Les taux de mortalité infantile augmentent avec les vaccinations
Dans une étude traitant de la mortalité infantile et des vaccinations, parue le 4 mai 2011, les auteurs Neil Z. Miller et Gary S Goldman écrivent : « Les pays qui exigent le plus grand nombre de vaccins tendent à avoir les taux de mortalité infantile les plus élevés. »
Cette affirmation est basée sur une étude traitant de la mortalité infantile dans plusieurs pays qui exigent la vaccination des enfants. Bien que les auteurs de l’étude reconnaissent que l’eau pure, les mesures permettant d’améliorer l’alimentation, une meilleure hygiène et un accès facile aux soins de santé sont des facteurs essentiels permettant d’apporter des améliorations en ce qui concerne les taux de mortalité infantile, ils ont néanmoins pu découvrir que les vaccinations ne constituaient pas un facteur prédominant de survie, mais qu’elles contribuaient probablement au syndrome de la mort subite du nourrisson (SIDS, SUID).
Bien que les Etats-Unis dépensent, par personne, davantage d’argent en soins de santé que n’importe quelle autre nation au monde, cette recherche a pu montrer que les USA arrivent en 34ème position dans le listing 2009 des taux de mortalité infantiles de 34 pays parmi les plus développés et qui ont fait l’objet de l’étude.
Des pays comme l’Islande, Malte, la République tchèque, la Slovénie et même Cuba obtiennent un meilleur classement que les Etats-Unis.
Les résultats de l’étude montrent une corrélation directe entre le nombre de vaccins que reçoit un enfant au cours de sa première année de vie et le taux de mortalité infantile (IMR) :
Singapour arrive en tête avec un taux de mortalité infantile (IMR) de 2.31 ; la Suède arrive en deuxième position avec un IMR de 2.75 ; le Japon arrive en troisième place avec un IMR de 2.79 ; l’Islande arrive en quatrième place avec un IMR de 3.23 ; la France en cinquième place avec un IMR de 3.33. En 2009, tous ces pays n’exigeaient que 12 vaccins au cours de la première année de vie, alors que les Etats-Unis qui se classaient en 34 ème place avaient un IMR de 6.22 avec 26 vaccins obligatoires, soit plus que le double des vaccins administrés dans les pays avec un IMR inférieur. L’étude a pris en compte que la vaccination DTaP comprenait 3 valences en un seul vaccin.
L’étude met en valeur un fait très intéressant : bien que la plupart des pays atteignent un taux de vaccination (compliance rate) de 90 % ou plus, les pays plus pauvres manquant d’eau potable, souffrant de malnutrition, de mauvaises conditions sanitaires et ayant peu accès aux soins de santé présentaient également des taux très élevés d’IMR, comme par exemple la Gambie avec un IMR de 68.8 et la Mongolie avec un IMR de 39.9. Ces deux pays exigent 22 vaccins au cours de l’enfance.
La mort subite du nourrisson (SIDS) était relativement peu connue avant les années 1960, époque à laquelle les programmes de vaccinations ont débuté. Les auteurs de l’étude citent les travaux d’autres chercheurs relatifs à la fréquence de la mort subite du nourrisson (SIDS) et qui est surtout apparue en 1969 quand « il fut exigé quela plupart des enfants américains reçoivent plusieurs doses des vaccins contre la polio, la rougeole, les oreillons, la rubéole et le DPT. »
Des recherches antérieures dirigées par W C Torch ont pu mettre en valeur que « deux tiers des bébés qui sont décédés de la mort subite du nourrisson (SIDS) avaient préalablement été vaccinés contre le DPT (Diphtérie-Coqueluche-Tétanos). Parmi ces bébés, 6.5 % sont décédés endéans les 12 heures qui ont suivi la vaccination ; 13 % endéans les 24 heures ; 26 % endéans les 3 jours et 37 %, 61 %, et 70 % après une, 2 ou 3 semaines respectivement. »
Walker et al. ont découvert que les taux de mort subite du nourrisson (SIDS) après la vaccination DPT étaient, au cours des 3 premiers jours de vie, 7.3 fois plus élevés qu’au cours de la période débutant 30 jours après la vaccination.
La déclaration la plus remarquable de Miller et Goldman paraît être celle-ci : « Il semblerait que certains décès d’enfants attribués au SIDS (mort subite du nourrisson) puissent avoir des liens avec les vaccinations, peut-être associées à une toxicité synergique ou biochimique due à la sur- vaccination. »
Miller et Goldman en arrivent à cette conclusion : « Il est essentiel que l’on examine de plus près les corrélations possibles entre le nombre de doses de vaccins, la toxicité synergique ou biochimique et les taux de mortalité infantile. Tous les pays – riches ou pauvres, développés ou sous-développés – ont l’obligation de déterminer si leurs programmes de vaccinations atteignent bien les buts qu’ils se sont fixés. »
Il est possible que ces pays considèrent que les buts qu’ils se sont fixés soient d’atteindre globalement des taux de vaccination de 90%. Pourtant de nombreuses maladies infectieuses pour lesquelles on a vacciné sont en recrudescence. Ce phénomène ne peut sûrement pas être dû aux 10% de la population qui n’est pas vaccinée. Avec pareils taux de vaccination, n’est-on pas en droit de reconnaître rationnellement que les vaccinations ne sont pas vraiment efficaces ?
yogaesoteric
27 juin 2019
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