Le secret d’Adolf Jacob Hitler
Sur cette fiche des Renseignements Généraux que le magazine Sciences et Avenir a publié en mars 2009, on peut clairement lire le deuxième prénom d’Hitler : Jacob.
Adolf Jacob Hitler serait le petit-fils de Salomon Mayer Rothschild. Cette information a été divulguée par deux sources de très haut niveau : Hansjurgen Koehler officier d’Heydrich, qui était lui-même l’adjoint direct d’Heinrich Himmler et Walter Langer le psychiatre qui a réalisé le profil psychologique d’Hitler pour l’OSS, les services secrets US pendant la seconde guerre mondiale.
Hitler est un personnage méconnu à la personnalité complexe et dont l’histoire recèle de nombreux secrets que l’on découvre peu à peu.
Le Livre Jaune n°7 (Collectif d’auteurs, Ed. Félix, Fritz Springmeier) s’était déjà penché sur ses origines et avait écrit : « Walter Langer, un psychanalyste, démontre dans son livre “ The mind of Hitler ”, preuves à l’appui, qu’Hitler était le petit fils du baron de Rothschild de Vienne. La police autrichienne a constitué un dossier secret sur les origines d’Hitler. Le chancelier Dollfuss avait ordonné cette enquête. On a découvert que sa grand-mère, Maria Anna Schicklgruber, travaillait au service du baron Rothschild, quand elle est tombée enceinte. Quand les Rothschild ont appris la nouvelle, ils l’ont envoyée dans une clinique de la ville dont elle était originaire. C’est là qu’est né en 1837, Alois Hitler, le père d’Adolf Hitler. »
En effet, celui qui a diligenté cette enquête, Engelbert Dollfuss, chancelier fédéral de l’Autriche du 20 mai 1932 au 25 juillet 1934, ainsi que dictateur à partir du 4 mars 1933 s’opposait à Hitler. Il avait ainsi tenté de déstabiliser son pire ennemi. Hitler l’a d’ailleurs fait assassiner le 25 juillet 1934 par des nazis déguisés en uniforme militaire. Celui-ci prévenu, tente alors de s’enfuir de la chancellerie, mais surpris par ceux-ci, il est grièvement blessé et meurt dans la journée de ses blessures.
Hansjurgen Koehler, un officier de haut grade de la Gestapo, qui travaillait pour Reinhard Tristan Eugen Heydrich, adjoint direct de Heinrich Himmler, aurait conservé les documents relatifs à cette enquête, documents qu’il a dévoilé en partie dans son livre « A l’Intérieur de la Gestapo » et dans lequel on retrouve les origines d’Adolf Hitler à la page 143.
Il faut savoir qu’Heydrich, l’adjoint direct de Himmler, était officier à la section politique des services de renseignements de la marine à Kiel à partir de1930 et travaillait en étroite collaboration avec Wilhelm Canaris, futur amiral et futur chef de l’Abwehr, le service de contre-espionnage militaire allemand.
Certaines mauvaises langues affirment qu’Heydrich aurait été assassiné car il connaissait trop de secrets. N’oublions pas que les trois « résistants » tchèques qui l’ont abattu ont été parachutés de Londres et ont bénéficié de complicités. De plus, le fils d’Heydrich, Klaus, est mort étrangement le 24 octobre 1943 lors d’un « accident de la route ».
Il existe un autre indice étonnant, ainsi, après l’Anschluss, c’est à dire l’annexion de l’Autriche par l’Allemagne nazie en 1938, Hitler fit raser Döllersheim, le village natal de son père. Etrange de vouloir détruire à ce point les preuves de son origine !
Il existe de plus une autre piste concernant la personnalité de Salomon Mayer Rothschild qui permet de comprendre sous un angle plus trivial ce qui a pu se passer. Hermann Von Goldschmidt, le fils de l’employé principal de Salomon Mayer Rothschild (1774 – 1855), avait écrit un livre, publié en 1917 dans lequel on peut lire :
« Dans les années 1840, il avait développé un enthousiasme téméraire pour les jeunes filles… » et « Il avait une passion débauchée pour de très jeunes filles, les rumeurs de ses aventures scandaleuses étant étouffées par la police. »
Salomon Mayer, vivait seul dans la Maison à Vienne où la grand-mère d’Hitler (jeune à ce moment-là) travaillait. N’oublions pas qu’Alois, le père d’Hitler, naquit en 1837. Plus étonnant, un des fils de Salomon s’appelait à l’origine Jacob de Rothschild, mais il a changé son prénom pour James.
Mais, la deuxième source fondamentale concernant les origines d’Hitler provient de Walter Langer. Walter Charles Langer (1899-1981) n’était pas n’importe qui. Il a été professeur à l’Université d’Harvard mais surtout, il a été responsable d’un rapport intitulé « A Psychological Profile of Adolph Hitler His Life and Legend » sur le profil psychologique d’Hitler pour l’« Office of Strategic Services » basé à Washington.
Plus étonnant encore, son frère aîné William était le responsable du département d’histoire à l’Université d’Harvard et surtout, à la tête de la section analyse et recherche de l’Office américain des Services Stratégiques (OSS).
Son frère avait donc accès à tous les documents les plus secrets de l’époque. On peut donc supposer qu’il ait communiqué le dossier de Koehler à son frère qui devait établir pour l’OSS son profil psychologique.
C’est pourquoi « The Mind of Adolf Hitler, The Secret Wartime Report » (qui est en fait la publication du rapport secret commandité par l’OSS : « A Psychological Profile of Adolph Hitler His Life and Legend ») écrit en 1972 par Walter Charles Langer, qui affirme qu’Hitler était le fils illégitime de Maria Anna Schicklgruber et de Salomon Mayer Rothschild n’est pas un livre comme les autres et que ses affirmations concernant les origines d’Hitler sont à prendre avec le plus grand sérieux.
Encore une fois, il semble qu’on nous cache la vérité, comme dans le mythe de la caverne. Une réalité simple et atroce, cachée afin de masquer l’une des plus grandes supercheries de l’histoire. En effet, comment analyser la haine d’Hitler pour les juifs si on connaît ses origines sémites ? Se cacherait-il quelque chose de plus important ? Hitler a-t-il obéi à des puissances supérieures comme cela est écrit sur sa fiche des Renseignements Généraux ?
On commence à comprendre que l’histoire réelle du nazisme ne correspond pas à la réalité.
Le secret des origines d’Hitler est en effet l’arbre qui cache la forêt. On a beaucoup parlé de ses crimes, cependant, on a oublié de préciser ses liens avec les multinationales (IG Farben, Général Motors et IBM entre autres). Les camps de la mort étant avant tout des camps d’extermination d’esclaves exploités par celles-ci car n’oublions pas leur maxime « Arbeit macht frei », le travail rend libre, tout un programme !
Jacques Pauwels, historien et chercheur à l’université de Toronto a d’ailleurs fournit des preuves irréfutables sur cette réalité dans son livre « Le mythe de la bonne guerre ». Une vidéo de sa conférence est visible sur Dailymotion, un document exceptionnel que l’on peut voir sur ce blog.
Les débats stupides sur l’existence des chambres à gaz n’ayant qu’un seul objectif, cacher la vérité sur le but réel des camps de la mort et leurs liens avec les multinationales car comme l’affirme Noam Chomsky « Structurellement, l’équivalent politique de l’entreprise est l’Etat totalitaire. »
Benito Mussolini avait lui-même donné sa définition du fascisme : « Le Fascisme devrait plutôt être appelé Corporatisme, puisqu’il s’agit en fait de l’intégration des pouvoirs de l’état et des pouvoirs du marché », ce que résume à merveille le sénateur Homer T. Bone qui déclarait le 4 juin 1943, au comité du sénat américain pour les affaires militaires : « Farben était Hitler et Hitler était Farben. »
Révélation : Les tests ADN sur des parents du dirigeant nazi Adolf Hitler montrent qu’il était sans doute descendant de juifs et de nord-africains
Il est probable qu’Adolf Hitler descendait à la fois de Juifs et d’Africains, selon des tests ADN. Les échantillons prélevés sur des proches du dirigeant nazi montrent qu’il était biologiquement apparenté aux races de « sous-hommes » qu’il cherchait à exterminer.
Le journaliste Jean-Paul Mulders et l’historien Marc Vermeeren ont utilisé l’ADN pour retrouver 39 des membres de la famille du Führer au début de 2010.
Ils comprenaient un agriculteur autrichien qui s’est révélé n’être qu’un cousin portant le nom de Norbert H.
Un magazine d’informations belge a indiqué que des échantillons de salive prélevés sur ces personnes, suggèrent fortement qu’Hitler avaient des antécédents dont il ne se serait certainement pas soucié.
Un chromosome appelé Haplopgroup E1b1b (Y-ADN), trouvé dans leurs échantillons, est considéré comme rare en Allemagne ainsi qu’en Europe occidentale.
« Il est le plus souvent trouvé chez les Berbères du Maroc, en Algérie, Libye, et Tunisie, ainsi que chez les juifs ashkénazes et séfarades, » a déclaré M. Vermeeren.
« On peut à partir de cela postuler qu’Hitler était apparenté à des gens qu’il méprisait », ajoute M. Mulders dans le magazine, Knack.
L’Haplogroupe E1b1b1, qui est retrouvé sur les chromosomes Y d’environ 18 à 20 % des ashkénazes, et 8,6 % à 30 % des séfarades, semble être l’un des lignages fondateurs majeurs de la population juive.
« C’est un résultat surprenant », dit Ronny Decorte, un spécialiste en génétique qui était d’accord sur le fait qu’Hitler avait probablement des racines en Afrique du Nord.
Racines : l’ADN d’Hitler s’est avéré contenir l’haplogroupe E1b1b, communément trouvé chez les Berbères du Maroc (à gauche) – et représente environ 18 à 20 % des chromosomes Y des Juifs séfarades (à droite) qui sont originaires du Maroc, d’Espagne, et du Portugal
« Il est difficile de prévoir les effets que produira cette information, à la fois sur les opposants et les partisans d’Hitler », a-t-il ajouté.
Le magazine affirme que pour obtenir ces résultats, l’ADN a été analysé dans des conditions de laboratoire rigoureuses.
L’homme qui a inspiré l’Holocauste aurait donc été un quart juif.
L’ADN a également été prélevé sur l’Américain Alexande Stuart-Houston, 61 ans, petit-neveu d’Hitler. Il a été traqué pendant sept jours jusqu’à ce qu’il laisse tomber une serviette qu’il avait utilisé ce qui, dit Mulders, l’a conduit au cousin en Autriche – ainsi qu’au lien avec les ennemis jurés d’Hitler.
L’ADN trouvé sur une serviette appartenait à Alexander Stuart-Houston (aujourd’hui âgé de 70 ans), un petit-neveu d’Hitler
yogaesoteric
12 septembre 2019
Also available in: Română