Le plus grand secret (3)

Par David Icke

Lisez la deuxième partie de cet article

La plupart de ces informations ont été répertoriées par l’historien de la franc-maçonnerie, Manly P. Hall, qui a également relevé le fait que sur les 56 signatures présentes sur la Déclaration d’Indépendance, 50 étaient celles de francs-maçons reconnus, et seulement une n’était pas d’un maçon. Mais de surcroît, tous ceux qui ont signé la déclaration étaient cousins et issus d’une lignée royale… ! Le 3 septembre 1783, l’indépendance des colonies a été reconnue comme la république indépendante des États-Unis dans le très approprié « Traité de Paris ». La nouvelle constitution a été produite par George Washington (Ramsès-Piso-Bush), Benjamin Franklin, Edmund Randolph, Thomas Jefferson (Ramsès-Piso-Bush) et John Adams (Ramsès-Piso-Bush), du moins officiellement.

 
George Washington

La plupart des pères fondateurs très impliqués dans la cause de la liberté, comme Franklin et Jefferson, étaient d’âpres propriétaires d’esclaves… Franklin a possédé des esclaves pendant une trentaine d’années et il les vendait dans son magasin général… ! Il a placé une publicité pour une esclave en 1733 qui se lisait comme suit : « Prometteuse jeune fille d’environ 15 ans, a eu la variole, est au pays depuis plus d’un an et parle anglais. Renseignez-vous à l’imprimeur à ce sujet ». George Washington a également possédé des esclaves comme les autres grands noms de la guerre d’Indépendance, dont John Hancock et Patrick Henry. C’est Henry qui disait « Donnez-moi la liberté ou donnez-moi la mort ». À moins que votre peau soit noire, bien entendu… ! En tout, neuf présidents ont été des propriétaires d’esclaves et l’un d’eux, Andrew Johnson, a mis une publicité au sujet de la capture d’un esclave en fuite offrant un extra de 10 $ pour chaque 100 coups de fouet que le ravisseur donnerait à l’esclave…

Edmund Randolph, un associé et un collaborateur de George Washington qui est devenu plus tard Grand Maître de la Grande Loge de Virginie, a été le premier à être nommé Ministre de la Justice et Ministre des Affaires étrangères. C’est Randolph qui a proposé un système de gouvernement central, d’État, basé sur une structure énergiquement proposée par le « Collège Invisible » et le réseau de Francis Bacon. La plupart des Américains croient que la Constitution a été rédigée dans le but d’assurer la liberté, mais elle a été soigneusement élaborée pour créer des failles dans lesquelles le Plan de la Fraternité pourrait être mené. D’abord, la Constitution disait que si le Président opposait son veto à une loi passée par le Congrès, la législation retournait à la Chambre des représentants et au Sénat, et pour annuler le veto du Président, un vote devait être fait à nouveau dans les deux organes législatifs et obtenir une majorité des deux-tiers. Cela signifie que vous devez seulement contrôler le Président et un tiers du Sénat ou de la chambre des représentants pour stopper toute législation en voie de devenir une loi… Quelle arme plus puissante pourriez-vous avoir dans une société « libre » afin de défendre votre statu quo et faire cesser les défis lancés à votre pouvoir ?

Les patriotes croyaient que la création de l’argent par les banques privées était inconstitutionnelle aux États-Unis parce que la Constitution dit que le Congrès doit créer la monnaie. Mais la Constitution n’affirme pas cela… L’article 1, section 8 dit : « Le Congrès devrait avoir le pouvoir de créer l’argent et en déterminer la valeur ». La phrase ne dit pas (et ce volontairement) que seul le Congrès devrait avoir ce pouvoir, pas plus qu’il doive utiliser ce droit. La section 10 raconte qu’aucun État ne devrait frapper de monnaie et que les pièces d’or et d’argent devraient être le seul moyen de payer les dettes. Donc, la monnaie de papier est inconstitutionnelle ? Non.

Une partie du Maryland a été mandatée par le nouveau Congrès de créer le district (et non l’État) de Columbia pour la nouvelle capitale fédérale nommée Washington D.C. C’est dans ce district que nous retrouvons la banque privée des États-Unis, la Banque centrale qu’on appelle The Fédéral Reserve, laquelle émet la monnaie du pays… Le district de Columbia est effectivement soustrait à plusieurs clauses de la Constitution qui s’applique aux États. Les principaux pères fondateurs devaient savoir cela…

Le premier président a été George Washington. Il s’asseyait dans une chaise dont le dos était sculpté d’un soleil levant, un ancien symbole de la religion solaire aryenne et du fils de dieu égyptien, Horus. Il était Grand Maître de la loge maçonnique d’Alexandria (ville nommée d’après la cité égyptienne) près de Washington. Lorsqu’il a été investi de la présidence des États-Unis le 30 avril 1789, un jour avant un important rituel de la Fraternité, le May Day (l’Arbre de mai, 1er mai), l’assermentation a été faite par Robert Livingstone qui était Grand Maître de la Grande Loge de New York. La cérémonie entière était un rituel maçonnique exécuté par des francs-maçons : un grand cortège avec Washington, les officiers et les initiés des loges américaines portant leurs insignes.

Comme la plupart des fondateurs dirigeants, Washington était un Anglais de descendance aristocratique et un de ses ancêtres était un chevalier anglais du XIIe siècle, du temps où les Templiers ont été créés, et un autre était un parent du duc de Buckingham qui a combattu la Couronne pendant la guerre civile anglaise. Washington est seulement un premier exemple de la manière dont la Fraternité babylonienne a utilisé les lignées reptiliennes depuis ce jour pour diriger les États-Unis. Regardez la généalogie des présidents américains, des dirigeants politiques et financiers, des magnats du commerce, des propriétaires de médias, des juges, des chefs des services secrets, etc. et vous découvrirez qu’ils proviennent tous des mêmes lignées royales et aristocratiques européennes (les Aryens reptiliens), et qu’on peut retracer leurs origines au Moyen-Orient et au Proche-Orient aux temps de Sumer, Babylone et de l’Egypte. Par exemple : au moins 33 des 42 premiers présidents des États-Unis ont été apparentés à Alfred le Grand (849-899), roi du Wessex et des Anglo-saxons, ainsi qu’à Charlemagne (742-814) l’illustre roi de France, et 19 présidents sont apparentés au roi Edouard III (13121377) qui a transmis des milliers de liens génétiques au Prince Charles (Ramsès-Piso-Bush).

George Bush et Barbara Bush sont tous deux de la même lignée aristocratique britannique, parmi d’autres que j’ai notées. Ils sont des descendants de la lignée Pierce, laquelle a troqué son nom « Percy » après s’être enfuie d’Angleterre suite à la Conspiration des poudres qui a fait éclater le parlement anglais. Les Bush se sont mariés pour des raisons génétiques, comme les familles fondatrices de l’est américain l’ont fait avec leurs parents des lignées royales et aristocratiques en Europe. Même Bill Clinton et Bob Dole, qui se sont affrontés lors des élections présidentielles en 1996, sont des cousins éloignés. On peut retrouver leur ancêtre commun, qui est également celui des présidents William Henry Harrison et Benjamin Harrison : le roi d’Angleterre Henri III (Ramsès-Piso-Bush), qui a régné de 1216 à 1272 pendant les années de la domination des Templiers. Cette information provient de la maison d’édition Burkes Peerage qui trace les lignées des familles royales et aristocratiques.

Clinton a beaucoup plus de sang royal que Dole et il descend directement de la même lignée que les Windsor, des monarques écossais, ainsi que de Robert 1er roi de France. C’est pour cette raison que la Fraternité l’a choisi. Harold Brooks-Baker, le directeur de la maison d’édition Burkes Peerage a dit : Le candidat à la présidence qui possède le plus de gênes royaux a toujours été victorieux, sans exception, depuis George Washington. Quelle étonnante statistique, et que dire des gênes « royaux » (reptiliens) !

La tribu qui contrôlait l’Europe s’est simplement étendue en Amérique, et ils ont appelé cela la liberté. Les États Unis n’ont jamais été libérés du contrôle de Londres. En effet, ce pays a été créé par Londres. La Grande-Bretagne et la Couronne britannique ont toujours possédé, oui possédé, les États-Unis ! Si vous êtes Américain et que vous n’avez jamais entendu cette information auparavant, comme peu l’ont entendu, il serait approprié de vous asseoir calmement et de prendre une bonne petite tasse de thé parce que vous êtes probablement, et serez, sous le choc… ! En 1604, des politiciens, d’hommes d’affaires, de marchands, de manufacturiers et de banquiers se sont rencontrés à Greenwich, à ce moment dans le comté anglais de Kent, et ont créé une corporation nommée la Virginia Company en anticipant l’envoi imminent d’Européens blancs, la plupart britanniques, vers le continent nord-américain. Le principal actionnaire de la compagnie était le roi reptilien Jacques 1er, et la charte originale a été complétée le 10 avril 1606. Cette charte, et ses modifications subséquentes, stipulait les point suivants :

• La Virginia Company (Sémiramis/Isis) comprenait deux ramifications, la London Company et la Plymouth/New England Company. La London Company était responsable de la première colonie permanente en Amérique à Jamestown établie le 14 mai 1607 et New England Company avait pour dirigeants les soi-disant « pères pèlerins » qui sont arrivés à Cape Cod dans un navire, « The Mayflower » en novembre 1620. Ils ont continué jusqu’à la terre de Plymouth Harbour le 21 décembre. Les « pèlerins » du mythe historique américain étaient en réalité des membres de la deuxième ramification de la Virginia Company, la New England Company. La Pilgrim Society est encore un groupe élitiste majeur qui fait partie des Illuminati et leur ramification anglaise se rencontre toujours à l’Hôtel Savoy de Londres.

• La Virginia Company possédait la plupart des terres de ce qu’on appelle maintenant les États-Unis, ainsi que toutes les terres situées jusqu’à 1400 km des côtes. Cela incluait donc les Bermudes et la plupart de ce qu’on connaît comme les Caraïbes. La Virginia Company (en fait la Couronne britannique et les familles de la lignée) avait 50 % des droits, oui 50% des droits !, de tout le minerai d’or et d’argent qui était exploité sur ses terres, en plus d’un pourcentage des autres minerais et matériaux bruts, et 5 % de tous les profits des autres entreprises… Ces droits que les chartes détaillaient pouvaient être transmis à tous les héritiers des propriétaires de la Virginia Company, et ils continuent d’être appliqués ! Les membres dirigeants qui ont bénéficié de ces droits ont ensuite été connus sous le nom de Treasurer and Company of Adventurers et Planters of the City of London (Trésorier et Compagnie des Aventuriers et Planteurs de la Cité de Londres).

• Après les 21 premières années du début de sa création, toutes les taxes et impôts payés sur les activités commerciales dans les colonies devaient être payés directement à la Couronne britannique via le trésorier de la Couronne. Aucun marchand ne pouvait exporter des biens de la colonie sans la permission de la Couronne britannique et si le marchand exportait illégalement, il pouvait se voir saisir tous ses biens ainsi que son navire, ou véhicule, qui aurait transporté la cargaison.

• Les terres de la Virginia Company étaient accordées aux colonies selon un acte de location (deed of trust) et par conséquent les colons ne pouvaient pas se proclamer propriétaires des terres. Ils pouvaient transférer à leurs héritiers le droit d’utiliser la terre, mais ne pouvaient jamais en être propriétaire… La propriété était conservée par la Couronne d’Angleterre.

• Les terres coloniales devaient être gouvernées par deux conseils coloniaux, chacun de 13 membres (ce nombre encore une fois), mais le conseil des rois à Londres avait le mot final sur toutes les décisions. Le monarque britannique au pouvoir choisissait également le gouverneur des colonies américaines, celui que nous appelons aujourd’hui le Président.

• Le monarque, par le biais de son conseil pour les colonies, exigeait que les membres des colonies imposent la religion chrétienne à tout le peuple, dont les Amérindiens. Pour reprendre le langage de l’époque : « avec tout le zèle, le respect et le soin, soutenez que la vraie parole de Dieu et la foi chrétienne soient prêchées, semées et utilisées, pas seulement à l’intérieur des différentes colonies et plantations, mais également parmi le peuple sauvage dont nos territoires touchent les leurs ou sont voisins, selon la doctrine, les droits et la religion présentement établies dans notre royaume d’Angleterre. » Si les Indiens d’Amérique n’acceptaient pas la religion chrétienne, ils devaient y être forcés, la Couronne l’exigeait. C’était la manière de détruire la culture et la connaissance des Amérindiens mais également de maintenir les colons blancs sous le joug brutal du terrorisme chrétien répandu par les puritains calvinistes. C’était un permis de tuer, de torturer et de kidnapper les autochtones avec la certitude d’avoir en bout de ligne l’immunité judiciaire…

• Les cours criminelles sur les terres de la Virginia Company devaient être soumises à la loi maritime, la loi de la mer, et les cours civiles sous le droit coutumier, la loi de la terre. C’est un point important sur lequel on reviendra sous peu.

Maintenant, prenez le temps de saisir tout cela… Tout ce que vous venez de lire est encore en vigueur de nos jours ! Relisez les pourcentages une autre fois, et laissez l’ampleur de la chose vous faire réaliser ce qui se passe… Après que les 13 (eh oui !) colonies d’origine eurent acquis leur « indépendance » et après avoir créé un pays « indépendant », la Virginia Company, après 1783, a tout simplement changé son nom pour… États-Unis ! Vous voyez, il y a deux États-Unis, ou plutôt un É.-U. et un é.-u. Les états-unis d’Amérique avec le « é » et le « u » en lettres minuscules sont les terres des différents états. Ces terres, comme nous l’avons constaté, sont toujours la propriété de la Couronne britannique en tant que dirigeant de l’ancienne Virginia Company, bien qu’on va ajouter un élément à cela dans un instant. Et il y a les États-Unis, avec les majuscules, qui est en fait 175 kilomètres carrés de terrain à l’ouest du fleuve Potomac, où est située la capitale fédérale Washington D.C. et le district de Columbia. Les États-Unis comprennent aussi les protectorats américains de Porto Rico et de Guam.

Les États-Unis ne sont pas un pays ; c’est une compagnie dont le propriétaire est la même Fraternité reptilienne ainsi que les lignées qui possédaient la Virginia Company, parce que les États-Unis SONT la Virginia Company ! Lorsque les Américains sont d’accord pour avoir un numéro d’identification social, ils renoncent à leur souveraineté et acceptent de devenir des franchisés des États-Unis (la Virginia Company de la Couronne britannique). Alors pourquoi le font-ils ? Parce qu’ils n’ont aucune idée que c’est ce qu’ils font ! Ils sont amenés à croire qu’il y a seulement une seule entité qui s’appelle « États-Unis » et que le gouvernement fédéral est le gouvernement légitime. Il n’y a aucune loi qui dit que les Américains doivent payer de l’impôt fédéral, mais ils le font parce qu’ils pensent qu’ils doivent le faire.

Le service du fisc contrôlé par la Fraternité agit d’une manière si terroriste que même ceux qui savent que c’est une arnaque payent encore parce qu’ils sont terrifiés à l’idée de ne pas le faire ! Maintenant, prenez une petite gorgée de thé et une profonde inspiration parce qu’il y a plus encore… Cela veut donc dire que tous les droits des propriétaires de la Virginia Company à propos de l’or, l’argent, les minerais extraits ainsi que les taxes payées aux États-Unis sont encore en vigueur pour les familles britanniques qui possèdent les États-Unis et les terres des états-unis d’Amérique. Ces mêmes pourcentages ont été payés depuis « l’indépendance » et sont toujours payés par le peuple américain par le biais des fonctionnaires fédéraux qui sont, en réalité, des fonctionnaires de la Virginia Company – dont le président fait partie. La Couronne britannique possède les terres des états-unis, ainsi que les terres et les institutions des États-Unis, dont le service du fisc qui perçoit les taxes ainsi que la réserve fédérale, la banque « centrale » privée d’Amérique qui prête l’argent virtuel du gouvernement en chargeant aux payeurs de taxes des intérêts sur celle-ci !

Le Fédéral Reserve Board (le Conseil de la Réserve Fédérale) est la propriété des mêmes familles de la Fraternité en Grande-Bretagne et en Espagne qui possèdent le reste de l’Amérique. Mais il y a une autre tromperie… Qui possède les actifs qui sont apparemment ceux de la Virginia Company ? Réponse : LE VATICAN.


Lisez la quatrième partie de cet article

 

yogaesoteric
2 novembre 2019

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