Les psychopathes qui gouvernent les gens (8)

 

Lisez la septième partie de cet article


Les dérives pédophiles de l’Église romaine

Depuis 2009 ne cessent chaque année d’être révélées les dérives de certains ecclésiastiques quant à des pratiques pédophiles, et à ce titre criminel, qui pendant très longtemps ont été couvertes par le silence des autorités tant locales que vaticanes, et le déni des fidèles illusionnés.

C’est ainsi qu’en août 2018 les services du procureur de Pennsylvanie ont publié les résultats d’une enquête mettant au jour des abus sexuels qui ont été perpétrés par plus de 300 « prêtres prédateurs » et couverts par l’église catholique de cet État portant sur au moins mille enfants et adolescents, quasiment tous ces cas étant prescrits et ne pouvant de ce fait être poursuivis pénalement.

Le rapport évoque des agressions sexuelles sur des enfants qui avaient moins de dix ans, dont le cas d’un prêtre ayant abusé de cinq sœurs, la plus jeune n’ayant que 18 mois au début des faits présumés, et celui d’un autre ayant admis avoir violé au moins 15 garçons, dont un de 7 ans. Un troisième prêtre conservait de l’urine, des poils pubiens et du sang des règles des fillettes dont il abusait à son domicile.

Cette révélation n’est que la partie immergée de l’iceberg, l’organisation Bishop Accountability qui trace les abus au sein de l’Église romaine établissant que 6.721 prêtres ont été accusés d’abus sexuels aux États-Unis pour des faits présumés inclus dans la période allant de 1950 à 2016. La même association estime à 18.565 le nombre d’enfants victimes de ces agissements.

Ces réseaux pédocriminels et satanistes n’existent en fait que parce que la société y consente ! En effet, en donnant son pouvoir à ces prédateurs psychopathes – ainsi par le vote –, elle nourrit l’égrégore qui la manipule et l’asservit. En d’autres termes, et quoi que ceci puisse choquer l’esprit embrumé, ces réseaux existent parce que l’humanité a consenti à être satanique, tant par ignorance que par complicité tacite. Aucune manipulation ne peut se faire directement ou indirectement sans le consentement de la personne manipulée, que ce consentement soit obtenu de manière directe ou par ruse. Illusionnés par les hochets matérialistes (course au pouvoir, à l’argent, aux honneurs, aux artifices …) proposés par les entités prédatrices et leurs représentants terrestres, la société a épousé leur mode de fonctionnement involutif et en payons le prix. Inutile alors de se plaindre, puisqu’elle continue à jouer à l’envers au jeu de la Vie par l’égo enflammé, dévoyé et piégé. Les rituels sataniques ne sont ainsi que les extrêmes de la propre prédation, celle qui consiste à juger, accuser et condamner celui/celle qui n’en convient pas, pour ses opinions et traits spécifiques qui n’en conviennent pas. Il/elle n’est pourtant que l’effet miroir de l’incapacité à aimer le Tout, à célébrer le Vivant, non la mort de la conscience…

Ferments du satanisme contemporain

L’anglais Aleister Crowley (1875/1947) est considéré par beaucoup comme le fondateur du Satanisme moderne. Il aimait en effet tout particulièrement se faire passer pour l’Antéchrist de la fin des temps. Il a construit son enseignement sur la lecture de l’Apocalypse de Jean, tout particulièrement sur sa description de la fin du monde, voyant le triomphe de Babylone, la putain sacrée habillée de vêtements pourpres et écarlates, et la sortie de la mer de la « bête 666 », l’animal avec lequel il aimait s’identifier. Il s’initia aux pratiques occultes au sein de la société secrète de la Golden Dawn (Aube Dorée).
 
Il a écrit dix ouvrages de magie noire et d’occultisme, et fondé en 1907 l’ordre AA (Argenteum Astrum/L’étoile dorée), au sein duquel étaient enseignées surtout des pratiques de magie sexuelle noire.

Il crée en 1944 l’Ordo Templi Orientis (O.T.O.), ou « Ordre du Temple de l’Est » ou encore « Ordre des Templiers Orientaux », une organisation délibérément satanique basée sur les principes et la Loi de Thelema, qui est exprimée par la phrase : « Fais ce que tu veux sera le tout de la loi ». Cette loi aurait été établie par le Book Of The Law (Liber AL vel Legis ou Livre de la Loi), dictée à Aleister Crowley en 1904 au Caire en Égypte par l’entité Aïwass.

Il est incontestablement le magicien noir le plus populaire à Hollywood et dans l’industrie de la musique, ayant contribué aux messages subliminaux qu’elle diffuse dans nombre de ses courants rock/rap/hip hop qui ont caractérisé les 50’s, 60’s, 70’s, 80’s, 90’s, et désormais les années 2000 avec les icônes s’en revendiquant. Parmi ses admirateurs, le chanteur aux allures longtemps ambiguës de dandy androgyne, David Bowie, compagnon de route du leader des Rolling Stones, Mick Jagger, Jimmy Page du groupe Led Zeppelin, Genesis P-Orridge, Jimi Hendrix, Ozzy Osbourne (qui lui a dédié un morceau hommage, « Mr. Crowley »), Jaz Coleman chanteur de Killing Joke, ainsi que les groupes Tool, Iron Maiden, Ministry, Coil, Throbbing Gristle, Psychic TV, Current 93, Cradle of Filth, yelworC (Crowley écrit à l’envers, groupe de dark wave), Christian Death, Fields of the Nephilim. Quant aux Beatles, son visage apparait sur la pochette de leur album Sergeant Pepper’s Lonely Hearts Club Band … Nul(le) ne s’étonnera du nombre élevé de suicides chez les jeunes individus, dont la particularité était l’écoute de ces musiques célébrant à leur manière la Mort de la conscience …

Thelema

Thelema est la traduction du nom grec ancien « volonté », dérivé du verbe vouloir, désirer. Thelema est également une philosophie de vie fictive décrite par François Rabelais dans ses livres Gargantua et Pantagruel, dont l’essence était résumée par la phrase « fay çe que vouldras ». Elle inspira Aleister Crowley en 1904 lorsqu’il écrit Book Of The Law. Thelema devient alors la marque du système philosophique satanique et païen.

Ce livre établit une triade cosmologique, dérivée de l’ancienne mythologie égyptienne qui préside à chacun des trois chapitres du Livre. La première entité est Nuit, la Déesse de la Voûte Étoilée, puis Hadit, et enfin Ra-Hoor-Khuit (Horus), le dieu à tête de faucon. Les autres idoles de pierre et de bois qui dérivent du système de Thelema sont :
– Babalon : la Femme Écarlate ;
– Chaos : la force universelle ;
– Baphomet : Le Serpent et le Lion, l’énergie créatrice matérialisée ;
– Aiwass : L’entité qui a dicté à Crowley le Liber Al vel Legis ;
– Ankh-Af-An-Khonsu : un prêtre qui a vécu à Thèbes pendant la 25ème dynastie en Égypte, vers -725.

La base du système satanique est souvent être résumée par ces deux phrases, qui servent également de signature aux Thélémites (principalement au sein de l’Ordo Templi Orientis) : « Fais ce que tu veux sera le tout de la Loi » (Liber AL I:40) et « Il n’y a d’autre Loi que Fais ce que tu veux ». (Liber AL III:60).

Thelema met l’accent sur la liberté individuelle dans la responsabilité et la discipline satanique. Pour chaque personne s’en revendiquant, il s’agit de vivre selon sa propre loi, c’est-à-dire vivre selon la manière que l’on désire, travailler, jouer et se reposer comme et quand on le veut, mourir quand et comme on le veut, manger et boire ce que l’on veut, vivre où l’on veut, parler, écrire, se vêtir, aimer, peindre comme on le veut. Le Liber Oz ajoute le droit de tuer ceux qui s’opposent à la volonté et à la liberté.

Aiwass

L’entité alien nommée Aiwass est d’après Crowley celle qui lui a dicté pendant son séjour en Égypte en avril 1904 le contenu de son ouvrage Book Of The Law. La représentation qu’il en a faite n’est pas sans rappeler la forme des entités extra-dimensionnelles nommées Gris telle que rapportée sinon photographiée par les ufologues. C’est le monde des ténèbres de l’inconscient qui, caché derrière les mirages de l’apport technologique, indique à la civilisation humaine sa destinée entropique…

En cette fin de cycle civilisationnel, les croyances New Age deviennent de plus en plus populaires, comme les pratiques satanistes.

Ainsi les rituels sataniques révélés intentionnellement au public constituent la représentation symbolique de l’ombre, du mal, du déséquilibre, que l’humanité a générés tout au long de son incarnation sous la coupe de la force archontique asservissante, et qui se révèlent à elle, en cette fin des temps, en devenant « son miroir ». Ils représentent la lumière sombre de l’humanité, existant uniquement parce que l’humain leur a permis d’exister.

La transmission des gènes psychopathes

Le système prédateur a mis en place toute une panoplie de moyens destinés à préparer la gouvernance totalitaire des affaires terrestres à travers une nouvelle « race d’enfants ». Elle passe par la création des circonstances consistant à les séparer prématurément de l’un de leurs deux parents, tout particulièrement par la promotion depuis les sixties par certains instructeurs, formateurs, mentors, thérapeutes… du New Age du soi-disant « Amour libre ». Il en découle une constante augmentation des foyers monoparentaux.

Ces enfants sont les enfants « spécialement préparés sur le plan génétique » à devenir, après la transition dimensionnelle en cours, les leaders de la prochaine humanité, tout droit sortis de la « couveuse du Nouvel Ordre Mondial ». Si les formateurs du New Age laissent croire qu’ils sont des enfants éveillés, plein de compassion, plein d’amour, ils ne sont pour la plupart qu’une pâle réplique reformatée grâce à la génétique du psychopathe, d’où leur acuité et leur intelligence prétendument supérieure. Au moment de leur conception ou dans leur petite enfance, leur psychisme a été programmé pour répondre aux exigences de ce nouveau monde transhumaniste !

En étant séparés prématurément de l’un des deux parents, ces présumés « nouveaux enfants » perdent leurs repères sécurisants du noyau familial, restant souvent gravement perturbés et handicapés dans leur émotionnel, ce qui favorise le développement de la psychopathie. C’est ainsi que certains d’entre-eux développent ce gène spécifique qui les conduira à se déconnecter de leur ressenti, devenant incapables de s’adapter « naturellement » à leur environnement. En conséquence, ils apprennent à mimer toute la gamme des émotions, afin de se faire accepter par leurs pairs.

La conclusion est que les anthropoïdes psychopathes – tout comme les hybrides – se comportent selon les spécificités de leur espèce prédatrice, la destruction des valeurs humaines constituant le prélude à tuer les êtres humains. L’histoire au XXème siècle l’a montré à différentes reprises dans des proportions d’ampleur incontestable.

Si on accepte l’hypothèse de leur appartenance à une espèce autre que l’espèce humaine, se pose la question de leur responsabilité, obligeant de distinguer ce qu’ils sont dans leur nature profonde – des prédateurs sans âme – et les dommages qu’ils font.

Quand un chien attrape la rage, on ne le tient pas pour responsable d’être enragé. Ce qu’on fait, pour se protéger, est de « tuer » le chien avant qu’il ne morde, avant qu’il n’infecte quelqu’un. Il en est de même avec le serpent à sonnettes. S’il n’est pas responsable pour avoir des crochets venimeux, on évite son contact, ou on le tue avant qu’il ne tue les autres.

Il en est de même avec les anthropoïdes psychopathes et les entités hybrides vampires. On a besoin d’être sur les gardes au premier signe d’un meurtre des valeurs humaines. Or on les élit et les met tout en haut des pyramides. Dans ce déni de l’humanité profonde, il est sans doute nécessaire de se demander si la contamination de l’espèce humaine n’a d’ores et déjà atteinte soi-même…

Pas encore convaincu ?

Tout ceci est sans nul doute le fruit d’un délire pathologique, en d’autres termes l’arroseur arrosé par son propre délirium psychotique, devez-vous peut-être penser. Alors, si vous avez une quarantaine de minutes de votre temps précieux à consacrer à regarder la réalité telle qu’elle est, acceptez de prendre connaissance du témoignage qui suit, celui du néerlandais Ronald Bernard, entrepreneur ayant travaillé plus de 25 ans au sein de l’union européenne dans divers secteurs de l’industrie et ayant également exercé une fonction d’intermédiaire financier dans le négoce et la gestion d’actifs sur le marché des devises. Peut-être alors reconsidérerez-vous votre opinion, à moins que le déni soit si fort que vous applaudirez à la performance de l’acteur… N’oubliez cependant pas une chose : la façon dont vous regardez le miroir – la vie, les autres, l’autre – n’est que le reflet de qui vous êtes à cet instant, dans votre état de conscience du moment …

 
 

yogaesoteric
11 mai 2019

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