Le pollen de fleur : un miracle de la nature
Le pollen de fleur est la nourriture première de la jeune abeille et il ne contient pas moins de 40 % de protéines. C’est l’aliment le plus nourrissant connu à ce jour. Cependant, n’oublions jamais que lorsque l’on consomme tel quel le pollen, seulement 1 % des nutriments qu’il contient profitent à l’organisme alors que 99 % se retrouvent dans les selles.
C’est pour cette raison qu’on pense que seul un produit qu’on désigne comme le pain des abeilles apporte par une fermentation lactique tous les éléments nutritifs du pollen. Celle-ci fait voler en éclat les membranes indigestes de ce produit pour le rendre totalement assimilable.
L’un des faits les plus intéressants sur le pollen d’abeille est qu’il ne peut pas être synthétisé dans un laboratoire.
Un incroyable élément source de vie
Le pollen d’abeille contient tous les composants essentiels de la vie. Le pourcentage d’éléments de rajeunissement dans le pollen d’abeille dépasse remarquablement ceux présents dans la levure de bière et le germe de blé. Le pollen d’abeille corrige la nutrition déficiente ou déséquilibrée. Celle-ci est commune dans les coutumes de la civilisation actuelle avec sa consommation d’aliments incomplets, souvent avec des ingrédients chimiques ajoutés, ce qui expose les gens à des problèmes physiologiques aussi divers que nombreux.
Le pollen d’abeille est un aliment complet et contient de nombreux éléments que les produits d’origine animale ne possèdent pas. Le pollen d’abeille est la source d’acides aminés et de protéines bien plus importante que celle issue de toute source animale. Il contient plus d’acides aminés que les œufs et le fromage à poids égal. Le pollen d’abeille est particulièrement concentré dans tous les éléments nécessaires à la vie. Toutes les vitamines sont présentes en nombre ainsi que tous les minéraux.
Un secret ancestral de longévité
Dans le domaine de la gériatrie, le docteur Nicolai Vasilievich Tsisin est un expert international reconnu et il a passé de nombreuses années à chercher le secret de longévité que l’on rencontre dans les villages les plus reculés du Caucase en Russie. Il a visité les nombreux petits villages qui parsèment le paysage haut dans les montagnes du Caucase, où l’air est toujours clair et l’eau pure. En été, les brises sont parfumées de milliers de fleurs sauvages. Les villageois travaillent leurs petites fermes et tendent leurs jardins potagers sans les « avantages » douteux des technologies de l’ère spatiale employées dans les villes les plus proches.
Le docteur Tsitsin a été étonné de trouver plus de 200 personnes de plus de 125 ans, toutes travaillant encore tous les jours, participant activement à la vie du village.
Comment expliquer la longévité de ces gens alors que leur condition de vie était précaire ?
Le Dr Tsitsin restait perplexe. Il savait qu’il devait y avoir un autre facteur important qui n’était pris en compte. En fait, c’étaient tous des paysans mais aussi des apiculteurs qui servaient à table journellement un conglomérat de miel avec un résidu épais de pollen qui s’accumulait sur les fonds de leurs ruches.
Ces paysans pauvres récoltaient le miel pur et le vendaient, tout en n’en gardant pas pour eux. Seule une bouillie mielleuse riche en pollen leur servait de bouillie quotidienne. En fait, sans le savoir, ils avaient mis au point ce qu’aujourd’hui on nomme le pain des abeilles, un pollen fermenté naturellement, un véritable élixir de vie.
Quand le docteur Tsitsin goûta pour la première fois cette substance collante dans la maison de l’un des villageois il sut immédiatement que c’était cet élixir magique qui contribuait à l’incroyable longévité de ce peuple du Caucase. Il conclut le rapport qu’il fit en disant, « pris régulièrement et en quantités suffisantes, le pollen d’abeille va prolonger la durée de vie de l’homme. »
Le pollen qui soigne…
Les chercheurs ont démontré qu’il existe une substance dans le pollen d’abeille qui inhibe le développement de nombreuses bactéries nocives. Des expériences ont montré que le pollen d’abeille contient un facteur antibiotique efficace contre les salmonelles et certaines souches de bactéries.
Il améliore les fonctions intestinales
Sur le plan clinique, des études ont montré qu’un effet régulateur sur la fonction intestinale peut être attribué au pollen d’abeille. La présence d’une forte proportion de cellulose et de fibres dans le pollen, ainsi que l’existence de facteurs antibiotiques font que tout contribue à une explication de cet effet efficace.
Il améliore la formule sanguine
Travailler avec des animaux de laboratoire a permis de démontrer que l’ingestion de pollen d’abeille a un bon effet sur la composition du sang. Une augmentation considérable et simultanée des globules blancs et rouges a été observée. Lorsque le pollen d’abeille est administré à des patients anémiques, leur taux d’hémoglobine [qui transporte l’oxygène des globules rouges] augmente considérablement.
Il est rapporté que le pollen d’abeille dans le régime alimentaire agit pour normaliser les niveaux de cholestérol et de triglycérides dans le sang. Après l’ingestion régulière de pollen d’abeille, une réduction du cholestérol et des triglycérides a été observée. Les lipoprotéines de haute densité (HDL) ont augmenté, alors que les lipoprotéines de basse densité (LDL) ont diminué. Une normalisation des concentrations sanguines de cholestérol sérique est également considérée.
L’un des meilleurs remparts contre le cancer
L’un des articles les plus importants jamais publiés sur le pollen d’abeille vient du ministère de l’Agriculture des États-Unis. Cet article a été écrit par William Robinson du Bureau d’entomologie, de l’Agriculture et de l’administration de la recherche. Il a été publié dans le Journal de la façon dont le National Cancer Institute, en Octobre 1948, il y a cinq décennies, a procédé.
Selon l’article, le Dr Robinson a entamé ses recherches avec des souris qui avaient été spécialement sélectionnées pour développer des tumeurs. Il explique: « L’âge auquel les souris de cette souche ont développé des tumeurs variait de 18 à 57 semaines, avec une apparence moyenne à 33 semaines. L’incidence des tumeurs était de 100 pour cent. » Le protocole suivi a été : « Un groupe de souris a été nourri normalement; un autre groupe a reçu un ajout de pollen d’abeille dans un rapport de 1/1000 de la ration alimentaire. »
Dans son résumé, le Dr Robinson dévoile les résultats spectaculaires :
« En ce qui concerne les souris qui n’ont pas reçu de pollen, les tumeurs mammaires sont apparues comme prévu dès la 31ème semaine. L’incidence des tumeurs était de 100 pour cent dans ce lot.
Les souris traitées au pollen ne virent l’apparition des tumeurs en moyenne qu’à partir de la 42ème semaine, sept souris de ce lot étaient toujours sans tumeur jusqu’à la 62ème semaine lorsque les essais prirent fin.
Soulignons que ces souris ont été sélectionnées pour mourir de tumeurs cancéreuses. Sans la protection du pollen d’abeille dans leur nourriture, les souris, toutes les souris sont mortes comme prévu.
Compte tenu du fait que le cancer est le tueur numéro deux aux Etats-Unis (les maladies du cœur sont le numéro un), nous pouvons convenir qu’il s’agit d’un résultat édifiant. Qu’en a-t-on fait? Rien. »
Même l’Institut national du cancer, qui l’a publié, n’a pas suivi cette ligne de recherche très prometteuse. Elle a été abandonnée sans explication. D’autres bonnes nouvelles proviennent de l’Université de Vienne, où le Dr Peter Hernuss et ses collègues ont mené une étude sur vingt-cinq femmes souffrant de cancer de l’utérus inopérables. La chirurgie étant impossible, les femmes ont été traitées par chimiothérapie. Ces femmes furent supplémentées avec du pollen d’abeille. On s’aperçut que leur système immunitaire fonctionnait de manière idéal avec l’augmentation de la production d’anticorps, et avec pour conséquence un niveau nettement amélioré de lutte contre l’infection et de transport de l’oxygène des globules rouges (hémoglobine). Ces femmes ont moins souffert des effets secondaires terribles de la chimiothérapie ainsi.
Le pollen d’abeille a non seulement diminué les terribles nausées qui accompagnent généralement le traitement mais a contribué à maintenir la perte de cheveux à un minimum. Les femmes ont aussi mieux dormi la nuit. Le groupe contrôle recevant un placebo n’a pas connu un soulagement comparable.
Le pollen peut aider le système immunitaire
Un rapport de l’Institut agronomique, Faculté de Zootechnie, en Roumanie, a montré que le pollen renforçait considérablement le système immunitaire.
Selon le rapport, « Les études comparatives concernant une supplémentation en pollen par rapport à un groupe qui n’en prenait pas » par les Drs. E. Palos, Z. Voiculescu et C. André que l’on pouvait conclure à : « Une augmentation enregistrée au niveau des lymphocytes du sang, gammaglobulines, et des protéines chez les sujets à qui on a donné du pollen par rapport aux groupes témoins. La différence la plus significative s’étant produite dans les lymphocytes. Ces résultats signifient donc un renforcement de la résistance du système biologique. » Les lymphocytes sont des globules blancs qui sont des « soldats » du système immunitaire. Ils sont chargés de débarrasser le corps des substances nocives et dangereuses, dont les cellules infectées ou malades, mutantes et cancéreuses, les virus, les déchets métaboliques, et ainsi de suite. Les gammaglobulines sont des protéines formées dans le sang qui augmentent notre capacité à résister à l’infection.
Et d’autres indications thérapeutiques intéressantes
Sphère circulatoire : le pollen est un rempart contre l’artériosclérose et ses conséquences comme l’hypertension et la fragilité capillaire particulièrement le purpura. Le pollen est une incroyable source de rutine.
Sphère génito-urinaire : les messieurs qui sont en quête d’un remède pour soigner leur prostate trouveront dans le pollen le meilleur produit naturel qui conviendra. Les colibacilloses, elles non plus ne résistent pas au pollen.
Sphère visuelle : fatigue oculaire en priorité celle générée par les écrans d’ordinateurs, affections de la rétine, héméralopie, troubles circulatoires intraoculaires.
Sphère digestive : la constipation fonctionnelle trouve dans le pollen son meilleur de remède. Il finit par supprimer les plus graves effets secondaires liés aux maladies des laxatifs (colites et inflammations diverses).
Sphère dermatologique : fragilité cutanée, ongles fragiles et cassant, chute de cheveux
Sphère neuropsychique : Neurasthénie, états dépressifs, burn-out, états de mal-être et nervosisme.
Le pollen et l’état général
Le pollen lutte contre toutes les formes de fatigue et surtout celles liées aux convalescences. C’est encore le meilleur remède contre l’anorexie, les états de maigreur et de dénutrition. Il corrige les états carentiels, les terrains déficients et les retards de croissance. Le pollen est aussi un excellent remède contre le vieillissement prématuré ainsi que les troubles de la mémoire.
En guise de conclusion
Le pollen est surement le meilleur aliment qui convient à tous pendant toutes les phases de l’existence. Ainsi, les végétariens trouveront en lui la meilleure source de protéines animales et même la présence de vitamine B12 …
On vous soumette ici les recherches médicales concernant l’emploi thérapeutique du pollen et vous serez étonné de voir la palette d’actions qui vont des activités antifongiques, antimicrobiennes, antivirales, anti-inflammatoires, immunostimulantes, analgésiques, antiallergiques que l’on peut trouver dans le pollen. REF: https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4377380/
yogaesoteric
27 novembre 2018
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