Le 11 septembre nucléaire ne peut plus être ignoré

par Gordon Duff

Tout n’est que question de mensonge. Peu de gens ont su ce que cachait la vérité avant qu’elle ne disparaisse.

Nous n’avons pas besoin de remonter tant d’années en arrière pour trouver un exemple douloureux, en fait août 2019 nous donne beaucoup de matière à traiter. Regardons l’attaque au missile du Hezbollah contre ce qui était soi-disant un convoi de commandement israélien. Le Hezbollah prétend avoir atteint un général.

Voici ce que le Hezbollah a fait, ils ont diffusé une vidéo de mauvaise qualité à des kilomètres de distance, ne montrant que de la fumée.

Croyant que c’était tout ce qu’il y avait, Israël a annoncé qu’un missile avait atterri « près d’un village israélien » et que les FDI avaient organisé un faux sauvetage de blessés sur une scène imaginaire de tir de missile. Cette histoire a été diffusée dans les médias grand public car elle a été transmise au haut commandement des FDI et directement au Premier Ministre israélien Netanyahou.

Al Manar, une organisation médiatique libanaise, a ensuite publié la vraie vidéo, qui est également présentée par Veterans Today et commentée par Jim W. Dean. Le Hezbollah s’était rendu jusqu’à la base israélienne, on peut voir de très près les véhicules de commandement chargés. Puis les véhicules descendent la route et cela arrive. Nous voyons les deux missiles frappés ces véhicules avec un effet dévastateur.

L’organisation de renseignement du Hezbollah, qui n’a rien à envier au Mossad, avait attendu pendant des jours que le haut commandement militaire israélien quitte son quartier général. Il a été assassiné.

Le Hezbollah déclare qu’ils avaient utilisé deux missiles russes Kornet pour détruire son véhicule de commandement résistant aux mines de type Wolf. Selon nos sources, il s’agit de missiles Dehalivieh iraniens, copiés du modèle russe et fabriqués en Iran.

Le Hezbollah, bien sûr, ripostait contre Israël pour deux attaques de drones dans Beyrouth quelques jours seulement auparavant. Au lieu de rapporter la vérité, à savoir que le Hezbollah, comme en 2006, peut vaincre les défenses israéliennes à volonté, Israël a choisi de mentir à son propre peuple, comme il le fait toujours.

Israël dissimule toute « mauvaise nouvelle », comme le naufrage de deux de ses sous-marins Dolphin ou la perte d’avions, dont un abattu au-dessus du Yémen.

Les mensonges rendent tout possible, cachent la vérité au public, bien sûr, mais aussi la complicité dans le terrorisme criminel et nous ne parlons pas seulement d’Israël.

Ainsi, remontons jusqu’en 2001.

Aujourd’hui, le grand public du monde entier devrait savoir que les enquêtes officielles, qu’il s’agisse de blâmer la Russie pour le MH 17, d’attaques au gaz en Syrie, de « l’empoisonnement » de Skripal ou de tant d’autres histoires, sont simplement inventées. Toutes les enquêtes officielles sont fausses. L’enquête la plus fausse de l’Histoire, et il y a des centaines de fausses enquêtes qui sont maintenant enseignées comme faisant partie de « l’Histoire », est le 11 septembre 2001.

Tout d’abord, voici ce qui s’est passé qui rend cela important pour les lecteurs maintenant. Heinz Pommer, un physicien allemand qui n’a pas accès aux médias américains – appelez ça barrière de la langue, paresse ou hyper-focalisation que les scientifiques ont – a fait une étude sur les événements du 11 septembre.

Il s’est appuyé sur les travaux du physicien français François Roby et d’un activiste américain ayant une solide formation scientifique, Jeff Prager. Pommer a publié en 2017 une première version de ses conclusions, à savoir que le World Trade Center a été détruit par des armes nucléaires placées sous les structures. Puis, en 2019, il sort un diaporama soutenu par une physique irréfutable et une présentation vidéo. Cette information, non contestée par les scientifiques, est publiée sur le site Web Veterans Today à la demande de Pommer.

L’étude scientifique montre, sans l’ombre d’un doute, que les avions frappent ou non des bâtiments, la destruction, qui comprenait d’énormes cavernes remplies de granit fondu et de fer qui ont dégagé une chaleur incroyable pendant des mois, ne peut être décrite et comptabilisée que comme une série d’explosions nucléaires souterraines.

Ce que nous savons tous, c’est que le 11 septembre a tout changé, guerre après-guerre, des millions de morts, mais ce que beaucoup ne réalisent pas, c’est que cela a ouvert la porte à un nouveau niveau de mensonge.

Dans le monde d’aujourd’hui, l’Iran peut avoir un programme d’armes nucléaires alors qu’aucune preuve ne l’appui et que toutes les preuves réelles appuient le contraire. Toute nation qui ne se soumet pas, et nous ne saurons probablement jamais qui est vraiment au contrôle, et nous parlons du Venezuela pour l’une d’elles, peut être soumise au « bouleversement et à la terreur » parce que ses dirigeants vont, selon les faux médias grand public, commencer à « tuer leur propre peuple » ou utiliser une arme interdite.

Ce n’est qu’en mettant fin aux mensonges du 11 septembre que l’on pourra défier le déluge de tromperie qui nous tue tous.

Bref, revenons à notre histoire. J’ai trouvé nécessaire de contacter Heinz Pommer pour une raison simple. Son travail, effectué de façon indépendante, est identique à celui de l’équipe de Veterans Today il y a cinq longues années. Pommer n’a jamais rien vu de tout ça. C’est ce qui fait du travail de Pommer la « confirmation » d’un événement nucléaire du 11 septembre.

Permettez-moi maintenant d’ajouter un autre point : j’ai d’abord été un peu déçu par Pommer, puis par François Roby, parce que le rapport de Veterans Today a été rédigé par une équipe qui comprenait :

– Jeff Smith, physicien des particules, inspecteur de l’AIEA et principal expert en armes nucléaires.
– Une équipe (dont les noms n’ont pas été dévoilés) des Sandia National Laboratories, le groupe de conception d’armes nucléaires des États-Unis.
– Le Dr James Fetzer, Ian Greenhalgh, Don Fox et moi-même en tant que journalistes d’investigation.
– Des sources confirmées au sein des services de renseignement et d’application de la loi américains (noms non divulgués).

Cette partie de l’histoire a commencé le 4 mai 2014 avec un document déposé dans mon courriel disant que j’étais la « dernière chance » de faire connaître la vérité telle qu’elle avait été soumise à CNN et aux autres médias qui ont choisi de la censurer. La raison invoquée est que, et je cite, je suis un « vrai Marine ». Ce qu’ils voulaient clairement dire, c’est que j’étais prêt à en supporter les conséquences et j’avais des amis puissants. Dans une certaine mesure, c’est vrai.

Pendant des mois, des documents comprenant des calculs complexes sur la conception des bombes, les caractéristiques des explosions et un véritable examen du World Trade Center, le tout dans le paquet reçu, ont été discutés avec l’équipe de journalistes mais aussi avec des scientifiques qui avaient une histoire très étrange à raconter.

Selon la véritable étude du 11 septembre 2001, des armes nucléaires spécialisées conçues pour détruire le métal ont été fabriquées, des armes qui ont non seulement transformé des centaines de milliers de tonnes d’acier en poussière, mais aussi détruit des automobiles sur une distance d’un kilomètre, sans endommager des matières combustibles comme le papier qui se trouvait tout près.

Ces scientifiques, tous de l’AIEA (Agence Internationale de l’Énergie Atomique) et/ou du Département de l’Énergie des États-Unis, ont dit à VT qu’ils avaient été contactés le 11 septembre pour enquêter sur un événement nucléaire à New York.

Jeff Smith a fourni une photo de lui-même entrant dans les décombres, habillé comme un travailleur de service public, portant un compteur Geiger. Certains spéculent que l’utilisation du terme « ground zero » en est la preuve. C’est peut-être vrai.

J’ai interrogé Jeff Smith sur ses antécédents et il m’a envoyé une copie de son passeport de l’ONU avec des visas signés par le Secrétaire Général des Nations Unies. Il s’est rendu en Iran, en Syrie, en Israël en tant qu’inspecteur nucléaire et dans de nombreux autres pays, dont la Russie. Il a également fourni ses photos personnelles à d’autres inspecteurs de l’ONU.

OK, voici ce qui est le plus important. Les résultats de l’enquête de 2014 ou plutôt les documents que nous avons reçus de ce que nous avons appris par la suite était une enquête du Département de l’Énergie des États-Unis du 11 septembre 2003 qui a été supprimée, étaient identiques aux résultats auxquels Heinz Pommer est arrivé des années plus tard sans avoir accès à nos données.

C’est ce qu’on appelle une « confirmation ». Cela signifie, oui, tout est vrai, l’Amérique a été « atomisée » le 11 septembre. Cela signifie aussi qu’il y a eu des victimes des radiations et que le gouvernement américain l’a couvert, que les premiers intervenants qui sont morts par milliers ont reçu des traitements médicaux inappropriés pour couvrir un crime de masse, tout comme les gazages syriens, comme le MH17 et, peut-être, d’autres incidents, peut-être même des fusillades en masse, qui pourraient tout aussi bien être simulés.

Si un pays faisait exploser plusieurs armes nucléaires au milieu de sa plus grande ville, qu’est-ce qu’il ne ferait pas ?

Ensuite, il y a l’histoire de Jeff. Selon Jeff Smith, il faisait partie d’une équipe appelée Able Danger qui comprenait le FBI, la CIA, l’AIEA et d’autres actifs. Leur enquête a commencé dans les années 1990, lorsque les matières nucléaires provenant d’armes désassemblées, qui faisaient partie des accords START, des armes des États-Unis et de l’Union Soviétique, ont commencé à disparaître, des centaines d’entre elles, au lieu d’être démontées et stockées.

Puis Jeff nous a dit que tous les dossiers avaient été détruits, non pas par accident, mais par de hauts fonctionnaires, dont le Directeur du Département de l’Énergie lui-même, et que l’enquête, lorsqu’elle était sur le point d’ordonner l’arrestation de hauts fonctionnaires de Clinton, avait été interrompue par ordre présidentiel. On a cru que quelqu’un faisait chanter le Président Clinton.

On nous a alors dit que l’enquête avait été rétablie, financée personnellement par l’ancien Président George Herbert Walker Bush. Les membres de cette équipe comprenaient l’agent de la CIA Rolland Carnaby, assassiné, John O’Neill, tué le 11 septembre, John Wheeler III, assassiné, Mike Dick, agent du FBI, a survécu à une tentative de meurtre, et Jeff Smith, qui survit sous un ordre de bâillon.

Des documents d’enquête détaillés ont été établis sur un complot des services de renseignements saoudiens et israéliens, des photos et des adresses de refuges, des rencontres entre Mohammed Atta et des agents des services de renseignements israéliens et une foule de personnes de haut rang et/ou puissantes qui ont financé et géré ce projet.

Pommer n’avait aucune de ces informations.

Maintenant, reculons une seconde. Les rapports de 2014 ont été lus par 6 millions de personnes et pourtant, ils n’existent nulle part, sauf chez Veterans Today et dans des douzaines d’articles qui comprennent des documents de l’enquête supprimée de 2003.

Conclusion

Il y a toujours ces questions, pourquoi racontons-nous cette histoire, pourquoi devrions-nous nous en soucier, que pouvons-nous faire dans ce genre de situation alors qu’il est clair que l’Américain moyen ou le citoyen d’un pays n’a que peu ou pas de pouvoir sur les événements ?

Une réponse clé est simple : si nous laissons un mensonge prendre racine, ce qui en découle peut nous détruire tous. Le 11 septembre est ce genre de mensonges, l’un des plus gros, mais il y en a, comme la plupart le savent, tant d’autres, une liste qui s’allonge chaque jour.

Ce qui est essentiel, c’est que les hypothèses qui ont déjà été faites doivent être démenties :

Ce qu’on m’a enseigné à l’école est vrai, maintenant on sait mieux, tellement mieux.

Ce qui est dans les médias grand public est juste et véridique, mais nous savons maintenant qu’il s’agit probablement d’une fabrication totale…

Ce que nos dirigeants font, ils le font pour nous, sauf, bien sûr, que l’histoire montre que nos dirigeants sont maintenant parmi les pires d’entre nous, les plus petits d’entre nous et que nous sommes gouvernés par nos bailleurs et non par une « élite ».

Alors le dernier défi est simple, nous nous laissons gouverner par le consentement, ce qui est la nature même de la démocratie, sauf, bien sûr, que nous n’avons jamais consenti à être trompés ou gouvernés par des criminels qui se cachent derrière le mensonge.

Cette réponse est encore plus simple, nous résistons.

yogaesoteric
23 octobre 2019

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