Rudolf Steiner prophétisait en 1917 la création d’un vaccin qui « supprimerait toute inclination à la spiritualité de l’âme des êtres humains »

par Dylan Charles

S’il vous arrive en ce moment d’éprouver la sensation d’être au sein d’une bataille spirituelle, vous n’êtes pas seul. Nombre des plus grands érudits, philosophes et ascètes du monde ont compris l’aspect multidimensionnel du monde dans lequel vivent des êtres non physiques, bons et mauvais, en lutte perpétuelle contre nous et les uns contre les autres.

Cet aspect des choses ne peut être correctement expliqué par le langage ou la science. Il convient de cultiver une sensibilité telle que l’existence des êtres spirituels puisse être directement vécue.

Rudolf Steiner était un philosophe, un éducateur et un spiritualiste autrichien. Au cours de sa vie, il a publié de nombreux livres et articles sur la science de la spiritualité. Il considérait le corps humain comme un réceptacle spirituel, ouvert à l’occupation par d’autres entités.

Pour lui, être conscient de ces forces, c’était avoir le pouvoir de rejeter leur influence négative. Demeurer inconscient de leur existence revenait à n’être qu’une feuille soumise à leurs vents, et la culture spirituelle était la clé pour développer la conscience de ces forces.

« […] les Esprits des ténèbres sont parmi nous, ils sont présents. Il nous faut veiller afin de remarquer où ils se trouvent sur notre chemin, afin de concevoir où ils sont présents. Car la chose la plus dangereuse dans un proche avenir, ce sera d’être abandonné à leurs influences sans en avoir conscience. Leur réalité n’est pas modifiée du fait quel’homme les connaît ou ne les connaît pas. » ~ Rudolf Steiner, La Chute des Esprits des ténèbres

Lorsque nous exerçons notre inclination naturelle à la quête spirituelle, nous nous libérons de la peur et de l’anxiété, et développons de manière effective une sorte d’immunité contre les influences des entités négatives. Dans le cas contraire, notre vibration attire les esprits hostiles et nous tombons inconsciemment sous leur influence.

« Il existe des êtres dans les royaumes spirituels pour qui l’anxiété et la peur émanant des êtres humains offrent une nourriture bienvenue. Quand les humains n’ont plus ni anxiété ni peur, ces créatures meurent de faim. Les personnes qui ne sont pas encore suffisamment convaincues par cette affirmation pourraient comprendre qu’elle n’a qu’une signification relative. Mais pour ceux qui connaissent ce phénomène, c’est une réalité. Si la peur et l’anxiété irradient d’individus qui se mettent alors à paniquer, ces créatures se nourrissent et deviennent de plus en plus puissantes. Ces êtres sont hostiles à l’humanité.

Les sentiments négatifs, d’anxiété, de peur et de superstition, de désespoir ou de doute, sont en réalité des forces hostiles émanant de mondes extra-sensoriels dont les êtres exercent sur les êtres humains des attaques cruelles tout en se nourrissant de leurs effets. Par conséquent, il est nécessaire qu’une personne qui entre dans le monde spirituel ait en premier lieu surmonté la peur, les sentiments d’impuissance, le désespoir et l’anxiété. Mais ce sont précisément ces sentiments qui appartiennent à la culture et au matérialisme contemporains ; parce qu’il éloigne les êtres humains du monde spirituel, il est particulièrement adapté pour évoquer le désespoir et la peur de l’inconnu chez les individus, appelant ainsi les forces hostiles susmentionnées contre eux. » ~ Rudolf Steiner, La Chute des Esprits des ténèbres

Avec une peur, une anxiété et une panique aussi profondes à l’échelle mondiale face à l’actuelle pandémie, beaucoup d’individus dévoilent leurs propres infirmités spirituelles et acquiescent à n’importe quelle préconisation comportementale ou interventionniste qui seraient à même d’atténuer ces émotions. Parallèlement à cela, on s’efforce de vacciner sept milliards de personnes en bonne santé [celles du moins qui n’ont pas contracté le virus du Covid-19 en développant des complications – NdT].

Il y a environ 100 ans, dans une série de 14 essais publiés sous le titre The Fall of the Spirits of Darkness [traduit sous le titre La Chute des Esprits des ténèbres – NdT], Steiner lançait un avertissement aux générations futures sur une possible mesure de contrôle des masses, assez similaire aux visions présentées par Orwell et Huxley. Steiner prévoyait un avenir où les vaccins pourraient nous déposséder de notre nature spirituelle.

Tout d’abord, un peu de contexte :
« Dans ces quatorze conférences, données à la fin de 1917 après quatre années de guerre en Europe, Steiner parle des forces spirituelles complexes qui se sont développées au cours de la Première Guerre mondiale, des tentatives de l’humanité de construire des ordres sociaux théoriquement parfaits, et des nombreuses divisions et perturbations qui allaient se poursuivre sur Terre jusqu’à notre époque. L’humanité en général n’était pas éveillée au fait que, chassés des mondes spirituels, les Esprits déchus étaient désormais intensément actifs sur Terre. Cela se manifestait principalement dans la pensée et la perception humaines du monde environnant. » [Source]

Selon Steiner, la chute dans une telle léthargie destructrice sera marquée par une ère de matérialisme et de centralisation du pouvoir, au cours de laquelle les influences des « Esprits des ténèbres » inciteront les humains à concevoir de nouvelles technologies et de nouveaux moyens d’oppression. Il commente :
« Je vous ai expliqué que les esprits des ténèbres souffleront à leurs hôtes, aux hommes qu’ils habiteront, de découvrir un vaccin qui puisse dès la prime jeunesse, par la voie du corps, extirper la tendance à la spiritualité. On vaccine aujourd’hui contre telle ou telle maladie : à l’avenir, on vaccinera les enfants à l’aide d’un produit que l’on peut très bien composer, et qui empêchera les enfants de développer en eux les ” folies ” de la vie spirituelle – ” folie ” dans la perspective matérialiste, bien entendu.

[…] tout cela vise à trouver pour finir le moyen de vacciner les corps afin que ne s’y développe pas la tendance aux idées spirituelles, et que leur vie durant les hommes ne croient qu’à l’existence de la matière que perçoivent les sens. Tout comme on vaccine contre la phtisie [tuberculose – NdT], on vaccinera contre la tendance à la spiritualité. Ceci à titre d’indication parmi beaucoup de choses qui apparaîtront dans un proche avenir et au-delà dans ce domaine, afin que la confusion se crée dans les forces qui, grâce à la victoire des esprits de la lumière, veulent descendre des mondes spirituels sur la Terre. »

[Et il ajoute : « Pour cela, il faut naturellement que les conceptions du monde, la manière de voir des hommes soient gagnées par la confusion, que leurs concepts, leurs représentations soient faussées. C’est là une situation grave vis-à-vis de laquelle on doit être très vigilant. Car il fait partie des arrière-plans les plus importants derrière les événements qui se préparent actuellement. » – NdT] ~ Rudolf Steiner, La Chute des Esprits des ténèbres

Steiner ne parlait ici que de vaccins. Son commentaire ne tient pas compte des effets combinés sur la spiritualité humaine des myriades d’influences présentes dans notre monde aujourd’hui, qui toutes vont à l’encontre de la connexion spirituelle en soi.

Encore une fois, s’il vous arrive en ce moment d’éprouver la sensation d’être au sein d’une bataille spirituelle, vous n’êtes pas seul.

À propos de l’auteur

Dylan Charles est le rédacteur en chef de Waking Times et l’animateur de « Battered Souls : A Podcast About Transformation », tous deux consacrés aux idées de transformation personnelle, d’éveil sociétal et de renouveau planétaire. Son parcours personnel est profondément inspiré par les plantes médicinales chamaniques et les arts du Kung Fu, du Qi Gong et du Yoga. Après avoir vécu sept ans au Costa Rica, il vit maintenant dans les Blue Ridge Mountains, où il pratique le jiu jitsu brésilien et aime passer du temps avec sa famille. Il a écrit des centaines d’articles, touchant et inspirant des millions de personnes dans le monde entier.

Quelques extraits supplémentaires de Steiner pour leurs pertinences

« Les humains croient aujourd’hui être réalistes, matérialistes, et sont en fait les théoriciens les plus abstraits que l’on puisse imaginer, ils sont pleins de théories uniquement, ils dorment au milieu de théories, et n’en ont aucune conscience. Lorsque l’un d’eux se réveille — ce n’est pas par hasard — mais on pourrait dire familièrement : lorsque l’un d’eux se réveille par hasard et parle en homme éveillé, on ne tiendra tout simplement pas compte de ce qu’il dit. Voilà comment vont les choses aujourd’hui.

Vous aurez peut-être déjà entendu dire ce que certains proclament constamment : la démocratie doit régner dans l’ensemble du monde civilisé ; la démocratisation de l’humanité, voilà ce qui nous apportera le salut ; et pour qu’elle se répande dans le monde, il faut tout anéantir. — Oui, si les humains continuent à vivre en rassemblant sous le concept de démocratie tout ce qui leur vient à l’esprit, ils lui auront donné une forme qui rappelle la définition de l’être humain dont j’ai parlé : un homme est un être qui a deux jambes et pas de plumes, un coq plumé.

Car les gens qui chantent la gloire de la démocratie aujourd’hui, en savent à peu près ce que connaît de l’homme celui à qui on présente un coq plumé. On prend les concepts pour des réalités. C’est ainsi qu’il devient possible à l’illusion de prendre la place de la réalité lorsqu’il s’agit de la vie humaine : on berce et on endort les gens à l’aide de concepts. Ils croient ensuite que leurs aspirations visent à ce que chacun puisse exprimer ce qu’il veut grâce aux différentes institutions démocratiques ; et ne s’aperçoivent pas que les structures de la démocratie sont de telle nature que toujours quelques-uns tirent les ficelles, et que les autres sont tirés.

Et quelques-uns peuvent d’autant mieux tirer que tous les autres croient qu’eux-mêmes tirent également, sans être tirés. — C’est ainsi que par des concepts abstraits on peut très bien endormir les hommes, qui en viennent à croire le contraire de la réalité. Par là même, on laisse aux puissances ténébreuses le champ libre. Et lorsqu’à un moment un homme s’éveille, on le laisse de côté.

Il est intéressant de voir comment, en 1910, on a écrit cette belle phrase : “ le grand capitalisme a réussi à faire de la démocratie l’instrument le plus merveilleux, le plus souple, le plus efficace, pour exploiter la collectivité ”. On s’imagine ordinairement que les gens de finances sont les adversaires de la démocratie — écrit ce même auteur — ; c’est une erreur fondamentale. Ils sont plutôt ceux qui la mènent et la favorisent. Car elle — à savoir la démocratie — constitue le paravent derrière lequel ils dissimulent leurs procédés d’exploitation, et ils ont en elle la meilleure protection contre l’éventuelle indignation du peuple.

En voilà un qui s’est réveillé, et qui a vu que ce qui importe, ce n’est pas de jurer par la démocratie, mais de pénétrer les profondeurs de la réalité — non pas d’admirer les slogans, mais de voir ce qui se passe en réalité. Ce serait particulièrement nécessaire aujourd’hui, car l’on verrait alors combien peu nombreux sont les centres à partir desquels on dirige en vérité les événements qui ont valu à l’humanité tant de sang répandu.

C’est ce que l’on ne discernera pas aussi longtemps que l’on vivra dans cette illusion que ce sont les peuples qui se combattent, et que l’on se laissera bercer par la presse européenne et américaine dans l’idée des relations qui devraient, dans la situation actuelle, s’établir entre les peuples. Tout ce qui est dit des antagonismes, des oppositions entre les peuples, est fait pour jeter un voile sur les véritables causes.

On s’abreuve de mots pour expliquer ces événements ; ce n’est pas ce qui nous amènera à un résultat : il faudrait désigner les personnalités concrètement. Ce qui est parfois peu commode. Le même auteur qui a écrit en 1910 les phrases citées, et qui donc s’est réveillé, a fait dans le même livre un calcul extrêmement désagréable. Il a en effet établi une liste de 55 hommes qui en réalité dominent et exploitent la France.

Cette liste se trouve dans la Démocratie et les financiers, de Francis Delaisi, auteur aussi du livre devenu entre temps célèbre La guerre qui vient. Voilà donc un homme qui s’est réveillé devant la réalité. Son livre La Démocratie et les financiers présente des impulsions qui peuvent mener à discerner ce qu’il faudrait percer à jour aujourd’hui, et réduit à néant beaucoup de choses qui engloutissent dans un brouillard les cervelles des humains. Dans ce domaine aussi, il faut se décider à regarder la réalité.

Bien entendu, on n’a pas tenu compte de ce livre. Or, certaines questions y sont posées qui devraient l’être aujourd’hui dans le monde entier ; elles enseigneraient bien des vérités sur la réalité que l’on veut enterrer sous les discours déclamatoires qui parlent de démocratie, d’autocratie, et autres slogans.

[…]
Delaisi raconte encore : il y avait une fois un avocat. Cet avocat était relié à tous les centres financiers possibles — non pas des compagnies d’assurances, mais le monde des finances. Or cet avocat avait encore des ambitions plus hautes : il voulait que ses actes jouissent de la protection non seulement du monde des finances, du monde de l’industrie et du commerce, mais aussi du monde des érudits, de l’Académie française, qui est le lieu où l’on est élevé jusqu’à la sphère de l’immortalité.

C’est alors qu’il se trouva deux immortels, dans cette Académie, qui se livraient à des affaires de trusts illégales. C’est alors que le très perspicace avocat se trouva prêt à défendre les deux immortels devant le tribunal, et qu’il réussit à les faire acquitter. Alors ils l’accueillirent au sein des « immortels ». La science qui administre non pas le temporel, mais l’éternel dans le monde, l’immortel, s’est faite le défenseur de cet avocat désintéressé, qui s’appelle Raymond Poincaré, et dont Delaisi raconte l’histoire dans le livre cité.

Il est bon de savoir de telles choses, qui sont mêlées à la réalité. Il faut aussi les connaître. Lorsqu’on s’assimile la Science spirituelle, on est amené à développer un certain sens de la vérité ; tandis que la culture matérialiste de notre époque, si abondamment abreuvée par la presse, est encline à ne pas orienter vers les réalités, mais bien vers des choses que l’on recouvre de slogans comme de petits manteaux.

[…]
Il prédit que ces choses dont les hommes d’aujourd’hui sont si fiers, auront une fin. Il le dit expressément, il le dit aussi de la “ machine à voter ” — tel est le terme qu’il emploie. Très sérieusement et très scientifiquement, il parle de cette machine à voter parlementaire, dont il perce à jour le fonctionnement à propos duquel on veut faire croire qu’ainsi, c’est une majorité convaincue qui l’emporte sur une minorité insensée. Il sait que, si l’évolution doit prendre un cours sain, c’est tout autre chose qui en prendra la place. »
~ Rudolf Steiner, La Chute des Esprits des ténèbres – Extraits de la 14e conférence, 28 octobre 1917

Bonus — Extrait de L’Onde Tome III

« Pendant des siècles — voire même des millénaires — des religions et une dynamique sociale simplistes ont prévalu sur presque toute la planète. Cette situation était rendue possible par le fait que, lorsqu’il y avait “ intrusion ” d’un être hyperdimensionnel dans notre réalité — lorsque ces entités “ s’invitaient ” à dîner, si j’ose dire — le manque de moyens de communication entre tribus et peuples facilitait la dissimulation de l’événement.

Lorsque, bien à l’abri chez nous, nous contemplons notre réalité — y compris notre environnement immédiat — nous remarquons un front “ stable ”. Les voitures défilent dans la rue, transportant des gens de tel à tel point au gré de leurs activités quotidiennes. Le soleil brille, des enfants passent en bavardant et en riant. Chacun est impliqué dans sa propre vie d’une manière immédiate, en s’y identifiant, convaincu que cette vie est la réalité, qu’elle est ce qui est.

Mais de temps à autre, un événement bizarre survient, et la personne qui le vit s’efforce d’intégrer cette anomalie au continuum espace/temps. Habituellement, l’incident est suffisamment insignifiant pour qu’elle “ l’étouffe ” et l’oublie — ce qu’elle doit absolument faire, car il jure trop par rapport au cours des événements, à ce qui est admis comme normal. Il doit donc être escamoté, puis oublié.

Il arrive que des anomalies plus flagrantes surviennent dans la réalité — témoignant d’une intrusion du système de contrôle hyperdimensionnel — ou que le “ voile ” se déchire d’une façon ou d’une autre, ce qui fait alors les gros titres de la presse. Charles Fort a passé de nombreuses années à collecter des articles rapportant ce genre d’incidents dans des journaux ou magazines du monde entier.

Lorsqu’un événement de ce genre a lieu, le “ système de croyances en vigueur ” se hâte de le “ minimiser ”, si bien que chacun peut continuer à vivre dans ses illusions respectives ou collectives. En outre, puisque ces types d’événements sont locaux, il est aisé de les étouffer. Il était d’ailleurs bien plus aisé de les étouffer dans le passé.

Quand on lit les informations rassemblées par Charles Fort, on constate que la “ réalité alien ” dont on parle tant de nos jours était tout autant d’actualité à son époque. En fait, on constate qu’elle est en quelque sorte “ cyclique ”. Tout comme nous avons des cycles de production alimentaire (plantation, croissance, et récolte), les êtres hyperdimensionnels semblent nous moissonner selon quelque loi “ saisonnière ”.

Par le passé, il était infiniment plus facile d’étouffer la question. Mais avec le temps, les gens se sont cultivés. Des livres, articles et magazines ont été publiés et diffusés. Voyager est devenu plus facile, et les informations en provenance du monde entier faisant état “ d’étranges intrusions ” dans notre réalité sont devenues accessibles, donnant l’impression générale que quelque chose “ n’est pas clair ”.

Avant Charles Fort, certains sentaient déjà le “ cadavre dans le placard ”. Mais monsieur Fort agita carrément ce cadavre sous notre nez, et les réactions furent des plus intéressantes. La machine à censure se mit à tourner à plein régime, utilisant les vecteurs extrêmement efficaces que sont la science et la religion conventionnelles.

Or le cadavre avait répandu son odeur, et certains ne pouvaient plus se contenter de le remettre dans le placard. La puanteur montait par la porte désormais entr’ouverte.

Certains cherchèrent à savoir d’où venait cette pestilence. Ils commencèrent à rassembler connaissances et informations.

On peut même remarquer de quelle manière la machine à censure lança son entreprise de “ damage control ”. Lorsqu’on étudie l’histoire des mouvements et changements sociaux et religieux, on se rend compte que le “ mécanisme de contrôle ” se métamorphose à chaque nouvelle découverte ou prise de conscience de l’humanité ; à mesure que les hommes abandonnaient les anciennes religions et les explications simplistes, de nouvelles “ religions ” se mirent en place. Exactement au bon moment — c’est-à-dire en plein essor de la science et des connaissances sur la nature de la réalité, lesquelles remettaient sérieusement en cause les anciennes vues religieuses — le mouvement spiritualiste fit son apparition, aboutissant aux informations reçues par channeling, lesquelles avaient pour but de colmater les brèches faites dans le réseau de contrôle. Des explications nouvelles, plus élaborées, sur les “ mondes supérieurs ” furent communiquées dans notre réalité. Et à chaque nouvelle question, le système de contrôle apportait une nouvelle réponse qui aiderait chacun à se calmer, à se détendre et surtout à arrêter de poser des questions !

De nos jours, ce processus est devenu d’autant plus évident. Il y a quelques années, lorsque nous avons commencé à partager les informations cassiopéennes, la plupart des sujets dont nous traitions n’étaient pas même évoquées par les autres “ sources ”. Aujourd’hui, dès que nous publions quelque chose, “ l’autre bord ” présente un nouveau candidat qui donne de nouvelles explications destinées à “ colmater les brèches ” que nous ouvrons dans le mur de la réalité. »
~ Laura Knight-Jadczyk, L’Onde Tome III, pp. 388-390

yogaesoteric
18 juin 2020

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