Traduction du Rapport «The Disclosure Project», le Projet Révélation (3)

Traduit du [Sommaire Exécutif, Note Éditoriale Importante] de Steven M. Greer, M.D.



Lisez la deuxième partie de cet article

Les Toiles que nous tissons

Comme si l’antériorité n’était pas suffisante pour justifier le secret, rappelez-vous que des choses extraordinaires ont été faites pour conserver ce secret. L’infrastructure requise pour conserver et augmenter le niveau du secret pouvant abuser des présidents et des directeurs de la C.I.A, des dirigeants du Congrès américain ainsi que des premiers ministres européens est importante et illégale. Laissez-moi être clair, l’entité qui contrôle le dossier des OVNI et de ses technologies relatives a plus de puissance que n’importe quel gouvernement ou dirigeant identifié dans le Monde.

 

Une telle situation pouvant surgir a été divulguée par le Président Eisenhower quand, en janvier 1961, il nous a avertis sur « le complexe militaire-industriel croissant ». Ce fut son dernier discours au monde en tant que président, et il nous a avertis directement de la situation effrayante au sujet de laquelle il avait eu la connaissance personnelle. Eisenhower avait vu l’engin extraterrestre et des corps extraterrestres décédés. Il eut connaissance de tels programmes secrets traitant de la situation. Mais il sut également que le contrôle de ces projets lui échappait et qu’ils lui mentaient au sujet de l’ampleur et de la pleine nature de leurs activités de recherches et de développement.

En effet, la situation actuelle secrète est organisée par un groupe hybride, un quasi-gouvernement, une opération quasiment privatisée de fait internationale, et fonctionnant en dehors de la portée de n’importe quelle agence de renseignements ou de n’importe quel gouvernement. « Le Gouvernement », comme vous, moi ou Thomas Jefferson peuvent en penser, est vraiment tout à fait en dehors du circuit. Plutôt, un projet non reconnu ou « sombre » étroitement contrôlé et compartimenté, contrôle ses sujets. L’accès ne peut se faire que par inclusion et si vous n’êtes pas inclus, peu importe si vous êtes directeur de la C.I.A, Président, président des Relations Etrangères du Sénat ou secrétaire général de l’ONU, vous n’aurez tout simplement pas connaissance ou accès à de tels projets. En effet la situation est si terrible que les principaux responsables de l’encadrement au Pentagone à qui j’ai donné des instructions n’aient pas eu plus d’accès à ces projets que n’importe quel citoyen, à moins qu’ils soient dans la confidence pour quelque raison. Mais c’est rare.

Pour acquérir et maintenir un tel pouvoir, toutes les choses ont été faites. Nous nous souvenons de ce poème glacial de Robert dans lequel il décrit « les toiles que nous tissons… » Mais comment une telle entité s’extrait elle-même d’un tel réseau secret, de la duperie, des mensonges et de l’insubordination ? Pour être précis, ce groupe a usurpé un pouvoir et des droits qui ne lui ont pas été accordés légalement. Ce groupe est extra-constitutionnel, aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et dans d’autres pays du Monde.

J’accorderai l’éventualité que, au moins au commencement, cette entreprise secrète ai été conçu pour maintenir le secret et ainsi éviter l’instabilité. Mais les risques de fuites négligentes, ou le désir d’un dirigeant national ou mondial de révéler ces dossiers, ont tissé une toile de plus en plus secrète et des programmes illégaux. Et maintenant la toile s’est refermée sur elle-même dans son fonctionnement. C’est-à-dire, la complexité de ces projets compartimentés, le degré d’activité inconstitutionnelle et non autorisée, la « privatisation » (ou le vol) par des partenaires économiques (la partie « industrielle » du complexe militaire et industriel) des technologies de pointe, le mensonge continu aux demandes d’information d’élus et de dirigeants légalement désignés et au public, toutes ces choses et d’autres ont contribué à une psychologie du secret continu, parce que la révélation exposerait le plus grand scandale de l’histoire.

Comment par exemple le public réagirait au fait que la dégradation de l’écosystème de la terre entière et la perte irréversible de milliers d’espèces de plantes et d’animaux disparues aujourd’hui à cause de la pollution, était tout à fait superflu, et aurait pu être évitée si une simple publication honnête de cette information s’était produite dans les années 50 ?

Comment la société réagirait-elle à la connaissance que des trillions des dollars ont été dépensés sur des projets non autorisés et inconstitutionnels au cours de toutes ces années ? Et au sujet des impôts et taxes qui ont été employés par des partenaires économiques en secret pour développer des technologies secondaires basées sur l’étude d’objets extraterrestres qui ont été plus tard brevetés et utilisés en technologies fortement profitables ? Non seulement les contribuables ont été volés, mais ils ont aussi payé une prime pour de telles découvertes qui étaient le résultat de la recherche payé par eux-mêmes ! Et ceci ne mentionne pas le vol de propriété intellectuelle de telles technologies extraterrestres. Tandis que les technologies de base de génération d’énergie et de propulsion ont été retenues, ces partenaires économiques ont profité d’une manière extravagante d’autres découvertes et avantages dans l’électronique, la miniaturisation et les secteurs liés. De tels transferts de technologies secrètes constituent un vol de millions de millions de dollars technologiques qui devraient vraiment appartenir au domaine public à la vue que ce sont les contribuables qui l’ont payé.

Et comment le public réagirait-il au fait que le programme spatial nécessitant des milliards de dollars, en utilisant les fusées à combustion et autres, a été une expérience primitive et inutile depuis que des technologies beaucoup plus performantes et des systèmes de propulsion étaient expérimentés avant même que nous puissions poser le pied sur la Lune ? La NASA et les agences similaires ont, pour la plupart, été autant victime de ce secret que le reste du gouvernement et du public. Seulement une petite fraction très compartimentée de personnes de la NASA connaissent la vérité sur les technologies extraterrestres écartées de ces projets. Certainement mon oncle, qui a aidé à la conception du module lunaire qui a transporté Neil Armstrong jusqu’à la lune, était autant une victime que n’importe qui tant qu’il lui était refusé l’accès à ces ouvertures technologiques. Il a dû compter sur la vieille physique et les vieilles technologies de combustion internes à gicleur comme tout un chacun. Quelle honte.

La réalité indéniable est celle-ci : Ce projet secret, qu’importe la bonne intention initiale, a été emporté par sa propre puissance secrète. Il a maltraité cette puissance. Il a détourné notre futur pendant cinquante années. En fait, le coup d’état silencieux de la fin des années 40 et du début des années 50, une fois exposé, peut avoir comme conséquence une véritable instabilité à présent. Mais la situation est encore bien pire. Tout ce qui est décrit ci-dessus est occulté par un problème bien plus grave encore : le groupe qui menait secrètement ces sombres projets avait également amorcé une ébauche de relation humano-extraterrestre. Et la gestion de cette relation a été tellement mauvaise qu’elle a failli provoquer une véritable catastrophe généralisée.

Que se produit-il losqu’un groupe non élu, non souhaité, autogéré, et militairement orienté gère des relations inter-espèces entre les humains et les extraterrestres ? Bien, comme dans la plupart des cas, si vous portez les lunettes roses le monde entier semble rouge. Et si vous portez les lunettes militaires, chaque nouveau développement non contrôlé sera vu comme une vraie ou potentielle menace militaire. La nature de ce groupe, qui fonctionne exclusivement en vase clos et pour ainsi dire de façon incestueuse, fait de lui un univers animé d’un point de vue et d’une pensée uniques. Dans un tel environnement d’extrême secret, de militarisme et da paranoïa, nous avons constaté que des actions immensément dangereuses ont été entreprises contre les extraterrestres. En effet, nous possédons des renseignements multiples qui nous ont décrit l’utilisation de technologies de plus en plus avancées pour traquer, cibler et détruire des éléments extraterrestres. S’il n’y a même que 10 % de chances que ce fait soit réel (je suis convaincu que c’est certain à 100%) nous sommes en train de traiter une crise diplomatique et sociale mondiale qui est tout à fait hors de notre contrôle, mais qui met la planète entière en péril.

Souvenez-vous, des projets secrets d’ingénierie inversée ont abouti aux sauts énormes dans des technologies quantiques qui, une fois confiés aux systèmes militaires, pourraient être une menace réelle à l’encontre des extraterrestres qui pourraient venir sur Terre dans un but pacifique. Les tentatives de rapidement militariser l’espace sont probables le résultat d’une vue myope, militariste et paranoïaque sur les projets extraterrestres et de leurs intentions. Si tout cela était laissé incontrôlé, nous pourrions aboutir à la catastrophe.

 

En effet ce groupe, peu importe le bien-fondé initial de ses intentions, est dans un besoin urgent d’exposition pour que des hommes d’Etat mondiaux puissent intercéder avec une nouvelle perspective dans cette situation. Tandis que nous ne voyons aucune évidence de prise de partie hostile de civilisations extraterrestres, il est aussi clair qu’il est peu probable qu’ils permettent une interférence en croissance effrénée avec leurs opérations. L’autodéfense est probablement une qualité universelle. Et tandis que d’énormes contraintes ont été démontrées vis-à-vis des extraterrestres jusqu’à présent, il pourrait être « le fil conducteur cosmique » si des technologies humaines secrètes commencent à atteindre la parité et si nous employons des technologies si avancées d’une façon belliqueuse ? L’avenir est sérieux.

Nous avons besoin d’impliquer notre Jimmy Carters, nos Dalaï-Lamas et nos autres hommes d’Etat internationaux avec un problème si énorme. Mais si l’accès est interdit, et le sujet continuellement non révélé et caché de l’écran radar mondial, nous sommes liés à ce petit groupe de personnes non élues pour décider de notre destin et de nos actes en notre nom. Cela doit changer et bientôt.

Dans l’analyse finale, tandis que les changements accompagnant une telle révélation liée à l’existence d’OVNI et de formes de vie extraterrestres seraient massifs et impacteraient profondément chaque aspect de la vie sur Terre, cette solution est toujours la chose juste à faire. Le secret a fondé sa propre vie, c’est un cancer en croissance qui doit être guéri avant qu’il ne détruise la vie de Terre et tout ce qui l’habite.

Les raisons du secret sont claires : un puissant contrôle économique et technologique global, un statu quo géopolitique, la crainte du scandale entourant l’exposition de tels projets et leur comportement et ainsi de suite.

Mais une chose plus dangereuse que la révélation perdure secrètement. La Terre meurt parce que nous la tuons. Les 250 plus grandes personnes et familles dans le monde compte comme deux milliard et demi de nos citoyens les plus pauvres. Le rapport prometteur entre l’humanité et les gens d’autres planètes s’est militarisé et n’est contrôlé que par des pensées défaillantes et des projets défaillis qui se déroulent totalement en secret.

Aussi intimidante que puisse être la révélation, avec tout son potentiel d’instabilité à court terme et de changement, ce secret continuel signifie que nous détruirons la Terre par notre folie et avidité. L’avenir de l’humanité, qui a été retardé et détourné pendant les cinquante dernières années, ne peut pas être détourné cinquante ans de plus. Car nous n’avons pas encore cinquante années, l’écosystème de la Terre s’effondrera bien avant.

Il n’y a aucun choix facile. Mais il y en a un de correct. Nous aiderez-vous à le prendre ?

Témoignages Expliquant le Secret

Brigadier General Stephen Lovekin
– Army National Guard Reserves

Ce qui s’est produit, c’est qu’Eisenhower a été mis à l’écart. Il ne contrôlait plus la situation à propos des OVNI. Dans sa dernière allocution à la Nation, je pense qu’il voulait dire que le Complexe Militaro-Industriel nous poignarderait dans le dos si nous n’étions pas totalement sur nos gardes. Je pense qu’il sentait qu’il n’avait pas été assez vigilant, qu’il avait été trop crédule. Et effectivement, Eisenhower était crédule. C’était un homme foncièrement bon. Je pense qu’il a réalisé soudainement que tout était passé sous le contrôle de corporations qui pouvaient très bien agir au détriment de son pays. Cette frustration, d’après ce dont je me souviens, est apparue sur plusieurs mois. Il réalisait peu à peu qu’il avait perdu le contrôle du sujet OVNI. Il réalisait que le phénomène, ou quoi que ce fût en face de nous, ne passait pas entre les meilleures mains. Aussi loin que je m’en souvienne, c’était l’expression qu’il utilisait : « Ça ne passe pas entre les meilleures mains ». C’était une réelle inquiétude. Aussi cela est-il devenu un réel problème…

On m’a souvent demandé ce qu’il m’arriverait, du point de vue professionnel, si je parlais de cela. Je voudrais dire que le gouvernement a travaillé à renforcer le secret par l’installation d’une peur abjecte, comme ils l’ont fait avec tout ce que contient la mémoire de l’homme moderne. Je crois réellement qu’ils s’y sont appliqués comme à un travail. Un ancien officier et moi discutions de ce qu’il pourrait advenir en cas de révélation. Il disait que nous serions alors « effacés ». Je lui demandais de préciser ce terme : « Oui, nous serons effacés, disparu ». « Comment le savez-vous? » lui demandai-je. « Je le sais », fût sa seule réponse. Ces menaces ont été mises à exécution. Elles ont débuté en 1947. L’Army Air Force obtint le contrôle absolu sur la manière de gérer cela. Ce fût la plus importante campagne de sécurité que ce pays ait subie et il y eut quelques « effaçages »…

Je n’ai pas peur de qui vous êtes. Je n’ai peur ni de votre force, ni de votre courage. Ce serait une situation très effrayante à cause de ce que disait Matt (l’ancien officier) : « Ils ne seront pas seulement après toi. Ils seront après ta famille ». Ce furent ses mots. Et je peux seulement dire que la méthode qu’ils ont élaborée pour garder cela sous couvert si longtemps passe par la peur. Ils sont très attentifs à qui sera « effacé » pour l’exemple. Et je sais que cela a été fait.

Merle Shane McDow
– US Navy Atlantic Command

Ces deux messieurs commencèrent à me questionner à propos de cet événement. Ils étaient très évasifs, pour être honnête avec vous. Je me souviens d’avoir levé les mains et d’avoir dit : « Une minute les gars. Je suis de votre côté. Juste une minute », parce qu’ils n’étaient pas vraiment agréables… Ils étaient très intimidants et agissaient de telle sorte qu’il était tout à fait évident que rien de ce qui avait été vu, entendu, témoigné, ne devait sortir de ce bâtiment. « Vous ne devez pas toucher un mot de cela à vos collègues. Vous devez seulement oublier tout ce que vous avez pu voir ou entendre concernant cela. Il ne s’est rien passé ».

 

Lt. Col. Charles Brown
– US Air Force (en retraite)

Cela peut sembler étrange mais nous avons envoyé des gens en prison, nous en avons envoyé à la mort à cause de témoignages visuels qui rendaient compte de crimes. Notre système légal est pourtant basé pour une large part sur ces témoignages. Et pourtant, dans ma poursuite des phénomènes aériens inhabituels durant ces 50 dernières années, il me semble qu’il y ait eu de bonnes raisons de discréditer certains témoins tout à fait viables et de bonne réputation quand ils parlaient de quelque chose de non-identifié…

Je sais qu’il y a des agences de notre gouvernement qui peuvent manipuler les données. Qui peuvent en créer ou en recréer comme bon leur semble. Des appareils, des appareils dirigés intelligemment, ont tranquillement violé nos lois physiques sur cette planète. Et ils font cela depuis longtemps. Le fait que le gouvernement, depuis tout ce temps, je sais que l’investigation a débuté en 1947, n’ait toujours pas apporté une réponse, indique, pour moi, qu’il y a quelque chose de foncièrement mauvais. Sommes-nous si incompétents en science ? Je ne le pense pas. Sommes-nous si peu pourvus d’intelligence ? Je sais que ce n’est pas le cas. Après la clôture du Projet Livre Bleu par le groupe du Docteur Condon, j’ai toutes les raisons de croire que ce n’était qu’un lavage de cerveau délibéré.

Les OVNI ont été étudiés durant une période très étendue et le grand public n’a pas été informé, totalement informé. On lui a seulement livré quelques bribes, parcelles… des miettes.

Dr B.

Je sais que plusieurs personnes avec qui j’ai travaillé ont disparu de certains programmes et n’ont plus été vues nulle part par la suite. Elles ont juste disparu. J’ai eu l’évidence de cela tout au long de ma carrière. Vous savez que ces personnes quittent un projet [et disparaissent]. Aussi [pour me protéger de cela], je ne veux plus appartenir à un projet quelconque parce que je pourrais voir quelque chose d’étrange arriver. Beaucoup de gens ont disparu, vous savez.

Lance Corporal Jonathan Weygandt
– US Marine Corps

« Vous n’étiez pas supposés être là », «Vous n’êtes pas supposé voir ceci », « Vous allez devenir dangereux si nous vous laissons faire ». Je pensais qu’ils allaient me tuer, réellement…

Ils avaient un Lieutenant-Colonel de l’Air Force qui n’a pas donné son identité. Il m’a dit « Si nous vous déposons au milieu de la jungle, ils ne vous retrouveront jamais. » Je n’ai pas voulu le tester pour savoir s’il irait jusque-là, aussi ai-je seulement répondu « Ouais ». Il dit alors «Vous allez signer ces papiers. Vous n’avez jamais vu cela ». Je « n’existe pas » et « cette situation n’a jamais eu lieu ». Et si vous en parlez à quiconque, vous serez porté disparu… Ils ont crié, hurlé et m’ont insulté. « Vous n’avez rien vu. Gare à vous et à toute votre bon dieu de famille. » Ce fût comme cela pendant huit à neuf heures. « On va vous prendre en hélicoptère et avec un bon coup de pied au cul vous balancer dans la jungle et vous y laisser… »

Ces différentes agences sont totalement indépendantes. Elles n’obéissent pas à la loi. Ce sont des crapules. Si je pense que c’est un projet qui passe par le gouvernement et que chacun y a sa part ? Non. Je pense que ces gars agissent d’eux-mêmes et que personne ne sait ce qu’ils font. C’est si facile à faire de nos jours. Et il n’y a ni erreur ni contrôle. Ils font juste ce qu’ils veulent… Une force mortelle a été utilisée. Pour ceux d’entre vous qui ne le savent pas, je connais des tireurs d’élite des Marines (j’ai entendu parler de cela par d’autres personnes) qui descendent dans la rue traquer quelqu’un pour l’abattre. Je sais que les tireurs de l’Army Airborne font la même chose. Ils utilisent la Delta Force pour saisir quelqu’un et les réduisent au silence en les tuant.

Maj. George A. Filer, III
– US Air Force (en retraite)

Parfois il m’arrivait de transporter des armes nucléaires. En d’autres mots, j’étais mentalement préparé à transporter des armes nucléaires, mais je n’étais mentalement pas prêt à voir des OVNI. Ce jugement ridicule a fait bien plus pour garder le secret que n’importe quoi.

Nick Pope
– Membre du Ministère anglais de la Défense

Je crois que les gouvernements et les militaires, ainsi que les chercheurs, les politiciens, qui que ce soit, devraient rendre publiques toutes les informations relatives à ce problème. Le gouvernement ne peut pas, je pense, prendre deux chemins à la fois. Vous ne pouvez pas dire, d’un côté, comme cela est souvent fait, que les OVNI n’ont pas de sens, et de l’autre refuser l’accès aux informations.

Vous ne pouvez simplement pas faire une chose pareille. Vous avez à choisir un chemin ou un autre. Et si, comme le gouvernement répond lorsque des politiciens font des recherches sur ce problème ou que les médias enquêtent, il n’y a rien d’inquiétant, alors OK, laissez nous voir toutes les informations.

Larry Warren
– US Air Force, Officier de Sécurité

Nous traversions avec un compteur Geiger quand il y eut le retour d’un des autres gars ; il avait quelque chose qui sortait de sa poche. Il a été emmené très rapidement et, je peux le jurer sur ma tête, je ne l’ai jamais revu. Il a été enlevé. C’est arrivé à un tas de personnes. Cela a conduit à un suicide dont l’Air Force est responsable. Une véritable personne, avec un vrai nom…

Ensuite nous avons été conduits au bureau disciplinaire : sur la table il y avait des feuilles. Nous étions dix. Il y avait un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept tas de documents pré-imprimés. L’un d’eux était un descriptif de ce que nous avions vu, qui n’était pas ce que nous avions vu. Il disait que nous étions libres et n’avions vu que des lumières en mouvement parmi les arbres. Je m’en souviens clairement. Je demandai : « Que se passera-t-il si nous ne signons pas ceci, Major Zigler ? ». Il répondit : « Vous n’avez pas le choix… comme moi de vous demander une signature là-dessus… »

 

Deux personnes vinrent derrière chacun de nous, et je me souviens de quelqu’un portant quelque chose devant lui puis ce qui pouvait être le bruit d’un aérosol. Je me suis à moitié évanoui. Mon nez coulait abondamment et ma poitrine était oppressée. Ensuite j’ai été balancé sans ménagement ; j’ai été battu, littéralement frappé dans les côtes et poussé… Je suis revenu à moi une vingtaine de minutes puis j’ai sombré pendant un jour entier. D’autres personnes ont raconté la même chose. Pendant ce temps les gens disaient que j’étais en maladie, en permission ou simplement absent de la base. En fait j’étais juste en dessous de la base. On était plusieurs… J’avais des marques quand je suis sorti de là. J’avais des contusions et un bandage. Il faut l’admettre. C’était réel. Je les avais. J’ai peur de savoir, de penser à ce qui a pu se passer.

La seule explication que j’ai, c’est que j’avais été remarqué, par un Colonel de l’Air Force, assistant à la sortie furtive de quelques-uns d’entre eux. Ils disaient qu’ils allaient m’isoler. Ils me voyaient presque comme une sorte de Frank Serpico, et incapable de travailler en équipe parce que trop bavard…

Malheureusement après, mon ami Alabama a fait le mur, tentant de rentrer chez lui. A l’aéroport O’Hare (Chicago), il a été capturé par le FBI et ramener à la base immédiatement. Tout ce qu’il voulait c’était retourner chez lui. Mais il a été remis au service des vols.

Pendant ce temps, j’étais totalement déprimé. On m’avait mis de patrouille dans un véhicule avec un Sergent-Chef. Soudain Alabama appelle sur la radio ; il disait qu’il se tuerait s’il ne pouvait pas rentrer chez lui. Aussitôt le Sergent-Chef a fait demi-tour et a filé vers le poste. Il disait « Restez brancher sur cette Bon Dieu de radio! ». Je voyais toutes les unités traverser la piste pour se ruer vers le poste. Ça n’a rien fait. Alabama avait un petit M16 : il l’a mis dans sa bouche et s’est fait sauter la cervelle. C’était la première fois que je voyais la mort, la mort violente, à 19 ans. Nous étions aussi différents que le jour et la nuit, ce garçon et moi. Vous voyez, il était du Sud, moi du Nord. Il était très religieux. Je respecte cela, mais nous n’avions rien de commun. C’était un bon gars. Et, ils n’ont rien fait pour nous aider…

Sergent Clifford Stone
– US Army

Pendant notre discussion sur les OVNI, la question de fond fût celle-ci : « est-ce que chaque gouvernement peut garder le secret indépendamment du gouvernement des Etats-Unis ? ». La réponse fût sans équivoque : « oui ». Mais, l’une des grandes armes que la communauté du renseignement a à sa disposition, est une prédisposition du peuple et des politiques américains, ainsi que des démystificateurs, des personnes qui essayent de dévoiler des informations sur les OVNI, à déclarer à tout bout de champs : « Oh! Nous ne pouvons garder des secrets, nous ne pouvons garder des secrets. » Pourtant la vérité est que, oui, nous le pouvons.

Le NRO (National Reconnaissance Office) resta secret pendant bon nombre d’années. Même l’existence de la NSA resta secrète. Le développement des armes atomiques resta secret jusqu’à ce que la première explosion forçât l’explication de ce que c’était. Et nous sommes conditionnés par nos propres paradigmes à ne pas accepter la possibilité ou la probabilité d’une civilisation hautement avancée qui viendrait nous rendre visite. Vous avez une somme d’évidences en la forme de témoignages hautement crédibles d’objets observés et d’entités à l’intérieur de ces objets, observées elles aussi. Cependant, nous recherchons une explication prosaïque et nous rejetons les pièces, même majeures, qui ne collent à pas notre paradigme.

Aussi est-ce un secret auto-gardé. Vous pouvez le cacher en pleine lumière. C’est un suicide politique de partir bannière au vent et heurter les agences de renseignement pour qu’elles dévoilent les informations. Aussi, une grande partie des membres du Congrès, et j’en connais certains avec qui j’ai travaillé dans ce sens, reculeront et essaieront de ne pas le faire. Je peux vous nommer trois membres du Congrès qui ont demandé franchement à avoir une enquête du Congrès sur les événements de Roswell… Nous avons cherché à consulter la documentation existante dans les archives du Gouvernement. Nous avons cherché à les consulter avant qu’ils ne soient en définitive détruits. Deux bons exemples sont ceux des fichiers Blue Fly et Moon Dust. J’ai eu des documents secrets connus de l’Air Force. Quand je suis devenu membre du Congrès pour avoir accès à plus de documents, ils les ont immédiatement détruits et je peux le prouver.

Quelque part, quelques personnes peuvent consulter et traiter ces informations considérées comme très sensibles pour la sécurité nationale des Etats-Unis. Ils ont besoin de davantage de protection pour être sûr que l’accès à certaines informations est limité à un petit nombre de personnes. Si petit que vous pouvez les mettre sur une feuille de papier, un bout de papier même en écrivant leur nom complet. Ainsi, vous avez un programme d’accès spécial. Les contrôles classiques qui sont censés être mis en oeuvre n’existent pas. Quand le Congrès fit son enquête sur la manière dont nous protégions les documents, et la manière de réaliser les programmes de protection, ils découvrirent qu’il y avait des programmes d’accès spéciaux à l’intérieur de programme d’accès spéciaux, ce qui les rend presque impossible à contrôler par le Congrès… et par qui que ce soit d’ailleurs…

Quand on en vient aux OVNI, les mêmes critères sont appliqués. Par conséquent, un petit noyau de personnes clefs, moins d’une centaine, non, moins d’une cinquantaine, contrôle ces informations, hors des atteintes, ni même d’un regard du Congrès. Aussi, aurait-il besoin d’aller de l’avant, de poser les bonnes questions et d’organiser un audit sur le sujet.


Lisez la quatorzième partie de cet article

yogaesoteric

6 novembre 2017

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