Le Guardian publie un éditorial satanique affirmant que le covid est une tentative de Gaïa de se protéger des humains

James Lovelock, l’auteur de la « théorie Gaia », a écrit un étrange article éditorial pour le Guardian, dans laquelle il affirme que l’esprit métaphysique vivant de la planète Terre utilise le coronavirus pour se protéger des humains.

C’est du vaudou pur et dur, et littéralement une doctrine religieuse. Il est rare que la nature du culte du réchauffement climatique soit aussi mise à nu. Globalement, la plupart des gens croient que la théorie du réchauffement climatique a quelque chose à voir avec des faits observables.

Croire que la planète vise à détruire la création relève de la folie.

Le fait est que « la science » est elle-même devenue un ordre religieux, parce que les gens y croient sans aucune preuve. Le problème est que ces gens n’avaient pas la possibilité de faire des recherches sur « la science » présentée par « les experts ». En fait, il était beaucoup plus compréhensible d’adhérer au programme de sacrifices humains des Aztèques que d’adhérer aux projections scientifiques sur le coronavirus et tout le reste.

Comme cette religion de « La Science » est anti-Dieu, elle est aussi satanique.

Lovelock a écrit pour The Guardian :
« Pendant des milliards d’années, la température de la surface de la Terre a été déterminée principalement par la chaleur rayonnante provenant du soleil. Cette énergie a augmenté au fil du temps, car c’est la nature même des étoiles, comme le soleil, d’augmenter leur production de chaleur en vieillissant. Mais les températures sur Terre sont restées relativement stables grâce à Gaïa : les forêts, les océans et d’autres éléments du système de régulation de la Terre, qui ont maintenu la température de surface relativement constante et presque optimale pour la vie.

Le réchauffement planétaire qui nous concerne tous, comprend une grande partie du réchauffement supplémentaire qui résulte de l’extraction et de la combustion des combustibles fossiles depuis le milieu du 19e siècle environ. Cela libère du méthane, du dioxyde de carbone et d’autres gaz dans l’atmosphère. Ils absorbent la chaleur rayonnante et l’empêchent de s’échapper de la Terre. C’est ce qui provoque le réchauffement de la planète.

[…]

Des avertissements qui semblaient autrefois relever des scénarios catastrophe de la science-fiction se concrétisent aujourd’hui. Nous entrons dans une ère de chaleur au cours de laquelle la température et le niveau des mers vont augmenter de décennie en décennie jusqu’à ce que le monde devienne méconnaissable. Nous pourrions également avoir d’autres surprises. La nature est non linéaire et imprévisible, et plus que jamais en période de transition.

Diminuer ces risques et s’adapter à ceux que nous ne pouvons plus éviter nécessitera une mobilisation de ressources à l’échelle d’une économie de guerre. Nous n’avons pas d’autre choix que de réduire la consommation de combustibles fossiles ou de faire face à des conséquences encore plus graves.

[…]

Nous devons également nous attaquer au problème de la surpopulation et mettre fin de toute urgence à la destruction des forêts tropicales. Par-dessus tout, nous devons envisager le monde d’une manière holistique.

Je n’ai pas l’espoir d’un résultat positif à la Cop26 (qui a eu lieu entre le 1er et le 12 novembre 2021, ndlr), sachant qui y participe. Je n’ai pas été invité à Glasgow, mais ce n’est pas une surprise. En plus d’avoir 102 ans, je suis un scientifique indépendant, et les universitaires n’ont jamais été à l’aise avec cela.

Mais mes semblables doivent apprendre à vivre en partenariat avec la Terre, sinon le reste de la création, en tant que partie de Gaïa, fera inconsciemment évoluer la Terre vers un nouvel état dans lequel les humains ne seront peut-être plus les bienvenus. Le virus, le covid-19, pourrait bien avoir été une rétroaction négative. Gaïa essaiera plus fort la prochaine fois avec quelque chose d’encore plus méchant. »

yogaesoteric
23 mai 2022