La Reine Elizabeth est-elle impliquée dans l’enlèvement et le sacrifice d’enfants ?

 

Par Judy Byington

Durant la deuxième semaine de mai 2014, le soldat britannique Vivian Cunningham a été drogué et placé en détention. Apparemment, son « crime » du 6 mai avait été de poser des questions à ses supérieurs au sujet du mandat d’arrêt mémorable de la Reine Elizabeth II.

Le mandat d’arrêt concernant la Reine Elizabeth a été émis en 2013 par six juges de la Court de Justice Internationale de Droit Commun (ITCCS) à Bruxelles.

Après environ un an de litiges, la Reine Elizabeth et son paris, le Prince Philip, ont été avérés coupables de la disparition de 10 enfants aborigènes de l’école résidentielle de Colombie Britannique (située au Canada), gérée par l’Eglise Catholique.

Les parents en deuil n’ont pas vu leurs enfants depuis qu’ils sont partis en pic-nic avec le couple royal le 10 octobre 1964. Le 10 mai, le Tribunal International sur les Crimes de l’Eglise et de l’Etat demandait aux citoyens préoccupés d’exiger la libération immédiate de Cunningham.

L’ITCCS a réussi à poursuivre en justice la Reine Elizabeth pour kidnapping, en plus de 50.000 cas d’autres enfants disparus.

Les gens ont pu exprimer leurs inquiétudes à l’hôpital St George à Stafford, en Angleterre. Des plaintes ont également pu être déposées auprès du supérieur de Cunningham, le capitaine Murrel.

Le soldat Cunningham avait innocemment posé des questions à un officier haut gradé au sujet du mandant d’arrêt de la Reine Elizabeth, avant de se faire interner dans une unité de soins mentaux à Stafford.

On lui a injecté une drogue anti-psychotique atypique, l’olanzapine, sous les ordres du capitaine Murrel et des docteurs Khan et Sema. Le soldat a été interné pendant six mois dans l’unité psychiatrique de l’hôpital St George, ‘diagnostiqué’ comme souffrant d’une crise psychotique aigue.

« La Reine Elizabeth a été impliquée directement dans le kidnapping et la mort d’enfants aborigènes », selon le site internet de l’ITCCS . « Il s’est avéré que les membres de la famille royale ont aussi participé régulièrement aux rituels du Culte Satanique du Neuvième Cercle de l’école indienne-Mohawk de Brantford, dans l’Ontario (au Canada). »

En avril, un deuxième procès international a été initié à Bruxelles, envers les membres du Culte Satanique du Neuvième Cercle.

Un document judiciaire avait été déposé, indiquant qu’en janvier 2012, l’archevêque britannique de Canterbury, Justin Welby, a agi sous la direction de la Reine Elizabeth pour détruire les restes des preuves médico-légales de l’homicide infantile du Culte Satanique du Neuvième Cercle.

Deux témoins oculaires ont témoigné qu’en tant qu’enfants, ils étaient présents pendant ce meurtre de l’enfant aborigène.

Le rite satanique s’est évidemment déroulé dans les catacombes d’une cave, sous l’aile gauche de l’école indienne-Mohawk. Les deux témoins oculaires ont prétendu avoir vu une jeune fille attachée à un autel.

L’enfant de cinq ou six ans a été baillônné, violé plusieurs fois, tué, puis éventrée et démembrée. Son sang a été bu par neuf personnes en robe rouge, parmi lesquels un membre de la famille royale britannique.

Malheureusement, Cunningham n’a pas été le seul à se faire victimiser après avoir révélé les activités du Culte Satanique du Neuvième Cercle. Plusieurs incarcérations, et même un décès, ont eu lieu dans l’affaire du kidnapping de la Reine Elizabeth.

William Combes, ancien résident de l’école, est décédé après une interview radio de 2010, où il a évoqué avoir été témoin du moment où la Reine Elizabeth et le Prince Philip quittaient l’école avec ses 10 amis résidents.

Directement après l’interview, il a été demandé à Combes, pourtant en bonne santé, de venir faire des tests à l’hôpital catholique St Paul de Vancouver. Il reçut une injection qui le plongea dans le coma. Quelques heures après, et sans le consentement de sa famille, les câbles qui alimentaient Combes ont été retirés.

Le citoyen britannique David Compan était une autre victime du lancement d’alerte contre la Reine Elizabeth. En 2013, il a été arrêté deux fois, avec sa femme. Le ‘crime’ de Compan était d’oser poster le mandat d’arrêt de la Reine Elizabeth sur une église catholique.

Compan n’a jamais été poursuivi, mais accosté, drogué et incarcéré au Centre de Santé Mentale du Parc Royal de Londres. Après plusieurs jours de protestations, des citoyens furieux ont obtenu la libération du couple. Compan parle de son incarcération dans cette video .

En octobre dernier, Steve Finney essayait de révéler ce même Culte Satanique du Neuvième Cercle au Canada. Finney fut arrêté sans raison et détenu prisonnier pendant trois jours. Les protestations mondiales organisées par l’ITCCS se sont révélées efficaces.

« Comme mes amis Combes, Compan et Finney, Cunningham a été cruellement drogué et emprisonné contre sa volonté, simplement parce qu’il a mentionné l’existence d’un mandat d’arrêt contre la Reine Elizabeth », a affirmé Kevin Annett de l’ITCCS.

« En tant que soldat et citoyen britannique, Cunningham est à présent devenu un Prisonnier de la Conscience, entre les mains de la Couronne Britannique, dans l’optique de dissimuler les crimes avérés de la famille royale. »

 
Vivian Cunningham

Annett a lui-même ressenti le courroux de la Reine Elizabeth. En 2013, quand Annett était à Londres pour suivre le rally des 50.000 enfants disparus, il a été mis en détention, gardé dans une cellule pendant la nuit, puis déporté – tout cela sans même avoir été inculpé.

En mars, l’ITCCS a lancé une deuxième poursuite contre les membres de l’élite mondiale du Culte Satanique du Neuvième Cercle. Cinq juges internationaux et 27 membres du jury ont été convoqués pour auditionner 16 survivants qui se sont fait connaître de la police. Leur but était de révéler leur témoignage sur l’enlèvement et le meurtre d’enfants.

La première poursuite à la Court de Justice Internationale de Droit Commun de Bruxelles concernait 50.000 enfants aborigènes canadiens disparus, et incluait l’affaire d’enlèvement de la Reine Elizabeth.

Le verdict rendu en février 2013 contre l’élite mondiale par les six juges de la Cour ont apparemment influencé la résignation du pape Joseph Ratizinger.

 

yogaesoteric
1 avril 2020

 

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