Le médecin-chef en Angleterre confirme (une fois de plus) que le COVID-19 est inoffensif pour la vaste majorité des gens
Depuis le début de cette crise, nous avons souligné que deux messages mutuellement contradictoires sont au cœur de la diffusion du covid-19 et, tout comme Orwell le décrit en 1984, un point majeur de cette activité semble être de faire en sorte que les gens croient aux deux en même temps.
1. SOYEZ EFFRAYÉS…
Le premier message est que le covid-19 est terrifiant, unique, une menace existentielle pour la race humaine.
Ce message n’est jamais étayé par beaucoup de faits, car les faits concernant le virus ne le confirment pas vraiment. S’il cite quelque chose de solide, c’est le modèle informatique impérial, terriblement négligé et discrédité, ou une recherche générique sur la pathologie des infections graves ou des syndromes viraux rares, qu’il essaie de faire passer pour unique au covid19, même s’il ne l’est pas. Mais la plupart du temps, il ne cite rien du tout. Ou ne revendique vraiment rien du tout.
Il se contente de dire aux gens d’avoir peur. Très peur. De la mort, de l’incertitude, du « virus », des autres personnes, des « fake news ».
La peur que l’on encourage n’est pas ancrée dans les faits, et leur est donc imperméable.
2. « IL N’Y A RIEN À CRAINDRE… »
Le deuxième message est que covid-19 est en fait assez inoffensif et pas grand chose.
Ce message s’appuie sur de nombreux faits, car pratiquement toutes les données publiées sur ce virus confirment cette conclusion.
Aucun organisme officiel ne l’a jamais nié, et la plupart d’entre eux l’admettent volontiers. Régulièrement et sans ambiguïté. Ici et ici.
Chris Whitty ci-dessous n’est que l’un des nombreux intervenants et ce n’est même pas la première fois qu’il tente (voir ici ) d’expliquer clairement que le covid-19 n’est dangereux que pour une très petite minorité de personnes, et que la plupart de ceux qui l’attrapent s’en sortiront très bien.
Voici une diapositive de son discours du 30 avril :
Voyons maintenant ce qu’il dit dans la vidéo ci-dessus, en date du 11 mai :
« La grande majorité des gens ne mourront pas de cela et je vais juste répéter ce que j’ai dit au début parce que je pense que cela vaut la peine d’être renforcé :
La plupart des gens, une proportion importante de la population, ne contracteront pas du tout ce virus, à n’importe quel moment de l’épidémie qui va se poursuivre pendant une longue période.
Parmi ceux qui seront touchés, certains d’entre eux contracteront le virus sans même le savoir, ils auront le virus sans aucun symptôme, un portage asymptomatique, et nous savons que cela arrive.
Parmi ceux qui présentent des symptômes, la grande majorité, probablement 80%, auront une maladie légère ou modérée. Elle peut être suffisamment grave pour qu’ils soient obligés de se coucher pendant quelques jours, mais pas suffisamment grave pour qu’ils soient obligés d’aller voir un médecin.
Une minorité malheureuse devra aller jusqu’à l’hôpital, mais la majorité d’entre eux auront juste besoin d’oxygène et quitteront ensuite l’hôpital.
Une minorité d’entre eux devra se rendre dans un centre de soins intensifs et certains mourront malheureusement.
Mais c’est une minorité, c’est 1% ou peut-être même moins que 1% dans l’ensemble.
Et même dans le groupe à risque le plus élevé, c’est nettement inférieur à 20 %, c’est-à-dire que la grande majorité des gens, même les groupes les plus élevés, s’ils contractent ce virus, ne mourront pas.
Et je tenais à le souligner très clairement… »
Il semble que tous les fonctionnaires veulent « faire comprendre cela clairement », même s’ils se comportent comme si ce n’était pas vrai.
Pourquoi ?
Il y a beaucoup de place pour la spéculation, et nous laissons aux lecteurs le soin de faire leur propre opinion.
Les motifs, cependant, sont moins importants que le fait fondamental et indéniable – la crainte qui s’empare actuellement de l’esprit du public est à la fois encouragée et reconnue comme inutile par les organes qui supervisent la « réponse ».
Et si un nombre suffisant de personnes se réveillaient en voyant le petit pois et le dé à coudre qu’on leur tend, alors le coup d’État le plus dangereux et le plus profond contre la liberté humaine que nous ayons jamais vu serait essentiellement stoppé sur sa lancée.
yogaesoteric
2 juillet 2020