Le plus grand secret (4)

Par David Icke

Lisez la troisième partie de cet article

Le 3 octobre 1213, le roi Jean (Ramsès-Piso-Bush) en tant que « roi d’Angleterre compagnie unique » a proclamé l’autonomie pour tous les droits souverains de l’Angleterre et les a assigné au pape qui, en tant que vicaire du Christ, a proclamé sa domination sur le monde entier. En retour, le pape a accordé le pouvoir exécutif sur tous les territoires à la Couronne britannique. En d’autres mots, la Couronne est la directrice générale et le Vatican est le propriétaire, bien que le véritable propriétaire est celui qui contrôle le Vatican… Voilà pourquoi je continue de dire que Londres est le centre des opérations de la Fraternité.

 

Un pouvoir plus grand encore existe ailleurs, dont une partie se trouve au Vatican, et dont je pense que l’aspect physique se trouverait quelque part sous terre au Tibet ou en Asie. Le peuple américain a été saigné à blanc par cette arnaque et ça continue encore et encore… Terre de « liberté » ? Quelle risée ! Peuple américain, vos présidents, juges et dirigeants politiques le savent ! En retour, je dois le souligner, l’entente du roi Jean avec le pape aurait vraisemblablement fait perdre la souveraineté à l’Angleterre. Et qui contrôlait le roi Jean ? Les Templiers… Lorsque vous connaissez ce que vous cherchez, la vérité vous saute au visage. Je disais que la Virginia Company et le roi Jean ont décrété que les cours criminelles dans les colonies seraient contrôlées par la loi maritime, la loi de la mer. De quelle marine parle-t-on ? De la marine britannique, bien entendu. Lorsqu’une cour est dirigée par la loi maritime, le drapeau dans le tribunal doit avoir une bordure dorée. Regardez dans les cours criminelles américaines et vous verrez que le drapeau a une bordure dorée. C’est la même chose avec d’autres édifices officiels. Les cours criminelles américaines sont dirigées par la loi maritime BRITANNIQUE !

La Couronne et les familles britannique liées à la Fraternité contrôlent également les cours criminelles américaines et le cœur de cette manipulation se trouve dans les sociétés secrètes basées à Temple Bar à Londres, le berceau des Templiers, le centre de la profession légale britannique. La Grande Loge de la franc-maçonnerie anglaise se situe dans la Great Queen Street (Isis/Sémiramis) à Londres et elle a contrôlé la majorité de la maçonnerie mondiale depuis sa fondation en 1717. Ensuite, les Britanniques Aryens-reptiliens contrôlent les juges, avocats et policiers américains par le biais de diverses organisations dont le Council of Foreign Relations (le Conseil des relations étrangères), la Commission Trilatérale, et ils manipulent le système politique américain. Les magistrats américains sont totalement conscients que leurs salles de tribunal sont contrôlées par la loi maritime britannique, mais ils restent bien tranquilles et acceptent de l’argent en échange.

La famille Rockefeller est la ramification de la Fraternité qui dirige l’Amérique pour les bureaux chefs de Londres. Ce sont eux qui décident probablement qui sera le président du pays. En d’autres mots, l’élite de Londres décide. La reine d’Angleterre, le prince Philippe et les principaux membres de la famille royale britannique connaissent tout cela et participent à l’orchestration du Plan. Qui est le Grand Maître de la loge-mère de la maçonnerie anglaise ? Le cousin de la reine, le duc de Kent. Mais il y a également un lien avec les Français dans toute cette histoire, puisque Paris est, avec Londres, un centre opérationnel principal pour la Fraternité. Les factions française et anglaise se sont battues à plusieurs reprises pour la suprématie, mais en bout de ligne, elles sont toutes les deux les revers d’une seule et même médaille.

La Révolution française de 1789 (l’année où George Washington devenait le 1er président américain) était totalement manigancée par les francs-maçons et leurs acolytes, les Illuminés de Bavière. Après que les révolutionnaires aient exécuté le roi Louis XVI (Ramsès-Piso-Bush) et Marie-Antoinette (Ramsès-Piso-Bush), son fils et dauphin Louis, encore un enfant, a été arrêté et détenu au Temple à Paris. Deux ans plus tard, il s’est évadé dans un panier à linge avec l’aide de son médecin, le Dr Naudin. Le neveu retardé du marquis de Jarjayes lui a été substitué, et il est décédé en 1795. Le prince a été amené secrètement au château de Vendée et s’est fait offrir l’asile par le prince de Condé. Par la suite, le prince Louis a été déplacé vers une forteresse près du fleuve du Rhin où il a vécu sous le nom de baron de Richemond. Il est arrivé en Angleterre en février 1804 avec l’intendant royal de France, George Payseur, et il a reçu la protection du roi George III (Ramsès-Piso-Bush), le monarque du temps de la Guerre de l’Indépendance américaine.

Le prince a encore une fois changé de nom pour celui de Daniel Payseur, pendant que George Payseur devenait George Bayshore. George III a donné au prince qui était donc Daniel Payseur (Ramsès-Piso-Bush) un bateau et a accordé à George Bayshore 600 acres de terre en Caroline du Nord. Lorsqu’ils sont arrivés en Amérique, ils ont reçu de l’aide de la famille Boddie, qui était apparentée à la monarchie britannique. Avant de quitter l’Angleterre, le prince avait acheté des parts dans la Virginia Company, et une fois en Amérique il a acheté des mines d’or, dont la Gold Hill Mining Company, compagnie qu’il a acquis secrètement par le biais d’un administrateur, George Newman, son homme de paille. Avec l’invention de la locomotive à vapeur, Payseur a commencé à construire des chemins de fer et à les louer aux compagnies. Il a également fondé la Lancaster Manufacturing Company pour produire les poutres et le bois nécessaire à la construction des chemins de fer, ainsi que la Lincolnton Iron Company qui s’est établie par la suite à Chicago en créant deux filiales : Carnegie Steel et Pullman Standard Company.

Afin d’approvisionner les locomotives en combustible, le gouvernement fédéral (la Virginia Company dont Payseur était actionnaire) lui a attribué plus de 30 mètres de part et d’autres des voies ferrées. De plus grandes surfaces de terrain attenantes aux voies ferrées ont été subdivisées en parcelles de 15 km2, dont la moitié a été donnée à Payseur, qui en a également acheté plusieurs autres. Par conséquent, Payseur et les chemins de fer possédaient en quelque sorte les premiers biens immobiliers de l’Amérique. L’essentiel de cette législation se trouve dans les archives du Congrès de 1854. La compagnie Lancaster Railways de Payseur contrôlait, via l’Alabama Mineral Company, la compagnie Coca Cola, Pepsi Cola, General Motors, Boeing, Ford, Standard OU… !

 

Après la guerre de Sécession des années 1860, tous les chemins de fer et les terres possédées par les partisans des perdants, les états confédérés du Sud, ont été confisqués et vendus aux enchères à Wilmington, en Caroline du Nord. Ils ont été achetés par neuf administrateurs de Daniel Payseur à des prix extrêmement bas. Une entente a été signée à Nashville entre les propriétaires des chemins de fer et le gouvernement établissant le « système des chemins de fer militaires des États-Unis » qui accordait aux promoteurs le monopole pour le transport et les communications. Toutes ces ententes sont encore en vigueur. L’administrateur de Payseur et gérant général était un parent de la famille Rothschild, un certain Leroy Springs anciennement Leroy Springstein. Il appert que Springs était un demi-frère du président américain Abraham Lincoln.

Une dame nommé Nancy Hanks a donné naissance à un fils en 1808 suite à une liaison avec le père de Springs. Dans ses dernières volontés, ce dernier a légué une grande terre à Huntsville (Alabama) à un fils, Abraham Lincoln. Les rumeurs qui veulent que Lincoln soit un Rothschild semblent donc fondées. Dans les années 1850, la liaison de Lincoln avec la fille du monarque allemand Léopold, a donné naissance à deux filles jumelles, Ella et Emily. Un des descendants de cette lignée a été le milliardaire Howard Hughes.

Plusieurs familles américaines célèbres vraisemblablement puissantes étaient en fait des employés de Payseur et de la Virginia Company. Andrew Carnegie était un jeune employé des aciéries de Payseur qui a été utilisé comme prête-nom d’une autre compagnie que Payseur a appelé Carnegie Steel. Le clan Vanderbilt proclamait que le manoir nommé Biltmore était leur maison de campagne. C’est faux ! Biltmore a été construit par la famille Payseur en tant qu’hôtel au cours des années 1880, et il était opéré par les administrateurs de Payseur, les Vanderbilt, pour un bail de 99 ans. Un autre administrateur de Payseur a été J. P. Morgan, un industriel et banquier des plus connus de l’histoire de l’Amérique. Encore une fois, c’était une façade derrière laquelle les vrais dirigeants pouvaient cacher l’étendue de leur pouvoir…

Plusieurs compagnies pétrolières et minières des États-Unis sont sur des terres appartenant aux compagnies de voies ferrées, et les droits miniers de Payseur ont été transférés aux compagnies pétrolières et minières en échange d’un contrôle des actions. D’autres droits ont été loués aux compagnies forestières. Après le décès de Daniel Payseur en 1860, son gigantesque empire a été géré par son petit-fils, Lewis Cass Payseur, et l’expansion s’est poursuivie rapidement. En 1872, une entreprise des Payseur la Charleston, Cincinnati and Chicago Railroad a fondé une compagnie de télégraphe nommée la Western Union. Cette compagnie a créé une filiale en 1875, la AT and T, et c’est aujourd’hui la plus grande compagnie américaine de téléphone et de communications. La Charleston, Cincinnati and Chicago Railroad est la société mère de la banque centrale des États-Unis qui est, en fait, une banque privée. L’empire Payseur s’est fortement impliqué dans le domaine bancaire. Leur Bank of Lancaster est devenue la North Carolina Bank et ensuite la Nationsbank…

La plus grande banque du Texas, Interfirst, dont George Bush est directeur, a fusionné en 1987 avec la Republic Bank afin de former la First Republic. Celle-ci a été ensuite absorbée par la Nationsbank, qui a alors fusionné avec la Bank of America… Ces deux entités blanchissent l’argent de la drogue de la CIA et cela est opportun car le précurseur de la CIA, le OSS ou Office of Stratégie Services (Bureau des services stratégiques) a été créé à partir du réseau de sécurité personnel de Payseur, qui a été fondé par la Selma, Rome and Dalton Railroads afin de protéger le système de chemins de fer militaires. Ce sont des roues imbriquées dans d’autres, des familles avec d’autres familles, et les Américains n’ont aucune idée de QUI dirige véritablement leurs vies et leur pays. Mais la question est ! Qui contrôle les Payseur ?

La famille Payseur a maintenant perdu le contrôle de son empire, mais la même tribu reptilienne est encore à la barre. Le principal administrateur des Payseur, Leroy Springs est décédé en 1931, et Elliot, son play-boy de fils, a pris la relève. Il s’est alors porté volontaire pour améliorer le système de classement des archives du comté et a retiré tous les dossiers du palais de justice de Lancaster. Lorsqu’il les a retournés, des centaines de titres de propriété de terrains ayant appartenu à Payseur avaient été réassignés au nom d’Elliot Springs, qui était parent avec les Rothschild. Il semble évident qu’on lui avait dicté exactement ce qu’il devait faire afin d’éviter que les filles Payseur ne puissent hériter de l’empire.

Au début des années 1950, Anne, la fille d’Elliot Springs a marié Hugh Close, figure bien connue du crime organisé du New Jersey. Close a été nommé président de toutes les compagnies de Payseur qui avait été volées par Elliot Springs. La fille de Close, Crandall Close Bowles est devenue directrice de la Carolina Fédéral Reserve Bank. La bataille se poursuit pour le contrôle des sociétés de Payseur mais, en ce moment, il appert qu’elles sont contrôlées par les Rothschild. Les gens qui pensent détenir les terrains achetés aux compagnies ferroviaires seront très déçus. Les actes ne sont pas légaux parce que les terrains ne devaient pas être vendus pas la compagnie de chemin de fer. Ils étaient prêtés par l’empire Payseur. Finalement, ils sont la propriété de la Virginia Company !

 

 Franklin Delano Roosevelt

Franklin Delano Roosevelt (Ramsès-Piso-Bush), le président de la Fraternité qui a dirigé les États-Unis pendant la Deuxième Guerre mondiale soutenait que rien n’arrive par hasard en politique. Si quelque chose se produit, c’est qu’il était voulu que cela se produise. Donc, c’est le cas pour tous les événements majeurs qui ont fait progresser le Plan vers la centralisation du pouvoir mondial, des guerres, des effondrements économiques, des assassinats et des « scandales » afin d’écarter les politiciens qui ne jouent pas le jeu. Les trois principales guerres qui ont eu lieu sur le sol américain ont été la guerre avec les Amérindiens après l’arrivée des Blancs, la guerre de l’Indépendance et la guerre civile, lorsque les états du sud ont tenté de se retirer de l’union en 1860. Nous avons vu que la guerre avec les autochtones et la guerre de l’Indépendance avaient été fomentées par la Fraternité et la même chose s’est produite pour la Guerre civile. Des dirigeants maçonniques de toute l’Europe ont assisté à six célébrations maçonniques à Paris entre 1841 et 1845, mais c’est en fait à six conseils suprêmes tenus sous le couvert de ces événements que la guerre civile américaine a été planifiée pour pouvoir plus tard imposer le contrôle maçonnique aryen-reptilien de l’Amérique.

Lord Palmeston, Ministre des Affaires étrangères, Premier-ministre mais aussi Grand Patriarche de la franc-maçonnerie était au cœur de ces conspirations. Deux francs-maçons du 33lème degré du rite écossais ont été choisis pour manœuvrer le conflit. Il s’agissait de Caleb Cushing, qui travaillait dans le nord avec les unionistes, ainsi qu’Albert Pike, le Grand Commandant des juridictions du sud du rite écossais, qui a organisé la rébellion du sud. Ironiquement, mais de manière opportune, le financement de la rébellion sudiste a été organisé via les banquiers maçonniques de Londres par Cushing, qui agissait pourtant dans le nord !

Pike, un adepte du satanisme qui croyait en la suprématie de la race aryenne reptilienne, a recruté Giuseppe Mazzini, le dirigeant du Grand-Orient en Italie (duquel est découlé l’infâme organisation du crime organisé qu’on appelle la Mafia). En 1851, Mazzini a créé des groupes à travers l’Amérique qui ont commencé à faire campagne contre l’esclavagisme. Les francs-maçons ont utilisé ces groupes comme une couverture afin de cacher les véritables motivations de la guerre civile. Les loges de la Young America ont été organisées en ce sens et les bureaux chefs étaient situés à la loge de Cincinnati portant le no. 133. Leur principale source de financement est venue des banquiers maçons de Grande-Bretagne ainsi que du prête-nom des Rothschild, un certain George Peabody.

J.P. Morgan senior a été désigné pour s’occuper des fonds en Amérique. Morgan, vous vous rappellerez, a été le comparse de Daniel Payseur. Voyez comment les noms reviennent et se recoupent peu importe où vous regardez… Franklin Pierce (la lignée de George et Barbara Bush) a été élu président en 1853 et Mazzini a écrit que « la plupart de ses nominations sont telles que nous le désirons. » Une de ces « nominations » était la désignation de Caleb Cushing comme son Ministre de la Justice. Cushing était contrôlé par la franc-maçonnerie anglaise et lié au marché britannique de l’opium avec la Chine par le biais de son père qui était propriétaire de bateaux ainsi que de son cousin, John Perkins Cushing.

Caleb Cushing a considérablement écrit contre l’esclavagisme et est devenu, avec Pike, l’architecte de la Guerre civile. Pike a été directeur d’école dans le patelin de Cushing à Newburyport (Massachusetts), mais il vivait à Little Rock (Arkansas) lieu de résidence de Bill Clinton (Ramsès-Piso-Bush), lorsque sa carrière maçonnique a commencé à prospérer puis vraiment à monter en flèche. Un important groupe élitiste était derrière la Guerre civile, les Knights of the Golden Circle, encore une fois basé à Cincinnati (Ohio). Un de leurs membres a été l’illustre hors-la-loi Jesse James, un maçon du 33lème degré désigné par Albert Pike pour voler les banques dans le nord afin de financer davantage la guerre. Un autre adhérant a été le maçon General P. T. Beauregard qui a commencé la guerre civile lors d’une attaque à Fort Sumter en 1861. Une des célèbres voix de la lutte anti-esclavagiste a été John Brown, qui est devenu une véritable légende par la chanson John Brown’s body. En fait, Brown était membre de plusieurs sociétés secrètes, dont les francs-maçons. Il est devenu Maître maçon à la loge Hudson n° 68 à Hudson (Ohio) le 11 mai 1824 et il était membre de la Young America de Mazzini.

Lisez la cinquième partie de cet article
 
 



yogaesoteric


7 novembre 2019


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