Vaccins : Comment la vérité est étouffée (2)

par Xavier Bazin

Lisez la première partie de cet article

L’Agence française de sécurité sanitaire essaie de l’éliminer (socialement)

En 2004, l’Agence française du médicament (alors nommée Afssaps) recommande officiellement de STOPPER toute recherche sur le lien entre aluminium et la myofasciite à macrophages.

Cette autorité « sanitaire » décide donc d’enterrer le dossier, malgré les preuves accablantes déjà réunies!

Résultat : du jour au lendemain, le Pr Gherardi perd tout espoir de voir ses recherches financées par l’État. Ce qui le condamne, lui et son équipe, à la marginalité !

Inutile de préciser que les « experts » ayant pris cette décision dramatique avaient tous des liens puissants avec l’industrie pharmaceutique. Mais le scandale du Médiator n’avait pas encore éclaté, et les conflits d’intérêt n’étaient pas aussi suspects qu’aujourd’hui.

Écoutons le Pr Gherardi :
« L’Afssaps, je finirai par le comprendre au fil des années, est une machine ayant pour objectif premier d’empêcher que n’éclate un scandale sanitaire. Elle s’évertue pour ce faire à ralentir les procédures permettant d’appréhender la dimension exacte du problème. (…) Ce n’est ni un juge impartial, ni un collectif scientifique (…). Financée à 80% par l’industrie, c’est prioritairement un outil à son service ».

En ce triste mois de mai 2004, les industriels ont donc eu la peau du Pr Gherardi. Enfin, c’est ce qu’ils croyaient.

Car c’était sans compter sur son intelligence et sa détermination exceptionnelles.

Seul contre tous, il apporte la preuve définitive

La dernière pièce du puzzle, celle qui lui fait encore défaut, c’est la démonstration physiologique du lien de cause à effet entre la vaccination et la maladie.

Statistiquement, il ne fait aucun doute que les terribles symptômes dont souffrent ces malades sont bien liés aux vaccins à l’aluminium.

Mais biologiquement, comment cela se passe-t-il ? Comment une dose infime d’aluminium injectée dans un muscle pourrait-elle causer de tels dégâts ?

C’est la toute dernière clé du mystère….… et il faudra de longues années au Pr Gherardi, privé de financements nationaux et internationaux, pour la révéler au grand jour.

Mais il y parvint enfin, en 2013, dans article publié dans BMC Medicine.[6]

Jusqu’à cette date, tout le monde croyait (ou voulait croire) que l’aluminium des vaccins se dissolvait dans le sang. Si c’était le cas, il ne pouvait pas causer la moindre maladie : l’aluminium serait alors rapidement filtré par les reins et expulsé dans les urines.

Mais des expériences réalisées sur des souris prouvent que cela ne se passe pas comme cela. En réalité, 50% des particules d’aluminium des vaccins migrent vers les ganglions, la rate….… puis s’accumulent dans le cerveau !

Encore plus étonnant : on retrouve d’autant plus d’aluminium dans le cerveau des souris que les doses d’aluminium injectées sont faiblement concentrées ! Pourquoi ? Tout simplement parce que des doses trop fortes ne peuvent pas être « gobées » par les macrophages – et ne sont donc pas emmenées dans le cerveau !

Ce qui réfute de manière éclatante l’argument des labos, qui répètent sur tous les tons que la dose d’aluminium injectée est trop faible pour pouvoir être dangereuse !

Une maladie qui ne frappe pas au hasard

Et comme si cela ne suffisait pas, le Pr Gherardi et son équipe ont même réussi à montrer pourquoi la maladie ne touche qu’une petite fraction de ceux qui sont vaccinés.

Comme toujours avec les métaux lourds, c’est une question de loterie génétique.

Par exemple, certaines personnes ne parviennent pas à éliminer correctement le fer qu’ils avalent dans leur alimentation – c’est l’hémochromatose, une maladie génétique qui touche 1 personne sur 200.

D’autres ne se détoxifient pas bien du mercure[7] : dans leur cas, manger trop de poisson ou avoir plusieurs amalgames au mercure (« plombages ») dans la bouche peut créer de graves troubles cognitifs.

S’agissant de l’aluminium, le Pr Gherardi a admirablement montré que ceux qui souffrent de la myofasciite à macrophage avaient des variations génétiques rares et spécifiques au sein des 34 gènes qui déterminent la détoxification de ce métal.

Voilà pourquoi vous ne risquez pas grand-chose à vous faire vacciner….… sauf si vous avez le malheur de faire partie des personnes « vulnérables » !

C’est vrai pour la myofasciite à macrophage mais aussi pour d’autres graves problèmes de santé.

Quelques exemples des graves effets secondaires des vaccins

Voici quelques exemples des drames les plus criants causés par certains vaccins :

  • Le vaccin contre les rotavirus (injectés aux nourrissons contre la gastroentérite) peut entraîner la mort des nourrissons. On le sait grâce au système de pharmacovigilance français, qui a recensé 2 décès et 201 effets indésirables graves chez les bébés vaccinés[8] ;
  • Le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix a causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable. C’est une étude publiée dans le très respecté British Medical Journal en 2013 qui l’a révélé[9] ;
  • Le vaccin contre l’hépatite B a été incriminé dans plusieurs études solides pour avoir déclenché de nombreux cas de sclérose en plaque[10],[11],[12] ;
  • Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus, a provoqué en France plusieurs dizaines de cas de syndrome de Guillain-Barré, une maladie neurologique grave. C’est l’Agence du médicament elle-même qui l’a reconnu en 2015.[13]

Et bien sûr, tous les vaccins peuvent provoquer de graves réactions allergiques.

Faire toute la vérité sur les vaccins

Au total, il est clair que certains vaccins et certains de leurs adjuvants (aluminium, squalène) posent de graves problèmes de santé à une petite minorité d’entre nous.

Il est important de le reconnaître publiquement, plutôt que de faire de la vaccination un tabou (« la vaccination, ça ne se discute pas », a osé dire la ministre de la Santé en 2015 !).

Il n’est pas question d’être « anti-vaccin » par principe….… mais il n’est pas question non plus d’être « pro-vaccin » aveugle.

Il faut simplement reconnaître que, comme tout acte médical, il peut avoir de graves conséquences. Et il faut donc examiner au cas par cas si ses bienfaits l’emportent sur ses dangers.

Tout dépend de la maladie que l’on cherche à éviter, de la nature des vaccins, de leurs adjuvants…… et de la vulnérabilité personnelle de chacun d’entre nous !

Ce doit donc être une décision médicale et individuelle, et non pas administrative et collective, comme les labos le réclament, pour sécuriser leurs profits !

La prudence vis-à-vis des vaccins est d’autant plus légitime que la recherche scientifique est manipulée par de puissants intérêts.

C’est même encore pire pour les vaccins que pour les autres médicaments !

Pourquoi ? Parce qu’on se refuse à faire pour les vaccins ce qu’on fait pour tous les médicaments : des études en double aveugle, contre placebo. C’est à dire prendre un groupe de patients, le séparer en deux groupes, vacciner un groupe mais pas l’autre (sans que personne ne sache qui a été vacciné et qui ne l’a pas été), puis observer les résultats, au bout de quelques années.

Résultat : la science des vaccins est tout sauf solide….… et l’industrie pharmaceutique s’en donne à cœur joie pour lui faire dire ce qui l’arrange.

Avec la complicité, hélas, de certains médecins sincères, dont la priorité absolue est d’éviter que l’opinion publique ne perde confiance dans la vaccination.

Pour eux, la population est un « petit enfant, dont il faut redouter les réactions inconsidérées, quitte à taire les dangers qui le menacent pour ne pas risquer de l’effrayer ».[14]

Comme si vous et moi n’étions pas capables d’entendre la vérité et de faire des choix raisonnés pour notre avenir et celui de nos enfants !

Que faire ?

Pr Romain Gherardi

Je laisse le dernier mot au Pr Gherardi :
« J’en appelle donc aux personnalités politiques de tous bords.

Pour que perdure et vive le vaccin (…), il ne faut pas seulement reconnaître l’intolérance aux adjuvants et financer les recherches sur cette pathologie.

Il faut aussi imposer aux industriels de remettre sur le marché les vaccins sans aluminium qui ont longtemps vacciné sans danger – tel le DTP ; de travailler sur de nouveaux adjuvants non toxiques – tels le phosphate de calcium. (…)

Il faut surtout, de toute urgence, mettre en place un système d’expertise et de régulation vraiment indépendant des grands industriels du médicament ».

Comptez-sur moi, chers lecteurs, pour me battre en ce sens, à mon petit niveau.

Bonne santé,

Notes :

  1. « Macrophagic myofasciitis : an emerging entity ». RK Gherardi et all. The Lancet, August 1998.
  2. « Macrophagic myofasciitis lesions assess long-term persistence of vaccine-derived aluminium hydroxide in muscle ». Rk Gherardi et all. Brain, 2001.
  3. Article 31 du Code de déontologie du Conseil National de l’Ordre des Médecins.
  4. Comme le dit si bien le Pr Gherardi, page 83 : « Dans le monde médical, le vaccin représente un véritable totem que l’on est prié de révérer en bloc, mettant en berne tout esprit critique. Le traiter en objet d’étude scientifique comme les autres, considérer qu’il puisse présenter quelques défauts malgré ses énormes qualités ? Voilà qui relève de la transgression, déchaînant immédiatement des foudres théologiques ».
  5. « Si on me demandait de sélectionner quelques facteurs de risque, je retiendrais non pas l’uranium appauvri ni la pyridostigmine mais la vaccination », a par exemple déclaré à ce sujet le Pr Roger Salamon devant une mission d’information parlementaire.
  6. « Slow CCL2-dependent translocation of biopersistent particles from muscle to brain ». Zakir Khan et all. BMC Medecine 2013
  7. « Modification of neurobehavioral effects of mercury by genetic polymorphisms of metallothionein in children ». James S Woods et all. Neurotoxicol Teratol 2013 Sept-Oct.
  8. « Avis relatif à la vaccination des nourrissons vis-à-vis des gastroentérites à rotavirus ». Haut Conseil de la Santé publique. Avril 2015
  9. « Risk of narcolepsy in children and young people receiving AS03 adjuvanted pandemic A/H1N1 2009 influenza vaccine: retrospective analysis ». Elizabeth Miller et all. BMJ 2013.
  10. « Recombinant hepatitis B vaccine and the risk of multiple sclerosis. A prospective study ». CME 2004
  11. « Hepatitis B vaccine and first episodes of central nervous system demyelinating disorders: a comparison between reported and expected number of cases ». Annie Fourrier et all. BrJ Clin Pharmacol. 2001
  12. « Hepatitis B vaccine and the risk of CNS inflammatory demyelination in childhood ». Yann Mikaeloff, Guillaume Caridade, Samy Suissa et marc Tardieu. Neurology 2010.
  13. Vaccination contre les infections à HPV et risque de maladies auto-immunes : une étude Cnamts/ANSM rassurante – Point d’information. 2015
  14. Selon les termes bien choisis du Pr Gherardi, page 74.

 

yogaesoteric
3 mai 2024

 

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