L’Univers électrique « hérétique » — Un nouveau paradigme (4)

par Wallace Thornhill — The Watchers

Dans cet article novateur, Wallace Thornhill présente une nouvelle théorie du tout : l’Univers électrique. Mettez de côté tout ce que vous croyez savoir sur toutes les choses, grandes et petites, car les idées présentées ici bouleversent la donne. Y a-t-il eu un big bang ? Peu probable. La relativité d’Einstein ? Ne tient pas la route. Le Soleil est-il un réacteur à fusion thermonucléaire qui finira par manquer de combustible et par brûler ? Non. Y a-t-il des trous noirs ? Rien de tel. Qu’en est-il de la matière noire et de l’énergie noire ? Oubliez ces absurdités et commencez à vous intéresser à la science du 21e siècle. « […] l’Univers électrique est la seule cosmologie cohérente ayant correctement prédit et expliqué les découvertes de l’ère spatiale. » 

Lisez la troisième partie de cet article 

La formation électrique des corps célestes

La cosmologie du plasma montre que les galaxies spirales et les étoiles sont accrétées et formées par de puissantes forces électromagnétiques de longue portée générées par les filaments de courant intergalactiques de Birkeland qui ornent d’un filet l’Univers visible[14]. Ce sont ces filaments entre les galaxies qui produisent le réseau cosmique observé [voir le premier visuel de l’article et les deux suivants, suivis de deux visuels d’expériences de plasma en laboratoire – NdT]. La gravité ne peut pas faire cela.

Plasma et Univers électrique – Cette image de la nébuleuse du Voile, publiée par la Nasa le 24 septembre 2015, est une mosaïque de six photos de Hubble.

Selon Thunderbolts, « Dans le cas de la nébuleuse du Voile, l’aspect unique des filaments de courant tortueux de Birkeland est clairement visible. La configuration générale, dans sa plus grande étendue, est un sablier, et les formes à l’intérieur de la nébuleuse correspondent aux filaments, hélices et piliers que la décharge électrique crée dans les plasmas. »

La nébuleuse du Crabe montre les mêmes caractéristiques électriques et plasmatiques

Plasma en laboratoire

Si les études sur le plasma peuvent se concentrer sur un seul sujet comme celui de la production d’énergie de fusion, la compréhension du fonctionnement de l’Univers attend également l’étudiant avide de connaissances plus élargies.

L’Univers électrique affirme simplement que les étoiles et les planètes se forment en même temps et selon le même processus d’accrétion électromagnétique, le long des « éclairs interstellaires » au sein des nuages moléculaires. À l’intérieur de la Voie lactée,
« Le télescope spatial infrarouge Herschel a livré des vues spectaculaires de nuages de gaz froid se trouvant près du plan de la Voie lactée, révélant une activité intense et inattendue. Cette région sombre et froide est parsemée d’usines stellaires, comme des perles sur un fil cosmique »[15].~ ESA Report, 2 octobre 2009.

En outre, les corps secondaires sont formés par l’expulsion électrique d’étoiles subissant une contrainte électrique soudaine, dans laquelle le seul recours pour rétablir l’équilibre est d’expulser la plus grande partie de la matière chargée lors d’une nova ou d’un événement éruptif. C’est généralement l’origine des « Jupiters chaudes » en orbite proche et des nombreux satellites de planètes géantes gazeuses plus lointaines au sein d’un processus de capture d’une géante gazeuse par une étoile. Les « disques d’accrétion » sont généralement des « disques d’expulsion ». Par exemple, les anneaux glacés éphémères de Saturne indiquent la « récente » capture électrique de Saturne par le Soleil, provoquant un événement d’expulsion depuis la planète. Ceci prend une profonde importance lorsque l’on découvre par la suite que l’eau sur Terre correspond à celle trouvée chez Saturne [16] ! Le mystère de l’origine de l’abondance d’eau sur Terre pourrait enfin être résolu. 

Le processus électrique comme berceau cosmique explique également le mystère de la rotation des galaxies, des étoiles et des planètes. Les courants de Birkeland sont une paire torsadée de filaments de courant, une configuration familière aux ingénieurs électriciens pour réduire le rayonnement électromagnétique, ou la perte d’énergie, des paires de fils. La matière accrétée s’enroule en spirale vers l’axe des filaments jumeaux pour former un seul corps en rotation, ou une paire de corps en orbite rapprochée [voir le schéma et les deux photos qui suivent – NdT]. « L’origine des étoiles binaires a longtemps été l’un des problèmes centraux de l’astronomie » [17].

Des interactions poussent les deux filaments à se rapprocher et à s’enrouler l’un autour de l’autre pour former une paire de filaments hélicoïdale, aussi connue sous le terme de « vortex de plasma ».

Note du traducteur : ces formes filamentaires hélicoïdales et ces mouvements de rotation se rencontrent de façon semblable dans la Nature avec les tornades, les ouragans, les galaxies, les queues cométaires, les vents solaires, les rotations stellaires et planétaires, etc. Nous renvoyons le lecteur à l’ouvrage Les changements terrestres et la connexion anthropocosmique de Pierre Lescaudron.

Un courant de Birkeland traverse le « vide » de l’espace dans la lumière visible et infrarouge située le long des Dentelles du Cygne, portion visible de la nébuleuse du Voile.

Filaments de courant torsadés dans la nébuleuse de la Double Hélice, près du centre de la Voie lactée, en lumière infrarouge.

On a découvert que les protoétoiles et les jeunes étoiles sont plus susceptibles de se trouver en paires binaires à l’intérieur de « structures centrales allongées », tendues par intervalles le long d’un canal de courant cosmique de Birkeland à l’intérieur d’un nuage moléculaire. De même, les « coups de foudre » interplanétaires de courant de Birkeland lors de rencontres rapprochées peuvent former des binaires plus petits dans le plasma poussiéreux à même de fusionner pour aboutir à la forme classique d’une haltère, observée dans de nombreuses comètes et astéroïdes. Et le curieux renflement central de certaines galaxies spirales, en forme de « cacahuète », peut être expliqué simplement à l’aide de ce modèle. La théorie de l’accrétion gravitationnelle ne fonctionne pas.

Cette image montre NGC 1175, une galaxie à la forme intrigante et particulière.

Note du traducteur : […] Dans ce modèle, les étoiles comme les planètes — de même que les noyaux de comètes qui sont plus petits — sont toutes formées en même temps à partir de la poussière cosmique qui émane continuellement du et retourne invariablement vers le centre galactique. Fondamentalement, la poussière cosmique s’effondre sur elle-même en direction du noyau, et la matière condensée est éjectée vers l’extérieur dans un « effet de jet », et comme tous ces objets sont formés de manière similaire, les étoiles pourraient bien être — en fait — constituées de noyaux solides, source des isotopes lourds éjectés dans les supernovas.

Les corps éjectés se stabiliseront naturellement en systèmes orbitaux binaires, ce qui explique que plus de 80 pour cent des systèmes stellaires sont en fait des systèmes à deux étoiles. Les 20 pour cent restant sont probablement jumelés aussi, bien qu’associés à des compagnons plus discrets à l’aspect bien moins flamboyant — par exemple des naines brunes ou des géantes gazeuses.

De gauche à droite, de haut en bas dans l’image ci-dessus : (1) le réseau galactique des courants de Birkeland ; (2) la rotation directionnelle interne des courants de Birkeland montrant la contre-rotation des couches ; (3) le pôle nord de Saturne montrant des couches qui, lorsqu’elles sont vues en mouvement, montrent la contre-rotation (voir les images de la NASA ; (4) le pôle nord de Jupiter montrant une contre-rotation similaire (voir les images de la NASA ici aussi). Le plus grand expert des courants de Birkeland est Donald Scott. Pour une excellente introduction au sujet, consultez le modèle de Scott ici.

Visionnez cette vidéo pour mieux comprendre les courants de Birkeland et notre Système solaire [les sous-titres en français ne sont pas disponibles – NdT] :

Ci-dessous une représentation spectaculaire du modèle hélicoïdal de notre Système solaire en mouvement dans notre galaxie — Vous pouvez activer les sous-titres en français.

Notes :

14. See https://www.plasma-universe.com/galaxy-formation/, Electrical Birthing of Stars.
15. ESA Report, 2 October 2009.
16. Phys.org, The water in Saturn’s rings and satellites is like that on Earth, 3/12/2018.
17. Phys.org, The Origin of Binary Stars, 21/8/2017.
 

Lisez la cinquième partie de cet article

yogaesoteric

7 décembre 2020

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