Le gouvernement utilise pour la première fois des marqueurs chimiques et des nano-particules sur les manifestants


A leur insu, des Gilets Jaunes et des passants sont devenus des cobayes pour la première expérimentation mondiale sur des humains de nano-particules et de marqueurs chimiques dont l’effet sur les organismes biologiques est encore très mal connu.

Pour le gouvernement français, il s’agit de « produits de marquage chimique codé » inoffensifs qui imprègnent la peau, les cheveux et les vêtements des personnes visées pour une durée variant entre plusieurs semaines et des dizaines d’années.

Officiellement cette technologie floue n’a jamais été utilisée contre des êtres humains.

Cependant, des informations précises recueillies auprès de certains professionnels de la sécurité indiquent que lors de l’Acte XVIII des Gilets jaunes, des canons à eau et des gaz contenant des marqueurs d’ADN et des nano-particules ont été utilisés contre les manifestants sans que ces derniers n’en aient été avertis au préalable.

Outre les marqueurs chimiques et les nano-particules dont on connaît très mal les effets sur la santé humaine, l’adjonction de nouvelles substances psychotropes aux gaz CS s’assimile à une véritable expérimentation à grande échelles de nouvelles techniques de contrôle social similaires à celles des pires dystopies des films et romans de science-fiction.

Ces « armes à ADN » développés en Grande-Bretagne et largement utilisés en Israël contiennent des substances chimiques et biologiques dont la nocivité sur la santé humaine a été délibérément ignorée, notamment en Israël ou des détenus palestiniens affirment avoir contracté divers types de cancers suite à leur marquage ADN ou l’usage d’autres techniques de contrôle impliquant des nano-particules susceptibles d’avoir endommagé le matériel génétique des cellules de leurs organismes.

Le gouvernement français a reconnu avoir utilisé des marqueurs chimiques sur des manifestants à titre d’expérimentation lors des manifestations du 1er mai 2018. Or les populations auraient dû être averties qu’elles allaient faire l’objet d’expériences interdites.

Pour les défenseurs de tels procédés, les produits de marquage ADN ou ARN ne représentent aucun danger mais leurs propos ne sont pas étayés par aucune évidence scientifique.

On sait que l’impact de la plupart des produits biochimiques utilisées par ou sur l’homme ne peut être décelé qu’après des années puisque la plupart des études non positives sont systématiquement censurées par les grandes compagnies de l’industrie chimique.

L’usage des substances psychotiques pour le contrôle des manifestations et des émeutes urbaines s’est révélé bien plus dangereux sur le terrain.

En 2014, les forces de maintien de l’ordre en Ukraine ont expérimenté des bombes à gaz contenant du LSD fournies par une société israélienne sur des manifestants à Kiev et le résultat fut catastrophique : les manifestants ciblés sont devenus bien plus agités et violents et certains ont commencé à avoir des convulsions violentes avant de se lancer à corps perdus vers les véhicules de police, nécessitant l’usage de balles réelles pour les arrêter.

Au Brésil, la police a expérimenté dès 2016 des substances chimiques sensées calmer les émeutiers mais l’expérience tourna mal et la police avait fini par réduire les violences par l’usage d’armes de guerre. En réalité, la substance utilisée ressemblait à une drogue neurotoxique extrêmement dangereuse qui avait un impact direct sur le système nerveux.

En Israël, certains gaz utilisés contre les manifestants contiennent outre des perturbateurs endocriniens, des substances hallucinogènes et du LSD afin de rendre les manifestants plus violents par effet recherché afin de justifier l’usage des snipers et des tirs de très haute vélocité (balles en alliage spécial pouvant avoir une vitesse initiale de 1200 m/seconde).

Les gaz utilisés en France pour le maintien de l’ordre incluent le CS ((2-chlorobenzylidene malononitrile), des irritants mais depuis peu des neurotoxiques pouvant profondément altérer les capacités de perception et de conscience.

D’autres types de nano-particules sont de plus en plus utilisés dans le maintien de l’ordre mais leur usage reste secret car même les policiers qui les utilisent ne savent pas toujours la nature de l’arme non-létale qu’ils utilisent.

Avec les marquages chimiques des individus, les sociétés viennent de franchir un pas supplémentaire dans le contrôle totalitaire de l’individu, jusqu’aux racines de ses cheveux et son ADN.

yogaesoteric
29 janvier 2020

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