Le vaccin contre la grippe H1N1 2009 a causé des lésions cérébrales chez les enfants. Ne laissez pas cela se reproduire
Par Michel Chossudovsky
En 2009, le directeur du NIAID, Anthony Fauci, a soutenu avec fermeté un projet de vaccin contre la grippe H1N1 de plusieurs milliards de dollars. Aujourd’hui, il est un fervent partisan d’un vaccin contre la COVID-19.
Ce qu’il ne reconnaît pas, c’est que le vaccin H1N1 2009 a causé des lésions cérébrales chez les enfants. Il a été développé par Glaxo Smith Kline qui est aujourd’hui à la pointe de l’initiative du vaccin COVID-19.
Il aborde la question de la sécurité du vaccin H1N1 dans cette vidéo (à partir de 6′.5o). Faites défiler la page vers le bas pour voir les rapports sur l’escroquerie au vaccin H1N1.
Le directeur du NIAID, M. Fauci, a soutenu le vaccin H1N1 2009 qui s’est avéré être une escroquerie de plusieurs milliards de dollars.
« Beaucoup de gens sont tombés malades. Le vaccin H1N1 a causé de graves lésions cérébrales chez les enfants » selon l‘International Business Times UK dans un rapport de 2014.
Les patients ayant subi des dommages cérébraux suite à la prise d’un vaccin contre la grippe porcine vont recevoir des paiements de plusieurs millions de livres de la part du gouvernement britannique.
Le gouvernement devrait recevoir une facture d’environ 60 millions de livres, chacune des 60 victimes devant recevoir environ 1 million de livres.
Peter Todd, un avocat qui a représenté de nombreux demandeurs, a déclaré au Sunday Times :
« Il n’y a jamais eu une affaire comme celle-ci auparavant. Les victimes de ce vaccin sont atteintes d’une maladie incurable qui dure toute la vie et nécessitera une médication importante ».
Suite à l’épidémie de grippe porcine de 2009, environ 60 millions de personnes, pour la plupart des enfants, ont reçu le vaccin.
Il a ensuite été révélé que le vaccin, Pandemrix, peut provoquer une narcolepsie et une cataplexie chez environ une personne sur 16.000, et que de nombreux autres devraient présenter les mêmes symptômes.
Dans toute l’Europe, on sait que plus de 800 enfants ont été rendus malades par le vaccin jusqu’à présent.
La narcolepsie affecte le cycle de sommeil d’une personne, la rendant incapable de dormir pendant plus de 90 minutes à la fois, et l’amenant à perdre conscience pendant la journée. Cette affection endommage les fonctions mentales et la mémoire, et peut entraîner des hallucinations et des maladies mentales.
Glaxo Smith Kline a participé au développement du vaccin Pandemrix contre la grippe H1N1 :
« Le vaccin Pandemrix fabriqué par GlaxoSmithKline (GSK) a été administré à 6 millions de personnes en Grande-Bretagne et à des millions d’autres en Europe pendant la pandémie de grippe porcine de 2009-2010, mais il a été retiré lorsque les médecins ont constaté une augmentation des cas de narcolepsie chez les personnes ayant reçu le vaccin.
En juin, un garçon de 12 ans a reçu 120.000 livres sterling d’un tribunal qui a jugé qu’il avait été gravement handicapé par une narcolepsie causée par Pandemrix. Cette victoire a mis fin à une bataille de trois ans avec le gouvernement qui soutenait que sa maladie n’était pas assez grave pour justifier une indemnisation.
La narcolepsie est un état permanent qui peut provoquer l’endormissement de personnes des dizaines de fois par jour, même lorsqu’elles sont en pleine conversation. Certains souffrent de terreurs nocturnes et d’un problème de contrôle musculaire appelé cataplexie qui peut les conduire à s’effondrer sur place. » (Guardian, 25 septembre 2015)
Le point de vue des grandes entreprises pharmaceutiques : Peu importe les enfants… C’était un « dommage collatéral » pour Big Pharma qui a gagné des milliards de dollars en vendant le vaccin H1N1. Par une ironie amère, c’est le gouvernement britannique (plutôt que GSK) qui a payé pour ce vaccin.
Mais les dommages cérébraux documentés au Royaume-Uni et dans l’UE n’étaient que la partie visible de l’iceberg.
Des milliers de personnes sont tombées malades à cause du vaccin H1N1 (cas déclarés et non déclarés)
Lors d’un rare essai sur les effets secondaires présumés du vaccin, les parents affirment que le vaccin contre la grippe H1N1 a tué leur fille de 5 ans.
En 2009, le gouvernement a subi d’importantes pressions pour se procurer le vaccin et l’administrer à grande échelle, mais en même temps, des préoccupations ont été exprimées quant à sa sûreté.
Il a fallu dix ans pour obtenir un jugement. La famille a perdu. GSK a décliné toute responsabilité pour sa mort. Et le gouvernement canadien a remboursé les frais juridiques de GSK.
Les mêmes entreprises qui ont été appelées à retirer leurs vaccins sûrs en 2010 sont à nouveau à l’œuvre.
Les grandes entreprises pharmaceutiques seraient en train de développer un vaccin COVID-19 « sûr » :
« Les entreprises pharmaceutiques et les scientifiques du monde entier participent activement à cet appel aux armes, avec au moins cinq vaccins candidats en évaluation clinique et 71 autres en évaluation préclinique clinique, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). » (Rapport de CTV, 28 avril 2020)
Le battage médiatique. La campagne de peur du H1N1
En 2009, les médias américains ont été complices de la propagation de la peur et des mensonges (et ils le font encore en ce qui concerne COVID-19).
Le battage médiatique a contribué à soutenir le vaccin contre la grippe H1N1 des grandes entreprises pharmaceutiques, tout comme l’administration Obama. Il s’agissait d’une escroquerie de plusieurs milliards de dollars :
« La grippe porcine pourrait frapper jusqu’à 40 % des Étasuniens au cours des deux prochaines années et plusieurs centaines de milliers de personnes pourraient mourir si une campagne de vaccination et d’autres mesures ne sont pas couronnées de succès ». (Déclaration officielle de l’administration Obama, Associated Press, 24 juillet 2009).
« Les États-Unis s’attendent à disposer de 160 millions de doses de vaccin contre la grippe porcine en octobre », (Associated Press, 23 juillet 2009)
« Les pays les plus riches, comme les États-Unis et la Grande-Bretagne, paieront un peu moins de 10 dollars par dose [de vaccin contre la grippe H1N1]. … Les pays en développement paieront un prix plus bas ». [environ 40 milliards de dollars pour les grandes entreprises pharmaceutiques] (Business Week, juillet 2009)
Mais la pandémie de grippe H1N1 n’a jamais eu lieu.
La pandémie de grippe H1N1 était une escroquerie approuvée par le CDC et le NIAID dirigé par le Dr Fauci
Il n’y a pas eu de pandémie affectant 2 milliards de personnes…
Des millions de doses de vaccin contre la grippe porcine avaient été commandées par les gouvernements nationaux à Big Pharma. Des millions de doses de vaccin ont ensuite été détruites : une aubaine financière pour Big Pharma, une crise de dépenses pour les gouvernements nationaux.
Aucune enquête n’a été menée pour déterminer qui était derrière cette fraude de plusieurs milliards.
Plusieurs critiques ont déclaré que la pandémie de H1N1 était « fausse ».
L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE), qui veille au respect des droits de l’homme, enquête publiquement sur les motifs qui ont poussé l’OMS à déclarer une pandémie. En effet, le président de son influent comité de santé, l’épidémiologiste Wolfgang Wodarg, a déclaré que la « fausse pandémie » est « l’un des plus grands scandales médicaux du siècle ». (Forbes, 10 février 2010)
Selon le British Medical Journal :
« La gestion de la pandémie de grippe porcine par l’Organisation mondiale de la santé a été profondément entachée par le secret et les conflits d’intérêts avec les sociétés pharmaceutiques, a déclaré un journal médical de premier plan. »
Le British Medical Journal, ou BMJ, a constaté que les directives de l’OMS sur l’utilisation des médicaments antiviraux ont été préparées par des experts qui avaient reçu des honoraires de consultation des deux principaux fabricants de ces médicaments, Roche et GlaxoSmithKline, ou GSK.
En violation apparente de ses propres règles, l’OMS n’a pas révélé publiquement ces conflits lors de l’élaboration des lignes directrices en 2004, selon le rapport, rédigé conjointement par le Bureau of Investigative Journalism, un organisme à but non lucratif basé à Londres.
Les conseils de l’OMS ont conduit les gouvernements du monde entier à stocker de grandes quantités d’antiviraux, et sa décision de déclarer une pandémie en juin 2009 a déclenché l’achat de vaccins fabriqués à la hâte pour une valeur de plusieurs milliards de dollars.
Une grande partie de ces stocks sont restés inutilisés car la pandémie s’est avérée bien moins mortelle que ne le craignaient certains experts, ce qui alimente les soupçons selon lesquels les grandes sociétés pharmaceutiques ont exercé une influence indue sur les décisions de l’OMS.
Le rapport révèle également qu’au moins un expert du « comité d’urgence » secret de 16 membres formé l’année dernière pour conseiller l’OMS sur la question de savoir si et quand déclarer une pandémie a reçu un paiement de GSK en 2009.
L’annonce que la grippe porcine était devenue une pandémie mondiale a automatiquement déclenché des contrats latents pour la fabrication de vaccins avec une demi-douzaine de grandes entreprises pharmaceutiques, dont GSK. L’OMS a refusé d’identifier les membres du comité, arguant qu’ils doivent être protégés des pressions de l’industrie. « La crédibilité de l’OMS a été gravement mise à mal », a déclaré la rédactrice en chef du BMJ, Fiona Godlee, dans un éditorial.
yogaesoteric
27 juillet 2020