Le pape François accuse les humains d’être responsables des séismes et affirme que les « émissions de carbone » sont à l’origine des catastrophes naturelles

Le pape François a publié une nouvelle lettre alarmiste sur le climat dans laquelle il affirme que les humains provoquent des tremblements de terre en émettant des « émissions de carbone ».

À un moment donné, le pape François suggère que les humains provoquent des « tremblements de mer » en ignorant l’agenda vert.

Il poursuit en affirmant que le monde est « en train de s’effondrer et qu’il est peut-être proche du point de rupture » en raison du « changement climatique ».

Les dernières mises en garde du pape concernant le « réchauffement climatique » sont contenues dans une « exhortation apostolique » intitulée Laudate Deum.

Il s’agit d’une suite à une précédente lettre encyclique catastrophique datant de 2015, dans laquelle il qualifiait le CO2 de très polluant.

La dernière lettre est pleine d’erreurs émotionnelles, d’opinions scientifiques non fondées et d’une froide condescendance à l’égard du nombre croissant de scientifiques qui contestent la thèse politique de l’urgence climatique.

À un moment donné, ces scientifiques sont censés évoquer des « faits scientifiques prétendument solides ».

Le pape François ne fournit cependant aucune preuve à l’appui de ces « faits scientifiques ».

Le pape François est sur un terrain très instable lorsqu’il affirme que les humains sont en quelque sorte à l’origine des tremblements de terre sous-marins.

Les affirmations du pape sont les dernières d’une longue série d’allégations alarmistes sur le climat qui ne résistent pas à l’examen.

Un article paru récemment dans The Conversation fait état de « preuves » selon lesquelles la perte de glace de surface en Scandinavie a déclenché de nombreux tremblements de terre il y a environ 7.000 à 11.000 ans.

Cependant, une enquête plus approfondie a montré qu’il n’y a pas eu d’action des plaques tectoniques au cours de la période mentionnée.

Les tremblements de terre semblent être un nouveau sujet d’alarme climatique, ce qui laisse penser que François est bien en avance sur ce sujet.

Le pape est également en tête de peloton lorsqu’il affirme que la fonte des calottes glaciaires continentales aux pôles ne s’inversera pas avant des centaines d’années.

La fonte de la calotte glaciaire de l’Antarctique à laquelle le pape François fait référence n’est pas immédiatement claire.

Selon Singh et Polvani, le réchauffement est « presque inexistant » depuis au moins 70 ans.

La NASA, quant à elle, indique que la perte de glace est de 0,0005 % par an.

En 2021, le pôle Sud a enregistré son hiver le plus froid depuis le début des relevés en 1957.

Pendant ce temps, dans l’Arctique, un petit rétablissement cyclique de la glace de mer, peu médiatisé, est en cours depuis plus d’une décennie.

Dans sa lettre, le pape François déclare qu’il est « vérifiable que les changements climatiques spécifiques provoqués par l’humanité augmentent notablement la probabilité de phénomènes extrêmes de plus en plus fréquents et intenses ».

Malgré toutes les tentatives de nier, de dissimuler, d’occulter ou de relativiser la question, les signes du changement climatique sont là et de plus en plus évidents, insiste François.

Le pape affirme que personne ne peut ignorer les récents événements climatiques extrêmes tels que les sécheresses, les inondations et les chaleurs inhabituelles, qui, selon lui, sont dus au « changement climatique provoqué par l’homme ».

La raison pour laquelle un homme de Dieu prétendrait qu’il n’y a pas eu d’événements climatiques extrêmes avant la révolution industrielle n’est cependant pas expliquée dans la lettre de pape François.

« Je me sens obligé de faire ces clarifications, qui peuvent paraître évidentes, à cause de certaines opinions dédaigneuses et à peine raisonnables que je rencontre, même au sein de l’Église catholique », déclare le pape.

Dans une lettre encyclique de 2020, le pape a évoqué la possibilité d’une autorité mondiale unique « dotée du pouvoir de pourvoir au bien commun mondial ».

Le gouvernement mondial unique devrait être doté d’une « autorité réelle de manière à permettre la réalisation de certains objectifs », a-t-il affirmé.

De cette manière, un multilatéralisme pourrait voir le jour, qui ne dépendrait pas de conditions politiques changeantes ou de l’intérêt d’une poignée de personnes, et qui posséderait une efficacité stable, a-t-il conclu.

 

yogaesoteric
29 octobre 2023

 

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