L’affichage excessif et hypocrite de la « grandeur d’âme » des vaccinés et la secte totalitaire de la « culture woke »

par Brandon Smith — Alt-Market.us

Tous les systèmes tyranniques ont besoin d’un important contingent de zélateurs pour survivre et prospérer ; un groupe d’acolytes exploitables et dévoués qui porteront le flambeau et évangéliseront les masses grâce à un contrôle idéologique. Sans ce pourcentage belliqueux de la population, les totalitaires ne peuvent rester au pouvoir. Aux États-Unis et dans la plupart des pays occidentaux, les idéologues gauchistes ont parfaitement rempli ce rôle. Ils prétendent se battre pour les droits des opprimés, mais leurs actions sont bien plus éloquentes que leurs paroles.

Note du traducteur : Ce sont aussi de fervents adeptes de l’anti-racisme propre sur soi véhiculé par et dans la « culture woke » terme dérivé de wake, verbe anglais qui signifie « se réveiller », en l’occurrence ici, face à « l’injustice ».

Ils ont vicieusement soutenu et défendu presque toutes les mesures draconiennes que les gouvernements et les élites corporatives ont adoptées au cours des dernières années. Ils ont soutenu la censure massive des conservateurs et des modérés pratiquée par les entreprises du Big Tech. Ils ont soutenu les confinements nationaux à l’origine de la destruction de centaines de milliers de petites entreprises et de la violation des droits constitutionnels de millions d’Étatsuniens [et d’occidentaux en général – NdT]. Ils continuent à soutenir des mesures visant à porter un masque, dont il a été prouvé de manière scientifique qu’elles n’apportent rien de concret en termes de prévention de la propagation virale. Ils soutiennent le recours à des « passeports vaccinaux » qui excluraient concrètement les personnes non vaccinées du système économique et de la société, et les plongeraient de facto dans la pauvreté. Et les voilà à présent qui envahissent le Web pour diffuser leur propagande en faveur des injections vaccinales.

Nous connaissons ces créatures déséquilibrées sous de nombreux vocables : guerriers de la justice sociale, générations Y et Z, puritains, gauchistes, marxistes, communistes, mondialistes, collectivistes, narcissiques, etc. En gros, elles sont parmi les pires personnes de la planète, et alors qu’elles parlent généralement d’un « racisme institutionnel » qui n’existe pas, d’une culture du viol qui n’existe pas, ou d’un patriarcat qui n’existe pas — bien que je commence à me demander si nous ne devrions pas en créer un — avec la « crise » du Covid, elles se sont aujourd’hui dégoté une nouvelle marotte.

Mais avant de parler de la secte totalitaire de la « culture woke » et de sa relation perverse avec l’establishment, je dois poser une question fondamentale sur le « vaccin », une question que personne dans le courant dominant ne semble poser :
Pourquoi devrions-nous prendre un vaccin expérimental à ARNm pour un virus auquel 99,7 pour cent des gens, en dehors des maisons de retraite, survivront facilement ?

À elle seule, cette question fait généralement péter les plombs des adeptes du « vaccin » anti-Covid. La plupart d’entre eux, pour une raison quelconque, croient encore que le taux de mortalité du Covid est de « 3 pour cent ou plus ». Pourquoi colportent-ils ces absurdités ? Eh bien, je voudrais faire remarquer que les médias grand public ne parlent JAMAIS du taux de mortalité du Covid ; ils laissent plutôt les gens faire des hypothèses basées sur des éléments qu’ils ont par le passé entendus de la part d’entités comme l’Organisation mondiale de la santé ou le CDC.

Le chiffre de 3 pour cent semble provenir de PRÉDICTIONS faites par l’OMS en janvier 2020, avant que le virus n’ait atteint les États-Unis, ainsi que d’une étude préliminaire du Lancet. Ces prédictions ont été avancées par l’Imperial College de Londres, une institution mondialiste qui a conçu des scénarios alambiqués de restrictions et de confinements utilisés désormais par les nations du monde entier pour contrôler les populations. Leurs modélisations étaient à ce point erronées que toute personne familière avec la théorie statistique ou la gestion médicale en est déconcertée.

Il s’avère que le taux de mortalité lié au Covid est de seulement 0,26 pour cent parmi les personnes infectées — il n’a jamais été de 3 pour cent — et nous le savons depuis longtemps. Les patients des maisons de retraite souffrant de maladies préexistantes représentent environ 40 pour cent de tous les décès. Plus de 80 pour cent des décès concernent des personnes âgées de plus de 65 ans. Et, selon le CDC, au moins 30 pour cent de toutes les hospitalisations liées au Covid étaient dues à des complications associées à une obésité sévère.

Donc, si vous n’avez pas plus de 65 ans et que vous n’êtes pas une masse adipeuse, les statistiques montrent que le risque d’être infecté par le Covid est infime. Si vous avez plus de 65 ans et que vous êtes gros, le risque de mourir en cas d’infection est de 0,26 pour cent. Si vous avez plus de 65 ans, que vous êtes gros et que vous vivez dans une maison de retraite, alors vous devriez peut-être vous inquiéter.

En somme, le Covid ne constitue pas une menace pour la grande majorité d’entre nous, mais il n’en reste pas moins qu’un grand nombre de personnes sont névrosées et désireuses selon toute apparence soit d’en avoir peur quand même, soit de vouloir nous effrayer.

La posture, lamentatoire et donneuse de leçons qui entourent les vaccinés devient de plus en plus bizarre. Il existe de nombreuses vidéos YouTube et TikTok ainsi que pléthore d’articles sur les médias sociaux publiés par des personnes qui clament fièrement avoir été vaccinées, comme si elles venaient d’être touchées par la grâce de, et choisies par, Dieu.

En outre, l’idolâtrie dont jouissent certains escrocs de la médecine comme le Dr Anthony Fauci est proprement horripilant [et franchement pathétique – NdT]. Si vous ne me croyez pas, regardez quelques exemples dans la vidéo ci-dessous :

Les Guerriers de la justice sociale semblent tenter par tous les moyens de banaliser les vaccins anti-Covid en fabriquant un consensus. Si tout le monde fait de même, vous pourriez être exclu et isolé de la foule, une perspective qui n’est pas franchement rassurante.

J’accorde peut-être trop d’importance à tout cela, mais je perçois un grand désespoir derrière cette simulation de mouvement citoyen spontané contre les « anti-vaxx ». Personne n’écoute la secte woke, personne ne les apprécie et personne n’a confiance dans l’honnêteté de leur objectif ou dans la véracité de leurs informations. Pourtant, ils exercent dans notre société un pouvoir considérable grâce au soutien dont ils bénéficient de la part des gouvernements et des entreprises. Leur relation avec l’establishment est symbiotique.

Note du traducteur : La simulation d’un mouvement citoyen soi-disant spontané est un outil de propagande aussi appelé « astrosurfing », mené à des fins d’ordre politique ou économique pour fabriquer l’opinion, l’amener à croire qu’il s’agit d’un sentiment majoritairement partagé et que l’existence — fausse — d’un consensus sur la question justifie de se positionner dans son sens.

Cela ne veut pas dire que toutes ces personnes sont conscientes de la stratégie sous-jacente. La mentalité qui se cache derrière l’affichage excessif et hypocrite de la « grandeur d’âme » des vaccinés peut être attribuée à certaines faiblesses de base dont souffre le gauchiste moyen.

Tout d’abord, ils ont l’habitude de compter sur le gouvernement et le système en général pour leur procurer un sentiment de normalité. En d’autres termes, ils vénèrent le vaccin anti-Covid en partie parce qu’ils le considèrent comme un moyen de se concilier les faveurs du gouvernement et d’en retirer certains conforts. Malheureusement, s’ils n’étaient pas aussi lâches, ils se rendraient compte que ce confort peut leur être repris à tout moment.

Dans mon comté, et pendant la majeure partie de l’année dernière, les résidents ont ignoré les directives anti-Covid. Personne ne porte de masque. Personne ne pratique la distanciation sociale. Et plus de 70 pour cent de la population n’est pas vaccinée. La conséquence ? Seulement 17 décès l’année dernière, dont la plupart étaient des personnes avec des conditions préexistantes, et pendant toute cette fichue période, nous sommes restés libres parce que nous avons choisi de l’être.

Ensuite, les gauchistes argumentent toujours à partir d’une position dite de « la majorité », même lorsqu’ils ne constituent pas ladite majorité. Le Covid est un outil, un peu comme un pied de biche psychologique utilisé pour influencer et obtenir une conformité, qui s’appuie sur le fait [mensonger – NdT] qu’il constitue une menace pour tout le monde. Et, si tout le monde est menacé par le même croquemitaine, alors tout le monde fait partie du même monolithe, du même collectif. Et si tout le monde fait partie du même collectif, alors tout le monde doit combattre ce croquemitaine ensemble, dans l’unité. Si vous ne travaillez pas avec le collectif, cela signifie que vous travaillez contre le collectif.

« Nous vivons dans une société », crachent avec sarcasme et arrogance les gauchistes, « ce qui signifie que vous devez faire ce que NOUS déclarons être ce qu’il y a de mieux pour tout le monde ».

Comme je l’ai déjà expliqué en détail ci-dessus, le Covid ne constitue pas une menace pour tout le monde. Ce n’est même pas une menace pour plus de 0,26 pour cent des gens. Nous ne « vivons PAS dans une société », du moins, nous ne vivons pas dans leur société ou selon leurs règles. Ils ne se soucient pas de sauver des vies, c’est juste l’excuse dont ils ont besoin pour exercer un contrôle. Le contrôle étant ce qu’ils désirent le plus.

Comment je le sais ? Considérez la frénésie que suscite l’existence même des militants anti-confinement et des « anti-vaxx ». Observez la fréquence à laquelle ils parlent de nous. Ils ne peuvent pas s’en empêcher. Pourquoi ces gens se soucient-ils tant de savoir si nous nous faisons vacciner ou pas ? Si le « vaccin » fonctionne réellement, alors nous ne représentons aucun risque pour eux, et quand bien même ce serait le cas, lorsque nous mourrons tous d’une mort horrible à cause du Covid, ils pourront dire « nous vous l’avions dit ».

Ce qu’ils craignent vraiment, c’est que nous ayons raison et qu’ils aient tort. La science est certainement de notre côté et l’a été pendant toute la durée de la pandémie. L’OMS avait tort, le CDC avait tort, l’Imperial College de Londres avait tort. Les militants anti-confinement étaient plus proches de la vérité que tous ces acteurs réunis. Il a été prouvé que les masques sont inutiles. Il a été prouvé que les confinements sont inutiles. Les prévisions du taux de mortalité se sont avérées très exagérées. Et maintenant, la nécessité même des « vaccins » est remise en question.

En ce qui concerne le récent récit des médias grand public, nous pouvons tirer quelques conclusions.

Primo, le déploiement des « vaccins » ne se déroule pas comme prévu. Chaque jour, les médias sont inondés d’articles sur « l’hésitation à se faire vacciner » et sur ce que le gouvernement doit faire pour y remédier. Ce qui me fait dire que beaucoup trop d’Étatsuniens refusent de se faire vacciner, et que la propagande est donc poussée à son paroxysme [ce qui vaut pour les pays occidentaux en général – NdT]. Je soupçonne que l’étalage soi-disant vertueux qui est fait du « vaccin » anti-Covid fait partie de cette campagne, ou du moins qu’il est encouragé par l’establishment. Ne voulez-vous pas être du bon côté de l’histoire ? Ne voulez-vous pas être du « côté qui se soucie des autres » ? Ou alors voulez-vous être du « côté des égoïstes », du côté de ceux qui veulent tuer grand-mère, du côté de ceux qui sont racistes, sexistes, méchants et répugnants ?

Deuxio, ce problème ne va pas disparaître et si nous continuons à le défier, l’establishment entend bien insister dessus. Par le passé, j’ai vu la suggestion de la « contrainte » être abordée avec précaution, mais récemment, le discours est devenu plus agressif. Le mot « contrainte » apparaît plus souvent. Les médias cherchent à nous rappeler qu’en vertu de cette loi, l’establishment pourrait nous obliger à nous faire vacciner. Le message ? Autant se faire vacciner maintenant pour éviter tout désagrément plus tard.

Nous savons tous que cela finira tôt ou tard en lutte armée, mais les élites ont besoin d’une proportion énorme de personnes favorables aux directives afin d’assujettir efficacement les individus épris de liberté. Cette proportion énorme leur fait défaut et cela se voit.

Les adeptes de la secte woke sont sous le joug de cette même propagande tous les jours ; le message qu’ils reçoivent cinq sur cinq est le suivant : le système signale que les « vaccins » seront obligatoires, que ce soit par déclaration du gouvernement ou par exigence des entreprises. Alors, les gauchistes se démènent pour témoigner de leur allégeance à leur dieu — l’État — et agissent comme de bons petits fantassins pour engranger des points de vertu supplémentaires.

Il existe de nombreuses raisons de ne pas accepter un « vaccin » expérimental, certaines d’entre elles étant scientifiques et d’autres fondées sur des principes. Je voudrais simplement souligner que de nombreux virologues se sont prononcés sur l’innocuité de ces « vaccins », y compris un ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, qui, avec ses pairs, a conclu que PERSONNE ne devrait accepter les « vaccins » à ARNm tant que des tests supplémentaires n’ont pas été effectués, faute de quoi il existe un risque considérable d’effets à long terme sur la santé, notamment l’infertilité et des troubles auto-immuns.

Le mouvement en faveur de la thérapie génique par ARNm relève essentiellement d’un gigantesque essai expérimental dans lequel les masses sont utilisées comme cobayes à leur insu. Nous n’avons vraiment aucune idée des conséquences qui en résulteront, mais j’ai le sentiment que nous en verrons les conséquences dans les toutes prochaines années et qu’elles seront affreuses. Ce n’est pas pour rien que les gouvernements font en sorte qu’il soit légalement impossible de poursuivre les fabricants de vaccins pour leurs effets secondaires.

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Au-delà des nombreuses préoccupations sanitaires, il y a aussi le problème de l’incrémentalisme. Une seule injection pourrait ne pas constituer en soi une grande menace. Pour la plupart des gens, il s’agit peut-être d’un pari qui ne finira pas mal. Mais qu’en est-il de la prochaine ? Et de la suivante ? Qu’en est-il des vingt prochaines injections ? Le gouvernement et les médias mentionnent aujourd’hui une demi-douzaine de variants différentes du Covid qui seraient potentiellement résistants aux actuels « vaccins » et plus dangereux que la première version du virus.

Note du traducteur : Le principe central de l’incrémentalisme stipule que les politiques publiques évoluent le plus souvent de façon graduelle et par un mécanisme de petits pas. Les changements successifs sont très légers, voire imperceptibles, mais leur accumulation peut aboutir à un changement radical en regard des décisions prises initialement.

Le fait d’avancer par petits pas comporte d’ailleurs ici « un avantage tactique » en ce sens que : « chaque nouvelle étape […] étant perçue comme un prolongement, il est plus facile de convaincre les différentes parties prenantes d’adhérer aux solutions proposées » (Vidaillet, 2005, p. 241).

Il s’agit certainement d’un mensonge, mais cela montre bien que les mesures restrictives sont destinés à durer éternellement. Si nous les acceptons maintenant, elles ne prendront jamais fin. Ce n’est pas parce que vous êtes « vacciné » aujourd’hui que vous serez libre demain.

Et, avec chaque nouveau « vaccin », surgit le spectre des passeports vaccinaux. Et avec les passeports vaccinaux surgit le spectre d’une micro-gestion gouvernementale complète de la vie des gens. Bien sûr, vous pouvez choisir de ne pas vous faire « vacciner », mais le système va s’assurer que votre décision vous pénalise jusqu’à ce que vous ne puissiez plus survivre sans être « vacciné ». Le « vaccin » est un tremplin vers la tyrannie déguisé en empathie et en devoir envers votre communauté.

Toutefois, la secte woke adore ce genre d’environnement. C’est le type de grotte sombre et gluante dans laquelle ses adeptes aiment se nicher. Le besoin de contrôler les autres est une aberration, une déficience mentale commune aux psychopathes, mais dans le nouveau monde, les maniaques du contrôle sont légitimés et ont le champ libre. Ironie frappante : ces personnes aiment contrôler, mais elles aiment aussi ÊTRE contrôlées. Leurs chaînes leur procurent confort et sécurité. Le monde est un endroit effrayant et pour y vivre tout en étant indépendant, il faut du courage, de la force mentale et la volonté d’apprendre de ses erreurs afin de gagner en sagesse et en expérience.

Les platitudes et les pontificats de la horde gauchiste sont une façon pour eux de tenter d’éviter les vicissitudes de la vie réelle ; en se soumettant à l’État, aussi douteux ou maléfique soit-il, ils cherchent à se procurer un sentiment de sécurité face à leurs propres peurs irrationnelles, leurs faiblesses et leurs insuffisances. Comme l’a dit un jour l’auteur Robert Anton Wilson :
« Le soumis se considère toujours comme vertueux plutôt que lâche. »

yogaesoteric
13 octobre 2021

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