Les Chinois balancent du lourd !!! La Chine et la Russie ont mené des expériences controversées qui ont modifié l’atmosphère terrestre
Le HAARP version Sino-Russe … sorti par le South China Morning Post, avec des résultats rapportés dans la revue Earth and Planetary Physics. Si cette info sort, on peut être certain que ce n’est que le dessus d’un énorme iceberg. N’oubliez jamais qu’en Chine les médias sont contrôlés par l’état. Donc la Chine communique au monde avec ses médias.
De plus, les Chinois (et les Russes par procuration) ne sortent pas cette news (ultra sensible) par hasard, c’est clairement pour envoyer un message à l’occident… un message qui est une démonstration militaire russo-chinoise en faisant état du dessus de l’iceberg de leur possibilités technologiques (car en dessous vous avez tout l’iceberg, dont les « secrets défense »).
N’oubliez pas ce qui se passe en mer de Chine méridionale où c’est archi tendu, et ailleurs dans le monde comme en Syrie où c’est archi tendu aussi (dans ces 2 cas on est au bord d’une grande guerre), ainsi que le rapprochement Russo-chinois depuis des années, etc.
Vous avez une traduction de l’article original du SCMP ici, c’est assez clair, et on ne pense pas du tout que ce soit du bluff :
« La Chine et la Russie ont modifié une couche importante de l’atmosphère au-dessus de l’Europe pour tester une technologie controversée en vue d’une éventuelle application militaire, selon les scientifiques chinois impliqués dans le projet.
Au total, cinq expériences ont été réalisées en juin. Une de ces perturbations, le 7 juin 2018, a causé des désordres physiques sur une superficie de 126.000 km², soit environ la moitié de la superficie de la Grande-Bretagne.
Les micro-ondes à haute énergie peuvent pincer le champ électromagnétique dans l’ionosphère comme des doigts qui jouent de la harpe. Cela peut produire des signaux radio à très basse fréquence qui peuvent pénétrer dans le sol ou dans l’eau – parfois jusqu’à des profondeurs de plus de 100 mètres dans l’océan, ce qui en fait un moyen de communication possible pour les sous-marins. »
Le changement dans l’ionosphère au-dessus d’un territoire ennemi peut également perturber ou couper les communications par satellites.
L’armée américaine a tiré les leçons de l’expérience russe et a construit une installation beaucoup plus vaste pour effectuer des essais similaires.
Le High Frequency Active Auroral Research Program, ou HAARP, a été établi à Gakona, en Alaska, dans les années 1990 grâce au financement de l’armée américaine et de la Defence Advanced Research Projects Agency.
L’installation HAARP pourrait produire au maximum 1 gigawatt d’électricité, soit près de quatre fois plus que celle de Sura.
La Chine est en train de construire une installation encore plus grande et plus avancée à Sanya, Hainan, capable de manipuler l’ionosphère sur toute la mer de Chine méridionale, d’après un rapport antérieur du South China Morning Post.
Certains craignent que de telles installations puissent être utilisées pour modifier les conditions météorologiques et même créer des catastrophes naturelles, notamment des ouragans, des cyclones et des tremblements de terre.
Les ondes de très basse fréquence générées par ces puissantes installations pourraient même affecter le fonctionnement du cerveau humain, ont déclaré certains critiques.
Mais la géo-ingénierie et la manipulation du climat n’est qu’une « idée » qu’on vous dit dans les grands médias ! HAARP ? Un mythe, une « théorie du complot ».
La Chine et la Russie ont mené conjointement une série d’expériences controversées pour modifier l’atmosphère terrestre à l’aide d’ondes radio à haute fréquence.
À partir d’une installation russe appelée Sura Ionospheric Heating Facility près de la ville de Vasilsursk, à l’est de Moscou, les scientifiques ont émis des ondes radio à haute fréquence pour manipuler l’ionosphère, tandis que le satellite chinois Zhangheng 1 a mesuré les effets de la perturbation du plasma en orbite.
Ce n’est pas la première fois qu’une telle recherche est menée, mais les nouvelles des développements entre la Chine et la Russie – communiquées dans un article publié sur les expériences et dans un article récent du South China Morning Post – ont suscité des inquiétudes quant aux applications militaires potentielles de ce type de science.
C’est parce que l’ionosphère et le gaz ionisé (plasma) qui l’habite sont essentiels à la communication radio. En perturbant sélectivement les particules chargées qui composent cette partie de la haute atmosphère, les scientifiques ou même les gouvernements pourraient théoriquement amplifier ou bloquer les signaux radio longue portée.
Même ces expériences préliminaires – menées en juin 2018 et prétendument conçues pour servir de cobaye à de futures recherches connexes sur l’ionosphère – ont eu des effets extrêmes.
Dans l’une des expériences, la zone touchée par la perturbation de l’ionosphère aurait couvert 126.000 kilomètres carrés. Dans un autre essai, le gaz ionisé dans l’atmosphère a augmenté de 100 degrés Celsius.
Pour leur part, les participants prétendent que la recherche est purement scientifique et inoffensive pour l’atmosphère.
« Nous ne jouons pas à Dieu », a déclaré au South China Morning Post un chercheur non identifié qui a demandé à rester anonyme.
« Nous ne sommes pas le seul pays à faire équipe avec les Russes. D’autres pays ont fait des choses similaires. »
Sur ce point au moins, il n’y a aucun doute.
La base Sura a été établie par l’Union soviétique au début des années 1980, mais on dit qu’elle a été l’inspiration d’une installation de réchauffement atmosphérique encore plus grande aux États-Unis, le High Frequency Active Auroral Research Program (HAARP), qui a été construit en Alaska environ une décennie plus tard.
HAARP – qui est une installation de pompage ionosphérique beaucoup plus puissante que Sura – a d’abord été financée en partie par l’armée américaine, mais est maintenant administrée par l’Université d’Alaska Fairbanks.
L’US Air Force n’a cependant pas renoncé à la manipulation de l’atmosphère, et entre autres projets, elle a étudié la possibilité de larguer des bombes à plasma de particules chargées dans la haute atmosphère pour voir comment cela affecte l’ionosphère.
Pour ne pas être laissée de côté, la Chine construirait également un réchauffeur d’ionosphère avancé dans la ville de Sanya, dans la province insulaire de Hainan, au sud de la Chine, ce qui, selon le Post, pourrait manipuler l’ionosphère sur toute la mer de Chine du Sud.
Rien ne prouve qu’il se passe des choses néfastes – bien que la Russie ait été accusée par diverses parties de brouiller les signaux GPS et que des expériences de manipulation ionosphérique aient pu être hypothétiquement impliquées.
Cependant, on doit être prudents ici ; comme beaucoup de chercheurs l’ont dit, ce domaine de la science est depuis trop longtemps en proie à des théories de conspiration alimentées par une blogosphère paranoïaque.
Cela dit, même certains chercheurs dans le domaine de la manipulation de l’ionosphère ont trouvé un peu étranges les annonces concernant les expériences de juin 2018.
« Une telle coopération internationale est très rare pour la Chine », a déclaré le physicien et ingénieur Guo Lixin de l’Université chinoise Xidian, qui n’a pas participé aux expériences, au Post.
« La technologie utilisée est trop sensible. »
yogaesoteric
3 février 2019
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