Le troupeau d’imbéciles de l’Architecte maçon
„La franc-maçonnerie englobe parmi ses ordres, premièrement un amas immense d’imbéciless, flattés par le fait d’appartenir à une société secrète, heureux du fait qu’ils peuvent se reconnaître entre eux à l’aide des titillations (note de la rédaction – allusion aux signes avec les mains des francs-maçons), fiers de porter des insignes d’enfants et d’utiliser des mots étranges (note de la rédaction – allusion aux paroles des francs-maçons) pour exprimer les choses les plus simples.
Cette masse d’ignorants constitue aujourd’hui l’une des forces les plus puissantes de la franc-maçonnerie, parce que dans notre siècle « béni » par le vote universel, ils votent les yeux fermés pour tel ou tel candidat, que les membres de leur « philanthropique » loge leur indique, ceux-ci appartenant plus ou moins au degré Kadosh. Ce troupeau de l’Architecte de l’Univers est autant que possible instruit pour se soumettre de façon passive et la croyance de ces imbéciles sans équivalent est d’obéir à un supérieur inconnu, qui les guide de l’ombre, a pour eux quelque chose de très attirant. Ils s’imaginent jouer un rôle dans une épopée.
Mais „Le Grand Inconnu” dirige les choses vers un but mystérieux et épouvantable.
Au-dessus de ce troupeau d’individus simples, mais crédules, se trouvent les supérieurs, qui s’imaginent donner des ordres. Ce sont des fantoches, ils portent des très beaux tabliers, des tricornes et toute sorte d’insignes, les uns plus mystérieux que les autres. Ils sont en fait la façade du temple, qui pour rôle d’éblouir les masses et de cacher la structure intérieure de l’Ordre.
Mais justement la valeur spirituelle réduite de ces gens, des chefs et des subordonnés, constitue la force de l’Ordre. Il est incroyablement difficile de déterminer des gens intelligents à la soumission passive, parce que ceux-ci ne se satisfont pas de simples paroles, ils veulent savoir « pourquoi » et « dans quel but » ils doivent obéir et non pas autrement, alors que les gens naïfs et imbéciles se laissent très facilement diriger.
Les vrais membres supérieurs de la franc-maçonnerie ne se distinguent par aucun degré visible des autres membres; quelques-uns sont de simples maçons, d’autres se distinguent par certains degrés sans valeur, alors que les grands supérieurs n’appartiennent pas de façon évidente à l’Ordre.
La vraie administration de la franc-maçonnerie est en grande partie dans les mains de certaines gens dont le but final est la destruction de la race arienne, en essayant de corrompre ses hautes qualités.”
(L’écrivain français Edouard Demachy, dans „Les Rothschilds”, Paris 1896)
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