Nous y sommes…….

Nous y sommes….… Nous avons franchi le seuil invisible qui sépare une société libre d’une société sous contrôle. Chaque jour, les chaînes invisibles se resserrent autour de nous, et ceux qui n’ont pas encore ouvert les yeux se croient toujours maîtres de leur destin. Mais la vérité est là, évidente, frappante : nous avons déjà perdu une grande part de notre liberté. Les technocrates, les élites et les multinationales orchestrent une symphonie sinistre dans laquelle nous sommes tous réduits à des instruments de contrôle, des données à exploiter. Nous avons permis que la liberté d’expression, la pensée critique, et même le droit à la vie privée soient sacrifiés sur l’autel du « progrès ».

Le piège se referme lentement. La surveillance numérique, l’euthanasie masquée sous des promesses humanistes, la dépendance sanitaire et financière imposée par les régimes technocratiques, tout cela forme un réseau de domination qui nous étouffe. Et pendant que l’illusion de démocratie persiste, le peuple, abruti par les distractions et la peur, se fait complice de sa propre soumission.

Nous vivons dans une société inversée, où la vie humaine est de plus en plus perçue comme une marchandise à gérer, et où la mort, loin d’être un tabou ultime, devient désormais un instrument de contrôle. L’euthanasie, cette pratique macabre, se normalise progressivement sous couvert de « liberté de choix » et de « dignité humaine », mais il ne faut pas être naïf car ce n’est pas de la dignité, c’est un outil pour éliminer les « éléments gênants », ceux qui ne rentrent pas dans la norme imposée par ce régime technocratique. L’objectif clair est de réduire la population, contrôler ceux qui ne sont plus jugés rentables, et se débarrasser de ceux qui résistent à l’ordre établi.

Mais cela ne s’arrête pas là. Dès 2026, il est prévu d’imposer des prises de sang annuelles et obligatoires, une véritable traque biologique de chaque citoyen, afin de mieux contrôler son « état de santé » et ainsi ajuster le niveau de surveillance, de restriction, et de traitement. Cette mise en place graduelle d’un fichage médical obligatoire vise à conditionner chaque individu dès sa naissance, à l’inscrire dans un système où sa santé, son corps et son esprit seront gérés comme une donnée qu’il ne contrôle plus. Les injections « vaccinales », ou plutôt les seringues de soumission, deviennent les instruments d’un contrôle médical mondial, où chaque piqûre est une affirmation de la domination sur votre corps. Car le corps humain devient un terrain d’expérimentation, un laboratoire à ciel ouvert, où le gouvernement et les multinationales de la santé auront tous les droits, et où toute réticence, toute résistance, deviendra suspecte, voire condamnable. Il ne s’agit plus de « soigner », mais de maintenir la population dans un état de soumission permanente, de l’empoisonner progressivement sous couvert de « protection sanitaire », de manipuler sa biologie pour mieux la contrôler. On nous parle de santé publique, mais la vérité est que l’on cherche à maintenir le peuple malade, fragilisé, dépendant de l’État et des grandes entreprises pharmaceutiques.

Dans cette logique, la mort devient un instrument de gestion. Non pas la mort naturelle, mais celle qui est administrée, organisée, contrôlée. Une mort lente par l’obligation, par la dépendance, par la maladie. Une mort qui est l’aboutissement d’une société qui glorifie la tyrannie au nom du « progrès ». Sous le prétexte d’assurer le bien-être, on efface toute notion de liberté, on ôte tout droit au citoyen de choisir son destin, de préserver son corps, sa santé, et même sa pensée. Dans ce monde, il est plus facile de tuer une idée qu’une personne. Et c’est précisément ce que l’on cherche à faire. Les tyrans cachés chez nos dirigeants veulent désormais tuer l’individu, le réduire à une statistique, une donnée, un « consommateur docile » prêt à se soumettre à une administration de la mort bienveillante, mais systématique.

L’ignoble crédit social à la chinoise, cette prison numérique où l’individu se transforme en simple algorithme, est bien plus qu’une utopie technocratique, c’est le rêve inavoué de tous les tyrans de la planète. À commencer par ceux de l’Union Européenne, ces architectes malveillants de la surveillance mondiale, qui œuvrent sans relâche à l’édification d’un système où la liberté ne serait plus qu’un concept archaïque. Derrière leur façade mensongère de « progrès » et de « sécurité », se cache une mécanique implacable qui vise à réduire chaque citoyen à un numéro, à une donnée exploitable, à une pièce interchangeable dans une gigantesque machine de contrôle destinée à détruire toute forme d’humanité. Ce modèle inhumain, inspiré du pire des régimes autoritaires, est imposé sous des airs de progressisme décadent. Pourtant, il ne s’agit que d’une prison invisible, un étau qui se resserre lentement autour de chaque individu, effaçant les frontières entre vie privée et surveillance de masse, entre choix libre et conditionnement numérique. À l’instar de la Chine, l’Union européenne rêve de transformer chaque citoyen en un « modèle idéal », à l’image d’un esclave moderne. Ce n’est pas une vision fantasmée, mais une réalité qui s’esquisse de plus en plus clairement à mesure que les lois et les technologies se mettent en place pour contrôler, homogénéiser et conditionner les populations.

Comme dans le film Soleil Vert (1973), où une société dystopique utilise l’euthanasie comme méthode pour éliminer les « éléments gênants » tout en maintenant les masses dans une docilité absolue, l’UE, à travers ses politiques et ses mécanismes technocratiques, cherche à créer une population parfaitement obéissante et homogène, prête à se soumettre sans résistance. Avec un classement en citoyen de première ou de seconde classe, noté, surveillé, jugé à chaque instant. Un système où l’on vous attribue une note sociale, non pas sur vos actes, mais sur vos opinions, vos comportements, vos achats, vos relations. Chaque bon pas devient un indice de votre loyauté, et chaque opinion divergente, un risque à éliminer. Car ce projet monstrueux n’est plus une possibilité lointaine, il est déjà en construction sous nos yeux, par ceux qui se présentent comme nos « protecteurs ». Mais de quelle protection parle-t-on, lorsque la liberté d’expression devient un délit et que la moindre « erreur » sociale vous marque à vie ? Ce n’est pas un progrès, c’est un retour en arrière, une régression monstrueuse vers une forme de contrôle totalitaire où l’humain n’est plus qu’un rouage parmi tant d’autres, déshumanisé et docile. Cela s’inscrit dans l’idée de contrôle absolu, de réduction de l’individu à une simple donnée manipulable, où la gestion de la vie et de la mort devient une politique publique visant à soumettre le peuple. Il s’agit d’une société de conditionnement total, où chaque aspect de l’existence humaine, de la naissance à la fin de vie, est régi par des forces extérieures. La tyrannie douce se manifeste ainsi dans la manière dont la vie et la mort sont instrumentalisées.

Dans cette société de surveillance omniprésente, l’individu est réduit à une atomisation totale. Le collectif s’effondre, et l’individu devient une entité isolée, coupée de toute forme de solidarité, de tout mouvement collectif. Il est seul face à l’État, seul face aux algorithmes, seul face à une économie qui l’écrase sous le poids de la consommation. Ce phénomène d’isolement est voulu et conçu car en coupant les liens sociaux, en éradiquant la possibilité de résistance collective, le système assure que chaque individu se soumettra sans résistance, craignant pour sa place, pour son statut, pour sa survie dans cette machine de contrôle. Ce repli sur soi, cette culture de l’individualisme, est une autre arme de domination. Car dans un monde où l’on vous fait croire que vous êtes seul, vous n’avez aucune force pour contester. Vous devenez une cible parfaite, réduite à une donnée exploitable, prête à être analysée et manipulée.

Alors, bienvenue désormais dans l’ère du crédit social à l’européenne. Un crédit social qui, loin d’être une utopie de bienveillance, est l’instrument final et implacable de cette dictature numérique gérée par des fous d’hybris. Une dictature où votre argent, vos choix, et même vos pensées, deviennent conditionnés par des algorithmes invisibles mais pourtant omniprésents. Demain, ce sera désormais suspect et bientôt interdit d’avoir de l’argent sur soi. Un « excès de cash » pourrait vous coûter cher, vous marquer comme un élément à surveiller, un dangereux activiste ou pire, comme un individu libre. Chaque geste, chaque acte quotidien devient désormais un indice de votre comportement, une donnée que l’on traque, qu’on analyse, qu’on programme. Et voilà, l’inexorable glissement vers la soumission se poursuit. Ce n’est plus un simple contrôle, c’est une domination complète et silencieuse.

Aujourd’hui, l’État profond n’a même plus l’ambition de se cacher et règne de façon tyrannique en toute transparence, réécrivant les règles à sa convenance, en utilisant les données comme une arme de contrôle et de soumission. Ce n’est pas un hasard si les lois sur la « sécurité numérique » ne protègent rien d’autre que leur ordre établi pour favoriser cette mafia meurtrière. Elles servent avant tout à museler la contestation, à écraser toute forme de rébellion qui pourrait émerger dans l’ombre des écrans de propagande. Votre liberté d’expression est d’ailleurs redéfinie comme étant un danger, une menace, une nuisance pour leur ordre qu’ils voudraient public. La parole dissidente devient un délit, et les réseaux sociaux ne sont plus des lieux d’échange mais des terrains de surveillance. Parce que, soyons clairs, un peuple qui réfléchit n’est pas un peuple qui peut être contrôlé par des psychopathes patentés. Alors, on l’efface, on le dilue dans une mer d’algorithmes, là où la « démocratie » devient un joli mot vidé de tout sens.

La santé publique, dirigée par les milliardaires finançant l’OMS, cette arme parfaite pour masquer le contrôle absolu, devient même l’excuse numéro un pour justifier des restrictions qui se multiplient sans fin. Un virus est médiatisé, et c’est l’occasion rêvée, pour ces assassins de masse, d’enfermer les foules dans une obéissance aveugle maintenue par les violences policières. Chaque crise qu’ils fabriquent artificiellement devient alors un prétexte de plus pour renforcer ces chaînes invisibles et cette prison numérique qu’ils ont construite autour de nos vies. Quoi de plus facile que de capitaliser sur la peur et l’incertitude pour imposer des mesures qui, sous couvert de protection, fragilisent encore plus les droits des citoyens ? Mais le masque est tombé, et derrière la « protection sanitaire », on trouve un contrôle social sans précédent. La peur est devenue le seul carburant de ce nouveau pouvoir dirigé par des tyrans dégénérés. Qui osera encore dénoncer les dérives lorsqu’une pandémie justifie toutes les entraves ? Qui prendra le risque de s’opposer lorsque la santé devient la justification de l’inacceptable ? Et que faites vous en découvrant tout cela ? Vous suivez sans broncher, vous accepter sans vous rebeller, vous allez même jusqu’à trouver des arguments pour le justifier, pensant encore que c’est pour votre bien. Pourquoi ? Et bien parce qu’il est bien plus confortable de se laisser guider que d’affronter la vérité.

Sous couvert de progrès, un nouvel ordre se dessine, où l’homme ne sera plus qu’une simple extension de la technologie, une machine perfectible. Le transhumanisme, ce rêve morbide des élites technocratiques, vise à effacer l’humain dans sa forme originelle pour en faire un objet programmable, une machine parfaite au service du système. La biotechnologie, l’intelligence artificielle, et la surveillance biométrique ne sont pas là pour améliorer l’humanité, mais pour l’asservir. L’individu, transformé en un simple agglomérat de données, perd toute capacité d’autonomie et devient une simple composante dans un engrenage plus vaste, où chaque pensée, chaque émotion, chaque réaction est régulée. Ce n’est plus l’homme qui façonne son destin, c’est la machine qui dicte ses choix, et la question qui se pose n’est plus « qui suis-je ? », mais « comment suis-je contrôlé ? » Le transhumanisme n’est pas l’avenir, c’est la fin de l’humanité.

La liberté d’expression devient un danger à juguler, une bête noire à exterminer sous le prétexte de la « protection des mineurs », à qui leurs écoles apprennent pourtant la fellation dès l’âge de 9 ans. La censure numérique, dissimulée derrière une apparence de bienveillance, est en réalité une surveillance préventive de la pensée, une asphyxie de la liberté individuelle et du droit à s’instruire autrement qu’avec leurs programmes « républicains ». Et pendant ce temps-là, le pays s’endette, se vassalise, se barbarise lentement mais sûrement sous le poids des créanciers internationaux qui empochent les dividendes. L’illusion de souveraineté a depuis longtemps volée en éclats, et nous voilà réduits à de simples marionnettes manipulées par des forces maléfiques et malfaisantes. Mais tout cela, bien sûr, ne semble visiblement pas perturber grand monde, vu l’état d’avachissement généralisé du pays.

Le vote électronique, on vous le présente comme une « modernisation » du système, une avancée inéluctable, une avancée « républicaine ». Mais que vous soyez naïf ou complice, cette nouvelle forme de vote efface la réalité fondamentale de la souveraineté populaire comme individuelle. Le peuple, une fois de plus, est vidé de son essence, réduit à une simple donnée numérique qui sera traitée par un algorithme sans âme. Le choix populaire devient une illusion, un simulacre. Un click, un vote, mais derrière, aucune souveraineté. La machine prend le pas sur l’homme, les décisions sont prises ailleurs, par des mains invisibles et froides. Mais que vous soyez naïf ou complice, cette nouvelle forme de vote efface la nécessité fondamentale de la souveraineté populaire.

Les médias, ces chiens de garde du pouvoir, ne sont plus des outils d’information, mais des instruments de soumission. Ils manipulent l’opinion publique, distillent des narratifs qui confortent le système en place, et effacent toute pensée divergente. Dans ce marécage de propagande, les vérités gênantes sont noyées sous des flots de mensonges et de demi-vérités. La censure s’opère subtilement sous couvert de lutte contre « la désinformation », c’est bien la vérité qui est muselée. Les informations sont filtrées, sélectionnées et réorientées pour préserver l’ordre établi. Le peuple, abreuvé d’images et de récits soigneusement élaborés, devient un spectateur passif, incapable de voir au-delà de l’écran qui lui est tendu. Nous assistons à une guerre de l’information où chaque mot, chaque image est un coup porté à la liberté de pensée. Les voix dissidentes sont étouffées, tandis que les narratifs officiels deviennent des dogmes à suivre aveuglément.

Et à propos de dogme, sous le masque du développement durable et de la transition énergétique, un contrôle féroce des ressources naturelles est en train de se mettre en place, non pas pour le bien-être de l’humanité, mais pour asseoir un pouvoir totalitaire sur les peuples. L’eau, l’énergie, l’agriculture, toutes ces ressources vitales sont désormais soumises à la loi du marché mondial, à la gestion privée et à l’exploitation sans limites des grandes corporations. La gestion de ces ressources devient un levier de domination, une manière de réduire les peuples à la dépendance, de les priver des moyens de subsistance, et de leur faire accepter tout sacrifice au nom du « bien commun ». Ces ressources, aujourd’hui contrôlées par des entreprises privées, sont utilisées comme des armes pour manipuler les sociétés, pour les plonger dans des crises artificielles, tout en maintenant un contrôle absolu sur la population. Nous assistons à une colonisation des éléments vitaux de la vie, qui, sous prétexte de développement et de progrès, sert à soumettre les peuples à la volonté d’une élite mondiale sans visage.

En parallèle, les réformes politiques et économiques se succèdent, toutes plus dévastatrices les unes que les autres. Le vote électronique, en apparence une avancée démocratique, est en réalité la clé d’une prison dorée. Les lois « modernes », telles que la réforme des retraites ou la privatisation rampante des services publics, se cachent derrière le prétexte d’une nécessité économique, mais leur véritable but est d’assujettir la population à un système de dette perpétuelle, la réduire en esclavage à des créanciers invisibles. Pendant ce temps, Macron et ses acolytes, eux, s’attaquent à ce qu’il reste de liberté d’expression sous le masque de la « protection des mineurs » et d’une soi-disant « lutte contre la haine ». La censure numérique devient une norme, non un excès. La pensée dissidente n’a plus sa place, car elle est perçue comme un danger pour l’unité du pouvoir mafieux qui se gave sur notre dos.

Ce régime, dont l’emprise se resserre chaque jour un peu plus, n’a qu’un but, annihiler la pensée critique. Le système éducatif, devenu une simple machine à formater des cerveaux dociles, ne fait plus qu’enseigner l’obéissance. Les jeunes générations, assises sur leur canapé, absorbent passivement la doxa médiatique, sans jamais être incitées à remettre en question la vérité qu’on leur impose. La liberté de penser devient un luxe que seuls les résistants se permettent. L’intellectuel est désormais un paria, et l’esprit critique, un danger public. Ce modèle éducatif n’éveille pas, il endort. Nous vivons dans un monde où penser autrement est devenu suspect, et où la capacité à se poser des questions est étouffée par une pensée unique imposée par les élites. La régression intellectuelle n’est plus seulement visible, elle est devenue une condition sine qua non pour appartenir à cette société déshumanisée. Et tout ça, bien sûr, sous couvert de « progrès ».

On vous parle de modernité, mais en réalité, on vous enfonce un totalitarisme technologique en douceur, à peine plus évolué que celui du moyen-âge et de son servage. Gérald Darmanin, Retailleau, Macron ou Christine Lagarde ne sont que les agents méphitiques des grands architectes de cette société de surveillance intégrale basé sur l’intelligence artificielle, puisqu’eux-mêmes en sont dépourvus. La reconnaissance faciale, le traçage algorithmique, la criminalisation du cash, le vote électronique falsifiable à souhaite et bien entendu l’euthanasie (ou le meurtre institutionalisé) pour éliminer toute opposition….… tout cela n’est pas là pour protéger vos libertés, mais pour assurer que vous restiez bien sous leur contrôle. Le WEF, l’UE et la BCE construisent un univers où chaque centime que vous dépensez devient un indice, chaque retrait devient une rébellion potentielle, chaque pensée une menace, chaque action une opposition. L’union Européenne est un carcan créé pour nous annihiler.

Il ne s’agit donc plus simplement de « sortir » de l’Union Européenne, comme si un simple divorce avec cette institution suffirait à mettre fin à la calamité qu’elle représente. Non, il faut détruire cette machine mafieuse qui, sous des airs de diplomatie et d’internationalisme, sert en réalité de moulin à vent pour des intérêts privés et des lobbies puissants. La véritable question n’est pas de savoir si un pays doit ou non quitter cette organisation, mais bien de démanteler l’UE dans sa forme actuelle. Cette institution ne se contente pas d’imposer des régulations inefficaces et d’étouffer les souverainetés nationales, elle est devenue un repaire de truands, de technocrates corrompus et de politiciens à la solde des multinationales, qui siphonnent les ressources publiques pour leur propre enrichissement. L’UE ne se contente pas d’engraisser les bureaucrates et les élites bruxelloises, elle détruit les peuples en les asphyxiant économiquement, socialement et culturellement. Elle impose des mesures d’austérité aux plus vulnérables tout en accordant des privilèges immenses aux grandes corporations.

Mais avant de pointer du doigt uniquement les responsables institutionnels, il est impératif de se rendre compte que cette situation ne s’explique pas seulement par la corruption des élites. La responsabilité repose aussi sur nous, sur cette société qui, par confort ou négligence, a permis à ce système de s’installer et de se renforcer.

Car à qui la faute ? À la mafia de l’Union Européenne, c’est certain. À l’État, sans aucun doute, comme à cette classe dirigeante qui profite des failles et des fragilités du système pour installer son contrôle, n’en doutons pas ! Mais aussi à vous, à nous tous, qui avons accepté cette évolution en silence. Les peuples, eux, plongés dans leur apathie, préfèrent le confort des distractions à l’odeur nauséabonde de la vérité. L’égoïsme individualiste, cultivé avec soin, empêche toute prise de conscience collective. Les masses, toujours plus focalisées sur leurs petits plaisirs, sur leurs divertissements, ne se rendent même pas compte qu’on leur vole chaque jour un peu plus de leur liberté. Pas un cri de révolte. Pas un sursaut. Juste des « likes » et des « partages », pendant que tout est mis en place pour que la révolte soit un souvenir lointain, une chimère oubliée. Et vous assistez à tout ça en silence, confortablement installé dans votre bulle, à ignorer que vous êtes en train de perdre la seule chose qui vous restait avec votre souveraineté.

Obnubilés par leurs divertissements futiles, se combine à l’égoïsme des individus, heureux de vivre dans cette société de consommation, de loisirs et de sécurité, sans voir que chaque acte de soumission les rapproche un peu plus de l’extorsion pure et simple de leur liberté. Parce qu’au fond, l’Homme moderne préfère l’illusion du confort à la réalité de la liberté. Et dans cette passivité, l’État, l’algorithme, et l’élite technocratique avancent, inexorables, vers la consolidation de leur pouvoir.

Vous avez choisi d’oublier. Vous avez décidé de vous taire. Vous avez laissé passer. Et vous avez permis, sans le savoir, l’émergence d’un régime où l’individu est un pion, où la liberté est une illusion, où tout, même votre argent, est désormais sous contrôle. Et pendant que l’État fait sa danse, vous êtes son complice involontaire ! Et tout ce que vous trouvez à faire, c’est rester là, regarder et sourire, en espérant que le cirque continue encore un peu. Mais rassurez-vous, un jour, quand vous serez complètement dépossédé de vos droits, de vos biens, et de vos idées, vous pourrez toujours regarder le dernier épisode de votre série préférée.

C’est ce que nous sommes en train de perdre. Pas demain, pas dans un futur incertain, mais maintenant, sous vos yeux, dans l’indifférence générale. Cette société, où vous êtes réduit à un simple maillon d’une chaîne, ne mérite ni votre silence, ni votre acquiescement. L’heure n’est plus aux compromis. Il est temps de voir la vérité en face. Peut-être que vous n’aurez plus de voix pour protester demain. Peut-être que, dans quelques années, nous regarderons en arrière, avec horreur, en nous demandant comment nous avons pu laisser tout cela arriver. Mais à ce moment-là, il sera trop tard.

Il est temps de cesser de se soumettre. Le système qui nous oppresse survivra tant que nous choisirons de l’accepter. La résistance, bien qu’étouffée, existe encore. Il est grand temps que chacun d’entre nous réveille la flamme du combat intérieur, celui qui refuse la soumission, qui refuse de se laisser déshumaniser. Nous n’avons plus le luxe de l’inertie, de l’indifférence. C’est à nous de prendre les armes, non pas contre des ennemis extérieurs, mais contre ce monstre bureaucratique et technocratique qui ronge nos vies, nos libertés, et nos consciences. Il n’est plus question d’attendre un messie ou un sauveur, il est temps de se dresser, de reprendre nos droits et de les défendre sans relâche. Car si nous ne résistons pas, ce système nous engloutira, nous réduira en esclavage sous le prétexte de notre propre bien-être. Il est temps de crier, de nous unir, de briser le silence imposé par la peur. Parce que demain, il sera trop tard. Si nous ne faisons pas face à la réalité, nous serons les derniers témoins d’une civilisation qui se dissout dans la tyrannie.

Mais il est encore temps, si nous avons le courage de nous lever, de refuser d’être les marionnettes de ce système implacable, car oui, nous y sommes ! Alors, allons-nous accepter notre destin ou allons-nous nous battre pour reprendre le contrôle de nos vies, de nos pensées, et de notre humanité ?

 

yogaesoteric
11 juin 2025

 

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