L’effet « stupefix » ou le secret du « vaccin » Covid

Extrait de « Quels essais vaccinaux ? » de Iain Davis, 3 janvier 2021, depuis Off-Guardian :

« […] les protocoles de l’OMS utilisés par Pfizer pour produire l’ARNm [pour le ” vaccin “] ne semblent pas identifier de séquences nucléotidiques uniques au virus du SRAS-CoV-2. Lorsque l’enquêteur Fran Leader a interrogé Pfizer, ils ont confirmé que : ” Le modèle d’ADN ne provient pas directement d’un virus isolé provenant d’une personne infectée. ”

Et nous voilà de retour là où j’ai commencé, il y a quelques temps. Si le virus n’a pas été isolé, comment prétendre l’avoir séquencé ? Et s’il a été séquencé par HYPOTHÈSE et DÉDUCTION, comment peut-on prétendre que le séquençage — ou le virus — est réel ?

Réponse : En AFFIRMANT que le virus et son séquençage sont réels, sans en avoir aucune preuve. Parce que les populations croient sans se poser de question et de manière automatique tout ce qui leur est dit à partir du moment où c’est une ” autorité scientifique ” qui le DIT.

Un homme visite une vaste casse automobile à la recherche de pièces détachées. Au-dessus de la porte du bureau, il voit un panneau ” Ferrari 365 GTB/4 Daytona Spider 1972 — Renseignez-vous à l’intérieur “.

Le propriétaire de la casse lui dit : ” Nous proposons des actions de la Ferrari. Trois mille par action. Quand nous la vendrons, vous ferez au moins le double de votre investissement.

L’homme lui dit : ” Où est la voiture ? J’aimerais la voir.

Eh bien “, dit le propriétaire de la casse, ” regardez autour de vous. Nous avons plusieurs kilomètres carrés de voitures et de pièces détachées. La Ferrari est là quelque part. Nous avons récemment effectué un test sur les gaz d’échappement avec un instrument spécial. Il a conclu que la Ferrari de 72 avait récemment été conduite quelque part dans la cour…

C’est le genre de choses qui se produisent en virologie.

Bien sûr, aucun virologue du courant dominant ne l’admettrait. Il parlerait d’analogies et de banques de gènes, de test PCR et d’échantillons représentatifs et de in silico (modélisation informatique). Mais la dure réalité est claire.

L’hypothèse et la supposition, ainsi que la déduction glissante, ne tiennent pas la route. Soit le virus a été isolé, soit il ne l’a pas été. S’il ne l’a pas été, tout ce que vous ” en ” dites est inutile. Prétendre qu’il existe n’a aucune validité.

Comme je l’ai déjà écrit et dit des dizaines de fois, le sens virologique du mot ” isoler ” est très différent du sens ordinaire. Dans le monde technique de l’arnaque et du tumulte, ” virus isolé ” signifie :

Nous disposons au laboratoire du virus sous forme de soupe dans un récipient. La soupe contient des cellules humaines et simiesques, des drogues et des produits chimiques toxiques, ainsi que d’autres matériaux génétiques. Certaines des cellules sont en train de mourir. Cela signifie que le virus est en train de les tuer.

Cette affirmation est fausse. Les médicaments et les produits chimiques pourraient tuer les cellules. Et les cellules se retrouveraient privées de nutriments vitaux. Ces éléments à eux seuls pourraient expliquer la mort des cellules.

Qui plus est, un virus supposé mélangé dans une soupe dans un récipient de laboratoire n’est certainement pas ” isolé “.

Conclusion : il n’y a pas de preuve convaincante qu’un virus se trouve dans la soupe.

Que contient le ” vaccin ” Covid ? Entre autres choses, un fragment supposé d’un virus supposé dont l’existence n’a pas été prouvée. Prenons l’exemple du test PCR. Plusieurs niveaux de critiques valables ont été émises quant à ce test. Tout d’abord, différents laboratoires produiront des résultats contradictoires. C’est vrai.

En creusant un peu plus profondément, le test, lorsqu’il amplifie l’échantillon de tissu prélevé sur un patient, est inutile et dangereux lorsque plus de 34 cycles ou étapes d’amplification sont déployés. Pourquoi ? Parce qu’alors, un nombre énorme de faux positifs se produisent. À un autre niveau, on découvre que le PCR ne détecte pas du tout de virus. Le test identifie un morceau d’ARN présumé provenir d’un virus. Et en fin de compte, il identifie un morceau d’ARN provenant d’un virus dont l’existence n’a pas été prouvée.

Nous avons là la racine de l’arbre empoisonné*. »

Note du traducteur : Ce qui précède est un dérivé de l’expression « Le fruit de l’arbre empoisonné » (Fruit of the poisonous tree). C’est une métaphore juridique aux États-Unis qui décrit une preuve obtenue de manière illégale.

 

  

yogaesoteric
13 avril 2021

 

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