Des scientifiques découvrent un lien entre les vaccins et l’apparition de troubles neuropsychiatriques chez les enfants et adolescents

Depuis plus de 23 ans on ne cesse de constater, d’une part, le sur-diagnostic et la sur-médication des enfants et des adolescents et d’autre part, une augmentation observable et quantifiable de troubles que l’on dit neurologiques et neuropsychiatriques (Gilles de Latourette, anxiété généralisée, trouble panique, TDAH, TOC, trouble du spectre de l’autisme, sans compter tous les dyslexie, dysorthographie, dyscalculie, dyspraxie). Bien sûr, il y a des composantes environnementales, sociologiques, familiales, génétiques qui peuvent causer ces troubles. Considérant les tonnes d’études scientifiques qui démontrent la toxicité des vaccins et leurs dommages au cerveau, il est sûr que certaines pathologies sont directement causées par les vaccins.

L’équipe de chercheurs de la Yale School of Medicine et du Penn State College of Medicine affirme que les enfants âgés entre 6 et 15 ans qui ont reçu des vaccins entre 3 mois et 12 mois précédents l’apparition de pathologies neuropsychiatriques sont plus à risque d’être diagnostiqués avec certains troubles neuropsychiatriques que leurs homologues non-vaccinés.

Dans cette étude, on a utilisé un échantillonnage d’enfants et d’adolescents, provenant d’un registre d’assurances privées, qui ont reçu un diagnostic de l’un des sept troubles neuropsychiatriques suivants : anorexie mentale, trouble de l’anxiété, du déficit de l’attention et hyperactivité (TDAH), trouble bipolaire, dépression majeure, trouble obsessionnel-compulsif (TOC) et le trouble du tic chronique, un autre groupe-témoin de jeunes n’ayant aucun trouble neuropsychiatrique et un dernier groupe ayant des plaies ouvertes et des fractures.

Sans surprise, l’étude n’a démontré aucun lien entre les plaies ouvertes/fractures et les vaccins. Aucune association significative n’a été démontrée entre la dépression majeure, le trouble bipolaire et le TDAH et les vaccins. Cependant, les enfants qui avaient été vaccinés étaient 80% plus susceptibles d’être diagnostiqués d’anorexie mentale et 25% plus susceptibles d’être diagnostiqués avec le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) que leurs homologues non-vaccinés.

Dans la conclusion rédigée avec parcimonie, les chercheurs mettent en garde de ne pas faire d’interprétations imprudentes avec ces résultats, mais demandent tout de même une enquête plus approfondie. « Cette étude pilote épidémiologique implique que l’apparition de certains troubles neuropsychiatriques peuvent être temporairement liés aux vaccinations antérieures dans un sous-ensemble d’individus, » écrivent-ils. « Ces résultats justifient une enquête plus approfondie, mais ne prouvent pas un rôle causal des infections antérieures ou des vaccinations dans la pathologie de ces conditions. »

Dans cette étude, la vaccination contre la grippe a été fortement corrélée à l’anorexie et au trouble obsessionnel-compulsif (TOC). Au même moment, de nouvelles recherches faites par le CDC (Centers for Disease Control and Prevention) ont montré que le conservateur contenu dans certains vaccins, soit le thimérosal qui est à base de mercure, peut endommager le cerveau vu sa toxicité. Pourtant, les vaccins contre la grippe multidose contiennent encore du thimérosal et sont toujours recommandés pour les femmes enceintes et les nourrissons en Amérique et ce, en dépit des risques documentés scientifiquement !


yogaesoteric
9 octobre 2017

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