Origines et techniques Monarch (1)

 

La programmation Monarque est une méthode de contrôle mental utilisée par de nombreuses organisations pour des raisons de « secret défense ». C’est la suite du programme MK Ultra, programme de contrôle mental développé par la CIA, et testé sur des militaires et des civils. Les méthodes sont étonnamment sadiques (son unique but étant de traumatiser la victime) et les résultats attendus sont horribles : La création d’un esclave contrôlé mentalement qui peut être déclenché à distance n’importe quand pour effectuer un acte demandé par le manipulateur. Alors que les mass médias passent ce fait sous silence, plus de deux millions d’américains ont traversé les horreurs de ce programme. Cet article examine les origines de la programmation Monarque et certaines de ces méthodes et symboles.

Avertissement :

Cet article contient des informations perturbantes qui pourraient déclencher une réaction chez des survivants du programme Monarque (et on ajouterait, chez n’importe quel lecteur…)

La programmation Monarque est une technique de contrôle mental comprenant des éléments de sévices de rituels sataniques et du Désordre de Personnalités Multiples (DPM). Il utilise une combinaison de psychologie, de neuroscience et de rituels occultes pour créer chez les esclaves une personnalité dénaturée qui peut être programmée et déclenchée par les manipulateurs. Les esclaves Monarque sont utilisés par plusieurs organisations reliées au monde des « élites » dans des domaines tels que l’armée, l’esclavage sexuel et l’industrie du divertissement. Cet article va examiner les origines de la programmation Monarch, ses techniques et son symbolisme.

Les origines

A travers l’histoire, plusieurs comptes-rendus ont été faits sur des rituels et pratiques ressemblant au contrôle mental. Un des premiers écrits faisant référence à l’utilisation de l’occultisme pour manipuler le mental peut être trouvé dans le « Livre des Morts » égyptien. C’est une compilation de rituels, qui sont très étudiés par les sociétés secrètes d’aujourd’hui, décrivant les méthodes de torture et d’intimidation (pour créer des traumatismes), l’utilisation de drogues et de formules magiques (hypnotisme), donnant au final une mise en esclavage total de l’initié. D’autres éléments attribués à la magie noire, la sorcellerie et la possession démoniaque (où la victime est animée par une force extérieure) sont aussi les ancêtres de la programmation Monarque.

Cependant, c’est au cours du vingtième siècle que le contrôle mental est devenu une science dans le sens moderne du terme, quand des milliers de sujets ont été de manière systématique observés, répertoriés et sujets à des expériences.

Une des premières études méthodiques sur le contrôle mental basé sur les traumatismes fut menée par Joseph Mengele, un médecin travaillant dans les camps de concentration nazis. Il a d’abord atteint la notoriété comme médecins SS supervisant la sélection des nouveaux prisonniers, déterminant qui devait être tué et qui devait devenir un travailleur forcé. Cependant, il est surtout connu pour avoir fait des expériences macabres sur les détenus, dont des enfants, par lesquels Mengele était appelé « l’Ange de la Mort »

Joseph Mengele, 1935

Mengele est tristement célèbre pour ses expériences humaines sordides sur les prisonniers des camps de concentration, surtout sur les jumeaux. Une partie de son travail est cependant rarement mentionnée, et c’est sa recherche sur le contrôle mental. La plupart de ses travaux dans ce domaine ont été confisqués par les alliés et ils sont toujours confidentiels à l’heure actuelle.

DR GREEN (Dr Joseph Mengele)

Le programmeur le plus significatif, peut être pourrait-on lui donner le titre de père de la programmation Monarch, fut Joseph Mengele, (« Dr Green ») un ex-médecin des camps de concentration nazis. Des milliers d’esclaves aux États-Unis, dont l’esprit est contrôlé par le programme Monarque, ont eu le « Dr Green » comme programmeur en chef.

Le Dr Mengele de triste mémoire à Auschwitz fut le principal développeur des programmes de contrôle mental Monarch basés sur le traumatisme et des programmes MK Ultra de la CIA. Mengele et environ 5.000 autres hauts dignitaires nazis ont été envoyés en secret aux Etats Unis et en Amérique du Sud à la fin de la deuxième guerre mondiale lors d’une opération désignée sous le nom de « Paperclip » (« trombone »). Les nazis ont continué leur travail de développement du contrôle mental et de leurs technologies sur les fusées dans des bases militaires souterraines secrètes. La seule chose dont on a parlé a été le travail sur la technologie des fusées par des vedettes comme Werner von BRAUN. Les tueurs, bourreaux et mutilateurs d’êtres humains innocents étaient soigneusement hors de vue, mais bien occupés dans des installations souterraines militaires qui devenaient progressivement le domicile de milliers et de milliers d’enfants américains kidnappés dans les rues (environ un million par an) et placés dans des cages avec des barreaux de fer, entassés du sol au plafond servant à « l’entraînement ». Ces enfants seront utilisés pour peaufiner et perfectionner les technologies de contrôle mental de Mengele. Certains enfants sélectionnés (au moins ceux qui survivaient à « l’entraînement ») devenaient de futurs esclaves du contrôle mental qui seraient utilisés pour des milliers d’emplois différents allant de l’esclavage sexuel à des assassinats. Une part substantielle de ces enfants qui étaient considérés comme facilement remplaçables, étaient intentionnellement tués sauvagement devant (et par) les autres enfants afin de traumatiser les stagiaires sélectionnés et les rendre « conformes » et soumis.

Les recherches de Mengele servirent de base pour le programme de recherche secret et illégal de la CIA nommé MK-ULTRA.

MK-ULTRA

Document déclassifié « MK-ULTRA »

Le projet MK-ULTRA s’est déroulé globalement du début des années 50 jusqu’à la fin des années 60, en utilisant comme cobayes des citoyens américains et canadiens. Les preuves publiées indiquent que le Projet MK-ULTRA impliquait l’utilisation de nombreuses méthodologies pour manipuler l’état mental des individus et altérer les fonctions cérébrales, comme l’administration discrète de drogues et autres produits chimiques, la privation sensorielle, l’isolation et les sévices verbaux et physiques.

Les expériences conduites par MK-ULTRA les plus connues, sont l’administration de LSD sur des sujets humains ne se doutant de rien, dont des employés de la CIA, du personnel militaire, des docteurs, d’autres agents gouvernementaux, des prostituées, des malades mentaux, et des membres du public afin d’étudier leurs réactions.

Cependant, l’étendue de l’action de MK-ULTRA ne s’arrête pas là. Des expériences incluant des électrochocs violents, de la torture physique et mentale et des sévices ont été utilisés de manière systématique sur de nombreux sujets dont des enfants.

Photo rendue accessible d’un jeune sujet MK-ULTRA en 1961 (Inscription au-dessus de la photo : enfant féminin de 8 à 10 ans qui suite à une période de 6 mois de LSD, torture, électrochocs et privation sensorielle a le cerveau d’un nouveau-né. De chaque côté de la fillette figure une affiche avec : « Filtrer les urines »)

Bien que les buts avoués du projet étaient de développer des méthodes de torture et d’interrogatoire qui seraient utilisées sur les ennemis du pays, certains historiens ont affirmé que le projet avait pour but de créer des « candidats Mandchoue », (d’après le titre du film du même nom) programmés pour commettre des actes variés tels que des assassinats ou autres missions secrètes.

MK-ULTRA a été mis en lumière par différentes commissions dans les années 70, dont la Commission Rockefeller en 1975. Bien qu’il ait été revendiqué que la CIA avait arrêté de telles expériences après ces commissions, certains lanceurs d’alertes sont venus témoigner que le projet était simplement entré dans la clandestinité et que la Programmation Monarque était le successeur caché de MK-ULTRA.

La déclaration la plus incriminante faite par un membre du gouvernement concernant l’existence possible du Projet Monarque a été obtenue par Anton Chaitkin, un journaliste du « The New Federalist ». Quand la question a été posée directement à l’ancien directeur de la CIA William Colby « Et Monarque » ?, il a répondu en colère et de manière ambigüe : « Nous avons arrêté cela entre la fin des années 60 et le début des années 70. »

La programmation Monarque

Bien que l’existence de la programmation Monarque n’ait jamais été officiellement admise, des chercheurs éminents ont décrit l’utilisation systématique de traumatismes sur des sujets dans un but de contrôle mental. Certains survivants, avec l’aide de thérapeutes dévoués ont pu se déprogrammer et ensuite révéler les horribles détails de leurs épreuves.

Les esclaves Monarque servent essentiellement à des organisations utilisant des « pigeons » pour faire des missions spécifiques, qui ne discutent pas les ordres, qui ne se rappellent pas de ce qu’ils ont fait, et s’ils sont découverts, qui vont automatiquement se suicider. Ce sont les parfaits boucs émissaires pour des assassinats de haut niveau, les candidats idéals pour la prostitution, l’esclavage, et la production de films privés. Ils sont aussi les marionnettes parfaites de l’industrie du divertissement.

« Ce que je peux dire c’est que je pense maintenant que la programmation par rituels et abus sexuels est très répandue, qu’elle est systématique, très organisée à partir d’information hautement ésotériques publiées nulle part, qu’on ne l’a vue dans aucun livre ou émission télévisée, qu’on trouve partout dans ce pays et au moins dans un pays étranger.

Les gens disent “ quel est son but ? ” A mon avis, ils veulent une armée de candidats Mandchoue, des dizaines de milliers de robots mentaux qui se prostitueront, feront des films, de la contrebande de drogues, de la contrebande d’armes au niveau international, et toutes sortes d’activités très lucratives, et feront ce qu’on leur demande et les mégalomaniaques qui sont au sommet, croient réellement qu’ils ont créé un ordre satanique qui dominera le monde. »

Les programmeurs Monarque provoquent un traumatisme intense aux sujets à l’aide d’électrochocs, de torture, d’abus et de jeux psychologiques afin de les forcer à se dissocier de la réalité – réponse naturelle de certaines personnes soumises à une douleur intolérable. L’habileté du sujet à se dissocier est une exigence majeure et on la trouve plus facilement chez des enfants qui viennent de famille ayant abusé d’eux depuis plusieurs générations. La dissociation mentale permet aux manipulateurs de créer des personnalités transparentes au niveau de la psyché pouvant ainsi être programmées et déclenchées à volonté.

La programmation d’un contrôle mental sur les traumatismes peut être définie comme une torture systématique qui bloque la capacité de la victime à traiter consciemment l’information (par la douleur, la terreur, les drogues, l’illusion, la privation sensorielle, la sur-stimulation, la privation d’oxygène, le froid, la chaleur, la manipulation , la stimulation cérébrale, et souvent, la « presque-mort »), et ensuite utilise la suggestion et/ou un conditionnement classique et opératif (en accord avec des principes de modification du comportement bien établis) pour implanter des identités, obligeant la victime à faire, ressentir, penser ou percevoir les choses pour le bénéfice du programmeur. L’objectif est que la victime suive des directives sans en être consciente, et même effectue des actes violant les principes moraux, les convictions spirituelles et la volonté de la victime.

Mettre en place une programmation de contrôle mental repose sur la capacité de la victime de se dissocier, ce qui permet de créer de nouveaux personnalités transparentes pour « conserve » et « cacher » la programmation. Les enfants dissociés sont déjà des « candidats » de premier choix pour la programmation.

Le contrôle mental Monarque est secrètement utilisé par différents groupes et organisations pour des buts variés. D’après Fritz Springmeier, ces groupes sont connus comme étant « Le Réseau » et forme l’épine dorsale du NOM.


Lisez la deuxième partie de cet article

 

yogaesoteric
19 juin 2019

 

Also available in: Română

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