Technique de guérison et de purification à l’aide du peroxyde d’hydrogène

Jusqu’à présent, plus de trente méthodes d’oxythérapie sont connues. Elles sont compatibles avec toutes les thérapies à base de plantes ou homéopathiques, mais elles ont un effet significativement plus faible en combinaison avec des thérapies allopathiques parce que les résidus qui sont laissés par les médicaments allopathiques sont si élevés, que l’oxygène transféré dans le corps par oxythérapie est rapidement consommé en réaction avec ceux-ci, il n’arrivant plus au foyer de l’infection. Même si dans certains cas, on ne peut pas abandonner complètement un traitement allopathique, il est mieux de réduire la quantité de médicaments si possible, et que ceux-ci ne soient pas pris en même temps que le peroxyde d’hydrogène, mais au moins une heure avant ou après son administration. Voici maintenant, dans une courte présentation, quelles sont les méthodes les plus importantes d’oxythérapie :

 
 
– l’ingestion orale de peroxyde d’hydrogène (H2O2) dilué avec de l’eau (H2O); il est préférable d’utiliser l’eau de source naturelle pour la dilution ;
– dans le côlon : l’introduction par lavement de peroxyde d’hydrogène (H2O2) dilué dans de l’eau (H2O) (le mieux avec de l’eau de source naturelle) et du NaCl (sel nature de cuisine, mais sans exagérer son dosage) ;
– intraveineux : solution de H2O2 et sérum physiologique ;
– Intramusculaire : solution de H2O2 et sérum physiologique ;
– le bain de peroxyde d’hydrogène (ou une douche avec pompe à main). Le plus efficace dans ce sens est le bain où nous restons totalement immergés jusqu’au cou pour un certain temps, puis on récupère à chaque fois la solution de peroxyde d’hydrogène dans des bidons d’eau pour la réutilisation ;
– l’injection d’ozone dans le sang ;
– l’inhalation de l’ozone qui est produit en quantité suffisante au moyen d’appareils de production d’ozone ;
– l’ozonisation sanguine par autohémothérapie ;
– l’ozonisation du colon via un dispositif spécial d’insufflation rectale ;
– l’ozonisation sanguine par aphérèse poly atomique assistée par ordinateur.

Attention !!! En raison des effets secondaires négatifs qui peuvent se produire à cause de l’utilisation erronée des concentrations et des appareils et faute d’un dispositif générateur d’ozone de haute pureté médicale et de chiffre moléculaire suffisamment élevée, il est strictement interdit d’expérimenter en termes d’amateurisme les méthodes d’ozonisation du sang !

La méthode simple et efficace d’ingestion orale du peroxyde d’hydrogène (H2O2)

Attention ! Le non-respect strict du protocole d’administration du peroxyde d’hydrogène (H2O2) peut produire des effets secondaires négatifs !

Si vous n’avez actuellement aucune condition médicale (maladie) visible ou manifeste, alors il faut commencer la thérapie préventive avec une dose de charge de 3 gouttes de peroxyde d’hydrogène par jour (contenant H2O2 à des concentrations de 30%) ou 30 gouttes d’eau oxygénée par jour (contenant 3% H2O2). Ainsi, il faut ajouter une goutte de peroxyde d’hydrogène (ou 10 gouttes d’eau oxygénée) dans un verre de 200 à 250 ml d’eau (le mieux est d’utiliser de l’eau de source naturelle pour la dilution) ou éventuellement, au choix, des jus de légumes ou de fruits, des tisanes faite par trempage dans l’eau de source naturelle à froid), du lait, etc.

Il faut donc boire trois verres par jour, 20 à 40 minutes avant les repas. Si au moment du début de la thérapie nous sommes confrontés au froid, à la grippe, à une virose etc., alors il faut commencer le traitement avec une dose de charge de 4 gouttes de peroxyde d’hydrogène sur le premier jour, le deuxième jour elle est réduite à 3 gouttes, puis on remonte à 4 gouttes de peroxyde d’hydrogène à nouveau sur le troisième jour. Ensuite, dans les deux cas, on ajoute une goutte de peroxyde d’hydrogène chaque jour jusqu’à l’apparition des premières réactions de purification, qui se compose habituellement par de la diarrhée pendant plusieurs jours, par des transpirations intenses, des éternuements, des maux de tête, des étourdissements, de la fièvre, des expectorations, le nez qui coule, des yeux larmoyants, de la toux et d’autres secondaires possibles signes de purification, en fonction des zones touchées du corps ou qui ont longtemps été touchées.

Dans cette phase, on diminue la ration journalière de gouttes d’une goutte, puis on maintient la quantité de gouttes constante jusqu’à la disparition complète de ces symptômes (ce qui peut durer de quelques jours à deux ou trois semaines). Après quoi, en fonction de notre condition intérieure, nous pouvons éventuellement décider soit de continuer la période de purification par l’augmentation progressive du nombre de gouttes jusqu’à une valeur moyenne commode, soit de réduire le nombre de gouttes d’une goutte par jour, puis interrompre le traitement (pendant un à deux mois) si notre corps réagit trop violemment à cette thérapie.

Une condition importante

La cure obligatoire avec du peroxyde d’hydrogène est de minimum 21 jours !!! Nous pouvons établir nous-mêmes le maximum, mais le minimum efficace est établi par des recherches menées par des experts ayant une vaste expérience dans ce domaine. Le traitement avec du peroxyde d’hydrogène peut se réaliser sans problèmes les jours de jeûne. Nous devons garder à l’esprit que notre corps peut réagir plus ou moins violemment à ce traitement, selon les toxines et les agents pathogènes qui existent dans notre corps.

Effets secondaires

Jusqu’à environ sept à neuf gouttes de perhydrol (solution de 30% de H2O2 – le peroxyde d’hydrogène) dans 200-250 ml d’eau de source naturelle, il ne se passe rien de spécial (dans le cas d’un homme relativement sain et équilibré), mais au-delà de cette dose, des nausées et des vomissements peuvent apparaître dans certains cas. Pour maintenir un équilibre, pour assurer une très bonne oxygénation et pour l’entretien de l’appareil digestif en excellent état, pas besoin d’aller au-delà de sept à neuf gouttes trois fois par jour dans un verre d’eau (de source naturelle).

Si vous souhaitez utiliser cette méthode simple non à des fins prophylactiques mais dans le traitement efficace de certaines maladies, il est nécessaire de dépasser la dose, mais dans ce cas nous devons d’abord boire un demi-verre (dosage déjà fait) et nous buvons la seconde moitié du verre entre sept à quinze minutes, de manière à éviter autant que possible un état secondaire de nausée. Puis nous nous couchons sur le lit ou sur le sol (tête et pieds du nord au sud) pendant dix minutes et nous nous relaxons profondément, ensuite nous réaliserons (si nous avons appris cela) quelques (sept à huit) respirations yogiques complètes dans de l’air frais. Après quinze minutes, nous pouvons manger (si nous le souhaitons).

 
Nous pouvons également combiner (cela est même indiqué) les gouttes de peroxyde d’hydrogène avec une infusion aux herbes obtenue par macération à froid dans de l’eau de source naturelle, avec du lait ou du jus de fruits ou de légumes, ou bien nous ajoutons dans le verre d’eau que nous allons boire une goutte d’une substance naturelle volatile avec un goût ou un odeur très agréable, comme de l’huile naturelle de menthe poivrée, d’orange, de citron, de pomme, etc. L’infusion obtenue par la macération à froid dans de l’eau de source naturelle ne doit être ni trop froide ni trop chaude, parce que si elle est chaude le peroxyde d’hydrogène se décompose très rapidement. Il est préférable qu’elle ait la température du corps. Il a été constaté que les vomissements peuvent se reproduire souvent autour la valeur de vingt gouttes.

Conseils pratiques

Si vous ne disposez pas de réfrigérateur pour garder le lait ou les jus de fruits au frais, vous pouvez y ajouter une dose de solution de peroxyde d’hydrogène (30% H2O2), environ 25 gouttes / litre ; cette façon de procéder les maintiendra inchangés même trois semaines, car tout processus de fermentation est arrêté par la destruction rapide des bactéries. Les récipients (bouteilles) où on garde le lait ou le jus doivent être bien fermés, sinon d’autres bactéries vont s’y introduire.

La solution utilisée pour la boisson doit être préparée et consommée rapidement, ensuite nous devons immédiatement rincer la bouche avec de l’eau propre (trois à quatre fois de suite), sinon les plombages dentaires seront sérieusement affectés par la solution de peroxyde.

Il faut noter que l’oxygène va oxyder et éliminer presque toujours du corps et de l’environnement tout ce qui est contre nature ou endommagé. Les dents non traitées ou cariées seront rapidement oxydées parce que leur émail est détruit. La plaque dentaire peut être rapidement éliminée si nous gargarisons pendant trente secondes de l’eau oxygénée (contenant 3% H2O2) sans l’avaler, mais nous devons rincer obligatoirement la bouche (trois à quatre fois) pendant plusieurs minutes avec de l’eau propre (source naturelle).

Effets bénéfiques

Après une ou deux semaines de traitement correct et conséquent vont apparaître les premiers signes positifs qui indiquent que le processus de purification a commencé. Parmi eux, nous constaterons que nos excréments et l’urine ne sentent plus. Notre urine acquiert alors une couleur légèrement jaune, cristalline ou peut même devenir incolore. Notre respiration et la digestion seront beaucoup améliorées ; tout le trajet du système respiratoire sera purifié, et après plusieurs mois de pratique de cette thérapie nous serons en mesure de constater les effets suivants en plan psychomental : un mental claire, un calme intérieur profond, le besoin quotidien de sommeil sera réduit d’au moins deux à trois heures, la puissance de concentration va être accrue en raison de l’oxygénation ample et profonde, l’amplification du magnétisme individuel (biochamp éthérique), la purification sanguine excellente (après une année de traitement sans interruption), la transition rapide de l’état de sommeil à celui de veille et l’élimination progressive des états d’inertie et de somnolence qui surviennent surtout le matin au réveil. Les recherches ont confirmé que l’oxygène est le seul élément de l’univers qui a entre autre la propriété de refaire rapidement et profondément le système immunitaire, les cellules et les organes.

yogaesoteric
19 février 2017

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