L’ineptie des « vaccins » à ARN pour « traiter » le Covid-19 (II)

En théorie, les médicaments, vaccins compris, sont approuvés et utilisés parce que leurs bénéfices dépassent de loin leurs risques. En ce sens, le médicament idéal présenterait un risque zéro et une efficacité totale contre une maladie incurable et mortelle. Nous verrons dans le présent article que les « vaccins » Covid-19, en particulier celui de Pfizer, sont quasiment à l’opposé du médicament idéal. Ils sont dangereux, inefficaces et ciblent une maladie bénigne pour laquelle des traitements efficaces et sûrs sont déjà connus.

Lisez le première partie de cet article

La méthodologie du « vaccin » Pfizer

1. Objectifs de procédure inappropriés

L’essai de Pfizer avait pour objectif principal d’évaluer, 28 jours après la première inoculation, la fréquence des formes légères à sévères du Covid-19. Le taux de mortalité, l’infectiosité, la durée de l’immunité (le cas échéant), ou même l’apparition de formes légères à sévères à long terme n’ont pas été étudiés. Mais, attendez une minute, toute la pandémie et l’hystérie vaccinale ont été construites sur ces mêmes craintes de mort et de contamination, nous avons entendu ad nauseam les injonctions des médias : « les gens meurent en masse », « faites-vous vacciner pour éviter d’infecter les autres », « faites-vous vacciner pour être immunisé contre le Covid-19 », « faites-vous vacciner pour éviter de mourir du Covid-19 », etc.

2. Partialité du groupe testé

La sélection des essais, en particulier l’âge combiné à l’état de santé, constitue un autre préjugé frappant. Nous avons montré ci-dessus que les personnes fragiles et âgées sont de loin les plus susceptibles de souffrir du Covid-19. Mais seulement 2 pour cent de l’essai de Pfizer comprend des patients de plus de 75 ans et souffrant de maladies préexistantes. En outre, les sujets de tout âge présentant des comorbidités sont nettement sous-représentés :
« Au total, seule une personne sur cinq semble souffrir d’une affection sous-jacente, et pour les différentes affections sous-jacentes individuelles, le pourcentage de personnes qui en souffrent est souvent inférieur à 1 pour cent. » Source

De plus, la taille limitée du groupe vaccinal (environ 20.000 participants) ne présente pas toutes les combinaisons âge – race – sexe – maladie – traitement – profil génétique rencontrées dans la population générale. Il n’existe aucune donnée de sécurité concernant les enfants, les personnes immunodéprimées ou les femmes enceintes, pour la bonne et simple raison qu’ils ont été exclus de l’essai.

Fondamentalement, Pfizer a sélectionné des sujets jeunes et sains pour tester un « vaccin » qui est maintenant administré en priorité aux personnes âgées et malades. Quel est l’intérêt d’étudier de jeunes individus en bonne santé, qui, vaccinés ou non, sont de toute façon à peine touchés par le Covid-19 ? Ce préjugé minimise-t-il les effets secondaires et maintient-il l’illusion d’un « vaccin » sûr ?

3. Placebo au lieu de médicaments dont l’efficacité est connue

Un nouveau médicament est testé contre un placebo lorsque la maladie ciblée n’a pas de remède connu. Dans le cas du Covid-19, il existe plusieurs remèdes connus auxquels Pfizer aurait dû comparer son « vaccin ».

C’était le concept de l’essai clinique Discovery qui comparait le Remdesivir, l’hydroxychloroquine et d’autres médicaments. Lorsque les résultats préliminaires ont commencé à montrer que l’hydroxychloroquine était le plus efficace, elle a rapidement été retirée des essais. Pfizer n’a pas fait la même erreur en testant son nouveau médicament contre un médicament efficace. Au lieu de cela, ils ont testé leur « vaccin » contre un placebo.

4. Conception et traitement unilatéral des données

Aucune partie tierce n’a été impliquée dans la conception de l’essai, son suivi et le traitement des résultats. Toute l’étude a été conçue, menée, analysée, publiée et payée par l’entreprise Pfizer elle-même.

Comme l’a déclaré le neurologue néerlandais Jan B. Hommel :
« Le fait qu’un comité indépendant sur les données et la sécurité ait pu voir les données ne change rien à cela, pour la simple raison qu’il n’était pas inclus ni n’a rien eu à dire dans la conception de la recherche, la sélection des participants, les statistiques utilisées ou la publication. […] Je n’ai pas besoin d’expliquer ici comment une telle façon de faire peut conduire à des résultats biaisés de la recherche scientifique, parce que cette question a fait l’objet de recherches et de publications approfondies au cours des vingt dernières années. »

Bénéfices

Le principal argument marketing du « vaccin » de Pfizer est son efficacité supposée de 95 pour cent. Ce chiffre est la seule affirmation de Pfizer et il doit être pris avec des pincettes en raison de nombreux facteurs :

1. Les précédents de Pfizer

Nous devons d’abord comprendre le contexte de l’entreprise à laquelle nous avons affaire ici. Pfizer est la plus grande entreprise pharmaceutique au monde et c’est également l’entreprise qui a été condamnée à la deuxième plus grosse amende pénale de l’histoire des États-Unis pour avoir menti sur l’un de ses médicaments et avoir soudoyé des médecins. Cette amende record n’est qu’un exemple parmi d’autres. Pfizer a été condamné à de nombreuses reprises pour avoir dissimulé les principaux effets secondaires du Protonix, caché les propriétés cancérigènes du Prempro, menti sur le comportement suicidaire provoqué par le Chantix, fait la promotion de la Depo-Testosterone comme étant efficace et sûre alors qu’elle est inefficace et induiit des effets secondaires importants, et mené des essais cliniques illégaux pour le Trovan au Nigeria, qui a causé la mort de 11 enfants. La liste des crimes commis par Pfizer ne cesse d’augmenter.

N’oublions pas non plus que grâce à la vente mondiale de son « vaccin » à ARN, Pfizer encaissera 14 milliards de dollars par an — soit plus que le PIB du Nicaragua.

2. Efficacité relative versus efficacité absolue

Au cours de l’essai clinique de Pfizer, 8 cas de Covid-19 ont été trouvés dans le groupe des 20.000 personnes vaccinées et 86 cas dans le groupe placebo de 20.000 personnes. Cela signifie que le taux de contamination au Covid-19 est de 0,0004 dans le groupe du vaccin et de 0,0043 dans le groupe placebo. Par conséquent, la réduction absolue du risque pour un individu n’est que d’environ 0,4 pour cent (0,0043 – 0,0004 x 100).

Le « nombre de personnes qui a besoin d’être vacciné (NNTV) » est égal à 256 (1 / 0,0039), ce qui signifie que pour prévenir un seul cas de Covid-19, 256 personnes doivent recevoir le « vaccin » ; les 255 autres personnes ne retirent aucun bénéfice, mais sont soumises à ses nombreux effets indésirables [le NNTV est une métrique utilisée dans l’évaluation des vaccins et dans la détermination de la politique de vaccination. Il s’agit d’une application spécifique du nombre nécessaire pour traiter la métrique qui intègre les implications de l’immunité collective – NdT].

3. Exclusion des cas suspects

L’efficacité (relative) revendiquée de 95 pour cent a été obtenue en excluant un total de 3.410 cas Covid-19 suspectés, mais non confirmés (probablement en raison de faux négatifs). Lorsque ces 3.410 cas suspects sont réintégrés, l’efficacité relative tombe à 19 pour cent (ce qui est bien inférieur au seuil d’efficacité de 50 pour cent fixé par les autorités de réglementation) et la réduction absolue du risque tombe à un ridicule 0,08 pour cent.

4. Résultats non reproduits

La pierre angulaire de tout travail scientifique est sa reproductibilité. Les résultats de l’essai clinique ont été publiés dans une revue à la fin de 2020, mais les essais cliniques n’ont pas été reproduits et il est peu probable qu’ils le soient, car aucune entreprise pharmaceutique ne réalisera d’essais cliniques coûteux pour une molécule brevetée par un concurrent. Nous n’avons donc que la parole de Pfizer, qui est également un criminel récidiviste.

En résumé, selon Pfizer, l’avantage de son « vaccin » repose sur une réduction des symptômes de la grippe chez les jeunes en bonne santé. Ils ne savent pas, ou plutôt, ils ne veulent pas que nous sachions, ce qui importe vraiment : les symptômes chez les personnes fragiles et âgées, la mortalité, l’infectiosité ou la durée de l’immunité. Nous commençons à en avoir une idée.

L’ironie est que le « vaccin » n’a même pas atteint son objectif principal (et non pertinent) qui était la réduction de la forme grave du Covid-19. On peut lire dans l’éditorial du New England Journal of Medicine où ont été publiés les résultats de l’essai clinique de Pfizer :
« Le nombre de cas graves de Covid-19 (un dans le groupe du vaccin et neuf dans le groupe placebo) est trop faible pour que l’on puisse tirer des conclusions quant à savoir si les rares cas qui surviennent chez les personnes vaccinées sont réellement plus graves. »

Les risques du vaccin Pfizer

On sait peu de choses sur les bénéfices du « vaccin » de Pfizer et le peu qui est revendiqué n’est pas pertinent. Mais les informations sur les risques arrivent lentement, et les résultats ne sont pas très reluisants.

1. Les effets indésirables du « vaccin »

Selon la FDA, le « vaccin » Pfizer peut provoquer de nombreux « effets indésirables » graves, et ce ne sont que les effets indésirables connus induits par les vaccins « traditionnels » et leurs adjuvants habituels :

Les effets indésirables du « vaccin » Pfizer

Note du traducteur : La FDA a émis dans sa Présentation de la réunion de la commission du 22 octobre 2020, un avis sur les vaccins et produits biologiques connexes, ***Sous réserve de modifications***. Pour ce qui concerne la surveillance de l’innocuité des vaccins Covid-19, le rapport de la FDA liste — dans une ébauche — la survenue possible d’effets indésirables, dont la mort ; cette liste se trouve à la page 16 dudit rapport, d’où est tiré l’image ci-dessus :
– Syndrome de Guillain-Barré ;
– Encéphalomyélite aiguë disséminée ;
– Myélite transverse ;
– Encéphalite / Myélite / Encéphalomyélite / Méningo-encéphalite / Méningite / Encéphalopathie ;
– Convulsions / Crises ;
– AVC ;
– Narcolepsie et cataplexie ;
– Anaphylaxie ;
– Infarctus aigu du myocarde ;
– Myocardite / Péricardite ;
– Maladie auto-immune ;
– Décès ;
– Fausse couche ;
– Autres maladies démyélinisantes aiguës ;
– Réactions allergiques non anaphylactiques ;
– Thrombocytopénie ;
– Coagulation intra-vasculaire disséminée ;
– Thrombo-embolie veineuse ;
– Arthrite et arthralgie / Douleurs articulaires ;
– Maladie de Kawasaki ;
– Syndrome inflammatoire multi-systémique chez les enfants ;
– Maladie renforcée par le vaccin.

Les effets à long terme des vaccins sont connus pour être parmi les plus dévastateurs. Ainsi, en plus de la liste ci-dessus, il est très probable que de nombreux autres effets indésirables graves induits par les « vaccins » à ARN seront progressivement identifiés, comme la maladie de Lou Gehrig, la maladie d’Alzheimer, le cancer et la sclérose en plaques, comme le suggère Judy Mikovitz [Voir un extrait de cet échange vidéo traduit en français dans cet article – NdT].

L’infertilité sera probablement un autre effet secondaire « inattendu » à long terme puisque la protéine Spike ciblée est très similaire à la syncytine, une protéine impliquée dans le développement du placenta [la syncytine est également présente dans le sperme – NdT]. Lorsque Pfizer a testé ses « vaccins » sur des rats, il a constaté une baisse de 50 pour cent du comportement reproductif par rapport aux rats non vaccinés. C’est probablement pour cacher cet effet secondaire que Pfizer a exclu les femmes enceintes de son essai.

Les effets indésirables des vaccins énumérés ci-dessus sont de plus en plus considérés par les autorités comme une conséquence du Covid-19. C’est le cas du syndrome de Guillain-Barré qui, depuis décembre 2020 et peu après le début de la campagne de vaccination, serait causé par le Covid-19. Jusqu’alors, aucune causalité entre les deux n’était revendiquée, si ce n’est une aggravation des symptômes du Covid-19 chez les patients atteints du syndrome de Guillain-Barré. Il en va de même pour le syndrome inflammatoire multi-systèmes chez les enfants, qui est maintenant considéré comme étant causé par le Sras-CoV-2, et pour le syndrome de Kawasaki, une réaction vaccinale avérée qui est maintenant imputée au Covid-19.

Pour minimiser encore les effets potentiellement dévastateurs du « vaccin » Pfizer, un rapport des CDC indique que l’anaphylaxie est à l’origine d’un nombre croissant d’effets indésirables.

Tout serait parfait, sauf que lorsque l’on calcule le pourcentage d’incidence de ces événements, on obtient les chiffres suivants :
– 14 décembre : 3 / 679 = 0,4 pour cent ;
– 15 décembre : 50 / 6 090 = 0,8 pour cent ;
– 16 décembre : 373 / 27 823 = 1,3 pour cent ;
– 17 décembre : 1 476 / 67 963 = 2,2 pour cent ;
– 18 décembre : 3 150 / 112 807 = 2,8 pour cent.

Comme vous pouvez le constater, le taux d’incidence de l’« anaphylaxie » ne cesse d’augmenter. Il a été multiplié par sept, passant de 0,4 à 2,8 pour cent en cinq jours seulement, ce qui laisse supposer que le vaccin a des effets indésirables retardés qui peuvent mettre des jours à se manifester. Le problème est que l’anaphylaxie est connue pour se manifester presque immédiatement après l’exposition à l’agent allergène :
« Les symptômes peuvent commencer quelques secondes ou minutes après l’exposition à l’aliment ou à la substance à laquelle vous êtes allergique et, en général, ils progressent rapidement. Dans de rares cas, il peut y avoir un retard de quelques heures dans l’apparition des symptômes. » Source

Cela signifie que d’autres effets indésirables (retardés) se produiront probablement parallèlement à l’anaphylaxie (immédiate).

2. Les réactions négatives au « vaccin »

À ces effets négatifs, il faut en outre ajouter les réactions négatives. Le tableau ci-dessous récapitule les réactions au « vaccin Pfizer » (selon Pfizer) lors de la deuxième inoculation :

Réactions secondaires signalées du « vaccin » Pfizer

Note du traducteur : Colonne de gauche : Douleurs – Rougeurs – Gonflements – Fatigue – Fièvre – Maux de tête – Frissons – Vomissements – Diarrhées – Douleurs musculaires – Douleurs articulaires
Deuxième colonne : Toute réaction – Troisième colonne : réactions moyennes – Quatrième colonne : Réactions modérées – Cinquième colonne : Réactions graves

Toutefois, une réserve s’impose. Ce tableau se concentre uniquement sur le sous-groupe des 18-55 ans, essentiellement les jeunes et les personnes en bonne santé, qui développent rarement une forme grave de Covid-19 et en meurent encore plus rarement.

La fréquence des réactions secondaires est élevée : 59 pour cent éprouvent de la fatigue, 52 pour cent des maux de tête, 37 pour cent des douleurs musculaires. Presque tous les patients ont ressenti des réactions secondaires. La gravité des symptômes est également assez effrayante. Par exemple, 38 pour cent des sujets jeunes et en bonne santé ont éprouvé une fatigue modérée à forte et 26 pour cent des maux de tête modérés à forts. « modéré » signifie interférer avec l’activité et « grave » signifie empêcher l’activité quotidienne.

En revanche, la population générale a une probabilité de plus de 60 pour cent de ne pas avoir de symptômes après avoir contracté le Sras-CoV-2. La sous-population relativement jeune et saine sélectionnée par Pfizer a environ 80 pour cent de probabilité d’être asymptomatique. Ainsi, d’un côté, nous avons le « vaccin » Pfizer avec ses réactions secondaires garanties à 100 pour cent, et de l’autre, nous avons le Sras-CoV-2 à 80 pour cent asymptomatique.

Ce « vaccin » cause-t-il plus de symptômes que la maladie qu’il est censé guérir ?

Notez dans le tableau ci-dessus que, tout comme le tableau des effets indésirables des vaccins, seules les réactions négatives peu après l’inoculation sont enregistrées. Les réactions négatives survenues plus de deux mois après la première inoculation n’ont tout simplement pas été évaluées.

Cela signifie que nous n’avons aucune idée des risques à moyen et long terme du « vaccin ».

3. Les décès dus aux vaccins

La mort figurait sur la liste des effets indésirables de la FDA, et la FDA avait raison. Plusieurs décès sont survenus peu après la vaccination. Au début, les cas semblaient sporadiques. Un décès, puis un second sont survenus en Israël peu après l’inoculation. À peu près au même moment, un décès similaire est survenu en Suisse. Puis un médecin de Floride est mort peu après avoir reçu le « vaccin » Pfizer.

Le cas de la Norvège est plus singulier avec 2 décès dus au vaccin début janvier, suivis de 23 décès dans une maison de retraite. Cela fait un total de 25 décès dus au vaccin alors qu’environ 20.000 doses y ont été administrées dans les semaines précédant les « incidents ». Ainsi, le taux de mortalité lié au « vaccin » est d’environ 0,125 pour cent, ce qui est comparable au taux de létalité du Covid-19 mentionné plus haut. Et ces décès induits par le « vaccin » ne sont que les premiers et ils sont consécutifs à une seule inoculation.

Plus choquant encore est le cas des maisons de retraite de Nice, avec 50 décès en surnombre le 15 janvier, soit seulement 4 jours après le début des vaccinations. Au cours de ces quatre jours, environ 16.000 doses du « vaccin » Pfizer y ont été administrées. Cela donne un taux de mortalité préliminaire par vaccin supérieur à 0,3 pour cent, soit plus du double du taux de létalité du Covid-19 et, là encore, ce nombre de décès est limité à quelques jours après la toute première inoculation.

La Norvège et Nice ne sont pas des cas isolés. Après la première inoculation du « vaccin » Pfizer à 5.847 patients de Gibraltar, 53 d’entre eux sont morts en quelques jours. Cela représente un taux de mortalité lié au vaccin de 0,9 pour cent. Une maison de retraite de New York qui n’avait connu aucun décès dû au Covid-19 avant la vaccination, a signalé 24 décès juste après la vaccination de 193 résidents. Cela représente un taux de mortalité vaccinale de 12 pour cent. La liste des victimes du vaccin se poursuit, et ce juste après la première dose.

Le « médicament » est-il plus mortel que la maladie qu’il est censé guérir ?

Bien entendu, les autorités nient tout lien entre les vaccinations et ces décès. Elles accusent les comorbidités. Quand un individu vacciné avec des comorbidités meurt, c’est à cause des comorbidités. Lorsqu’un individu présumé positif au Sras-CoV-2 et présentant des comorbidités meurt, c’est à cause du Sras-CoV-2. Tout cela a-t-il un sens ?

Conclusion

Le Covid-19 est une maladie bénigne pour laquelle il existe des traitements sûrs et efficaces. Mais ces traitements sont interdits ou supprimés alors qu’un dangereux et inefficace « vaccin » à ARN nous est imposé par chantage : pas de vaccin = pas de liberté. Des dizaines de millions de personnes ont déjà été vaccinées.

Les élites ne veulent pas nous protéger, elles veulent nous contrôler. Ces créateurs de réalité autoproclamés ont fabriqué un vaccin [pour diffuser le virus] de l’« obéissance » qui s’est royalement retourné contre eux et s’est transformé en un [virus] mutant [diffusant la] « désobéissance ». Ils ont donc créé de toutes pièces une fausse pandémie afin d’imposer un vaccin qui, je crois, est conçu pour annuler les effets bénéfiques du mutant « désobéissance ». En outre, ce vaccin est plus mortel et plus nocif que la maladie mineure qu’il est censé guérir.

Mais au lieu de faire semblant de prévenir une fausse pandémie, le « vaccin » à ARN pourrait très bien se recombiner avec des endo-rétrovirus dormants et déclencher une véritable pandémie lors d’une seconde épopée. Si cela devait se produire, cela montrerait une fois de plus que l’histoire a un sens de l’ironie superbe.

yogaesoteric
31 mars 2021

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