Ondes scalaires (1)

 

La science officielle ne reconnaît pas l’existence des ondes scalaires. Quel intérêt ont-elles ?

L’intérêt est qu’elles expliquent le fonctionnement des machines à énergie libre, de la fusion froide, permettent une vision unificatrice des forces électromagnétiques avec la gravité, expliquent le pourquoi de la masse et les effets d’accroissement de masse à vitesse accélérée; et finalement si un génie les intégrait dans une vision globale de l’univers, cela serait certainement le pas majeur suivant dans la physique après celui de la physique quantique au début des années 1900.

Que sont-elles?

Elles sont une forme d’interférence produite par les ondes électromagnétiques classiques, et sont aussi le « bruit » énergétique engendré dans le vide, affublant le vide de cette caractéristique supplémentaire d’être rempli d’énergie.

On les appelle ondes scalaires car essentiellement elles sont caractérisées par leur magnitude (leur grandeur) qui est un scalaire (un nombre permettant de la mesurer), mais malgré tout aussi par une direction (donc comme un vecteur et plus un scalaire). Alors pourquoi cette forme de dénomination? Parce que contrairement à une onde électromagnétique, l’onde scalaire ne vibre pas dans l’espace selon un plan perpendiculaire à sa direction.

Comment se les présenter? Lorsque deux ondes électromagnétiques de même fréquence et de phase décalée de 180° sont émises en parallèle l’une à l’autre, elles s’annulent l’une l’autre : quand l’une vibre dans un sens, l’autre vibre dans le sens opposé, à chaque instant et chaque endroit de l’espace le long de leur trajet.

La résultante est nulle et produit une onde se propageant dans la même direction, mais ne vibrant plus: une onde scalaire. Oui, car chaque onde électromagnétique véhicule une énergie et la résultante des deux annule le mouvement de vibration, mais les énergies s’additionnent, donc il subsiste quelque chose qui ne vibre plus et se déplace en ligne droite: c’est ça une onde scalaire.

Mais elles vibrent d’une manière différente : par le changement de leur magnitude dans le temps. Elles sont aussi une forme de vibration du temps, une vibration dans la densité du temps car elles altèrent la courbure de l’espace et du temps, puisque le temps est énergie, et donc est sujet aux énergies émises par les ondes scalaires. Ceci prend sa forme lorsqu’on voit qu’en fin de compte le temps est une énergie compressée, comme l’est la matière depuis l’égalité E=mc².

C’est une pression qui ne se « voit » pas, qui s’exerce sur le vide dans lequel elles se déplacent. On peut s’imaginer deux personnes face à face présentant leurs mains l’une contre l’autre, doigt contre doigt et poussant chacune l’une contre l’autre avec la même force: il y a immobilité des deux personnes, mais une pression énergétique est présente entre les deux mains comprimées par l’effort.

Qui les produit ?

Elles sont produites par le vide (la physique quantique prévoit que le vide est rempli de particules virtuelles, c’est à dire indétectables car existant durant des fractions de seconde extrêmement courtes, qui apparaissent et disparaissent), et ces particules émettent des ondes électromagnétiques en interagissant les unes avec les autres, cela des millions de fois par seconde dans chaque micromètre cube d’espace vide. Donc des ondes électromagnétiques de toutes fréquences sont émises, dans toutes les directions, et ces ondes s’annulent les unes les autres, produisant un résultat total nul selon la physique quantique. Selon la physique des ondes scalaires, cela produit des ondes scalaires de toute direction et magnitude : le vide est rempli de pression d’ondes scalaires qui le remplissent d’énergie.

La différence avec la vision quantique, est que l’énergie n’a pas été perdue, mais a été transformée en ondes scalaires qui représentent des lignes de pression dans le continuum espace-temps.

Mais les ondes scalaires sont absorbées par la matière, qui en réémet à son tour ; et ainsi les ondes scalaires sont échangées à chaque instant par toute particule de matière. La matière absorbe et réémet des ondes scalaires, qui sont donc une énergie qui circule comme une forme de respiration.

Lien avec les potentiels

Selon la vision de Bearden, les forces de la nature dans le cadre de l’électromagnétisme et de la gravitation, sont dérivées d’un potentiel qui est matérialisé comme étant un flot d’ondes scalaires.

Il représente les potentiels comme une rivière qui coule : si on met un objet dans le courant, on voit qu’il est poussé (comme une particule électrique est poussée si elle est soumise à un potentiel électrique). On peut mettre autant d’objets qu’on veut dans l’eau, ils seront poussés, et on ne peut pas mesurer la force du flux de l’eau par le nombre d’objets qu’on met en travers. De plus le flux d’eau se renouvelle constamment par écoulement et repousse tout nouvel objet mis au même emplacement.

La rivière représente un potentiel (électrique, magnétique, gravitationnel) ; et l’écoulement du flux, le « rechargement » du potentiel est assuré par des ondes scalaires émises par l’objet générateur de ce potentiel. On va voir l’intérêt de cette idée juste après.

Lien avec la gravité

Les ondes scalaires sont des ondes gravitiques lorsqu’elles sont piégées en résonance entre deux corps. En effet, chaque particule émet des ondes scalaires et en reçoit. Imaginons deux particules A et B proches l’une de l’autre et émettant chacun des ondes scalaires. Chacune absorbe les ondes de l’autre et en réémet. Pour certaines fréquences d’ondes scalaires, et en fonction de la distance qui les sépare, une résonance se produit ; qui lie les deux particules l’une à l’autre : c’est la gravité. Plus les objets sont proches, et plus le nombre d’onde scalaire émise par l’un est absorbé par l’autre (ils se présentent une plus grande surface) et donc plus la résonnance entre ondes scalaires a lieu et l’attraction gravitique est grande : voilà pourquoi l’attraction gravitationnelle change avec la distance.

Il est alors possible d’augmenter la gravité d’un objet en lui émettant plus d’ondes scalaires, ou soustraire de la gravité en lui faisant émettre plus d’ondes scalaires qu’il en reçoit (en magnitude scalaire). Un objet qui se déplace comprime les ondes scalaires qu’il émet dans la direction de son déplacement, les rendant plus nombreuses devant lui: dans cette direction précise on perçoit plus d’ondes scalaires venant de lui, donc il parait plus massif (c’est l’augmentation de la masse avec la vitesse dans la direction du déplacement et pas dans la direction transverse). La matière représente un effet capacitif d’absorption des ondes scalaires qu’on appelle sa masse.

Lien avec le temps

Les ondes scalaires agissent sur le temps, car elles modifient la « vitesse » du temps. Elles changent la densité du temps, et les effets peuvent être mesurables effectivement avec des générations d’ondes scalaires concentrées en un point de l’espace. Les ondes scalaires courbent en effet l’espace-temps.

Dans un autre document, Bearden parle d’une expérience de production d’ondes scalaires qui a perturbé l’écoulement du temps pendant plusieurs jours : les horloges, qu’elles soient électroniques ou mécaniques avançaient parfois plus vite, parfois, moins; le temps que la matière réémette la totalité des ondes scalaires en trop plein qu’elle avait absorbée; pour que la situation redevienne normale.

Comment créer des ondes scalaires ?

Par interférence d’ondes électromagnétiques classiques, on produit des zones destructives et d’autres constructives des ondes. Mais les zones destructives correspondent à des zones de création d’ondes scalaires. Il est assez aisé de produire des ondes scalaires finalement. Le toute étant de savoir qu’elles existent, qu’elles sont créées, de canaliser leur direction.

Mais l’inverse est aussi vrai, si on a des producteurs d’onde scalaire, on peut interférer des ondes scalaires à distance pour ensuite produire par interférence des ondes électromagnétiques. Ainsi on transporte de l’énergie électromagnétique à distance, sans qu’elle soit perceptible le long de son chemin.

Potentiel militaire

On a depuis longtemps entendu parler de la « technologie de la lumière » et des sources conspirationnistes parlent depuis longtemps d’une technologie capable de tuer à distance, faire exploser à distance, manipuler la météo, etc.

Dans la suite de son livre électronique, Bearden donne des témoignages mettant en évidence l’utilisation des ondes scalaires comme arme militaire un peu partout dans le monde. Ces armes ont remplacé et supplanté les armes nucléaires, raison du désarmement nucléaire engagé par les deux blocs, est et ouest, à l’époque de la fin de la guerre froide.

On retrouve des schémas comme ceux utilisés par Tesla, la production d’un « rayon mortel », le « death ray » cher à Tesla, qui avait découvert les ondes scalaires et leur utilisation militaire potentielle.

Ensuite il suffit de se demander à quoi servent et comment marchent les antennes de HAARP. On savait qu’elles émettent des ondes électromagnétiques, mais voilà comment on utilise leur potentiel: par la création d’ondes scalaires. Car les ondes scalaires ont un effet sur le coeur de la matière, maintenant en place ou non la cohésion du noyau des atomes; permettant de refroidir ou réchauffer des zones d’atmosphère, etc.

Elles peuvent aussi tuer instantanément des êtres vivants en arrêtant l’intégralité des communications micro-électriques dans les cellules (témoignages à l’appui).


Lisez la deuxieme partie de cet article

 

yogaesoteric
16 décembre 2018

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