De l’aluminium dans le cerveau des autistes

Ci-dessus, une interview vidéo de Chris Exley. POUR DES SOUS-TITRES FRANCAIS, CLIQUEZ EN BAS A DROITE DE LA FENETRE VIDEO

C’est une alerte incroyable qui a été lancée au cours du colloque « L’aluminium dans la vie quotidienne » organisé au Sénat le 27 novembre 2017, par l’association E3M (Entraide aux malades de myofasciite à macrophages). Le Professeur Chris Exley, spécialiste mondialement reconnu de l’aluminium et de sa toxicité a fait part d’une découverte majeure : la découverte d’inclusions d’aluminium, à des doses importantes, dans le tissu cervical de personnes décédées ayant été diagnostiquées autistes. L’exposition à l’aluminium fait partie de différents autres facteurs de risques suspectés dans la survenue de l’autisme.


Le Pr Exley dirige un laboratoire de l’université de Keele, au centre de l’Angleterre. Dans le dernier numéro du Journal of Trace Elements in Medicine and Biology, publication qui est en ligne depuis le 26 novembre, il publie avec trois collègues une étude intitulée : « Aluminium in brain tissue in autism » (« De l’aluminium dans des tissus cérébraux des autistes »). L’équipe y présente les résultats d’observations réalisées sur des tissus cérébraux prélevés chez cinq sujets décédés avec un diagnostic d’autisme, 4 hommes et 1 femme, âgés de 15 à 50 ans. Encore stupéfait de sa découverte, il explique lors du colloque : « Nous avons examiné la présence d’aluminium dans les tissus. Il y était présent en quantité extraordinairement élevée. Jusqu’à son extraction de l’écorce terrestre il y a 150 ans, l’aluminium n’entrait pas dans le cycle de la vie biologique. Dans la durée de vie normale d’un être humain, il ne devrait pas y avoir d’aluminium dans le cerveau »

Précisons tout de suite à ceux qui objecteraient que cela ne concerne que 5 sujets qu’il est très difficile de se procurer de tels tissus. Précisons également qu’il serait statistiquement très improbable que ces hautes concentrations retrouvées dans les cerveaux de personnes autistes relèvent de la coïncidence : depuis qu’il mène des recherches sur l’aluminium, Exley en a mesuré la quantité dans plus de cent cerveaux. Les tissus prélevés chez les sujets autistes étaient parmi ceux qui en avaient les concentrations les plus élevées, des concentrations comparables uniquement avec les tissus cérébraux de sujets atteints de la maladie d’Alzheimer examinés pour une étude publiée au début de l’année 2017.

Des cargos d’aluminium dans le cerveau

« C’était quelque chose que nous n’avions jamais vu. On a trouvé de l’aluminium dans des cellules neuronales, mais l’essentiel de l’alu était dans des cellules non neuronales. Nous avons eu la preuve que des cellules des lymphocytes et du sang emportaient des “cargos d’aluminium” dans le cerveau. Cela ne prouve pas que l’aluminium cause l’autisme, mais cela signifie que l’aluminium joue très probablement un rôle dans la maladie. »

Jusque-là le Pr Exley pensait qu’il n’y avait pas assez d’arguments scientifiques pour établir un lien entre l’aluminium et l’autisme. Il n’excluait pas que l’aluminium vaccinal soit responsable de certains effets indésirables, mais jugeait que le bénéfice de ces vaccins restait supérieur et avait à plusieurs reprises fait savoir publiquement qu’il ne fallait pas en retirer l’aluminium. Chris Exley est très inquiet. Il pense que pour chaque vaccin contenant de l’aluminium, il faut s’interroger pour savoir s’il va vraiment sauver une vie. Sinon, il vaut mieux ne pas vacciner, non pas en raison d’effets secondaires immédiats, mais en raison des effets à long terme comme dans l’autisme, après des mois, des années et même des décennies. Il déplore qu’il soit si difficile de faire de telles recherches qui ne sont financées par aucun État, mais par des fonds d’origine citoyenne.

 

Confirmation chez les moutons

Lors du même colloque, le Dr Lluis Lujan, médecin vétérinaire, chargé d’enseignement à l’université de Saragosse (Espagne), spécialistes des maladies ovines, a fait le bilan de ses travaux (qui ont été publiés en 2013 et 2017) sur les adjuvants des vaccins vétérinaires. Voyant la souffrance de moutons vaccinés contre la fièvre catarrhale ovine (aussi appelée maladie de la langue bleue) et la contrariété de leurs propriétaires face à leurs troubles neurologiques plus ou moins sévères (avec quelques décès), il a mené une étude comparative, sur 15 mois, entre un groupe de moutons vaccinés, un groupe non vacciné et un groupe n’ayant reçu que de l’aluminium à des doses identiques à celles présentes dans le vaccin. Résultat : les moutons vaccinés sont plus agités, qu’ils soient au repos ou debout, présentent une diminution de leur comportement grégaire et deviennent plus agressifs. La combinaison vaccin et aluminium aggrave les problèmes par rapport à l’injection d’aluminium seul. Le Dr Lluis Lujan s’inquiète d’effets similaires potentiels chez les bovins et les autres ruminants recevant des vaccins contenant des adjuvants aluminiques. Lui aussi, il dénonce les difficultés qu’il rencontre pour publier ses recherches.

L’étude du Pr Exley, comme celle du Dr Lluis Lujan, vient donc conforter celle des Prs Gherardi et Authier, qui a été révélée en septembre dernier et qui n’a pas été prise en considération par les responsables de notre administration sanitaire. Ils avaient montré comment l’aluminium injecté chez des souris circule dans l’organisme, atteignant le foie, la rate, les ganglions lymphatiques puis gagnant inexorablement le cerveau. Il devient désormais difficile de soutenir les affirmations du ministre Français de la Santé Agnès Buzyn devant l’Assemblée nationale, selon lesquelles le problème de l’aluminium des vaccins est un problème franco-français et que le Pr Gherardi serait le seul au monde à avoir décrit une maladie non reconnue par l’Organisation mondiale de la santé (voir lien précédent).

Devant la gravité de la situation et craignant une nouvelle fois de ne pas être entendue par la ministre de la Santé, l’association E3M a écrit une lettre ouverte aux présidents de la République française et de la Commission européenne pour leur demander :
– une révision du calendrier vaccinal avec le retrait des vaccins contenant de l’aluminium lorsqu’ils ne sont pas indispensables
– un programme de recherches sur la toxicité de l’aluminium
– une suspension de l’obligation vaccinale dans l’attente du résultat de ces recherches.

Au-delà des vaccins, l’aluminium comme problème de santé publique

« Nous sommes entrés dans l’ère de l’aluminium » a expliqué le Professeur Chris Exley. L’aluminium n’est en effet extrait et utilisé comme métal que depuis environ 150 ans, mais diffusé désormais à des doses massives dans outre environnement. Il fait désormais partie des éléments majeurs de la vie quotidienne, faisant peser de lourdes menaces sur la santé. Outre les travaux cités ci-dessus, au cours du colloque « L’aluminium dans notre vie quotidienne », Mme Caroline Linhart, de l’université médicale d’Innsbruck (Autriche) a présenté ses recherches sur l’aluminium présent dans les antitranspirants et le cancer du sein. Le Dr Mandriota, directeur de recherche à Genève, a présenté d’autres études sur les relations entre l’aluminium et les cancers du sein. Mme Cécile Vignal, maître de conférences à la faculté de médecine de Lille, a elle montré les liens établis chez des souris entre l’aluminium et certaines pathologies digestives (maladie de Crohn, rectocolite hémorragique, colopathie fonctionnelle).
 
 
 

yogaesoteric

19 juillet 2018

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