L’extase mystique est accompagnée par une augmentation de la température du corps

Les manifestations mystiques de Padre Pio, le fameux pèlerin capucin de Pietrelcina, furent souvent accompagnées par une augmentation de la température du corps si forte qu’aucun thermomètre ordinaire ne pouvait la mesurer. Dans son cas, la température était de 43 º C ! Cependant, il ne s’agissait ni d’un cas de fièvre ordinaire (la médecine soutient unanimement qu’au-dessus de 42 º C, les dégradations qui se produisent dans la structure du cerveau sont irréversibles), ni d’un phénomène causé par la présence d’un agent toxique ou infectieux. L’examen clinique n’a jamais montré le moindre changement pathologique de la structure physique corporelle du moine, malgré cette augmentation excessive de la température du corps, qui était également accompagnée par l’accélération du rythme cardiaque et de la respiration. Une fois manifestés, ces signes ne laissaient aucune trace de nature à affecter la vie normale de Padre Pio.

Saint Philippe de Neri vécu près de quatre-vingt ans sous les yeux très sceptiques et rationalistes de l’Italie du XVIe siècle. Le cardinal Crescenzi racontait que dans certaines situations, lorsqu’il lui prenait la main, celle-ci brûlait comme si le saint avait subi une étrange fièvre dévorante…

Son biographe, Bacci, raconte : « Dans de nombreux cas, j’ai constaté qu’il se dégageait de la région de son coeur une chaleur (c’était la chaleur de l’amour n.n.) si grande, qu’il semblait que tout son corps brûlait. Malgré son âge, l’état de faiblesse qui parfois le submergeait et son régime frugal, il était obligé même aux jours les plus froids de l’hiver d’ouvrir les fenêtres de la salle de séjour en raison de la chaleur qu’il dégageait. Parfois, j’ai remarqué que ce feu mystérieux provenant de la région du cou ».

Il faut remarquer que ce n’est pas par hasard que les deux zones d’où se dégage cette mystérieuse chaleur extraordinaire sont le cœur (le yogi sait que là réside la projection du centre secret de force Anahata chakra) et le cou (le centre secret de force Vishuddha Chakra).

Père Bacci a précisé que : « cet énigmatique feu intérieur était souvent tellement grand qu’il le faisait se jeter sur le lit et rester allongé et immobile toute la journée, sans souffrir d’autre maladie que de l’amour divin, qui se manifestait alors en lui et à travers lui avec une intensité écrasante. Une fois, son cou était si chaud que le saint dut rester immobilisé au lit pendant plusieurs jours d’affilée ».

yogaesoteric
novembre 2014

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