L’esprit flagorneur d’une médiocre irresponsable, ou la duplicité et le culot d’une ex instructeur yoga de Poitiers, Daniela Borcan

par instructeur yoga Sorin Turc

Hypocrite et tout comme un charbon couvert, qui sans le savoir, te brûle
L’être hypocrite et sournois et vêtu tantôt d’une peau de mouton, tantôt d’une peau de renard.
(Proverbes roumains)

Tenant compte des faits extrêmement graves, autant du point de vue moral, que de point de vue spirituel, commis récemment par une ancienne instructeur de nos cours de yoga en France, Daniela Borcan, nous allons vous présenter succinctement dans ce qui suit, l’esprit flagorneur qui a caractérisé et qui caractérise toujours  cette ancienne instructeur yoga – dont il faut dire (et cela accentue encore plus la terrible dérive morale dans laquelle elle se plaît) qu’elle a le métier de juriste; plus même, elle n’a pas moins obtenu qu’un doctorat en sciences juridiques! Ou bien encore mieux: la juriste (et en même temps le docteur en Droit) Daniela Borcan se moque avec impertinence des plus élémentaires normes de conduite morale, et ont recours – comme nous allons le voir par la suite – à l’arnaque, à l’hypocrisie à la sournoiserie pour atteindre ses buts mercantiles et ses intérêts matériels cachés!

Mais avant tout nous considérons qu’il est très important avant de présenter les faits qui incriminent cette ancienne instructeur yoga, de vous offrir un passage fort significatif, qui surprend avec acuité et profondeur certains aspects du soi-disant «esprit flagorneur» humain, passage qui provient d’une pertinente analyse du philosophe et écrivain Gabriel Liiceanu concernant ce phénomène: «Communément il est considéré flagorneur tout individu actif dans la production du mal à autrui en vue du bien propre. Le flagorneur et un infracteur du monde moral. En faisant des coups ici et là dans nos vies, il colore le paysage du monde avec le «pittoresque» de ces actions scélérates. Mais peu importe la ferveur avec laquelle il fabrique son abjection, le flagorneur reste isolé dans sa «performance» individuelle, restant une simple ponctuation dans le registre du mal».

Voici maintenant les faits qui constituent le sujet de cet article. L’ex instructeur Daniela Borcan, de profession juriste (étant employée comme juriste au Futuroscope de Poitiers) a enseigné jusqu’à peu de temps des cours de yoga à Poitiers, dans le cadre (et à l’aide soutenue et permanente!) de notre école de yoga. Mais à un moment donné, elle a demandé d’être effacée de nos pages de contact de toutes les filiales de notre école de yoga (autant en France que dans tous les autres pays). Elle a motivé cette demande par le fait que son nom était mentionné sur un certain site internet qui cherche à induire la haine par rapport à la pratique du Yoga. Sur ce site (enregistré, tenez-vous bien… au Panama!) écrit abondamment la fameuse (et auto-intitulée) „mahacutra”, alias Cecilia Tiz (il est fort probable que le site en question soit entièrement géré par „mahacutra”, alias Cecilia Tiz). Le site en question (pouvant être lu en français et allemand) est orienté soi-disant, à la «révélation» de certaines «sectes» – en réalité, les matériels présentés les plus virulents sont dirigés contre notre école yoga et contre son mentor, le professeur Gregorian Bivolaru – est présente entre autres aussi, les centres de notre école de yoga en France. Ces centres sont catalogués comme des «antennes» de l’école de yoga MISA et sont associés sur ce site par „mahacutra” aux mensonges et calomnies misérables – déjà bien connu par nous tous -  qui ont été et sont encore propagées autant par des sites remplis de haine contre MISA, que par une partie de la presse de Roumanie, qui est bien rempli d’hostilité contre l’école de yoga MISA et contre le professeur de yoga Gregorian Bivolaru.

A cette demande de Daniela Borcan, il lui a été répondu promptement, avec beaucoup d’amabilité, sa situation étant comprise comme telle, et il lui a été offert tout le soutien et l’assistance sollicitée par elle-même – ci-inclus la disparition de son nom de tous les sites des associations, filiales et de nos écoles de yoga. Pour ceci il lui a été demandé (comme il était naturel, suite à sa demande même, de lui retirer complètement toute liaison ou association avec les filiales et nos écoles de yoga), de rendre son diplôme d’instructeur yoga accordé antérieurement, tout comme de rendre l’association de yoga enregistrée à Poitiers, cette association étant en fait une filiale de notre association de yoga au niveau national en France.

Aussi, n’étant plus désormais instructeur de yoga, Daniela Borcan a reçu la demande de rendre la situation de son association (association dans le cadre de laquelle Daniela Borcan avait utilisé jusqu’alors nos cours de yoga, ainsi que le même programme d’enseignement que celui de toutes nos filiales et écoles de yoga – autant en France que dans d’autres pays), les étudiants qui avaient participé à ces cours jusqu’alors devant être repris par notre association de yoga de France. Cet aspect était lui aussi on ne peut plus naturel, étant donné le fait que Daniela Borcan avait mentionné avec beaucoup d’insistance que pour ne pas avoir de problèmes avec son employeur, elle voulait rompre toute liaison avec notre école de yoga, qu’elle avait représenté jusqu’alors à Poitiers, dont les matériels (cours, conférences, etc) elle les avait utilisé d’une manière entièrement gratuite et dans le cadre desquels elle avait offert à ses étudiants toutes les initiations spirituelles provenant de l’école MISA.

À toutes ces conditions d’un élémentaire bon sens, Daniela Borcan a répondu: «oui, bien sûr, c’est normal, c’est ce que j’allais faire!». Ensuite elle a rendu son diplôme d’instructeur de yoga, annonçant qu’elle n’allait plus enseigner le yoga, dans le but de couper toute liaison entre son nom et nos centres de yoga. Autrement dit, tout s’est déroulé exactement comme elle l’avait sollicité. Elle a également promis qu’elle allait rendre la situation de son association de yoga, ensemble avec tous ces étudiants ainsi que la base matérielle (logistique, matériels, cours etc.), vu que tous ces matériels ne lui appartenaient pas, mais appartenaient à notre école de yoga. Nous devons aussi mentionner ici le fait que jusqu’alors Daniela Borcan n’a rendu (tel qu’il était légal!) aucune situation concernant ses élèves, l’argent résulté des cotisations, faisant main basse sur la plupart de ces sommes, d’autant plus que les frais concernant la salle de cours étaient plutôt symboliques, voire inexistants.

Mais voilà,  une fois s’être vue effacée de tous les sites des associations et de nos écoles de yoga (à savoir une fois que sa demande a été satisfaite), Daniela Borcan s’est retourné brusquement à 180°: une fois sa demande satisfaite elle a commencé à montrer ses vraies intentions, tout comme son véritable visage misérable. Ainsi, malgré le fait d’avoir fait semblant de se conformer à toutes les demandes remplies de bon sens mentionnées plus haut, une fois avoir obtenu satisfaction (l’effacement de ces données de contact de tous les sites de nos écoles de yoga), elle n’a pas seulement refusé à rendre la situation de ces cours de yoga, mais, le comble de son impertinence et en même temps comme une preuve évidente d’esprit flagorneur, elle a annoncé  fin août tous ses élèves de continuer à suivre ses cours comme si de rien n’était! Encore plus: pendant tout ce temps (ou soi-disant elle disait à qui voulait l’entendre qu’elle n’enseignera plus jamais le yoga et qu’elle ne cherchait que la tranquillité à son lieu de travail, où elle est employée en tant que juriste) elle a créé en cachette une nouvelle association de yoga! Et cette nouvelle association, disait-elle : «suit et renove (sic!) la démarche de l’ancienne association Soleil» qu’elle venait de dissoudre!!!  Autrement  dit, le tout n’était qu’une manœuvre habile, et rusée, d’un culot sans limites, un stratagème «digne» d’un véritable flagorneur, pour que de cette façon elle ne se détache pas complètement de notre école de yoga, cherchant toutefois à continuer à utiliser en cachette (parce qu’elle s’est imaginé semble-t-il, que personne ne saura rien au sujet de ce pénible chapardage) tous les cours et matériaux de notre école de yoga (MISA)!

Par conséquent, Daniela Borcan a gardé pour elle autant les étudiants que la salle de cours: nos collègues ayant voulu louer cette même salle (pour continuer les cours de yoga à Poitiers, considérant avec la meilleure bonne foi que Daniela Borcan avait initialement dit la vérité), ont été refusés pour la bonne raison que la salle était déjà louée à la nouvelle association de Daniela Borcan, et qu’ils ne désiraient pas avoir deux cours de yoga dans la même salle, même si ces deux cours se déroulaient à d’autres moments de la semaine.
 
De tous ces faits, bien connus par tous nos collègues de France, il en résulte avec une grande clarté le fait que Daniela Borcan a agi de manière incroyablement rusée et hypocrite, ayant caché sous le masque de ses peurs d’avoir «des problèmes à son lieu de travail» ces véritables intentions: celle de quitter nos cours de yoga, tout en continuant en cachette à utiliser tous les cours et matériels appartenant à cette école de yoga. Cela s’apparente à du vol selon les règles de l’art, Mme la juriste à quatre sous!

C’est pourquoi, devant ces faits, nous pourrions lui poser la question (rhétorique bien sûr, parce que nous nous attendons pas à ce que Daniela Borcan, vu l’hypocrisie qui la caractérise, réponde un jour à cette question): comment est-il possible que le juriste (ayant même obtenu le doctorat en droit, et qui en tant qu’homme de loi, connaît très bien l’encadrement légal du vol et de la tromperie!) soit mêlée toutefois à de telles illégalités? Pour  complètement démasquer le comportement flagorneur de Daniela Borcan, il est nécessaire de rajouter que lorsque tous ses aspects ont été communiqués au professeur yoga Gregorian Bivolaru, celui-ci s’est rappelé la façon dont Daniela Borcan est jadis venue le voir du temps où il résidait encore en Roumanie, en affirmant son attachement et son désir à aider les cours de yoga de l’étranger et spécialement ceux de France, ressentant un intense appel divin en vue d’aider les personnes de ce pays (la France). Ensuite, suite à ses sollicitations répétées, elle a été promue en tant qu’instructeur de yoga en France.

Aussi, je peux personnellement témoigner du fait que lorsqu’elle est arrivée en France, Daniela Borcan m’a souvent sollicité l’aide, en parlant au téléphone souvent des heures entières ou bien en me demandant une multitude de détails techniques concernant l’enseignement du yoga. Encore plus, je témoigne la main sur le cœur l’avoir logé à mon domicile personnel plusieurs fois (de manière entièrement gratuite) lorsqu’elle me visitait pour me demander le plus d’informations possibles et pour l’aider dans cette direction, tout ceci d’autant plus qu’elle-même avouait à cet époque avec sincérité, ne pas avoir confiance en soi, ou bien que pour l’instant elle ne se sentait pas véritablement préparée pour enseigner le yoga, etc, etc.

A cette occasion j’ai mis généreusement à la disposition de Daniela Borcan tous les cours de yoga tout prêts, déjà traduit en français et mis en page, et je lui ai offert les conseils dont elle avait besoin (en sacrifiant beaucoup d’heures de mon temps libre, en la traitant à chaque fois comme mon ami et en lui faisant part de manière bénévole et altruiste des différents d’aspects essentiels de mon expérience d’instructeur yoga ici en France), comment enseigner le yoga dans ce pays, etc. Je lui ai également conseillé comment procéder pour pouvoir louer des salles de cours. D’une manière supplémentaire, il lui a été mis à disposition (d’une manière entièrement gratuite) les différentes conférences du professeur de yoga Gregorian Bivolaru, ainsi que certains explications dont elle avait absolument besoin concernant la manière dont il faut procéder pour mettre les bases d’une association de yoga en France, etc, etc.

Mais voilà, après toute cette immense aide bénévole et gratuite, reçue de la part de ses collègues de yoga, Daniela Borcan, de formation juriste et de surcroît docteur en droit (et dans ce sens, au premier coup d’œil ces titres devrait représenter une garantie d’honnêteté, mais dans son cas les choses n’ont pas du tout l’air comme ça!) elle a fait le choix d’agir dans un sens complètement opposé aux plus élémentaires principes de conduite morale et éthique, ainsi que des principes de sa profession: elle a agi comme un voleur de la plus basse espèce, parce que l’esprit flagorneur dont elle a fait preuve est dans une flagrante contradiction avec son statut de juriste ainsi qu’avec son titre de docteur en droit!

Vous auriez pu manifester une reconnaissance minime pour ceux qui vous ont tant aidé, Madame la juriste! Mais pour cela il était nécessaire de faire preuve d’une conscience morale minime, conscience qui d’une manière évidente est dans votre cas (pour paraphraser Caragiale) «sublime, mais voilà en réalité elle vous manque complètement». C’est de cette façon que ce triste docteur en droit entend exprimer sa reconnaissance pour l’immense aide qu’elle a reçu?

A tout ceci, il est significatif le fait qu’elle n’offre aucune explication, encore moins sur le fait d’avoir retenu – d’une manière entièrement illégale – les cotisations ainsi que la base matérielle du cours (malgré le fait d’avoir affirmé initialement vouloir renoncer à enseigner, et qu’elle voulait rendre à ses collègues tout ce que de fait  et de droit ne lui appartenaient aucunement, mais appartenaient à notre école de yoga de France.

Au jour d’aujourd’hui elle cherche à détourner les anciens élèves yoga, en les attirant de manière éhontée et rusée dans sa nouvelle association yoga, association qu’elle présente à ceux-ci avec une gigantesque impertinence, comme étant un renouvellement de l’ancienne association, malgré le fait que dans le cadre de cette nouvelle association elle ne pourra rien offrir d’autres que les mêmes cours et matériaux volés à notre école de yoga!

Le cas de Daniela Borcan est souvent rencontré malheureusement dans d’autres milieux sociaux (pas seulement dans le domaine du yoga), de tels êtres humains (de l’espèce de Mme la «juriste et docteur en droit», mais qui en réalité a un comportement déplorable du point de vue humain et moral, tout comme un chenapan de la plus basse espèce) étant de plus en plus souvent rencontrés de nos jours. De tels êtres humains fourbes et opportunistes sont le plus souvent très attentif à profiter au maximum sur le dos des autres et comme le dit un proverbe roumain cité en début de cet article, elle «s’habille» habilement en fonction des situations, métaphoriquement parlant tantôt en peau de mouton  (lorsqu’ils ont besoin d’aide), tantôt en peau de renard (lorsqu’ils essayent remplis de ruse à atteindre leurs véritables et viles buts).

Normalement de tels êtres humains (qui pensent être fort intelligents, et qui en réalité ne sont que des médiocrités irresponsables), seraient dignes des comédies de l’imposture, mais ses personnages arrivent dès fois à influencer beaucoup de gens naïfs, ignorants et crédules. Ils pavoisent avec beaucoup d’aplomb en tant que véritables autorités épistémiques cherchant à tout prix à construire une véritable «carrière»… à partir de rien. Et ce qui est encore plus grave est le fait qu’ils projettent (avec beaucoup d’aplomb) leurs propres inepties sur l’audience naïve dont ils jouissent à un moment donné. Dans le cas de Daniela Borcan, sa médiocrité est évidente autant sur le plan professionnel (au lieu d’être un véritable modèle moral elle agit, voilà la preuve, comme un grand flagorneur hypocrite et rusé), ainsi que dans le domaine spirituel.

Nous pourrions rajouter en clôture que la situation et le comportement de Daniela Borcan nous rappelle le point de vue initiatique, le fait que les mœurs actuelles, tout comme la conscience morale de l’homme moderne se dégradent de manière exponentielle dans notre époque (une époque prophétisée et décrite en détail dans de nombreux traités traditionnels yogi, comme étant la période de fin de «l’âge ténébreux» – KALI YUGA, la période de dégradation morale et spirituelle maximale de l’humanité). Tout ceci nous rappelle aussi, le fait que dans la société actuelle, les plaisirs inférieurs, qui nous réduisent en esclavage, sont souvent confondus avec le «bonheur». C’est pourquoi, «la société du plaisir», telle qu’il a été appelée par de nombreux penseurs contemporains, le monde ou nous vivons aujourd’hui n’est pas en réalité une société heureuse, mais plutôt une réalité banale, qui est maquillée à travers les mass media insinuantes et mensongères, ou prolifèrent les flagorneurs et où la plupart des gens ne sont plus capables de faire la différence entre la quantité pathétique et la qualité.

 

yogaesoteric
octobre 2014

Also available in: Română English

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