les femmes qui mentent se touchent souvent spontanément et involontairement surtout les genoux ou la nuque, des régions qui, lorsqu’elles sont touchées, confèrent immédiatement une certaine amplification relative des sentiments intérieurs de sécurités et de stabilité, et peuvent contrebalancer le sentiment intérieur d’insécurité généré par le mensonge véhiculé par la parole.

Le geste involontaire de se couvrir la bouche ou se toucher la bouche par la main peut apparaître souvent comme une réaction involontaire lorsqu’on dit quelque chose qui est en totale non concordance avec l’information réelle existante dans notre mental. L’expression couramment utilisée pour indiquer quelqu’un qui dit, sans le vouloir, une vérité  est la suivante : « Un pigeon lui est sorti par la bouche ». Ensuite, peu de temps après, du fait que ce qu’il a dit n’était pas en accord avec l’intention de mentir, il finit par nier ce qu’il vient d’affirmer. Ceci est une pratique commune dans le cas de ceux qui mentent. Le geste spontané de se toucher involontairement la bouche peut signifier aussi l’apparition d’un certain sentiment de regret pour une affirmation qui a été faite récemment.

Il existe des moments où un être humain utilise certains gestes particuliers, qui ne sont pas du tout en accord avec les informations exposées. Lorsque nous percevons des non concordances entre les gestes et le message transmis par la parole nous pouvons supposer que pendant ces moments celui qui parle ment. Même s’il peut nous sembler surprenant, il se passe souvent que des gens, en faisant une affirmation, remuent leur tête en signe de négation, lorsqu’ils mentent. C’est un geste complètement involontaire qui contredit ce que l’être qui parle transmet par les mots et qui est un indice clair du mensonge. Dans le cas d’un être humain qui ment peuvent apparaître aussi de multiples contradictions dans la façon dont il s’exprime, peuvent survenir des contradictions entre la voix et les mots, entre la mimique et les mots prononcés, entre l’expression faciale générale du visage et les mots qui viennent d’être prononcés. Lorsque nous remarquons de telles inadéquations il est utile de faire très attention, car il est très probable que la personne en cause ne dise pas la vérité.

Dans le cas de beaucoup de ceux qui mentent, la mimique peut devenir soudainement inhabituelle, étant évidents les cas où il survient la réaction de clignoter fréquemment, de froncer les sourcils, de regarder ailleurs, de regarder à travers ou le jeu agité du regard. La mimique du visage est aussi difficile à contrôle consciemment dans le cas d’un discours menteur. En comparant la mimique d’un interlocuteur pendant que nous savons avec certitude qu’il dit la vérité à celle lorsqu’il ment, nous pouvons très bien comprendre la façon dont l’expression du visage et les gestes qui sont en contradiction avec le message transmis peuvent mettre en évidence le manque d’authenticité des affirmations de l’être en cause.

Acquérir une aptitude discriminative sage

La plupart des indices énumérés ont à la base un certain état de nervosité, un certain inconfort intérieur et mettent en évidence un état général de disharmonie qui survient lorsqu’on véhicule un mensonge. Il est important que tous ces indices soient considérés en ensemble. L’apparition sporadique de seulement un ou deux de ces indices peut être insuffisante pour tirer une conclusion et justement pour cela il existe l’avertissement de ne pas évaluer les situations unilatéralement, parce qu’il n’est pas souhaitable d’arriver à des conclusions précipitées.

D’habitude, la réactivité de l’organisme est mise en évidence par un ensemble des manifestations synchrones qui produisent simultanément cinq ou six signes claires et visibles parmi ceux énumérés antérieurement. Seulement lorsque nous percevons qu’il existe au moins cinq tels indices claires et indubitables du mensonge nous pouvons avancer l’hypothèse que l’être en cause ment. Une fois que nous sommes arrivés à avoir un nombre suffisant d’indices pour justifier une telle prémisse, nous pouvons agir avec sagesse, en adressant à la personne en cause des questions précises, certaines d’elles à plusieurs reprises. Mais au-delà de toute démarche investigatrice basée sur la répétition de la même question, il est indiqué d’éveiller et amplifier notre connaissance lucide et l’intuition.

La connaissance de tous les indices corporels et comportementaux qui nous montrent la possibilité qu’un certain être humain mente, nous permet de raffiner de plus en plus l’esprit d’observation, à mieux comprendre les concordances qui existent entre le mental et le corps et, sur cette base, acquérir graduellement une véritable connaissance authentique de la vérité. Nous rapportant intuitivement à l’instance supérieure, invisible, infinie qui est, en éternité ce qui, dans absolument toutes les situations valide la vérité, nous pourrons constater qu’elle nous guidera vers l’acquisition d’une aptitude supérieure de différencier la vérité du mensonge.

Article tiré du Programme du Camp yogi de vacances de Costinești 2013

 

yogaesoteric
3 juin 2018

Also available in: Română

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