Le plus grand secret (1)

 

Par David Icke

Terre de « liberté »

Le pays le plus puissant de la planète pourrait présentement nous apparaître comme les États-Unis d’Amérique, si bien entendu vous croyez ce que l’on vous raconte. Mais les États-Unis ont toujours été contrôlés par Londres, et c’est encore le cas. L’Amérique n’a jamais été une terre de liberté, et son temps était venu. Le point de mire du monde est placé sur la grande et mauvaise Amérique, en tant qu’« impertinent » mondial, mais les événements dont les Américains ont été blâmés étaient orchestrés par l’élite de la Fraternité babylonienne en Angleterre et ailleurs. L’illusoire destruction et déclin de l’empire britannique en tant que superpuissance a été en fait occultée volontairement et placée dans l’ombre, là où le véritable pouvoir se trouve. J’insiste que par « Londres » je n’entends pas le gouvernement britannique, lequel est une autre façade, peu importe qui se trouve derrière les bureaux… Je veux dire que pour des raisons historiques et autres, le principal centre opérationnel du réseau de sociétés secrètes de la Fraternité reptilienne est basé à Londres (ou New Troy) et par extension à Paris, Bruxelles, ainsi qu’à Rome. Une fois de plus, pour comprendre ce qui se passe aux États-Unis, nous devons retourner très loin dans l’Histoire.

Les Phéniciens ont posé le pied en Amérique il y a très longtemps, et ce qui semble être des vestiges égyptiens (phéniciens) ou orientaux ont été découverts dans le Grand Canyon au début des années 1900, bien que cet événement ait été gardé secret. Le nom de la ville américaine de Phoenix, qui est située dans la Sun Valley en Arizona, a été inspiré par la compréhension de la véritable histoire de cet endroit, peu importe ce que la version officielle veut nous faire croire. Il est évident que les Gallois, les Irlandais, les Anglais et les Écossais ont accosté en Amérique du Nord plusieurs siècles avant Christophe Colomb…

L’histoire officielle selon laquelle Christophe Colomb aurait découvert les Amériques est ridicule. À quelques kilomètres d’Edimbourg en Ecosse, on retrouve encore la chapelle de Rosslyn, ce Saint-Graal de l’élite de la Fraternité. Elle a été construite selon la forme de la croix des Templiers par le clan St-Clair/Sinclair, et fourmille de symbolisme ésotérique. Les fondations de la chapelle ont été jetées en 1446, et elle a été complétée dans les années 1480. Comment ne pas s’étonner que l’ouvrage de maçonnerie à Rosslyn comporte des représentations de maïs et de cactus, espèces que l’on retrouve seulement en Amérique, alors que Christophe Colomb l’aurait découvert en 1492 ! Comment cela est-il possible ? En fait, il n’y a aucun mystère. Christophe Colomb n’était pas le premier blanc à poser le pied en Amérique.

Les Phéniciens, les Scandinaves, les Irlandais, les Gallois, les Bretons, les Basques et les Portugais ont tous navigué vers l’Amérique avant lui, tout comme le prince Henry Sinclair de Rosslyn, tel qu’il est expliqué dans un rare livre de Frederick J. Pohl nommé Prince Henry Sinclair’s Voyage to the New World in 1398. Sinclair a effectué le périple avec une autre lignée de la Fraternité, le clan Zeno, une des plus importantes familles de la Noblesse Occulte de Venise. Sinclair et Antonio Zeno ont accosté en 1398 à un endroit que nous appelons Terre-Neuve (province du Canada), et sont allés ensuite en Nouvelle Ecosse (Canada). Dans la correspondance de Zeno, les descriptions de la terre qu’ils avaient trouvées correspond parfaitement dans les détails à un dépôt de bitume du comté de Pictou en Nouvelle-Ecosse, non loin de l’actuelle ville de New Glascow.

Sinclair est allé sur la terre de la contemporaine Nouvelle-Angleterre. Au Massachusetts, dans un endroit nommé Prospect Hill situé à Westford, à environ 40 km de Boston, on a découvert dans la roche une représentation d’un chevalier en armure avec une épée. Le conservateur de l’University Muséum of Archaeology and Ethnology de Cambridge en Angleterre, M. Lethbridge, a dit que ces armes, armures et emblèmes héraldiques étaient ceux d’un chevalier de la fin du XIVe siècle, provenant du nord de l’Ecosse et « parent avec le premier Sinclair, comte d’Orkney ». La Fraternité connaissait l’Amérique depuis des milliers d’années et Christophe Colomb a été utilisé afin de rendre la « découverte » officielle dans le but d’amorcer sa colonisation. C’est de cette façon que cela s’est produit.

Suite à l’arrestation des Templiers en 1307, plusieurs d’entre eux ont quitté la France pour l’Ecosse, comme nous avons pu le voir. Mais d’autres sont partis pour le Portugal où ils ont poursuivi leurs activités sous le nom de Chevaliers du Christ, se concentrant principalement sur des activités maritimes. Le plus illustre Grand Maître des Chevaliers du Christ a été le prince Henri le Navigateur qui a vécu entre 1394 et 1460. Le terme « navigateur » ou nautonier était utilisé par les Templiers et le Prieuré de Sion afin de désigner un Grand Maître, et il n’est pas étonnant que leurs activités se soient poursuivies avec une devanture comme celle des Chevaliers du Christ.

Le prince Henri était un explorateur maritime de sang royal (reptilien) et ce sont ses marins qui ont « découvert » Madère et les Açores, deux reliquats éventuels de l’Atlantide. Grâce à l’accès aux connaissances secrètes de la Fraternité, il a pu avoir recours à plusieurs cartes qui ont été rédigées après les périples accomplis par les Phéniciens et les autres, dont ceux qui ont répertorié l’existence des Amériques. Seulement vingt ans après que Colomb ait navigué vers les Amériques… disons les Indes, un amiral turc ottoman du nom de Piri Reis a dressé une carte de l’Antarctique 300 ans avant la découverte officielle de ce continent ! La précision de sa carte a été vérifiée par des techniques modernes. Comment a-t-il pu faire cela ? Il soutenait qu’il avait tracé la carte à partir de plans plus anciens, ces mêmes ressources qui étaient disponibles pour Henri le Navigateur et les Chevaliers Du Christ – les Templiers. Cela devient un élément très important lorsque vous découvrez qu’un des capitaines de la marine d’Henri, qui était également Chevalier du Christ, était le beau-père de… Christophe Colomb ! Cet homme ne cherchait pas les Indes. Il savait où il allait depuis le début. C’est pour cette raison que de nombreux explorateurs maritimes, dont Vasco de Gama, étaient originaires du Portugal.

Plus tard, le capitaine Cook, qui a fait la « découverte » de l’Australie, a été financé et contrôlé par la Royal Society de Londres, laquelle était à la solde de la Fraternité. Comme l’historien de la maçonnerie Manly P. Hall l’explique, Colomb était en contact avec la société secrète à Gênes ainsi qu’avec le nord de l’Italie, le bastion de la Noblesse Occulte constituée de ces Vénitiens Phéniciens et des hybrides reptiliens. À un certain moment, il a été employé par René d’Anjou de la maison reptilienne de Lorraine, cet aristocrate membre de la Fraternité qui possédait d’innombrables contacts à travers toute l’Europe, dont à Gênes et à Venise. Colomb était membre d’un groupe inspiré par les croyances du poète Dante, qui était un Templier et un Cathare très actif, et le drapeau qui flottait sur les navires de Colomb lors du voyage vers l’Amérique était… la célèbre croix rouge sur fond blanc !

Un appui essentiel a été donné par deux importants initiés du réseau de la Fraternité babylonienne : Laurent 1er de Médicis, une des familles reptiliennes les plus puissantes de Venise, ainsi que Léonard de Vinci, le Grand Maître du Prieuré de Sion. Colomb était également supporté par le roi espagnol Ferdinand II le Catholique et son épouse Isabelle 1ère la Catholique dite de Castille (tous deux Ramsès-Piso-Bush). Ce sont eux qui ont instauré la terrible Inquisition espagnole qui a commencé en 1478 pour n’être abolie qu’en 1834 !

Cinq ans après que Colomb ait accosté dans les Caraïbes, un italien du nom de Jean Cabot a hissé les voiles dans le port des Templiers de l’ouest de l’Angleterre, Bristol, afin d’aller découvrir officiellement Terre-Neuve, la Nouvelle-Ecosse, et l’Amérique du Nord. Le nom de Bristol s’est développé à partir de « Barati », et était auparavant appelé « Caer Brito ». Bristol était un centre d’activité pour les Templiers, et la zone de la ville que nous appelons de nos jours « Temple Meads » fait référence à cela. Cabot était appuyé par le roi Henri VII. Son fils, Sébastien, avait vu le jour à Venise et était explorateur et cartographe pour Henri VII. Sébastien a également navigué vers la Baie d’Hudson (Canada), et il a mené une expédition pour les Espagnols en Amérique du Sud. Les Cabot soutenaient qu’ils cherchaient l’Asie !

Les expéditions des Espagnols vers l’Amérique du Sud, et celles des Britanniques et des Français vers l’Amérique du Nord étaient coordonnées par la même autorité : les filiales de la Fraternité. L’Histoire officielle ne relie pas Cabot à Colomb, mais non par manque de preuves… Le véritable nom de Jean Cabot était Giovanni Caboto. Il était un Vénitien d’adoption qui provenait de la ville de Gênes – cette même ville où Colomb dirigeait ses projets au même moment où Cabot y était… Manly P. Hall, lui-même un franc-maçon initié des hauts grades, disait qu’ils étaient tous les deux reliés à la même société secrète et aux « Wise Men of the East » (Hommes rusés de l’Orient). Il ajoute dans son livre la mission prédestinée de l’Amérique :

« Les explorateurs qui ont découvert le Nouveau Monde agissaient à partir d’un vaste plan et étaient des agents de la re-découverte plutôt que des explorateurs qui faisaient des découvertes. Nous connaissons très peu de choses sur la vie, l’origine, le caractère et les politiques de ces aventuriers intrépides. Bien qu’ils vivaient dans un siècle qui comportait nombre d’historiens et de biographes, ceux-ci sont, soit demeurés silencieux, soit ont inventé des récits plausibles sans substance. »

C’est évident qu’ils l’ont fait. La Fraternité ne voulait pas que le peuple découvre la vérité, que tout était une arnaque et une partie de son plan à long-terme. Pour les quatre siècles qui ont suivi, les pays européens contrôlés par la Fraternité, notamment la Grande-Bretagne mais également des Hollandais, des Français, des Belges, des Espagnols, des Portugais, des Allemands et autres, ont pillé la planète, pris le pouvoir sur le monde, et ils ont étendu le contrôle des Aryens-reptiliens plus que jamais auparavant. Cela est caractéristique de la mentalité et des méthodes qui ont été employées par Hernân Cortés, qui a mené la prise du pouvoir espagnole en Amérique Centrale après Colomb.

Les autochtones avaient leur propre système pour mesurer le temps et ils avaient une date à laquelle ils attendaient le retour de leur dieu, Quetzalcôatl, qui étaient de plusieurs manières une version de Jésus. Les récits qui parlent de Jésus au Proche-Orient et en Europe, et ceux de Quetzalcôatl en Amérique Centrale sont à peu près les mêmes parce qu’ils proviennent de la même origine. La date du retour attendu de leur dieu blanc était, selon le calendrier européen, l’année 1519. Les autochtones croyaient qu’il porterait une tenue qui évoquerait son surnom de « serpent à plumes ». Cortés est accosté au Mexique en 1519 portant des plumes, et il a même touché terre à l’endroit où Quetzalcôatl était attendu… Il portait également une croix, respectant encore la légende de Quetzalcôatl. À cause de cela, le roi aztèque Montezuma a cru, comme son peuple, que Cortés était le dieu tant attendu. Cela a permis à Cortés, avec seulement 598 hommes, de prendre le pouvoir sur un grand nombre de gens. Jusqu’au moment où ils réalisent que Cortés n’était pas leur dieu, il était trop tard.

C’est un gigantesque massacre des autochtones qui s’en est suivi, et un historien espagnol a estimé qu’au moins 12 millions d’indigènes ont été tués, de l’Amérique du Sud uniquement, après l’arrivée des Européens (des Aryens et Aryens-reptiliens), et qu’un plus grand nombre encore auraient été faits esclaves… Parmi les conquêtes espagnoles, il y a eu les terres des Incas et des Mayas, et la plupart de leurs connaissances ont été perdues ou systématiquement détruites. La même chose s’est produite en Amérique du Nord lorsque les Européens ont tué un nombre incalculable d’Amérindiens et qu’ils ont littéralement effacé leur culture de la surface de la Terre.

Les indigènes d’Afrique, d’Australie, de Nouvelle-Zélande et d’ailleurs ont subi le même sort. Credo Mutwa raconte dans son vidéo « The Reptilian Agenda – part two »  comment des êtres grands et étranges, connus comme les « Brutes de la terrible couverture, » sont apparus en Afrique au cours des années qui ont précédé l’arrivée des blancs européens. Ces êtres transportaient les mêmes symboles utilisés plus tard par les missionnaires chrétiens. Les Aryens, contrôlés à leur insu par les Aryens-reptiliens, ont pris le pouvoir sur le monde à travers les empires européen et britannique et, peu importe où ils sont allés, la connaissance de la vie et l’histoire (c’est-à-dire l’implication reptilienne dans les affaires humaines) ont été volées ou détruites.

Un des meilleurs exemples est la destruction de la grande bibliothèque ésotérique d’Alexandrie en Egypte sous l’ordre des Romains au cours du IVe siècle… Les livres qui n’ont pas été détruits ont été amassés par le Vatican…

Une personne qui a des parents qui travaillent parmi les cadres du Vatican m’a raconté que pendant une visite guidée de l’endroit il avait vu des voûtes scellées sous vide situées en-dessous du bâtiment, lesquelles abriteraient des milliers d’ouvrages ésotériques très anciens. « C’était incroyable ! » m’a-t-il dit. Le premier campement anglais à s’être établi au début du XVIIe siècle dans ce qui est devenu par la suite les États-Unis a été Jamestown (Virginie). On dit que l’État de Virginie a reçu son nom selon Elisabeth 1ere, la très mal nommée « reine vierge ». Cependant, il est plus probable, d’après le tableau, que ce nom a été attribué d’après la déesse vierge de l’Antiquité, Sémiramis et son équivalent égyptien, Isis. Plusieurs membres de la famille de Francis Bacon étaient parmi les premiers colons, donc des puritains calvinistes avec leurs habits noirs et leurs chapeaux, qui ont traité les autochtones comme ils traitaient leurs propres femmes : avec une arrogance et une barbarie difficile à décrire…

Grâce aux colons, la Fraternité a étendu sa colonisation de la planète, et a envoyé en Amérique l’aristocratie reptilienne et la royauté européenne, qui sont ensuite devenus les dirigeants financiers, les banquiers, les administrateurs et les présidents des États-Unis… La propriété des terres et des finances américaines a été assumée dès le début par la Virginia Company, fondée en 1606 par le roi Jacques 1er (Ramsès-Piso-Bush). Jacques a nommé Bacon chevalier et l’a mandaté de plusieurs rôles importants, dont Lord Chancelier d’Angleterre. Pendant le règne de Jacques 1er, les Templiers, les Rosicruciens et autres sociétés secrètes ont groupé leurs forces sous un seul nom – la franc-maçonnerie. Observez les premiers membres de la Virginia Company : Francis Bacon, messieurs les comtes de Pembroke, Montgomery, Salisbury, Northampton, et le duc de Southampton… Ils étaient tous membres de la Fraternité et issus de lignées reptiliennes ! La Virginia Company existe encore de nos jours sous d’autres noms et elle a contrôlé sans relâche les États-Unis, ce que j’expliquerai au cours de ce chapitre.


Lisez la deuxième partie de cet article

 

yogaesoteric
25 octobre 2019

 

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