Les conjoints Ursula et Heiko von der Leyen font l’objet d’un chantage au sein d’un accord Pfizer de 36 milliards de dollars (II)

par Adrian Onciu

Même si le Parquet européen ne se saisit pas, pour diverses raisons faciles à deviner, nous continuons à présenter des informations vraiment choquantes de la promiscuité dans l’affaire Pfizer-Ursula. Ce sont des informations officielles et vérifiées. Pas des histoires à dormir debout.

Lisez la premiére partie de cet article

En mars 2020, la pandémie a démarré en trombe. Avec des TAB dans la rue, même si en Roumanie les hôpitaux étaient vides. Ou tout au plus pleins d’asymptomatiques. Pfizer a signé avec Orgenesis la partie des tests scientifiques et cliniques, a breveté le projet d’ARNm avec les Allemands de BioNTech (très bons du côté de la production également), puis a mis les produits en vente. Demande énorme, fournisseur unique, urgence maximale. Personne n’a été surpris par le prix de 15 à 18 euros la dose, lorsque des personnes sont tombées dans la rue, tuées par le virus invisible. A partir de là se pose le problème du profit maximal, comme pour toute méga-entreprise : comment gagner beaucoup d’argent avec un minimum d’effort ?

Une des solutions semble avoir été de coopter Heiko van der Leyen au conseil d’administration d’Oregensis (étroitement lié à Pfizer côté test, comme on l’a vu). L’événement clé s’est produit en décembre 2020, à peine 8 mois après le début de la pandémie. Et quelques mois avant que sa femme Ursula ne signe un contrat de 36 milliards de dollars avec Pfizer. Mais jusqu’au méga-contrat et autres « primes de performance », nous avons tous assisté à un bond spectaculaire du salaire de base d’environ 300.000 dollars par an (en Allemagne) à plus de 1,5 million de dollars (chez Orgenesis). Je précise : uniquement le salaire en tant que membre du conseil d’administration. Sans les autres bonus.

Sa femme Ursula a été probablement très heureuse d’apprendre la nouvelle. Quand même, les deux doivent élever sept enfants et un petit-fils, chez eux en Allemagne, près de Hanovre.

On sait de l’épisode précédent (et des très rares articles parus dans les médias) comment s’est déroulée la négociation Ursula-Bourla (Pfizer) : de manière particulièrement opaque. De plus, il semble que la cheffe de Bruxelles ait à nouveau agi de la même façon. Elle aurait donc effacé ses traces de son téléphone portable, selon des journalistes du New York Times. Les messages et appels d’Ursula ont subitement disparu, au grand étonnement de la Médiatrice Emily O’Reilly (une sorte de Ombudsman, mais au niveau de l’Union européenne).

La Commission européenne a indiqué qu’elle n’était pas en possession de la correspondance entre Ursula et Bourla (chef de Pfizer). Les SMS et autres messages courts seraient par nature « de courte durée et, en principe, ne contiennent pas d’informations importantes sur la politique, les activités ou les décisions de la Commission », a déclaré la secrétaire générale de la Commission, Ilze Juhansone.

Alors, pourquoi chercherions-nous dans le téléphone d’Ursula ? Pourquoi se mêler de ses affaires ? A coup sûr, il n’y a rien là-dedans sur les méga-amendes que la Pologne et la Hongrie continueront de payer, pour la simple raison qu’elles ne s’alignent pas sur les politiques de Bruxelles.

Un journaliste a pourtant eu l’audace de demander si les messages que Ursula à envoyés à Bourla avaient été supprimés, s’ils n’étaient toujours pas archivés ou si les commissaires européens en avaient connaissance. La question est restée sans réponse. Une porte-parole de la CE a confirmé à la presse que les messages courts ne sont pas enregistrés dans le système Ares (le programme d’archivage interne de l’UE). En tout cas, à l’heure actuelle « il n’y a aucune possibilité technique d’enregistrer des messages courts ».

Il convient de noter que ce phénomène est en contradiction avec les règles internes de la Commission, adoptées en 2015. Selon elles, les SMS et messages similaires devraient être copiés dans un e-mail, scannés ou enregistrés d’une autre manière.

Les médias indépendants ont voulu en savoir plus sur le commerce des vaccins. Invoquant le Règlement n. 1049/2001, un autre journaliste a demandé à la Commission européenne de divulguer toutes les communications entre Bourla et Ursula, mais « la demande a été rejetée par le Secrétariat général de la Commission européenne ». Et comme le Parquet européen n’a pas été prévenu (à quoi bon ?), nul ne peut savoir, pour l’instant, dans quelles conditions se sont déroulées les négociations Pfizer-UE pour les 1,8 milliard de doses de vaccins.

Bref, tout a été dissimulé.

En effet, le 24 avril 2021, peu de temps avant de signer le contrat négocié avec Bourla, Ursula a visité l’usine Pfizer/BioNtech en Allemagne. Évidemment, pour s’assurer que la production bat son plein et que les vaccins arrivent à temps sur les aéroports européens.

Une petite modification concernant l’épisode 1. Nous n’avons aucune information précise que Heiko était aux États-Unis quand Ursula a négocié avec Pfizer. Cela ne pourrait être vérifié que par les enquêteurs, à travers des enquêtes dans les aéroports, en vérifiant les réservations d’hôtel, les billets d’avion et de train, etc. Heiko est peut-être resté à Hanovre, en Allemagne. Surtout en période de pandémie, le poste de membre du conseil d’administration d’Orgenesis ne l’obligeait pas à être physiquement présent au siège de l’entreprise. Peut-être n’a-t-il assisté aux réunions que via Zoom. Peut-être qu’il était à New York. Nous ne savons toujours pas. Ce qui est certain, c’est que où qu’il soit, Heiko avait une connexion téléphonique permanente avec sa femme.

Téléphone duquel une série d’informations a ensuite soudainement disparu. On verra quel genre d’informations, mais seulement si le procureur général Kovesi montre un jour sa disponibilité.

Déclaration d’Albert Bourla, PDG de Pfizer : « Nous avons développé une relation de confiance profonde, car nous avons entamé des discussions détaillées avec la présidente de la CE, Ursula von der Leyen ». Reste à savoir à quel point les discussions ont été détaillées. Et si cela incluait ou non des « primes de performance ».

Sans trop de lien avec la présente enquête, mais avec une certaine pertinence, voici la déclaration d’Ursula à l’occasion du Forum économique mondial de Davos : « Mesdames et Messieurs, la nécessité d’une coopération mondiale et cette accélération du changement seront les moteurs de la Grande Réinitialisation. Et je vois cela comme une opportunité sans précédent. »

En conclusion. Nous ne pouvons pas savoir exactement si Pfizer a soudoyé des politiciens au sommet de l’UE. Mais il existe un certain nombre de soupçons fondés sur le passé de Pfizer, sur l’« urgence pandémique », sur la position dominante sur le marché, sur le secret excessif du contrat UE-Pfizer, sur la non-transparence des hommes politiques impliqués dans les négociations. Last but not least, Ursula a une histoire et des antécédents. Elle a supprimé les données de son téléphone lorsqu’elle était ministre de la Défense en Allemagne. Et apparemment, elle en a recommencé après des négociations avec Pfizer. C’est du moins ce que suggère l’Ombudsman de l’Union européenne.

Ensuite, peut-être le plus important, nous avons la présence du mari au conseil d’administration de la société Orgenesis. Étroitement lié à Pfizer, comme nous l’avons vu.

Mais tout cela ne peut être pleinement dénoué par une seule enquête journalistique. Les soupçons fondés doivent faire l’objet d’une enquête menée par les organes compétents. Par le Parquet européen, en coopération avec la justice américaine.

Qu’en dites-vous ? On va occulter l’affaire comme d’habitude ?

Vanguard

Prenons-le méthodiquement, comme à l’école. Vous connaissez mon aventure de l’agence mainstream. Je ne répète pas. Le 16 novembre (10h42) j’ai publié sur Facebook le premier épisode de l’ENQUÊTE Pfizer-Ursula, sur le lien entre Heiko et Ursula avec Big Pharma, dans le cadre de la signature du contrat de 1,8 milliard de doses avec la méga-entreprise Pfizer.

Peu de temps après, le 17 novembre (19h), je publiais aussi l’épisode 2. Avec des données et des noms concrets. L’enquête a clairement montré de forts soupçons de corruption, dans le sens que Pfizer aurait soudoyé le chef de la Commission européenne par l’intermédiaire de son mari (au sein du conseil d’administration d’Orgenesis).

Très important. Cinq jours se sont écoulés depuis. Assez de temps pour initier des contrôles. Personne ne m’a fait remarquer que j’avais écrit quelque chose de faux (ou insuffisamment documenté). Au contraire. Les fameux « enquêteurs » du journal roumain « Libertatea » ou du site d’investigations « Recorder » auraient eu tout le temps du monde pour écraser et annuler les conclusions de l’ENQUÊTE. Me montrer que j’avais tort. Me ridiculiser. Ils ne l’ont pas fait.

Je pense que ce que j’ai écrit est très correct. Pas de sortie de route.

Puis vint une autre grande surprise. Honnêtement, je m’attendais à ce que l’ENQUÊTE ne soit pas reprise par la presse mainstream. Je connais son mécanisme de l’intérieur. Au lieu de cela, elle a été massivement rediffusée sur les réseaux sociaux. Elle est apparue sur Active News, Sputnik, r3media, le blog du journaliste Ion Cristoiu et sur deux autres télévisions de niche (désolé si j’ai oublié quelqu’un). Je les remercie beaucoup, encore une fois.

Et maintenant – la surprise. Du spectre politique. Je m’attendais à ce que ceux qui se sont battus contre la vaccination obligatoire et le passeport sanitaire aient une réaction. La moindre. Dire quelque chose. Pour le meilleur ou pour le pire. En gros, j’avais mis la « balle d’or » sur le plateau dans la bagarre avec la MAFIA.

Rien. Pas de bruit. L’eurodéputé Terheș et ceux de l’AUR ont encore le temps de réagir, en quelque sorte. (N.Trad : AUR est un parti récemment créé, qui prône l’indépendance de la Roumanie et le respect de ses valeurs et traditions).

Pour ne pas perdre toute crédibilité.

Les membres ordinaires du parti devraient demander à M. Simion et à M. Târziu ce qu’ils en pensent. Peut-être que les patrons de AUR pensent que je n’ai pas assez d’arguments. Peut-être qu’ils ont une autre tactique, je n’en ai aucune idée. Peut-être qu’ils font aussi partie du SYSTÈME. On le verra, très clairement, dans les prochains jours.

Et maintenant vient, vraiment, la BOMBE. J’ai reçu sur Facebook (comme d’habitude jusqu’à présent) la liste des principaux actionnaires du prestigieux quotidien The New York Times (NYT).

Parmi les actionnaires importants de NYT, les groupes d’investissement The Vanguard Group et BlackRock se distinguent sur les deux premières places, avec des parts qui totalisent quelque 16,57%. Comme je l’ai dit dans l’enquête, Vanguard détient la plupart des actions de BlackRock. Donc, en réalité, nous parlons maintenant d’un seul MEGAinvestisseur : VANGUARD. Selon des sources boursières transparentes, Vanguard détient environ 90% de tous les médias des États-Unis.

Selon les mêmes sources, voici quelques-uns des actionnaires du méga-groupe Vanguard : Rothschild Investment Corp, Edmond De Rothschild Holding, diverses familles comme Orsini en Italie, Bush aux États-Unis, du Pont, Morgan, Vanderbilt, Rockefeller. Y compris la famille royale britannique.

Pour le moment je ne peux pas vérifier, je n’en ai pas les moyens financiers. Mais mon intuition me dit que de Vanguard font partie des milliardaires comme Bill Gates, George Soros, Jeff Bezos ou Mark Z. Peut-être des politiciens importants et décisifs comme Joe Biden (à travers les sociétés appartenant à son fils, Hunter –d’ailleurs très bien connu sous ces aspects).

Pour vous faire une idée de la puissance financière du groupe Vanguard, imaginez la fortune des quatre « philanthropes » cités plus haut et multipliez le tout par 1.000. Ou autant que vous voulez, peu importe. Fondamentalement, Vanguard possède presque tout ce qui bouge dans Big Pharma et les médias. Deux outils essentiels et décisifs dans la pandémie.

Comme nous l’avons vu dans l’enquête, VANGUARD possède également Pfizer et Orgenesis. Heiko, le mari d’Ursula, a été propulsé au conseil d’administration d’Orgenesis avec un salaire annuel de plus de 1,5 million (au lieu 2 à 300.000 euros, la somme qu’il touchait en Allemagne). Il a probablement reçu d’autres « primes de performance ». On ne sait toujours pas exactement. Le Parquet européen n’a reçu aucune notification ce sujet. Et Kovesi avait d’autre chose à faire, pas à lire mon ENQUÊTE. Ce qui est certain, c’est que VANGUARD a acheté Heiko von der Leyen. Ils l’ont dans leur poche. Ils connaissent tous ses secrets.

Dans ces conditions, fin 2020, Pfizer a entamé des négociations avec l’Union européenne pour 1,8 milliard de doses de vaccin (bien au-dessus de ce dont nous aurions eu besoin). Il y a eu des négociations directes et non transparentes entre Bourla (alias VANGUARD) et Ursula (alias la Commission Européenne). Mais Bourla avait deux grands atouts : il avait déjà acheté Heiko, et il connaissait le secret d’Ursula lorsqu’elle dirigeait le ministère allemand de la Défense. A cette époque, elle aurait supprimé ses données de son téléphone portable afin de couvrir d’éventuels actes de corruption.

D’après ce qui a émergé jusqu’à présent, je peux croire qu’Ursula a initialement refusé de signer ce méga-contrat. Cela ressemblait à du VOL AU GRAND JOUR. Cela lui paraissait scandaleux, après presque deux ans de pandémie avec des mensonges, des menaces et des abus autrefois inimaginables.

Et puis VANGUARD (via Bourla) a sorti l’as de sa manche : LE CHANTAGE. D’abord verbalement, en privé, puis publiquement, via le New York Times. Placé, comme je l’ai dit avant, dans le portfolio de VANGUARD. Donc à la disposition de Bourla (Pfizer).

Le soi-disant article « bombe » sur les dessous des négociations entre Bourla et Ursula (« Comment l’Europe a scellé un accord de vaccin Pfizer avec des textes et des appels ») est paru dans le NYT le 28 avril 2021. C’est-à-dire à point nommé, en pleine négociation. C’était juste un signal clair que les choses pouvaient déraper. Sans informations concrètes. Juste « laisser présager ». Vous savez comment on procède lorsqu’on souhaite décrocher un contrat publicitaire important, en tant que propriétaire de presse. C’était un avertissement sévère qu’Ursula pouvait perdre à la fois son travail et sa liberté si elle ne répondait pas aux ordres. Les sept enfants et un petit-fils l’attendaient chez elle en Allemagne.

A dix jours à peine, mise en situation de vie ou de mort, Ursula von der Leyen a cédé au chantage et annoncé sur Twitter la signature du contrat douteux (et extrêmement scandaleux !). Encore 1,8 milliard de doses de Pfizer. Sur un total absurde de 2,4 milliards de doses. Donc environ 48 milliards de dollars d’un seul coup de fusil.

Que dites-vous, le voile sur les yeux s’est levé, au moins un peu ?

On sait désormais clairement POURQUOI les politiques vendus (et ceux du SYSTÈME), les médias corrompus et les soi-disant spécialistes (comme les médecins roumains Mahler et Imbri) insistent à la limite du pénible pour la « vaccination obligatoire » et le « passeport sanitaire ». Tout est un MEGA-SCAM. Et, très important, il doit continuer à plein régime, au moins pour quelques années. Quelles que soient les victimes, les effets secondaires, les conséquences pour la population et l’économie.

Après tout, l’argent est public, donc personne ne perd rien. (faut-il continuer ?)

 

yogaesoteric
30 mars 2022

 

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