Le SIDA : première maladie virtuelle de l’histoire (3)
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Erreur diabolique et bouffonnerie politico-médicale
Le dos de Le Hasard et la nécessité, l’ouvrage dans lequel Jacques Monod croyait pouvoir affirmer que la transcriptase inverse (le transfert d’information génétique d’A.R.N. à A.D.N.) était impossible, parce que l’A.D.N. « n’était pas dialectique ».
« La science, en cette fin du XXe siècle, a abandonné toute prétention philosophique et est devenue une affaire commerciale qui modèle la mentalité de ceux qui la pratiquent. Les glorieuses découvertes du passé ne sont plus utilisées comme des moyens d’illumination mais comme des moyens d’intimidation. Il s’agit de faire un pas en avant si l’on ne veut pas que la communauté scientifique devienne un club de gens qui mettent leurs contemporains en esclavage. »
Et de conclure : « Nous n’avons pas été capables non plus de découvrir pourquoi les médecins prescrivaient une drogue toxique nommée A.Z.T. à des gens qui n’ont pas d’autre mal que la présence d’anticorps au V.I.H. dans leur corps. Il n’existe pas la moindre raison de leur faire absorber des drogues. Comment une telle folie a-t-elle pu se produire ? Peter Duesberg et moi avons vu à Berkeley des choses étranges. Nous savons que l’erreur est humaine, mais l’hypothèse HIV/SIDA est une erreur diabolique. Je dis cela à voix haute en tant qu’avertissement. Duesberg le dit depuis très longtemps. Lisez son livre ! »
Pourquoi les inventeurs du prétendu rétrovirus n’ont-ils pas eu le prix Nobel ?
Le professeur Kary Mullis, prix Nobel, dans la préface de l’ouvrage de Peter Duesberg, Inventing the Aids Virus, raconte comment, un beau jour, l’idée lui vient tout à trac de consulter la publication qui annonce l’isolation du virus. Il s’adresse à son voisin de bureau qui le renvoie à un tiers. Et voici qu’on le renvoie d’un chercheur à l’autre, d’un ordinateur à l’autre, sans que personne soit capable de lui citer la référence.
Après deux ans de recherches, il constate que le document de référence n’existe pas. Raison pour laquelle l’introuvable inventeur de l’introuvable virus n’a jamais obtenu le prix Nobel qui n’aurait pas manqué de lui échoir s’ils avaient jamais existé, lui et son virus. En fait la fable du virus est identique à la fable des métastases du cancer. On n’a pas plus isolé le virus que l’on n’a jamais découvert la moindre cellule cancéreuse présumée « métastasique » dans le sang !
L’un des ouvrages de Peter Duesberg « Avons-nous été induits en erreur ? », demande le sous-titre.
Stefan Lanka précise que, comme on a découvert l’enzyme transcriptase inverse dans des cellules cancéreuses, on imagine aussitôt qu’elle est le marqueur d’un virus. D’où la théorie de l’origine virale du cancer qui va faire la fortune puis l’infortune de Robert Gallo.
Cette théorie s’en trouve même renforcée : en effet l’acide nucléique, sous sa forme d’A.R.N., peut être converti en A.D.N. par la transcriptase d’inversion. Ceci crée un mécanisme qui permet d’insérer, à quelque endroit que ce soit, sur les chromosomes des cellules, l’acide nucléique du virus. On baptise ces nouveaux virus rétrovirus et on se persuade qu’en insérant dans une cellule les gènes des rétrovirus on déclenche un cancer.
Massification du cancer du capital et développement corollaire de l’exclusion : l’ostéosarcome social
Et aussitôt, on accuse les homosexuels, les prostituées et les Noirs de transmettre ces virus cancérigènes, comme on le fera de nouveau, treize ans plus tard, avec le SIDA. Bientôt d’autres études prouvent l’inanité de cette théorie qui se révèle incapable de prédire ou d’expliquer l’augmentation foudroyante du nombre de cas de cancers. D’autant que le cancer n’est pas contagieux et qu’on ne peut lui opposer aucun vaccin. (Forcément, le cancer, comme le SIDA, n’est que le produit de l’angoisse ambiante et du stress qui en découle.)
Soulignons cette singulière manie superstitieuse et médiévale de la science, paraît-il, objective d’imputer systématiquement les grandes « maladies » et les épidémies aux marginaux de la société, qui sont eux-mêmes les témoins, les victimes et l’abcès d’une infection sociale : l’ostéosarcome et le SIDA sociaux. Les exclus et les marginaux témoignent à l’évidence que, si la société produit des bas-fonds, c’est parce qu’il faut bien que les hauts fonds – le haut du pavé, le gratin– s’appuient sur quelque chose.
Les lions se nourrissent des gazelles. Les plus belles plantes prospèrent sur l’indispensable purin. Et, comme le démontre la mondialisation, plus le purin des exclus et des marginaux s’accroît et plus fleurit et s’accroît le cancer de concentration et de massification du capital.
A l’évidence, le capital et le travail, ces deux contraires, sont les deux vases communicants d’un même ensemble. Si le travail augmente, c’est que le capital, en partie investi dans la main d’œuvre, diminue. Si le capital augmente et se massifie, dans un nombre toujours plus restreint d’entreprises, jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’une – le processus est visiblement en cours –, alors, nécessairement, le travail diminue et l’exclusion augmente. Tout le monde voit ça, chaque jour.
En d’autres termes, le développement du cancer du capital a pour inéluctable conséquence le développement de l’ostéosarcome social, c’est-à-dire l’accroissement du chômage et de l’exclusion. La société de consommation a pour conséquence et inéluctable corollaire la société de défécation.
Quand le cancer de la masse du capital sera condensé à l’infini, donc dans le Zéro, la masse du travail sera décondensée à zéro et par conséquent vidée, anéantie à l’infini en l’Infini vide. C’est là la loi de la Relativité absolue, que le développement économique et financier du monde contemporain démontre, chaque jour davantage, d’une éclatante manière.
Alors, bien sûr, le gratin, en particulier le plus conservateur, le plus « libéral », donc le plus darwinien et le plus fasciste-soft, pourrait remercier le purin de l’enrichir à ce point. Mais non ! Il le rend responsable du cancer qu’il crée lui-même. Et même il va jusqu’à inventer le SIDA pour le lui imputer ! C’est là très exactement la manie juive du bouc émissaire.
La transcriptase inverse n’a rien à voir avec les virus
Stefan Lanka indique qu’on suppose alors aussitôt que l’activité de transcriptase inverse est le signe formel de la présence d’un rétrovirus. Hélas, on s’aperçoit bientôt que les enzymes qui opèrent la transcriptase inverse ne sont pas spécifiques aux cellules cancéreuses ou virales. Il y en a dans toutes les cellules !
Mieux, il existe des gènes dits non-sens – on le sait depuis que le code génétique est élucidé – qui servent à la ponctuation des séquences et voici qu’on prétend qu’il s’agit de rétrovirus ! Thèse bientôt infirmée : en effet, on trouve ces éléments par centaines et, quand on les place dans des cultures de laboratoire, ils engendrent une activité de transcriptase inverse.
Donc la transcriptase inverse n’a rien à voir avec les rétrovirus. Tout ceci était déjà bien connu en 1983.
Il est par conséquent stupéfiant que l’équipe de Montagnier puis celle de Gallo aient prétendu avoir découvert un nouveau virus, alors qu’elles n’avaient fait que montrer un cas d’activité de transcriptase inverse – et, en aucun cas, la présence de virus – et publier des photographies de particules de cellules dont rien ne permettait de dire qu’il s’agissait de virus. Et d’autant moins qu’aucune des deux équipes ni personne n’a jamais pu isoler le prétendu virus.
Identification des virus
Les virus d’une espèce donnée ont tous la même taille et on les sépare très facilement des autres composants de la cellule. Pour les identifier, on les photographie au microscope électronique. Ils doivent alors avoir la même apparence que les particules observées dans les cellules, les sécrétions corporelles ou les cultures de cellules. On doit pouvoir les distinguer des autres particules cellulaires qui ressemblent à des virus mais n’en sont pas. Les protéines de l’enveloppe doivent être identifiées séparément les unes des autres et photographiées.
Ces opérations permettent alors de faire un schéma caractéristique de l’espèce du virus étudié (la carte). Un même processus d’identification et d’isolation de l’A.R.N. et de l’A.D.N. du virus doit être observé. Une fois les protéines virales et les composants de l’acide nucléique identifiés correctement, il est alors scientifiquement exact de parler d’un nouveau virus. Rien de tel n’a été fait pour le fantôme baptisé V.I.H.
On nous dit qu’on peut fabriquer des litres de V.I.H. et de son A.D.N. Certes mais dans quelles conditions ! Il y faut des extraits de plantes et des produits chimiques oxydants qu’on ne trouve évidemment pas in vivo (dans le corps humain). Si bien qu’en vérité ni Montagnier ni Gallo n’ont jamais obtenu le V.I.H. Ils n’ont fait que démontrer l’activité enzymatique de transcriptase inverse dont on tient pour acquis qu’elle signale l’existence d’un A.D.N. qui « doit » être viral mais qui ne l’est pas.
En réalité, explique Stefan Lanka, on trouve, dans ce mélange de cultures de cellules et de cellules humaines altérées, de grandes quantités d’A.R.N. et de transcriptase inverse, car on a sélectionné et traité les cellules dans ce but. L’A.R.N. est transcodé en A.D.N. par la transcriptase inverse. On obtient alors de longs fragments d’A.D.N. que l’on appelle « A.D.N. viral ».
Il s’agit en fait de fragments, sans rapport les uns avec les autres, de cellules d’A.R.N. exprimés, transcodés en A.D.N. et reliés les uns aux autres par un procédé (appelé « Template switching », aiguilleur de modèle) qui est une propriété caractéristique bien connue de la transcriptase inverse.
L’innocent qui procède ainsi croit alors qu’il a fabriqué de l’A.D.N. viral et qu’il s’agit là de la forme libre, non intégrée, du V.I.H. et que c’est même une singularité caractéristique du V.I.H. pour la bonne raison qu’on n’a jamais trouvé une si fabuleuse quantité d’A.D.N. linéaire libre dans aucun autre rétrovirus ! Mais alors il ne s’agit pas d’A.D.N. viral et la preuve en est que les fragments sont ou plus longs ou plus courts que la norme exacte du V.I.H. !
Il y a eu des prétendus modèles du V.I.H. que personne n’a jamais pu voir au microscope électronique. Des images ont été abondamment diffusées. On comprend alors pourquoi presque personne, parmi les journalistes – notamment français – n’a jamais pris au sérieux la thèse des dissidents.
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yogaesoteric
29 mars 2018