L’Opération Coronavirus et l’Agenda des Nanotechs travaillent main dans la main

Voici la traduction d’un article publié le 7 octobre 2020 par Makia Freeman sur le site The Freedom Articles, média alternatif et indépendant, article intitulé « Operation Coronavirus is Working Hand-in-Hand with the Nanotech Agenda »

L’histoire : c’est un fait ouvertement admis que les vaccins COVID en développement aujourd’hui sont des vaccins nanotechnologiques, qui utilisent diverses plateformes et systèmes d’administration.

Les implications : le COVID est un prétexte pour faire avancer le sinistre agenda des nanotechnologies et l’insertion à l’intérieur du corps humain de nanocapteurs capables de transmettre et recevoir des données.

L’agenda des nanotechs…

…qui prévoit l’implantation de minuscules capteurs, instruments et machines à l’échelle du nanomètre à l’intérieur du corps humain – a pris un coup d’accélérateur avec l’actuelle fausse pandémie que j’ai décidé d’appeler Opération Coronavirus. Mon article précédent « Un biocapteur sous la forme d’un hydrogel : des implants nanotechnologiques à l’intérieur des Vaccins COVID ? » (en anglais) aborde l’éventualité que les vaccins COVID à venir puissent intégrer de la nanotechnologie, élaborée par la DARPA (l’Agence américaine pour les Projets de Recherche Avancée de Défense, NDLT) et appelée « hydrogel », un biocapteur intégré au corps humain, connecté au Réseau Intelligent 5G et capable de communiquer aussi bien en émission qu’en réception.

Mais ce n’est pas tout, loin s’en faut. Les conspirateurs du NOM (Nouvel Ordre Mondial) n’ont pas seulement préparé cette fausse pandémie depuis des décennies, mais également l’agenda des nanotechs. Aujourd’hui, avec l’arrivée du COVID, les deux programmes fusionnent en un seul et préfigurent de bien sombres implications pour l’humanité. Cet article s’intéressera d’un peu plus près à cet agenda des nanotechs ainsi qu’à l’état des lieux de la présence de nanotechnologies dans les produits déjà existants tels que les vaccins. Ce programme est en réalité bien plus avancé que ce que l’on peut penser.

Un article de 2008 expose le Programme de Construction d’une Architecture Matérielle Nanorobotique

Un article scientifique de 2008 intitulé « Architecture Matérielle Nanorobotique pour la Défense Médicale » (en anglais) analyse en détails comment des instruments nanotechnologiques comme des nanorobots pourraient être utilisés à des fins diverses telles que la « défense médicale » et le « contrôle des épidémies ». Il affirme que le programme décrit en détails une « plateforme intégrée et une architecture matérielle pour des applications nanorobotiques pour le contrôle des épidémies, qui pourrait rendre possible le pronostic in vivo et en temps réel du risque infectieux. » L’idée consiste à insérer à l’intérieur des individus de la nanotechnologie qui communiquera en temps réel avec le Réseau Intelligent (alimenté par la 5G) pour fournir aux autorités une information détaillée sur notre statut. Les observations faites à ce propos par Wayne McRoy Jr, l’auteur de Alchemical Tech Revolution, sont particulièrement édifiantes (lien vers la vidéo en anglais). Les citations suivantes sont extraites de l’article de 2008 :

« Normalement, en ce qui concerne les zones sinistrées ou les zones de guerre, l’absence d’eau potable, de combustible, d’électricité ainsi que le manque de tours de communication, à la fois pour les réseaux câblés et sans fil, est la norme. Dans ce genre de situation, les infrastructures disponibles sont loin de pouvoir assurer les besoins d’un laboraMais ce n’est pas tout, loin s’en faut. Les conspirateurs du NOM (Nouvel Ordre Mondial) n’ont pas seulement préparé cette fausse pandémie depuis des décennies, mais également l’agenda des nanotechs. Aujourd’hui, avec l’arrivée du COVID, les deux programmes fusionnent en un seul et préfigurent de bien sombres implications pour l’humanité. Cet article s’intéressera d’un peu plus près à cet agenda des nanotechs ainsi qu’à l’état des lieux de la présence de nanotechnologies dans les produits déjà existants tels que les vaccins. Ce programme est en réalité bien plus avancé que ce que l’on peut penser.

Un article de 2008 expose le Programme de Construction d’une Architecture Matérielle Nanorobotique.toire d’analyse médicale à grande échelle, qui demande des analyses à la fois précises et rapides. Considérant ceci, les nanorobots intégrés avec de nanobiocapteurs sont capables de transmettre de l’information en temps réel, en s’appuyant sur les réseaux internationaux de téléphonie mobile pour la transmission sans fil de données par satellite.

En fait, les nanorobots sont un outil clinique efficace qui permet une précieuse supervision biomédicale, tant pour les soldats que pour les populations civiles. »

Vous remarquerez comment l’article amène l’idée du double emploi (militaire et civil) qui évoque typiquement un système d’armes capable d’autres applications. Dans le cas présent, la distinction est faite entre l’objectif sous-jacent (la surveillance intrinsèque) et l’objectif de façade (l’application médicale) :
« A partir du moment de l’infection, pour certaines maladies contagieuses, l’apparition des premiers symptômes peut ne survenir qu’après plusieurs heures, une semaine, ou même davantage, des années, parfois des décennies. Cela signifie qu’au moment où les symptômes de la personne contaminée sont remarqués par les autorités compétentes, le virus aura eu suffisamment de temps pour s’étendre à un groupe d’amis ou de collègues de travail de la personne infectée.

Simultanément, ces mêmes amis ou collègues auront prolongé la propagation du virus et amorcé une réaction en chaîne catastrophique. Des nanorobots équipés de nano-outils peuvent jouer le même rôle qu’un véritable laboratoire qui serait réduit à la taille d’un microprocesseur, et donc servir à éviter une contamination de grande ampleur. »

Les extraits ci-dessus exagèrent le risque de contagion, en particulier des virus, pour vous faire consentir à accepter le programme nanotech et l’insertion en vous d’instruments nanotechnologiques. Ils ont recours au concept de contagion et à la théorie des germes – cependant que, et en particulier depuis la fausse pandémie du COVID, de courageux chercheurs indépendants et médecins ont osé remettre en question ces mêmes idées – et par là renforce l’actuel modèle économique de l’industrie médicale des médicaments issus de la pétrochimie et des vaccins.

« Nous avons mis au point un système virtuel et une architecture de nanorobots qui sondent le flux sanguin à la recherche des variations biochimiques qui surviennent dans l’organisme lorsqu’un élément pathologique est repéré. Les avancées actuelles dans les technologies sans fil, les appareils nanoélectroniques, et leur intégration aux nanorobots appliquées au contrôle des épidémies préfigurent ce que les technologies à venir pourront réaliser en termes de veille sanitaire en temps réel. L’approche pour le contrôle in vivo des concentrations chimiques devrait également s’étendre à d’autres champs d’application. »

Comme le dit Wayne, ceci est le prochain niveau d’évolution du traçage de contact. Oubliez l’application sur votre smartphone ! Nous sommes à l’heure de la surveillance in vivo (à l’intérieur de l’organisme lui-même). L’article contient de nombreux autres passages intéressants, mais je me bornerai à ce dernier :
« Les plages de fréquences de 1 à 20 MHz peuvent être utilisées sans danger pour les applications biomédicales. »

Cela veut-il dire qu’à l’inverse, les plages de fréquence supérieures à 20 MHz sont, elles, nocives, comme celles de 30 à 100 GHz utilisées par la 5G ?

Une étude de 2017 montre que des polluants nanotechnologiques sont déjà largement présents dans les vaccins.

L’invasion nanotechnologique est déjà là. La question n’est pas « ajouteront-ils des nanotechs dans les vaccins ? » puisqu’ils l’ont déjà fait. Cette étude italienne de 2017, intitulée « Nouveaux Contrôles de Qualité sur les Vaccins : Micro et Nanocontamination » recense une quantité ahurissante de nanocontaminants dans les vaccins, entre autres des particules de : plomb, cadmium, cérium, fer, titane, nickel, zirconium, hafnium, strontium, tungstène, or, argent, platine, antimoine, bismuth et aluminium. L’étude (qui analyse 44 types des 15 vaccins traditionnels) affirme que ces polluants sont « non biodégradables et non biocompatibles », que leur adjonction au vaccin est « non déclarée » et que leur présence est « inexplicable ». Elle laisse cependant le bénéfice du doute au Big Pharma et à ses dirigeants en concluant :

« Notre hypothèse est que cette contamination n’est pas intentionnelle, et qu’elle peut être causée par différents composants ou procédures des étapes de fabrication (filtration, par exemple) employés pour l’élaboration des vaccins, non contrôlés et non détectés par les fabricants. Si notre hypothèse s’avère exacte, l’inspection minutieuse des lieux de fabrication et la connaissance complète de la procédure d’élaboration des vaccins dans son intégralité permettraient probablement de résoudre le problème. »

Etant personnellement au courant de l’agenda nanotech et des projets de puçage humain, j’avancerais que l’on peut voir les choses sous un angle légèrement différent.

L’étude révèle comment ces particules néfastes peuvent interagir avec le corps et causer des effets réellement dommageables:
« …les enquêtes nous apprennent que certaines particules sont incluses dans un substrat biologique, probablement des protéines, des endotoxines et des résidus de bactéries. A l’instant où la particule entre en contact avec les fluides protéiques, une nano-bio-interaction se produit et une « protéine corona » se forme. La nano-bio-interaction produit ainsi un composé plus gros qui n’est pas biodégradable et qui peut induire des effets indésirables, puisqu’elle est identifiée par l’organisme comme un élément étranger. Les figures 5a-5f montrent des exemples de ces nano-bio-interactions. On peut observer des agrégats (composés stables) qui contiennent des particules de plomb dans le vaccin Meningitec, d’acier inoxydable (fer, chrome et nickel), de cuivre, de zinc et de plomb dans Cervarix. »

« Après l’injection, ces microparticules, nanoparticules et agrégats peuvent demeurer dans les environs du site de l’injection et former des œdèmes et des granulomes… mais ils peuvent également entrer dans la circulation sanguine, pour aller se loger allez savoir où… comme c’est le cas pour tous les corps étrangers, et en particulier ceux d’aussi petite taille, ils provoqueront une réaction inflammatoire chronique. Chronique, parce que la plupart de ces particules ne peuvent être détruites par l’organisme. Par ailleurs, l’effet de la protéine-corona… causée par une nan-bio-réaction… peut produire des composés organiques/inorganiques susceptibles de provoquer des réponses immunitaires indésirables… il est impossible de ne pas préciser que des particules de la taille souvent observée dans les vaccins peuvent pénétrer le noyau de la cellule et interagir avec l’ADN… »

« Certains métaux, c’est le cas du fer et de certains alliages de fer, peuvent se corroder et cette corrosion exercer une toxicité qui affecte les tissus… »

Alors, voici la question à méditer : est-ce que ces soi-disant inopinés et dangereux nanopolluants sont simplement des particules délétères à plus d’un titre pour la santé humaine, ou sont-ils aussi des nanocapteurs implémentés pour communiquer avec le Réseau Intelligent ?

Les Nanotechnologies sont au Tout Premier Plan des Recherches Vaccinales.

L’agenda des nanotechs est étroitement relié aux vaccins. Par exemple, cette étude de 2019 « Des Vaccins à base de Nanoparticules Contre les Virus Respiratoires » (en anglais) vante les avantages des vaccins nanotechnologiques :
« Les vaccins conventionnels basés sur des pathogènes vivants atténués présentent un risque de réversion virulente alors que les vaccins inactivés induisent souvent une faible réponse immunitaire. Des vaccins sous-unitaires ont été développés pour dépasser ces problèmes. Cependant, ces vaccins peuvent souffrir d’une faible immunogénicité et le plus souvent, la protection fournie reste partielle. Une nouvelle génération de vaccins basés sur les nanoparticules a montré un fort potentiel qui répond à la plupart des inconvénients des vaccins conventionnels et sous-unitaires. Ceci est dû aux récentes avancées en chimie et bio-ingénierie, qui rendent possibles la réalisation de nanoparticules avec un degré élevé de précision du contrôle de la taille, de la forme, de la fonctionnalité et des propriétés de surface, et qui amènent à une présentation d’antigène améliorée et une forte immunogénicité. »

Au mois de juillet 2020, l’étude « Développement de vaccin COVID-19 et une voie possible avec les nanomatériaux » (en anglais) explique comment de multiples plateformes nanotechnologiques seront à la base des futurs vaccins :
« Les approches basées sur les nanotechnologies offrent des solutions qui répondent à la question difficile du transport du vaccin aux cellules ciblées et sites intracellulaires… Le vaccin ARNm de Moderna est construit sur la plateforme d’une nanoparticule de lipide, mais de nombreuses autres nanotechnologies apparaissent pour la vectoridation des vaccins à ADN… des plateformes nanotechnologiques incluant des nanoémulsions cationiques, des liposomes, des dendrimères ou des particules de polysaccharides ont été utilisées pour augmenter la stabilité et la vectorisation des vaccins à base d’ARNm. »

Le vaccin COVID Moderna à venir, financé par le fer de lance eugéniste du NOM (Nouvel Ordre Mondial), Bill Gates est d’une nouvelle technologie : un vaccin à ARN messager qui utilise la nanotechnologie. C’est aussi le cas d’autres vaccins en cours de développement. La fausse pandémie du COVID est utilisée comme un prétexte pour précipiter plus vite encore la venue des vaccins nanotech, ce qui au bout du compte accélère le plan général du NOM : le programme de puçage humain. L’agenda des nanotechs par le biais du COVID, ici à la vue de tous :

« Les nanomatériaux jouent un rôle majeur à tous les niveaux de l’élaboration d’un vaccin, de son transport et de son administration. Les nanoparticules rendent possibles une présentation d’antigène polyvalente ainsi que la stabilisation des antigènes… ils peuvent servir d’adjuvants pour stimuler la réponse immunitaire, et ils peuvent agir comme des vecteurs pour le bon adressage des antigènes. En fait, un vaccin ARNm vectorisé par une nanoparticule de lipide figure en ce moment-même parmi les candidats aux essais cliniques face au SARS-CoV-2. A l’heure actuelle, il est encore vrai qu’aucun vaccin à base d’ARNm ou d’ADN n’est approuvé pour quelque maladie, et la vectorisation des acides nucléiques nécessite certaines modifications ou un appareil nanotechnologique pour prévenir sa dégradation dans l’organisme; les appareils liposomaux ont déjà été approuvés pour la vectorisation d’ARN, mais pas encore pour les vaccins. »

Ultimes Remarques sur l’Accélération de l’Agenda des Nanotechs

Nous y voilà ! La partie a commencé ! Toutes ces choses à propos desquelles tant de chercheurs indépendants écrivent, parlent et nous alertent depuis des années se produisent en ce moment-même. L’Opération Coronavirus est la porte qui ouvre sur le Nouvel Ordre Mondial. Le COVID est le prétexte avancé par nos tyrans pour chacune des restrictions impitoyables qu’ils nous infligent. Maintenant, nous savons que le vaccin COVID à venir comportera une forme de nanotechnologie, et comme je l’ai montré dans cet article, qu’il y a pléthore de plateformes nanotechnologiques en cours de développement en plus de celles comme hydrogel. Diverses études et les laboratoires pharmaceutiques eux-mêmes affirment ouvertement qu’ils produiront des vaccins COVID à base de nanotechnologie. Avec les programmes de vaccination à grande échelle, administrés par les forces armées (reconnu par les Etats-Unis et le Royaume-Uni) et « aussi obligatoire que possible » (selon les mots d’Aussie PM Scott Morrison) (en anglais), il est grand temps que les populations prennent connaissance de l’agenda nanotechnologique – avant qu’il ne soit trop tard.

yogaesoteric
18 mai 2021

Also available in: Română

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