Les religieuses écossaises ont caché la mort de centaines d’enfants, enterrés dans des fosses communes

Une histoire sur une véritable scène de film d’horreur a été découverte en Ecosse. En 1981, les infirmières ont gardé l’orphelinat au Smyllum Park à Lanarkshire, les chercheurs ont trouvé la masse de 400 restes d’enfants – écrit Telegraph.

Plus tôt, on soupçonnait que beaucoup d’enfants décédés dans l’orphelinat ont été enterrés dans une tombe non marquée, mais selon les documents qu’ils ont révélés, 402 corps sont plus du double de ce que les historiens ont supposé. Les décès ont été découverts dans un projet plus vaste portant sur des traitements cruels dans les instituts, impliquant 15.000 pages de documentation. L’affaire a d’abord gagné une plus grande publicité en 2004 lorsque le gouvernement écossais s’est disputé publiquement les institutions sociales dans le passé pour abuser et il était honteux que beaucoup d’enfoirés mal informés ignoraient toujours la vérité. Depuis lors, l’étude sur l’abus des enfants du procureur de l’État a été lancée, dans laquelle le cimetière de St. Mary’s près du parc Smyllum a également été excavé.

L’orphelinat du parc Smyllum a été exploité par les Filles de la Charité de Saint-Vincent-de-Paul de 1864 à 1981, avec un total de 120 décès par leurs dirigeants, car il s’est avéré que le nombre réel était beaucoup plus élevé. Beaucoup de membres abandonnés de l’orphelinat ont accusé les religieuses d’abuser et de négliger les enfants, en grande partie leurs plaintes dénommées l’examen écossais d’abus d’enfants.

Au cours des près de 120 ans du parc Smyllum, 11.601 enfants ont été recrutés. Selon les chercheurs, la plupart des 402 décès découverts entre 1870 et 1930 étaient les causes les plus fréquentes de diverses infections (tuberculose, grippe, scarlet) et des accidents. Les parents vivants d’enfants décédés insistent pour que les fosses communes soient explorées par radar pour savoir combien d’autres se trouvent dans les tombeaux non marqués de St. Mary, pour lesquels il n’y a pas de document.

Les membres des Filles de la Charité ont bloqué les demandes d’entrevue, mais ont été publiés dans un communiqué de presse affirmant qu’ils collaborent sur tous les fronts et assistent l’enquête et que toutes les formes d’abus sont en contradiction avec leurs valeurs.
 
 
 

yogaesoteric

16 juillet 2018

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