Structure ADN, preuves d’une intervention externe …

 

Selon Francis Crick l’ADN humain aurait été déposé sur Terre par des extraterrestres venu par vaisseau spatial, et toute la vie sur Terre est un clone dérivé d’un organisme extraterrestre unique, c’est l’idée qu’il avait défendu publiquement des 1973.

Ce qui est en parfait accord, avec les théories, et les écrits de Sumer, et ce Monsieur savait de quoi il parlait à priori !
L’un des deux découvreurs de la structure de l’ADN, qui ont élucidés le double hélice, affirmait qu’une forme de vie primitive de vie a été amenée sur terre par une civilisation avancée, et ce d’une manière délibérée !

Francis Harry Compton Crick (né le 8 juin 1916 à Northampton en Angleterre et décédé le 28 juillet 2004 à l’hôpital de l’Université de San Diego en Californie) était un biologiste britannique. Il reçut avec James Watson et Maurice Wilkins le Prix Nobel de médecine en 1962 pour la découverte de la structure de l’ADN, ainsi que la médaille Copley en 1975.

Francis Crick propose 2 faits en faveur de sa théorie :
1) Le code génétique est identique chez tous les êtres vivants ici-bas.
2) Les organismes les plus anciens apparaissent subitement, sans que l’on puisse déceler la trace de précurseurs plus simple, du moins sur Terre.

En 1951, il commence à travailler avec l’américain James D. Watson au Cavendish Laboratory de l’Université de Cambridge en Angleterre et se focalise à plein temps sur le décryptage de la structure de la molécule ADN, déjà identifiée par les biologistes comme clé de départ pour la compréhension de la génétique.

En se basant sur les analyses cristallographiques aux rayons X de Rosalind Franklin, sur les compétences spécifiques en génétique et en processus biologiques de Crick et en cristallographie de Watson, ils proposent la structure en double hélice de la molécule d’ADN (acide désoxyribo-nucléique), publiée le 25 avril 1953 dans la revue Nature.

La structure de la molécule en double hélice qu’est l’ADN a donné au monde la clé pour comprendre tous les secrets du vivant : toute la vie sur terre n’existe que grâce à cet omniprésent ADN, de la plus petite bactérie à l’homme. Cette découverte lui vaut le prix Nobel de médecine en 1962 ainsi qu’à James Watson et au britannique d’origine néo-zélandaise Maurice Wilkins dont les travaux ont servi de base.

Alors que de nombreuses équipes scientifiques se creusent la tête pour tenter la lecture de la molécule, en l’absence de microscope assez puissant, Crick et Watson découvrent qu’en faisant cristalliser la molécule, en la soumettant à des faisceaux de rayons X et en étudiant les différents modes de diffraction des rayons, il est possible de reconstituer la forme de la molécule et de comprendre son fonctionnement.

Chaque brin de la molécule porte quatre bases chimiques qui se font face deux à deux : l’adénine avec la thymine, et la cytosine avec la guanine. Ces quatre bases chimiques abrégées en A, T, C, et G, constituent l’alphabet par lequel s’écrivent les gènes le long de chaînes de l’ADN. Ils expliquent aussi que chaque brin d’ADN est un double miroir de celui qui lui fait face, ce qui permet d’expliquer comment l’ADN peut se recopier et se reproduire.

Crick et Watson commencent donc à étudier le déchiffrage de l’ADN, qui sera résolu en 1966

En 1973, il entre au Salk Institute for Biological Studies de l’Université de San Diego pour faire des recherches en neurosciences. Il concentra ses efforts sur la compréhension du cerveau, et a fourni à la communauté scientifique de nombreuses idées et hypothèses, et la démonstration expérimentale de la transmission d’image fixes à 50 Hertz par la rétine au cerveau, ce qui est un apport fondamental pour le futur des théories de la perception visuelle.

On doit souligner également que la retentissante découverte des deux biologistes pour l’ADN fut récompensée, en 1962, par le prix Nobel de médecine, prix qu’ils partagèrent alors avec Maurice Wilkins. Honneur qui vaudra à Crick d’être anobli par la reine d’Angleterre.

Voici ce que l’on peut lire sur lui ici et là sur le net en relation avec ses découvertes :
« Il fut l’exemple parfait de l’individu qui amène un regard neuf sur un vieux problème. Regard grâce auquel, il y a 50 ans, une porte s’est ouverte sur un nouveau savoir. Un savoir que, cinquante ans plus tard, on commence à peine à défricher. »

Francis Crick n’était pas un biologiste, il était physicien.

A la fin du XIXe siècle, un physicien suédois, Arrhénius, soutenait que la vie était apparue avec l’arrivée de « semences » extra-terrestres propulsées par la pression de la lumière; d’où sa théorie de la panspermia (omnipluie de spermatozoïdes).

Crick a repris cette théorie sous le nom de « directed panspermia ». Crick croit en effet que ces semences sont arrivées sur terre dans un vaisseau spatial télécommandé. Idée loufoque, gentil canular ou conviction scientifique ?

Crick se demande lui-même si la panspermie dirigée doit être considérée comme ressortissant à la science ou à une science-fiction dépourvue d’imagination.

Un tel homme, un tel chercheur plein de rigueur, ne lance pas comme cela de telles idées en l’air, il sait de quoi il parle tout de même.

A la grande question : La vie doit-elle être considérée comme le légitime aboutissement des lois de la physique ou comme une exception terrestre résultant de l’enchaînement de circonstances hasardeuses lui conférant un probable statut d’unicité ?

On va prendre juste une phrase de Crick pour y répondre :
« Les restes fossilisés montrent que les formes de vies actuelles, basées sur les protéines, existaient déjà il y a 3,6 milliards d’années…. cela laisse extraordinairement peu de temps à la vie pour apparaître » (Crick, 1993).

Darwin en lançant sa théorie au milieu du 19ème siècle, n’a jamais traité la question de l’origine de la vie, c’est-à-dire la formation de la première cellule.

Les scientifiques ayant commencé à étudier l’origine de la vie, au début du 20ème siècle, se sont rendus compte de l’impossibilité de la théorie de l’évolution.

La complexité et la perfection présentes chez les êtres vivants, ont été les fondations qui ont démontré la création pour beaucoup de chercheurs. Les calculs de probabilité ainsi que les observations et les expérimentations scientifiques ont montré que la vie n’a pu apparaître par hasard, comme le prétend la théorie de l’évolution. Lorsque l’hypothèse du hasard s’est écroulée et que « la planification » des êtres vivants fut découverte, certains scientifiques ont commencé à chercher l’origine de la vie dans l’espace.

Fred Hoyle et Chandra Wickramasinghe sont parmi les scientifiques les plus connus ayant lancé cet argument. Ils ont, dans un scénario établi par leurs soins, avancé la capacité de l’espace à être un générateur de « semences » propice à la vie.

Selon le scénario de Hoyle-Wickramasinghe, ces « semences » transportées par des gaz, des nuages de poussière présents dans le vide sidéral ou encore par des météorites, sont arrivées sur Terre pour y faire naître la vie.

Un autre fait un peu oublié voir même effacé des mémoires nous signale que le 7 août 1996, la NASA annonce la découverte de traces de micro-organismes, c’est à dire des formes de vie primitives, dans une météorite découverte dans l’antarctique et venue de MARS. Cette météorite a environ 4.5 milliards d’années, et renferme des microfossiles vieux de 3.6 milliards d’années.

Fait qui prouve déjà :
1) Qu’il y a de la vie sur MARS et ailleurs !
2) Que cette vie est très ancienne et ne date pas d’hier, mais de milliards d’années !

Le 7 août 1996, Daniel Goldin, président de la Nasa, David Mc Kay, géochimiste, et Evrett Gibon, spécialiste des météorites, font leurs révélations aux journalistes sur la météorite ALH84001, venue de Mars et tombée sur Terre il y a 13.000 ans, ils auraient découvert des traces de vie bactériologique !

La météorite ALH84001 pèse 1.93 kg. Elle est recouverte d’une matière noire vitreuse qui s’est formée lorsque la météorite s’est réchauffée en entrant dans l’atmosphère terrestre.

En effet, grossie 30.000 fois, la surface de la météorite s’est révélée couverte de petits bâtonnets semblables à des bactéries de 20 à 100 nanomètres de long

Est-ce la preuve que la vie a existé un jour sur Mars ??

Pour les scientifiques qui n’ont pas peur, la réponse est bien entendu un gros OUI.

Les composants de cette roche sont des hydrocarbures aromatiques polycycliques –un charabia scientifique qui prouve que ces formes observées seraient d’origine biologique. On a également identifié des minéraux, tels que la magnétite et du sulfate de fer qui sont, sur Terre, liés à l’action bactérienne. Pour beaucoup de scientifiques, ces indices seraient la preuve d’une vie passée sur la planète rouge.

Pour d’autres, ce ne seraient que des artefacts publiés par la Nasa pour gagner des crédits du Sénat ?! Ah quand le scepticisme en faveur de leur croyance entre en jeux !

Bref, des météorites comme ALH84001, contenant de la vie martienne seraient tombés il y a 3 milliards d’années dans les océans de la Terre primitive et auraient permis à la vie d’apparaître sur Terre.

C’est ce que beaucoup de scientifiques pensent également, mais alors la vie sur Mars est beaucoup plus ancienne que sur Terre, ce qui colle encore une fois parfaitement avec les théories de ce que certains appellent les doux rêveurs, et cela colle parfaitement également au regard des artéfacts plutôt étranges trouvés sur Mars… et ailleurs dans le système Solaire… !!

 

yogaesoteric
30 octobre 2018

 

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