L’Ordre des Chevaliers de Malte

Une influence sur la prise du pouvoir du nouvel ordre mondial

L’Ordre de Malte aujourd’hui

L’Ordre est toujours officiellement souverain : il peut donc émettre des timbres, battre monnaie, faire des passeports, avoir des ambassadeurs. Mais c’est une souveraineté sans territoire et une souveraineté limitée : l’ordre n’est pas indépendant du Vatican !

 

L’Ordre est toujours officiellement militaire, même s’il n’a plus d’armée ! L’Ordre de Malte est toujours catholique : le grand maître a rang de cardinal. L’Ordre est avant tout hospitalier : cette fonction est aujourd’hui bien réelle et fait de l’Ordre de Malte le plus ancien organisme humanitaire : en 1999, il a fêté son 900e anniversaire. L’Ordre de Malte, c’est en fait la « Croix Rouge » catholique.

La fête de l’Ordre de Malte a lieu le jour de la Saint Jean Baptiste, le 24 juin. Tous les ans, les chevaliers français se réunissent ce jour-là au château de Versailles. Jean Baptiste est en effet le saint protecteur de l’Ordre de Malte. Il existe d’autres ordres de Saint Jean ; ils ont tous la même croix dite de Malte.

Les origines

L’origine de l’Ordre est au monastère Sainte-Marie-des-Latins, fondé à Jérusalem au milieu du XIe siècle par des marchands amalfitains. Vers 1080, Gérard, supérieur du monastère crée un « hôpital » ou hospice, dédié à saint Jean, à côté du monastère. Le rôle de cet hospice est d’accueillir et de soigner les pèlerins chrétiens venus accomplir le « voyage de Terre Sainte ». Jérusalem est alors sous domination musulmane. La première Croisade de 1099 fait passer la ville sous la domination chrétienne, mais renforce l’insécurité dans la région. Les frères hospitaliers, reconnus comme ordre monastique le 15 février 1113 par le pape Pascal II, deviennent vite des chevaliers hospitaliers.

C’est le second ordre militaire de Terre Sainte après les Templiers fondés vers 1120. C’est le maître Hospitalier Raymond du Puy (mort vers 1160) qui transforme l’Ordre charitable en ordre militaire. Sur sa demande le pape Innocent II attribue aux Hospitaliers le drapeau à croix blanche en 1130 pour les différencier des Templiers qui portent la croix rouge.

Hospitaliers et Templiers jouent alors, et ce jusqu’au XIIIe siècle, un rôle de premier plan sur l’échiquier politique du royaume de Jérusalem. En 1137, ils reçoivent de Foulques Ier, roi de Jérusalem, la garde de la forteresse de Bath-Gibelin ; en 1142 celle du krak des Chevaliers. Leur structure militaire et leurs places fortes ont fait des Hospitaliers une armée très efficace, mais n’hésitant pas à s’ingérer dans la conduite du royaume, formant à la cour un véritable « parti de la guerre ». Parti de la guerre qui s’oppose aux « poulains » ces seigneurs francs nés en Terre Sainte, et plus favorables à une entente avec les musulmans.

La puissance de l’Ordre vient avant tout de ses possessions en Occident. En effet, sa double vocation, militaire et monastique, lui attire les faveurs de l’aristocratie, qui se sent plus proche de ces moines-chevaliers que des institutions ecclésiastiques. Cela est particulièrement frappant dans le Midi de la France et dans la péninsule ibérique.

Les dessous de l’Ordre de Malte

L’Ordre des Chevaliers de Malte est un des facteurs déterminants qui permettent de comprendre l’influence que le Vatican a su développer au cours de son histoire. Les chevaliers de Malte se définissent comme l’Ordre Souverain Militaire de Malte, ils ont joué un rôle prépondérant dans l’histoire moderne. C’est une organisation internationale, qui a des ramifications dans toutes les couches de la société, le commerce, la politique, les banques, les services secrets, l’Église, le monde de l’éducation, l’armée, la loge P2, l’ONU, l’Otan, etc. Cet ordre n’est pas la plus ancienne société secrète, mais une des plus anciennes branches de la société secrète « Order of the Quest » JASON Society, qui existe toujours à l’heure actuelle. Le président de l’ordre de Malte est élu à vie, avec l’accord du pape. Les chevaliers de Malte ont leur propre constitution, ils ont juré de soutenir les membres du Nouvel ordre mondial qui soutiennent le pape. La plupart de ses membres sont membres du CFR et des autres organisations secrètes.

L’Ordre des Chevaliers de Malte est un des facteurs déterminants qui permettent de comprendre l’influence que le Vatican a su développer au cours de son histoire. Les chevaliers de Malte se définissent comme l’Ordre Souverain Militaire de Malte, ils ont joué un rôle prépondérant dans l’histoire moderne. C’est une organisation internationale, qui a des ramifications dans toutes les couches de la société, le commerce, la politique, les banques, les services secrets, l’Église, le monde de l’éducation, l’armée, la loge P2, l’ONU, l’Otan, etc.

Cet ordre n’est pas la plus ancienne société secrète, mais une des plus anciennes branches de la société secrète « Order of the Quest » JASON Society, qui existe toujours à l’heure actuelle. Le président de l’ordre de Malte est élu à vie, avec l’accord du pape. Les chevaliers de Malte ont leur propre constitution, ils ont juré de soutenir les membres du Nouvel ordre mondial qui soutiennent le pape. La plupart de ses membres sont membres du CFR et des autres organisations secrètes.

Dans les années 30, les chevaliers de Malte ont recruté le général Smedley Butler, afin d’avoir une influence sur la prise du pouvoir à la Maison Blanche. Il était bien introduit dans la hiérarchie militaire, ce qui était un argument de première importance. Mais le général a vendu la mèche et a donné le nom des comploteurs. À leur tête se trouvait Raskob, un des fondateurs des chevaliers de Malte aux Etats-Unis et leur trésorier. Il était également président du conseil d’administration de la General Motors, le plus grand complexe industriel du monde. Il y a eu une commission d’enquête au Congrès, mais aucun des protagonistes cité n’a été condamné, Raskob non plus. Malgré le fait que l’on trouve ces informations dans les archives du Congrès, elles n’ont jamais été reprises dans un livre d’histoire ce qui montre bien l’étendue de l’influence de cette organisation.

Il est intéressant d’observer les analogies entre le scandale de l’Irangate et ce complot des années 30. William Casey était un chevalier de Malte, et avec l’aide de George Bush, d’Anne Armstrong et de Ronald Reagan, il réussit affaiblir le conseil de surveillance des services secrets pour les Affaires étrangères de telle sorte que lui-même, Bush et North purent traiter leurs affaires en toute illégalité, sans être détectés. Ils avaient également élaboré un plan pour modifier la Constitution, ce qui fut révélé à la commission du Congrès. Mais le président du Congrès, le sénateur Daniel Inouye, de Hawaii, ne leur en tint pas rigueur.

W. Casey a été chef de la CIA, membre du CFR et chevalier de Malte. Il était la tête pensante de la campagne électorale de Reagan, à la tête de la commission boursière et directeur de la banque du commerce extérieur pendant la présidence de Nixon. C’est Casey qui a organisé le financement des usines de poids lourds Kama en Union Soviétique, subvention à 90 % par le contribuable américain. Cette usine construisait des camions et des moteurs de chars pour les Soviétiques, elle était et est sans doute encore la plus grande usine de genre au monde. Elle produit plus de poids lourds que les usines de poids lourds américaines réunies. Casey a été assassiné plus tard…

Le Vatican a été infiltré par les Illuminati il y a fort longtemps et ce sont eux qui sont à la tête du Vatican désormais. Le nom de ROMA, la ville où se trouve le Vatican, est le AMOR à l’envers. ROMA l’envers de l’amour, capitale de l’empire romain et du nouvel empire chrétien. C’est la ville des Illuminati par excellence. L’affirmation que le Vatican a été infiltré par les Illuminati et les Francs-maçons est renforcée par le fait que le pape Clément XII a édicté en 1738 une bulle qui précisait que tout catholique qui faisait partie de la franc-maçonnerie serait excommunié. Pour un croyant sincère, c’était une punition sévère. En 1884, le pape Léon XIII a fait une déclaration qui accusait la franc-maçonnerie d’être une société secrète, qui voulait «faire revivre les comportements et les coutumes des païens » et « établir le royaume de Satan sur Terre ».

Pier Compton décrit dans son livre « La croix brisée », de façon précise, comment les Illuminati ont infiltré le Vatican. L’oeil qui voit tout à l’intérieur du triangle est un symbole luciférien utilisé abondamment par les responsables catholiques et jésuites. On le retrouve dans le logo du Philadelphia Eucharistic Congress de 1976, et sur un timbre du Vatican de 1978, avec la description symbolique de la prise de pouvoir réussie des Illuminati. Compton relate que l’oeil qui voit tout à l’intérieur du triangle était gravé sur la croix personnelle du pape Jean XXIII. Il révèle de plus que des centaines de prêtres, d’évêques et de cardinaux sont membres de sociétés secrètes. C’est valable pour le secrétaire privé du pape, le directeur général de Radio Vatican, l’archevêque de Florence, le prélat de Milan, l’éditeur du journal du Vatican, le responsable de l’ordre des Bénédictins. Ces personnes sont celles qui sont connues en Italie, sans parler de ceux qui sont membres de la fameuse loge P2. Le premier ambassadeur américain au Vatican s’appelait William Wilson, il était chevalier de Malte. Son accession à ce poste était entachée d’illégalité et contraire à l’éthique, puisqu’il avait juré obédience au pape et qu’il ne pouvait donc pas être en même temps le représentant des États-Unis.

Malgré l’embargo décrété contre la Libye par Ronald Reagan, Wilson s’est rendu dans ce pays et a rencontré de hauts responsables. Le State Department a toujours nié cette visite. L’embargo n’a pas empêché de grandes compagnies pétrolières américaines de faire des affaires en Libye. Une de ces compagnies, dont plusieurs membres sont chevaliers de Malte, était représentée par Peter Grace, son président. Wilson aurait dû être limogé après son voyage en Libye mais on le retrouve à la messe de Pâques papale à côté du ministre américain des Affaires étrangères, George Schultz, et sa femme. En langage diplomatique, cela signifie que son acte a été apprécié. George Schultz est évidemment membre du CFR, il est également membre du Bohemian Club et de la Bechtel Corporation, qui ont des liens étroits avec les Skull&Bones et les chevaliers de Malte. Myron Taylor, chevalier de Malte, était conseiller du président Roosevelt, John McCone, chevalier de Malte également, était celui de J. Kennedy. Il était aussi chef de la CIA au début des années 60. Robert Wagner, un autre chevalier de Malte, était conseiller de Jimmy Carter. George Bush a nommé Th. Medley, chevalier de Malte, au poste d’ambassadeur au Vatican.

Ronald Reagan a tenu un discours à l’assemblée annuelle des chevaliers. La plupart des membres de cette organisation profitent de l’immunité diplomatique, ce qui facilite grandement les opérations de l’Ordre. La colonne vertébrale des chevaliers de Malte est la noblesse. La moitié de leurs 10.000 membres appartient aux plus vieilles familles d’Europe, ils renforcent ainsi le lien entre la Noblesse Noire et le Vatican. À la tête de la Noblesse Noire on trouve la famille qui a pu prouver son lien de parenté avec le dernier empereur romain, les Habsbourg ! Le Vatican a fondé dans le New Jersey le centre Jean Paul II pour la prière et la recherche de la paix. C’est Elmer Bost, mort en 1978, qui a légué la maison, par l’entremise de l’archevêché de New York. Bobst était multimillionnaire et dirigeant de la Warner Lambert Company. Les directeurs successifs du centre ont été Kurt Waldheim, ex-secrétaire général de l’ONU, impliqué dans les crimes de guerre nazis, Cyrus Vance, ancien ministre des Affaires étrangères sous Jimmy Carter, membre du CFR et de la TC, Clare Booth Luce membre des chevaliers de Malte, et Peter Grace, président des chevaliers de Malte aux États-Unis. Le centre fait partie du nouveau plan de paix papal qui doit contribuer à l’unification du monde. Voici les 3 principaux objectifs attribués au centre :

1. Éducation et préparations des catholiques et de leurs enfants à accepter le nouvel ordre mondial.
2. Devenir le siège du grand ordinateur de la paix, pour surveiller et trouver des solutions aux problèmes qui mettraient en danger la paix mondiale.
3. L’ordinateur est chargé de trouver les solutions adaptées aux problèmes qui pourraient se poser.

Les grandes nations ont donné leur accord et ont transféré une part de leur souveraineté au pape. Mais d’abord il faut instaurer ce nouvel ordre mondial. Il y a plusieurs indices qui montrent qu’il a vu le jour, en secret, le 19 janvier 1989. Comparons les enseignements de Jésus avec les préceptes des Illuminati, et avec l’extrait suivant : le Vatican a confirmé publiquement à maintes reprises que le pape « est un fervent défenseur du désarmement, qu’il appuie l’élimination de la souveraineté des nations, qu’il est d’avis que les droits de propriété fonciers ne sont pas des droits légitimes et que seul, lui, est en mesure de décider ce qui est bon ou non pour l’humanité ».

Jetons un oeil sur le parcours de Jean-Paul II. Bill Coopers dans son livre « Behold a Pale Horse », écrit la chose suivante : « Au début des années 40, I.G. Farben engage un Polonais qui avait vendu du cyanure aux nazis. Ce vendeur avait même participé à l’élaboration du produit en tant que chimiste. Après la guerre, de peur d’être accusé de crimes de guerre, ce vendeur est entré dans l’Église catholique, il a été ordonné prêtre en 1946. Un de ses plus fidèles amis s’appelait Dr. Wolf Schmugner, celui qui a mis au point la campagne de vaccination contre l’hépatite B, entre novembre 1978 et octobre 1979, et entre mars 1980 et octobre 1981, à travers le Centre of Disease Control. Cette campagne a eu lieu à New York, à San Francisco et dans quatre grandes villes américaines, elle a sans doute contribué à faire exploser le SIDA sur le continent nord-américain. »

Ce vendeur de cyanure est devenu le plus jeune évêque polonais en 1964, et après les 30 jours de régence de son prédécesseur assassiné, il est devenu le pape Jean Paul II en 1978. Ce qui veut dire que 1990 était la bonne année, avec les bons dirigeants : l’ancien chef du KGB M. Gorbatchev, l’ancien chef de la CIA et membre du Comité des 300, George Bush, l’ancien vendeur de cyanure, Jean Paul II, tous ensemble, composant la régence la moins en odeur de sainteté que l’on puisse imaginer sur le chemin du nouvel ordre mondial.

« Le président américain George Bush et le président soviétique Gorbatchev sont arrivés hier sur cette île de la Méditerranée, pour une conférence au sommet qui commence aujourd’hui. Tous deux espèrent que cette rencontre scellera le début du nouvel ordre mondial. » (New York Times, 1er décembre 1989).

Il n’existe pas d’indices qui prouvent que Jean Paul II n’est pas lui-même membre des Illuminati. C’est lui qui a annulé la bulle contre les Francs-maçons, le 27 novembre 1983, et qui a permis à des catholiques de pouvoir à nouveau devenir membre d’une société secrète, sans craindre d’être excommuniés. Il a lancé un défi aux responsables mondiaux, en affirmant que les hommes avaient reconnu l’autorité absolue du Vatican en acceptant sans contester les décisions du Concile de Laodicée de 364 ap. J.C., qui avait fait du dimanche le jour du Sabbat. Le Sabbat est habituellement fêté le samedi.

Le seul peuple qui s’est opposé à cette décision est le peuple juif, dont le Sabbat a toujours été fêté le samedi. C’est une des raisons qui font que le Vatican n’a reconnu l’état d’Israël qu’en 1993. Le Vatican n’accepte même pas le nom d’Israël. Il utilise toujours le mot Palestine en parlant d’Israël. Le 12 décembre 1984, le Los Angeles Times cite le pape : « Pour l’absolution de vos péchés ne vous tournez pas vers Dieu, venez à moi ! »

C’est un pur blasphème ! Le pape se met au-dessus du dieu des chrétiens. Ainsi s’accomplit la prédiction de l’Apocalypse de Saint Jean. Les Illuminati sont arrivés à l’un de leurs objectifs, mettre un des leurs sur le trône de « Saint Pierre ». La prise de pouvoir au Vatican a été symbolisée par la tiare du pape qui a été offerte à la ville de New York en 1964.

On ne peut pas passer sous silence les Bilderberger, car le prince Bernard Lippe-Biesterfeld des Pays Bas, le fondateur des Bilderberger, est la seule personne qui puisse opposer son veto à l’élection d’un pape au Vatican. Pourquoi ? Parce que sa lignée, les Habsbourg, sont les descendants directs du dernier empereur romain. Le prince Bernard, dit-on, préside la Noblesse Noire.

Il prétend être un descendant de la famille de David, donc de Jésus. Le cercle intérieur des Bilderberger est constitué de trois commissions, composées chacune de treize personnes, c’est donc un noyau dur de 39 Illuminati. Les trois commissions représentent les trois composantes des Illuminati : les Francs-Maçons, le Vatican et la Noblesse Noire. Il convient d’ajouter que les Francs-Maçons ont été phagocytés par le Khasars, au moins depuis les Illuminés de Bavière d’Adan Weishaupt. Il faut savoir que la moitié des papes étaient circoncis, que l’on trouve le symbole du rite écossais de la maçonnerie, la croix inclinée à l’intérieur d’une couronne, dans beaucoup d’églises et que la Noblesse Noire est infiltrée par les juifs depuis le 17’ème siècle.
 
 



yogaesoteric


12 mai 2019

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