Les transcriptions du gouvernement du Royaume-Uni montrent que la vaccination est en fait une entreprise

par Alex Ionescu

En Mars 2011, dans la revue spécialisée British Society for Ecological Medicine (Société Britannique pour la Médecine écologique) a été publié un rapport extraordinaire fait par Lucija Tomljenovic – médecin, chercheur d’investigation – basé sur l’étude des relevés des notes officiels enregistrées au cours des 30 années lors des rencontres entre le Ministère de la Santé et le Comité pour les vaccins et l’immunisation au Royaume-Uni. Ce médecin britannique a obtenu, grâce à la loi permettant le droit à l’information, la divulgation de 30 années de secrets gouvernementaux qui démontrent que les experts médicaux du gouvernement sont au courant que :

1. Les vaccins ne sont pas efficaces ;
2. Les vaccins causent les maladies qu’ils devraient prévenir ;
3. Les vaccins représentent un risque important pour les enfants ;
4. Il y a un complot pour tromper le public pour qu’il accepte la vaccination ;
5. Tout a été fait pour empêcher la réalisation d’études qui devraient examiner l’innocuité du vaccin.

Dans ces transcriptions, il s’agit de vaccins obligatoires pour les enfants aux États-Unis et dans de nombreux autres pays. Pour avoir une image claire du cheminement de la production d’un vaccin à son administration à une personne qui en aurait besoin, notez qu’il y a trois chaînes importantes : 1) la compagnie pharmaceutique qui fabrique le vaccin, 2) les autorités médicales qui approuvent l’utilisation de ce vaccin et 3) le « couple » médecin – personne à se faire vacciner. Mais de cette façon, au lieu d’être un cheminement plein de bonnes intentions qui vise à prévenir la maladie humaine par la production de vaccins de bonne qualité et sûrs, il est devenu un moyen d’enrichissement et de profit financier par tous les moyens au détriment de la personne à être vacciné. Ainsi :

1. Les sociétés pharmaceutiques soutiennent l’efficacité et l’innocuité des vaccins fabriqués, montrant de fausses études aux autorités et convainquant la population à travers les médias que ces vaccins sont bons (il existe des liens clairs entre les compagnies pharmaceutiques et les médias) pour vendre autant de vaccins que possible.

2. Les autorités n’ont pas la rigueur nécessaire de vérifier soigneusement les études d’efficacité et d’innocuité – qui en réalité n’existent pas ou sont truquées – présentées par les sociétés pharmaceutiques et, en raison des pressions exercées par ces entreprises, elles ne sollicitent plus d’études sur ces vaccins qui doivent être réalisées par des chercheurs indépendants (!).

3. Le médecin participe à la promotion de la vaccination parce qu’il croit en son « mythe », bien qu’il ne soit pas au courant de l’absence d’études sur les vaccins. La personne à vacciner est ainsi convaincue qu’elle doit être vaccinée à cause de l’insistance du médecin et de la publicité qui abonde dans les médias payée par les entreprises pharmaceutiques.

Qui sort défavorisé de cette chaîne fatale ? La personne qui est vaccinée, qui de plus paye par le biais de l’assurance maladie le mal qui lui est fait ! Qui sort le plus favorisé ? La société pharmaceutique, qui jouit de bénéfices financiers considérables.

Avant de les approuver, les autorités régissant les vaccins à être administrés à la population ont l’obligation de s’assurer qu’ils ont été soumis à une évaluation scientifique rigoureuse. La même responsabilité est portée par les compagnies pharmaceutiques qui ont promu les vaccins, étant obligés de réaliser ces études rigoureuses sur l’efficacité du vaccin d’une part et d’une autre part de son innocuité.

En outre, la vaccination est un acte médical et elle ne devrait avoir lieu qu’avec le consentement total de la partie qui sera vaccinée. Cela implique une présentation objective des avantages et des risques éventuels pour celui à vacciner. La vaccination des enfants doit être faite seulement avec l’accord des parents. La dissimulation délibérée des informations aux parents, afin de les déterminer à se conformer à l’agenda « officiel » de vaccination pourrait être considérée comme une forme de violation du code de déontologie ou une faute grave. Les documents officiels obtenus du Ministère de la Santé de Grande-Bretagne et du Comité de la vaccination et de l’immunisation révèlent que les autorités de santé britanniques ont été impliquées dans de telles pratiques depuis plus de 30 ans, afin de protéger le programme national de vaccination.

En conséquence de la politique de vaccination promue par le ministère de la Santé au Royaume-Uni, de nombreux enfants ont été vaccinés sans que soit données aux parents toutes les informations sur les risques avérés concernant les effets indésirables graves des vaccins, aspects que le Comité de la vaccination et de l’immunisation connaissait très bien. Ce faisant, le Comité et le Ministère de la santé ont non seulement violé les lignes directrices internationales d’éthique médicale, tels que la Déclaration d’Helsinki et le Code international d’éthique médicale le prévoit, mais ils ont aussi violé le code de base de la pratique médicale.

Les transcriptions des réunions du Comité de vaccination et d’immunisation montrent également que certains membres de ce comité ont des liens avec des sociétés pharmaceutiques et que le comité a collaboré fréquemment avec les fabricants de vaccins pour créer des stratégies nécessaires pour accroître les taux de vaccination. Pensez-vous que c’était pour le bien de la population ? Non ! C’était pour leurs propres poches ! Certaines transcriptions qui présentent des sujets en cours de discussion ne devaient pas être rendues publiques, mais elles ont été révélées plus tard par la loi sur la liberté d’information (Freedom of Information Act – FOIA). Ces réunions sont appelées dans les transcriptions comme ayant la « confidentialité commerciale » et révèlent un manque évident et étonnant de transparence, parce que certains renseignements ont été supprimés avant que les transcriptions ne soient délivrées conformément à la loi qui garantit la liberté d’information. Cela a été fait par exemple avec la transcription de la Réunion concernant les réactions adverses détectées entre 1986 et 1992, où les noms des participants ont été supprimés.

En résumé, les transcriptions des réunions entre le Ministère de la Santé et le Comité de la vaccination et de l’immunisation de la période 1983 à 2010 montrent que :
1) au lieu de réagir de manière adéquate et de revoir les politiques actuelles de vaccination en raison des questions soulevées par leurs propres enquêteurs, le Comité de vaccination et d’immunisation n’a pas pris position, au contraire, il a diminué ou supprimé les informations défavorables sur l’innocuité des vaccins, en faisant des efforts intensifs pour convaincre le public et les autorités que les vaccins sont sûrs.
2) Les critères de contre-indications à la vaccination ont été significativement réduits, afin d’augmenter les taux de vaccination, en dépit des questions non résolues concernant leur sécurité.
3) A plusieurs reprises, les fabricants de vaccins ont été invités à apporter des modifications aux fiches de données spécifiques quand elles étaient en conflit avec les directives officielles concernant l’immunisation, faites par le Comité de la vaccination et de l’immunisation.
4) Pour la promotion des politiques de vaccination, on a mis l’accent sur des études méthodologiques douteuses, subventionnée par les entreprises manufacturières, alors que les études indépendantes ont été rejetées.
5) La question de l’innocuité des vaccins a toujours été ignorée, tandis que leurs bénéfices ont anormalement été augmenté.
6) Ont été promus et développés des plans pour introduire dans les programmes nationaux de vaccination pédiatrique de nouveaux vaccins qui ne sont pas encore sûrs en termes d’innocuité et d’efficacité.
7) La recherche sur l’innocuité des vaccins a été activement minée.
8) On a délibérément profité de la confiance et du manque de connaissances des parents sur la vaccination, afin de promouvoir un « programme de vaccination » scientifiquement intenable, ce qui pourrait exposer certains enfants au risque de développer des troubles neurologiques graves et de longue durée.

Dr. Tomljenovic explique, par exemple, que le Comité de la vaccination et de l’immunisation savait depuis 1981 que le vaccin contre la rougeole – qui fait partie du programme officiel du gouvernement de vaccination – peut avoir comme effets secondaires des affections neurologiques à long terme et même la mort. En outre, le Dr Tomljenovic montre, avec l’appui de toutes les preuves, que ce Comité de la vaccination et de l’immunisation savait depuis longtemps que de nombreux vaccins des programmes de vaccination causent chez les enfants des lésions cérébrales permanentes et, malgré tout, il a continué de façon criminelle à promouvoir ces vaccins.

Il est dit par ceux qui soutiennent les vaccins qu’ils seraient un miracle de la médecine moderne. C’est en fait un mythe créé par l’industrie pharmaceutique, un gros mensonge diabolique qui a été servi à la population uniquement pour obtenir d’énormes bénéfices financiers, étant donné que les vaccins contiennent entre autres des métaux lourds, des substances neurotoxiques et immunotoxiques, des virus, des mycoplasmes, des selles, des fragments d’ADN provenant d’autres espèces, etc.

La divulgation des informations contenues dans ces transcriptions montre que la vaccination est en fait une entreprise, pas un moyen de prévention dans le système de santé. Même si ce qu’on dit au sujet des vaccins entre dans la catégorie de la prévention des maladies, par les substances nocives qu’ils contiennent et par la façon dont les vaccins sont approuvés, leur promotion se révèle être seulement un soutien pour atteindre des rendements financiers élevés.

 

yogaesoteric

1 avril 2017

 

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