Les « vaccins » à ARNm, producteurs de protéines spikes : faisons-nous face à une catastrophe mondiale sans précédent ? (1)
par Jean-Pierre G. — FranceSoir
- « Je ne sais pas quoi qui mettent dans la seringue, mais il faut l’faire, ils l’ont dit à le poste et à la télé »
• « J’ai fait “Pfizer” un nom, tu le dis et t’envoies plein de postillons… tu contamines 20 personnes… »
• « Disent aussi qui faut vacciner les p’tiots, même si sont pas malades… pour me protéger moi… Sinon j’vais m’retrouver à l’hosto avec des tuyaux dans l’nez… Comme y montrent à la télé… »
• « Comprends pas… Suis vaccinée… Le vaccin ne me protège-t-il pas ? »
• « Suis pas bien… voir mon toubib et mon notaire… »
Le système immunitaire humain a été et est exposé aux coronavirus émergeants Sras-CoV-1, Mers-CoV (ils ont épargné la population française) et à quatre coronavirus endémiques faiblement pathogènes : HCoV-OC43, HKU1, NL63 et 229E. L’objectif de la thérapie génique de Pfizer est de nous « vacciner » contre le petit nouveau « Sras-CoV-2 » en nous injectant une partie de son ARN, un ARN messager codant pour sa protéine de pointe (Spike).
Alors que les vaccins conventionnels consistent à injecter un antigène à la personne à vacciner, le principe d’un « vaccin » à ARN est de faire en sorte que nos propres cellules produisent elles-mêmes cet antigène.
Aucun « vaccin » à ARN messager n’a été utilisé chez l’homme auparavant. Aujourd’hui, nous ne disposons souvent que des données que les firmes veulent bien fournir… Le vaccin BioNTech/Pfizer BNT162b2, nom commercial COMIRNATY®, a obtenu son AMM conditionnelle européenne le 21 décembre 2020. L’Agence Européenne du médicament a autorisé son utilisation sur les adolescents de 12 à 15 ans le 28 mai 2021. En France, le « vaccin » peut être administré aux 12-17 ans en centre de vaccination et sur autorisation parentale depuis le 15 juin 2021.
Pfizer dispose d’un délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance de son « vaccin » ; il est fixé au mois de « décembre 2023 ». Chaque sujet vacciné participe donc très officiellement à un essai de phase III qui ne dit pas son nom, avec toutes les conséquences juridiques que cet état de fait pourrait comporter à l’avenir, y compris pour les personnels qui assurent cette « vaccination ». Les éventuels effets secondaires ne seront pas imputables aux laboratoires. Les États devront payer… D’où leur faible intérêt à relever les déclarations de complications et décès…
Pfizer, comme la plupart des firmes, a tout misé sur la production de la protéine Spike. Mais si cette dernière change, du fait de « mutations et recombinaisons », alors tout effet immunisant peut être perdu.
D’après le docteur vétérinaire Alvértos Bourlá, PDG de Pfizer, 16/4/2021 : les personnes ayant reçu le « vaccin de Pfizer » auront « probablement » besoin d’une troisième dose d’ici six mois à un an, puis sans doute d’une injection chaque année. Le médicament est fourni dans un flacon multidose et doit être dilué avant utilisation. On vous injecte le « vaccin » dans l’épaule… Vous n’aurez pas le choix du « vaccin », mais vous aurez celui de l’épaule. Une dose de 30 microgrammes d’ARN contient 13 200 milliards de répétitions des mêmes 4 284 caractères d’ARN messager (d’après le calcul de Bert Hubert) emballées dans les sphères de graisse.
Vous croyez qu’il reste gentiment dans le muscle deltoïde de votre épaule ? Raté. Pfizer n’a pas étalé son étude sur la cinétique de répartition mais les preuves existent… Ça va très vite ! Quinze minutes après sont rejoints le foie (22 %), la rate, les surrénales et organes sexuels des deux sexes. On en retrouve même, d’après des documents divulgués par le Japon, dans l’hypophyse (Note 1) qui contrôle l’ensemble des glandes endocrines de l’organisme… [1,2,3]
• [1] Les documents de Pfizer présentant la biodisponibiliré (répartition des ARNm vaccinaux) après injections étaient publics et accessibles sur le site de l’Agence Européenne du Médicament (EMA). Disparus, pourquoi ?
• [2] Les ARNm vaccinaux atteignent les organes reproducteurs. 5/04/2021. Article reprenant en partie les éléments effacés de [1].
• [3] Au sujet des apolipoprotéines.
Note 1 :
La glande pituitaire, en d’autres termes l’hypophyse, cette petite glande située juste sous l’hypothalamus à la base de cerveau, contrôle toutes les sécrétions hormonales de l’organisme :
→ que ce soit directement :
⁕ comme l’hormone de croissance ou GH (qui stimule os, muscles et métabolisme).
⁕ comme la prolactine (PRL) qui « excite » la glande mammaire avec production de lait.
→ que ce soit en agissant sur d’autres glandes comme :
⁕ par le biais de la TSH sur la glande thyroïde (hormones thyroïdiennes).
⁕ par le biais de l’hormone adrénocorticotrope = corticotrophine (ACTH) qui agit au niveau des reins sur les glandes surrénales et stimule la sécrétion de glucocorticoïdes.
⁕ par le biais la folliculostimuline (FSH) qui stimule ovaires (production d’ovules) et testicules (production de spermatozoïdes).
⁕ par le biais de l’hormone lutéinisante (LH) qui stimule ovaires (ovulation) et testicules (production de l’hormone mâle = testostérone).
→ Elle accumule également des productions de l’hypothalamus qu’elle libère ensuite :
⁕ Ocytocine qui stimule la contraction de l’utérus lors de l’accouchement et le réflexe de la sécrétion de lait.
⁕ Hormone antidiurétique (ADH) qui agit sur les reins (tubules rénaux) en favorisant la réabsorption d’eau.
I — Les nanoparticules lipidiques ou NLP
Ces nanoparticules sont des bulles graisseuses — donc constituées de lipides, ici de quatre types — qui ont le double avantage de protéger le segment d’ARNm vaccinal de la destruction pendant sa livraison dans l’organisme, mais en sus, de faciliter la fusion et la libération de leur contenu d’ARN à l’intérieur des cellules.
- Le lipide cationique ou ALC-0315 de polarité positive s’associe à l’ARNm chargé négativement. Il représente presque 50 % des lipides. Il est toxique sur le foie des souris testées… Pfizer prétend qu’ensuite, le foie récupère, mais personne n’a pu vérifier sur les souris concernées. ALC-0315 reste dans le plasma pendant 12 jours avec une demie vie dans notre foie de 3 semaines d’après Pfizer. 99 % sont dégradés dans notre corps, nos cellules en subissant donc intégralement la toxicité hépatique.
2. Le polyéthylène glycol (PEG) ou ALC-0159, qui expose à des réactions d’hypersensibilité et à des réactions anaphylactiques. Il nous faut attendre sur place sous surveillance après la vaccination ! Ce n’est pas un hasard, mais il peut rester dans le plasma 6 jours. Après une exposition antérieure, il peut déclencher une réaction allergique ou un choc anaphylactique en raison de l’hypersensibilité établie. Il est détruit pour 50 % dans notre organisme, le reste étant rejeté à l’extérieur : impact environnemental, eaux usées ?
Une protéine de transport présente dans le sang, l’apolipoprotéine E = ApoE se lie au 3e lipide (le cholestérol) des nanoparticules et assurant la distribution, véhiculant les LNP contenant l’ARNm ailleurs qu’au point d’injection. Le génotype E4E4, l’apolipoprotéine E, double le risque de Covid-19 comparé à E3E3. De plus, la prévalence d’E4E4 dans les patients qui ont développé un Covid-19 sévère est élevée.
II — L’ARN messager
L’ARN messager naturel du virus déclenche normalement une réponse immunitaire innée très puissante, par le biais de récepteurs intracellulaires « TLR = Toll-like en particulier TCR 7 », qui sont des récepteurs de reconnaissance de forme (PRR). Ils sont en particulier présents dans les cellules présentatrices d’antigènes (cellules dendritiques, les monocytes et les lymphocytes B) du système de défense inné.
Ces cellules sécrètent de l’IFN-alpha (interféron alpha) et d’autres chimiokines — qui contrôlent les motifs de migration et le positionnement des cellules immunitaires) pouvant devenir excessives (inflammation et manifestations auto-immunes. L’IFN-alpha augmente l’activité des ribonucléases qui découpent les ARNm (système immunitaire inné dit PAMPs-PRR) pouvant nuire à l’efficacité du vaccin et le complexe ARNm/TR7 active également les lymphocytes T.
À noter que tout l’ARN vaccinal n’est pas incorporé dans les cellules, or l’ARNm peut rejoindre des cellules endothéliales des vaisseaux pour lesquelles il est toxique, avec formation d’œdèmes et thromboses.
Donc, on va déguiser l’ARN vaccinal pour qu’il ne soit pas reconnu et qu’il aie le temps de produire des protéines spikes, sources, en l’espère, d’anticorps efficaces.
Théoriquement l’ARN vaccinal ressemble à ça :
→ À gauche, c’est la coiffe par où commence la lecture. Pour l’ARN messager de Pfizer, cela correspond à deux bases G (guanine) et A (adénine) qui font croire à notre système immunitaire que l’ARN injecté n’est pas un étranger mais un ami venant du noyau.
→ 1re région 5′ UTR non-traduite en protéine : stabilise l’ARNm + constitue une introduction à la lecture + une piste d’atterrissage pour des machines lectrices d’ARNm : les ribosomes.
GAAΨAAACΨAGΨAΨΨCΨΨCΨGGΨCCCCACAGACΨCAGAGAGAACCCGCCACC
Les bases azotées psi = Ψ (Note 2) remplacent les bases azotées U = uracile. Un système de masquage sur lequel nous reviendrons…
→ Sig : permet la fabrication d’un peptide, signal guide pour la spike… « tu vois on passe par là, par le canal réticulum endoplasmique pour nous retrouver à la bonne adresse. »
→ S protein_mut (3880-4174) : c’est la partie codante de 3777 nucléotides qui permet la production de la spike censée reproduire la vraie pointe du virus, alors qu’elle ne porte même pas un seul des sucres qu’il faudrait. À la fin, deux stops = « codons stops » (dans le vrai virus, un seul) pour être sûr. Un peu la trouille tout de même…
→ 2e région 3′ – UTR non traduite en protéine. Ils l’ont rajoutée « pour conférer une stabilité à l’ARN et une expression protéique totale élevée ».
En clair, ils ne comprennent pas bien mais ça marchait dans d’autres travaux alors ils tentent le coup ici !
→ Une queue polyA, A pour la base azotée adénine (4175-4284). L’ARNm est réutilisable mais à chaque fabrication d’une spike, le nombre de A diminue… Quand il n’y a plus de A, l’ARNm n’est plus fonctionnel et est censé être éliminé. La queue « polyA » est donc (entre autres) une protection contre la dégradation.
De plus, des bases ont été changées dans l’ARN vaccinal afin de remplacer deux acides aminés dans la vraie protéine spike du virus par deux autres : des « prolines » pour servir d’attelles afin d’éviter l’écroulement de la protéine spike sur elle-même (car ici non liée au virus).
→ L’ARN du virus contient une base U = uracile qui a été remplacée dans l’ARN messager vaccinatrice par la base 1-méthyl-3′-pseudouridylyle = Ψ. En fait il s’agit d’une forme modifiée du ” m 1 Ψ ” (Note 2) qui est accepté comme un U normal par nos mécanismes cellulaires. Le système immunitaire se trouve berné, incapable de repérer l’ARNm intrus… Cela permettrait aussi d’accroître la densité des ribosomes sur l’ARN messager.
→ Mais ainsi, Pfizer introduit un nouveau code génétique chez l’homme jouant à l’apprenti sorcier. Ils nous disent que de toute façon l’ARN messager sera détruit. Mais s’il persistait beaucoup plus qu’attendu, étant donné sa composition en bases ? Que ferait l’organisme avec un code qu’il ne connait pas ? C’est impossible ? Comme si, dans une cellule, l’impossible existait…
Note 2 :
Ψ = psi est une base azotée qui a été découverte par Karikó et Weissman. Dans le document de l’OMS, Pfizer a représenté le 1-méthyl-3′-pseudoridylyle par « m 1 Ψ » (avec « m 1 » indiquant une modification). Cependant, dans la séquence génétique réelle, Pfizer a choisi d’abréger « m 1 Ψ » en simplement « Ψ ». Le véritable nom semble être « N(1)-méthylpseudouridine = 1-méthylpseudouridine ».
III — L’ARN vaccinal défiguré
En fait, ce bel ARN messager qu’on vous injecte, bien beau, bien propre, subit des dégradations dans la chaîne de fabrication industrielle du « vaccin », et peut se retrouver découpé, voire haché menu. Certains lots s’abaissent à près de 50 % d’ARN vaccinal intact seulement, et il faut rajouter les dégradations liées aux conditions de conservation et de transport… Ne pas le secouer après dilution… Que provoquent ces petits bouts d’ARN ?
Il faut citer aussi les polluants associés liés à la production : ADN d’origine, ARN doubles brins et des lipides isolés cités plus haut. Les polluants ADN sont linéaires et donc, plus susceptibles de s’insérer dans notre ADN. Même si… vous connaissez le dogme, et nous y reviendrons.
Commentaire : Voir l’article sur l’interview de Christian Vélot : Entretien avec Christian Vélot — « Ne faisons pas un remède pire que le mal »
Donc, en présence d’ARN messager « vaccinal », nous produisons de la protéine spike, elle-même censée permettre la production d’anticorps, qui sont à leur tour censés nous protéger contre le vrai virus. Malheureusement…
Commentaire : Voir à ce sujet, l’excellente vidéo de 11 mn (sous-titrée et doublée en français) de Del Big Tree qui explique très bien l’immunité naturelle par rapport à l’immunité vaccinale des « vaccins » Covid ; la vidéo est basée sur ce qu’a déclaré Geerd Vanden Bosshe sur le fonctionnement de ces mêmes « vaccins » Covid.
A — La glycoprotéine S (de pointe) du virus comprend deux sous-unités fonctionnelles. La sous-unité S1 est responsable de la liaison au récepteur ACE2 de nos cellules (par le biais de son domaine de liaison RBD = receptor binding domain) et la sous-unité S2 initie la fusion membranaire entre la particule virale et la cellule hôte.
La protéine spike « vaccinale » est différente d’une vraie protéine spike virale. La vraie possédant 22 sites de glycosylation (= 22 séquons ici de glycanes) ce qui peut protéger certains épitopes de la neutralisation par des anticorps… « Ici, nous montrons comment la glycosylation spécifique au site diffère entre les pointes dérivées du virus et les protéines de pointe dérivées d’un candidat vaccin contre le Sras-CoV-2 à vecteur viral ».
La protéine spike « vaccinale » est une protéine spike glycosylée différemment, d’où la production d’anticorps moins efficaces. Beaucoup moins que quand il s’agit d’anticorps produits contre la vraie protéine spike du virus :
« En effet, les immunogènes qui n’imitent pas les glycoprotéines de pointe trimériques telles qu’elles sont présentées sur les virions infectieux peuvent effectivement agir comme un leurre, provoquant davantage d’anticorps sous-optimaux ou non neutralisants indésirables qui sont incapables de se lier et de neutraliser les pointes trimériques sur le virus. » ~ Julien Brun, Snežana Vasiljevic et al.
Il faut rajouter que dans une infection naturelle, le corps réagit contre plusieurs protéines du virus (en particulier anticorps anti-N : dirigés contre la protéine de Nucléocapside, interne au virus et anticorps anti-S : dirigés contre la protéine Spike de surface), ce qui n’est pas le cas avec les « vaccins » autorisés, qu’ils soient à ARN ou à ADN, où seule la protéine spike sera produite et donc seul des anticorps anti-S seront fabriqués :
« Les muqueuses couvrent les tractus aéro-digestif et uro-génital, la conjonctive, la paroi de l’oreille interne ainsi que les canaux des glandes exocrines. Les surfaces muqueuses sont protégées des agressions extérieures par des mécanismes de défense physico-chimiques et un système immunitaire muqueux inné et spécifique spécialisé. » ~ Fabienne Anjuère et Cécil Czerkinsky
Le « vaccin » étant injecté dans les muscles, comme la plupart des autres « vaccins » Covid commercialisés ou en préparation, il est évident que l’immunité privilégiée aux niveaux des voies aériennes ne peut exister… Il s’ensuit un « retard à l’allumage » de la réaction immunitaire tronquée par rapport à la réalité d’une infection.
B — Si nous n’en produisons pas assez (première injection ou personne âgée après deux injections), s’ensuit le phénomène ADE, ou des anticorps facilitants, si bien expliqué dans le Vidal. C’est vrai pour tous les coronavirus. Cela aidera le vrai virus à s’installer et provoquer une infection, en particulier après la première dose vaccinale. La vaccination à l’envers…
C — La protéine spike produite à un côté baladeur, utilisant les fluides corporels et s’accrochant sur les globules rouges et les plaquettes au niveau des récepteurs CD 147, rejoignant ainsi tous les tissus dans le corps… comme le fait le virus lui-même. L’observation initiale était celle d’une maladie à expression essentiellement respiratoire. Ensuite, de nombreuses atteintes viscérales ont été décrites dans les formes graves de Covid-19 : pulmonaires, cardiaques, hépatiques, intestinales, neurologiques, ORL, conjonctivales et cutanées. Cette atteinte multi-organes témoignait d’une diffusion générale du virus, même si celui-ci est rarement trouvé dans le sang circulant. En fait, la cause était, comme nous allons le voir, liée à la protéine spike.
C1 — La spike rejoint en particulier les cellules endothéliales tapissant les vaisseaux sanguins, et après s’être fixée sur leurs récepteurs ACE2 et TMPRSS2 (porte d’entrée du virus), provoque des thromboses.
→ Afin d’étudier l’effet direct et isolé de la protéine de pointe du virus du Covid, Yuyang Lei, Jiao Zhang et al. ont créé un « pseudovirus » du Covid entouré de la couronne classique Sras-CoV-2 de protéines de pointe, mais ne contenant aucun virus réel.
→ L’exposition à ce pseudovirus a entraîné des lésions des poumons et des artères chez les animaux, prouvant ainsi que la protéine de pointe seule était suffisante pour provoquer une maladie.
→ Les échantillons de tissus prélevés ont montré une inflammation des cellules endothéliales tapissant les parois des artères pulmonaires. Il faut savoir que l’endothélium est le plus grand organe de notre organisme : sa surface est équivalente à six courts de tennis !
→ L’équipe a ensuite reproduit ce processus in vitro, exposant des cellules endothéliales humaines saines (artérielles pulmonaires) à la protéine de pointe. Ils ont montré qu’elle se liait à leurs récepteurs ACE2 endommageant ensuite les cellules au niveau des mitochondries.
→ S’ensuit une endothéli(i)te avec micro-thromboses en regard. Ainsi se trouveraient expliqués les accidents cardiovasculaires cérébraux, les crises cardiaques, caillots ou même peut-être les migraines rencontrées par certains patients.
→ Les atteintes pulmonaires (microthromboses dans les capillaires alvéolaires pulmonaires, versants artériel et veineux), cardiaques, hépatiques, intestinales, rénales (agrégats érythrocytaires), neurologiques, ORL, conjonctivales et cutanées purpuriques s’expliqueraient ainsi.
→ Ces résultats peuvent être analysés de deux façons opposées se succédant dans le temps :
⁕ L’introduction de vaccins à ARNm (ou à ADN) aboutissant à la production de protéine spike ou l’injection directe de protéine spike vaccinale peut présenter des risques de thromboses.
⁕ Ces protéines spikes déclenchent la fabrication d’anticorps qui devraient avoir — s’ils sont produits en quantité suffisante (Cf. âge), et si le sujet a franchi le 1er cap, un effet protecteur vis-à-vis des lésions endothéliales induites par la protéine S.
C2 — La protéine spike franchit la barrière hématoencéphalique
Le Covid-19 est associée à une foule de symptômes liés au système nerveux central, surtout dans les Covids intenses, notamment la perte partielle ou totale du goût (agueusie) et de l’odorat (anosmie pouvant, chez 10 % des malades persister des mois, voire même après plus d’un an), des contractions musculaires, une ataxie (non-coordination des mouvements), des convulsions, des maux de tête et des étourdissements, une déficience visuelle, des douleurs nerveuses, de la confusion et une altération de la conscience, des nausées et vomissements, encéphalites, une hémiplégie, accident vasculaire cérébral et hémorragie cérébrale.
Il a été supposé que certains des symptômes du Covid-19 pourraient être dus à des actions directes du virus.
Lisez la deuxième partie de cet article
yogaesoteric
27 octobre 2021