Le sens des maladies (3)


Par Dr Olivier Soulier

Lisez la deuxième partie de cet article

LES MICROBES

Les microbes sont un sujet bien mal compris. Ils sont craints et redoutés, alors qu’ils sont en fait nos meilleurs alliés. Mais pour cela il faut comprendre leur fonction dans notre évolution et l’évolution de l’humanité. Commençons par une histoire. Imaginons un homme des cavernes qui bricole et se plante une écharde dans le doigt. Il tente de l’enlever, mais elle se casse. Il n’a ni pince à épiler, ni bistouri pour pouvoir extraire cette écharde. Notre organisme a évolué pour être capable de survivre seul dans toutes les situations, sinon nous ne serions pas là aujourd’hui. Il n’est pas concevable que notre organisme accepte de garder à l’intérieur de lui un corps étranger et perdre son intégrité. Que se passe-t-il ? Il va se former un abcès qui va éliminer cette écharde. Puis la peau cicatrise. La surface de notre peau est habitée par une bactérie, le staphylocoque doré. En pénétrant dans le doigt, l’écharde crée une effraction dans notre intégrité et fait pénétrer le staphylocoque qui déclenche un processus de suppuration et l’élimination de l’écharde.

Le staphylocoque est le gardien de notre intégrité de forme et de limites. C’est sa fonction positive dans le fonctionnement de notre vie. C’est une fonction physiologique et symbolique.

Les adolescents qui sont confrontés à un nouveau corps, sous l’influence des hormones, vont être particulièrement sensibles au staphylocoque et vont faire de l’acné. Cela sera plus fort encore si le regard que les autres ou celui qu’eux-mêmes portent sur ce corps est négatif et représente une agression. Au contraire, c’est le regard d’amour que l’on pose sur un être qui est sa véritable protection.

L’organisme ne fait pas la différence entre les intentions, positives ou négatives. Il réagit sur ses codes de survie. Quand nous pratiquons un acte médical avec une intention positive, nous risquons d’activer ce système et de déclencher une infection. C’est pourquoi il nous faut désactiver cette alarme par la désinfection. Nous voyons là que nous prenons la place de l’organisme et que cela demande une certaine conscience.

Le progrès médical permet de ne pas décéder d’une blessure grave et d’échapper ainsi à la sélection naturelle qui sévit depuis des millions d’années. Très bien. La médecine se substitue positivement à nos limites. Elle doit cependant avoir un haut niveau de conscience, garder la connaissance du sens de nos processus de fonctionnement et enfin garder tout le temps à l’esprit que toute chose à une limite.

Toute chose a une limite. Les petits enfants dans les services de réanimation néo-natale font souvent des septicémies à staphylocoques. Après la vie intra-utérine, les- divers cathéters nécessaires à la réanimation sont perçus comme des agressions qui mettent en jeu l’intégrité de l’être même. L’organisme réagit dans un refus réflexe qui peut aller jusqu’à un processus d’auto destruction.

Chaque fois que nous voulons aller plus loin dans le progrès et les découvertes, nous nous confrontons à un système microbien qui vient vérifier la faisabilité et la viabilité de nos avancées. Il nous dit comme dans le mythe : « es tu capable de passer la porte ? ». Il n’y a ni bien ni mal, ni jugement, mais seulement un test de faisabilité, un garde fou. La vie n’a qu’un seul but : « s’accomplir ».

Quand nous décidons d’utiliser le sang pour soigner et sauver en faisant des transfusions, c’est une grande avancée. Passer la barrière du sang est une phase fondamentale de l’évolution, qui nécessite de nombreuses conditions. Nous activons alors toute une série de systèmes qui vérifient la viabilité de ce progrès.

Parmi ces systèmes de contrôle il y a les groupes sanguins et les rhésus. La médecine a appris à les respecter. Il y a aussi des systèmes microbiens qui vérifient la viabilité des opérations. Ils sont là comme des pièges tests qui détruisent les systèmes en cas d’inadaptation ou de non-respect de critères indispensables.

Tant que les transfusions sont effectuées dans un grand respect des règles et des êtres, cela a marché. Quand nous ne respectons plus ce système, en ne respectant plus tous les critères, pour des considérations mercantiles, nous risquons d’activer un système de vigilance et d’auto destruction : le virus HIV du sida.

Le virus du sida sert à vérifier la structure de la personnalité. Non pas dans le sens : quelle est ma personnalité, quel est le texte de mon livre, mais dans le sens comment est elle écrite sur le livre. Le sida peut s’activer, dans deux situations :
– soit que l’on a gêné la structuration de l’immunité, qui est insuffisamment écrite et précise,
– soit qu’une fois le livre écrit, on mélange les pages entre elles ou avec celles d’un autre livre (transfusions), sans vérifier la cohérence du message final.

Le virus du sida dénonce les manques de sens du texte et les contresens. Le virus HIV est lié aux problèmes de sang car le sang porte une partie de l’écriture de notre identité, à travers les systèmes immunitaires (globules blancs, anticorps, protéines…). Il est aussi concerné, symboliquement, chaque fois que l’identité semble incertaine ou fragile. Quand une problématique identitaire rencontre un agent test déclenchant, le virus, la nature ne fait alors plus la différence entre la cause et la conséquence ; elle se contente de détruire tout ce qui a touché à un processus de façon non viable. Les virus servent aussi à vérifier si les règles d’espèces sont respectées. C’est l’humanité, en tant qu’être, qui est concernée par les phénomènes d’épidémie.

Les animaux ne peuvent se reproduire en dehors de leur espèce. On ne peut croiser un chien avec un éléphant, mais à la limite un chien peut se croiser avec une espèce proche, comme le loup, et former un chien-loup. Les espèces se caractérisent aussi par leur critère herbivore ou carnivore.

Nous pensions la barrière des espèces infranchissable, mais nous l’avons franchie aisément en nourrissant des herbivores avec des protéines d’origine animale : des vaches herbivores, nourries avec de la viande ! Nous nous confrontons alors à un garde-fou : la maladie de la vache folle. Soit nous prenons en compte les limites, soit elles exercent alors leur rôle de nettoyage.

Plus nombreux que nous

Chaque microbe représente une épreuve que l’organisme peut un jour être amené à rencontrer. Notre adversaire ontologique comme dirait Annick De Souzenelle. Chaque maladie infectieuse représente une épreuve d’évolution pour l’humanité et l’organisme. Savez-vous qu’il y a, rien que dans notre tube digestif, dix fois plus de microbes (10 puissance 14, soit 1 et 14 zéros derrière), que de cellules dans le reste de notre corps ? La peur des microbes apparaît alors comme une illusion. C’est la crainte des épreuves que nous pourrions rencontrer dans notre vie. Ces épreuves peuvent être des facteurs de croissance, ce sont les maladies infantiles et « obligatoires », dans les sens le plus positif du terme. Elles sont les limites qui garantissent la validité des progrès humains (comme dans les transfusions). Nous retrouvons là les grandes épidémies et les maladies que nous avons évoquées plus haut.

Au total nous vivons tous avec de nombreux microbes. Chaque microbe correspond à une épreuve évolutive à surmonter. Nous sommes au niveau de l’ensemble des épreuves que nous avons réussi à intégrer. « Dis-moi quels sont les microbes avec lesquels tu vis en bonne intelligence et je te dirai qui tu es et où tu en es ». Prenons des exemples courants :
•  L’ensemble des petites maladies, rhino-pharyngites, etc. permet de former notre immunité. Acceptons de petites épreuves pour éviter d’en affronter, plus tard, de plus grandes.
•  La rougeole, une des maladies fondamentales d’auto-immunisation, nous permet de reformater nos récepteurs sensoriels, pour nous permettre de percevoir le monde au travers de notre propre ressenti et non plus au travers du ressenti de nos parents. Nos croyances et plus celles des autres. C’est une des maladies les plus importantes dans la constitution de la personnalité. Chaque maman sait qu’un enfant qui a fait une bonne rougeole a « grandi ».
•  La bronchiolite confronte l’enfant aux premières peurs de séparation (de même que l’otite). Elle fait mémoire à ce qui a été vécu pendant la grossesse et l’accouchement.

•  La rubéole et la toxoplasmose nous confrontent à notre maturité face à la grossesse, au niveau adulte général et sexué.
•  La mononucléose infectieuse permet aux adolescents (et éternels adolescents) de passer à une définition de type adulte.
•  Le streptocoque teste le déploiement de nos dons, comme la Nasa vérifie qu’un satellite a bien déployé ses panneaux solaires. C’est une maladie très importante. Le non-déploiement des dons est une grande cause de maladie et le streptocoque peut entraîner des maladies graves (rhumatismes articulaires aigus, maladies rénales et cardiaques…) : la nature ne s’accommode pas de l’inaccompli.

•  Le chiamydia est le témoin de problématiques sexuelles inadaptées.
Cela va des abus sur l’enfant, aux viols. Cela inclut aussi ces situations incestueuses, qu’il y ait ou non passage à l’acte, comme en particulier ces relations fusionnelles parents/enfant, persistantes à l’âge adulte. Ces adultes qui restent mariés avec leurs parents.
•  Echerichia Coli nous confronte à notre territoire sexué. « Me satisfait-il/elle ? Est-ce que je suis assez riche au lit ? ». Le territoire sexuel comprend à la fois la sexualité pure, mais aussi la place dans le couple, la place d’homme et de femme.
•  Dans les mycoses, c’est l’adulte qui se demande si ce qu’il vit correspond à se qu’il espérait. « Suis-je capable de faire le deuil de mes illusions, pour vivre la vie comme elle est ? ». Le moi, face au soi. La mycose et le champignon, c’est « pourrir », et la vie, ce n’est par « pour rire »

•  La grippe, c’est notre organisme qui se confronte aux problématiques héréditaires et psychogénéalogiques.
•  L’herpès est intimement lié à la relation et au risque obligatoire de séparation qui va avec, c’est mal vivre le risque de séparation inhérent à toute séparation.
•  La tuberculose, c’est la capacité à s’adapter face à un changement fondamental de structure de société comme l’exode rural, l’entrée dans l’ère industrielle. « Comment vais-je pouvoir survivre dans ces conditions ? ». C’est l’histoire de Fantine dans les Misérables de Victor Hugo. Elle touche encore aujourd’hui beaucoup les émigrés et le nouveau quart-monde.

•  La tourista, c’est la façon dont nous abordons une autre culture.
•  Le paludisme, c’est la manière dans nous nous intégrons dans un groupe au sens tribal du terme. La théorie des microbes est très importante dans la naissance de l’humanité. Nous avons commencé par des microbes qui pouvaient vivre en absence d’oxygène (les anaérobies) et qui ont aidé la terre à se transformer en « digérant les pierres » pour créer de la vie. Car la première vie a été microbienne et ce sont les microbes qui ont préparé la terre à la vie.

Voila l’hiver et les rhino-pharyngites

Les rhino-pharyngites représentent un moyen de base de l’enfant pour s’adapter aux variations de son environnement. C’est aussi un excellent moyen de former son immunité et ses systèmes de défense.

Le nez correspond à ce que je ressens, au niveau des odeurs mais aussi au niveau instinctif, aspect hérité de l’animal. Le « comment tu le sens… ça, je ne le sens pas… ».

L’enfant, surtout petit, aborde tous les jours un nombre considérable de nouvelles choses qu’il doit intégrer. Certaines sont faciles, d’autres plus difficiles. Parfois aussi, il peut être simplement à saturation de nouveautés. Il peut encore être dans une situation de tension et d’angoisse au-delà de ce qu’il peut supporter. L’enfant, comme l’adulte, perçoit le monde par ses organes des sens. En cas de tensions excessives, ils peuvent en quelque sorte disjoncter, pour protéger l’intérieur, pour laisser le temps à l’organisme d’intégrer et de s’adapter. En quelque sorte le protéger d’une tension trop forte en mettant une sourdine.

La plus simple de ces disjonctions, c’est la rhino-pharyngite et le nez bouché. En un seul mouvement, l’organisme se coupe ou plutôt met en sourdine trois organes des sens les plus instinctifs, les plus ancestraux : l’oreille et l’ouïe, le nez et l’odorat, la bouche et le goût. Il épargne deux organes des sens beaucoup plus subtils : la vision et le toucher.

Ce temps d’adaptation est à respecter pour que l’enfant puisse grandir au monde et à lui-même, pour former son système immunitaire et sa personnalité. Mais souvent, pour des raisons pratiques, on coupe l’infection… et la maturation.

On sait maintenant que les rhinopharyngites de l’enfant protègent des allergies, qui ne sont souvent que les seules expressions restantes après un processus de rhino-pharyngites supprimées.

Les rhino-pharyngites représentent un risque minime, pour un bénéfice majeur. Alors laissons se dérouler la vie en se contentant d’aider les défenses.

Le cuivre est d’un bon apport. C’est un excellent conducteur. C’est l’oligoélément symbole de la communication, il aide nos enfants à intégrer la vie dans la communication. Cuprum (la dilution homéopathique du cuivre) est aussi le remède de celui qui ne se sent pas à la hauteur dans une situation. Comme le petit qui fait une rhino-pharyngite parce qu’il se sent dépassé. Beaucoup de nos enfants vont en faire à la rentrée. La nouveauté de la crèche, ou de l’école, va mettre leur personnalité à l’épreuve.

Les changements de temps sont aussi, autant d’adaptations à intégrer. On évoque souvent le froid humide dans le déclenchement des rhino-pharyngites. Regardons cela dans un code symbolique.

Imaginez, vous dormez la nuit collé(e) tout contre votre conjoint. Vous avez chaud, particulièrement aux points de contact. Il ou elle se lève pour boire un verre d’eau. Ce chaud se transforme en une sensation de froid qui est perçue par l’organisme comme synonyme de séparation. Le symbole rejoint la réalité où il prend sa source.

Revenons à nos dormeurs. Si le contact donne vraiment très chaud, voire trop chaud, les surfaces de contact vont se mettre à transpirer. Quand un des dormeurs se lèvera, l’autre ressentira un froid qui sera humide.

Le froid humide correspond à une séparation qui suit un contact excessif (dans le sens : plus que l’organisme n’en a besoin, ni ne sait le supporter).

C’est la situation des enfants qui sont trop couvés et qui tombent malades à chaque épisode de froid humide. A travers ces exemples concrets, on voit que l’organisme réagit sur des bases codées. Il réagit de la même manière sur un fait ou sur son équivalent.

L’interaction réciproque des éléments

Mais le plus intéressant, c’est l’interaction réciproque des éléments. Je m’explique. Un enfant trop couvé pourra plus facilement tomber malade au froid humide. Mais réciproquement, le fait pour son organisme de s’adapter par une rhino-pharyngite à un épisode de froid humide permet à l’enfant d’apprendre psychologiquement à mieux vivre la séparation dans un contexte trop couvé. Concrètement, pour un enfant trop couvé, il y a deux moyens d’évoluer :
•  Soit ses parents changent d’attitude, travaillent sur leurs peurs, modifient leur éducation.
•  soit il fait une rhino-pharyngite.

L’eczéma : de quoi suis-je séparé(e) ?

L’eczéma est la grande maladie de la séparation. Eczéma, « maladie des ex-aimés, l’ayant été ou craignant de l’être ».

Par extension devant un eczéma se pose la question : de quoi suis-je séparé(e) ? De quoi je ne supporte pas d’être séparé(e) ?

Dans l’utérus, l’enfant baigne dans le liquide amniotique au point que le contact avec la totalité de son corps soit caractéristique de cette phase de la vie. Jamais, plus tard dans sa vie (sauf en se baignant) un être n’aura un contact de ce type. La disparition de ce contact est caractéristique de la première puis de toutes les autres séparations. C’est aussi la période où l’enfant est au plus près de sa vérité. De quelle vérité de moi-même suis-je séparé(e) ?
L’eczéma, dans son aspect physique, a l’apparence de peau qui aurait été arrachée et qui cicatriserait mal.

Les localisations de l’eczéma sont très parlantes :
•  L’eczéma généralisé nous ramène à une séparation brutale, totale et précoce.
•  La plus banale de toutes les localisations, c’est la croûte de lait qui couvre le crâne des nouveau-nés, témoin d’une tête qui ne repose plus sur le fond de l’utérus.
•  Les eczémas derrière les oreilles chez le bébé sont des signes mineurs d’une tendance à l’eczéma.

•  L’eczéma du conduit auditif, comme les gens qui se grattent toujours les oreilles, au besoin avec un objet, traduit un problème assez subtil, souvent non conscient. Une séparation d’avec ce que l’on est vraiment soi-même. Dans une note d’équilibre animus-anima. Un désaccord entre mon germe et mon être.
•  L’occiput traduit une anxiété avec appréhension.
•  L’eczéma du cuir chevelu traduit un tempérament anxieux habituel. Les pellicules en sont la forme mineure.

•  Sur le front, c’est l’autonomisation des pensées. Un problème d’identité véritable.
•  L’eczéma du cou correspond à une difficulté dans le vécu et les perceptions affectives et émotives.
•  Aux yeux et aux paupières : ce que je neveux pas voir, avec souvent colère et. intolérance.

•  Le pouce et le dos de la main au niveau du pouce, chez des enfants qui sucent encore leur pouce ou chez l’adulte qui reste dans cette problématique de séparation orale, comme s’il suçait encore son pouce, comme si le fait de ne plus téter restait une plaie affective ouverte.
•  L’eczéma de la paume de la main survient chez des personnes à l’affectivité et l’émotivité mal maîtrisées. Etre séparé de son propre désir.
•  L’eczéma et les démangeaisons du poignet traduisent des difficultés dans la vie de couple et de la sexualité. A la face antérieure il y a le sentiment d’être dominé. Au dos du poignet et de la main, il y a désir de dominer, avec désir sexuel au besoin difficile à maîtriser.

•  Aux plis du genou et du coude nous sommes en face de personnalités timides ayant du mal à entrer en contact avec la société et à se déployer. Le pli du coude a une connotation de timidité plus intellectuelle, le genou plus instinctif.
•  L’eczéma autour de l’ombilic traduit souvent chez l’adulte un attachement très prolongé à des notions du passé.
•  L’eczéma ou simplement la peau sèche sur le ventre traduit une tension affective non résolue du petit bébé. Il y a souvent association d’eczéma du bas du dos. Cela nous fait évoquer une composante psychogénéalogique.

•  Au sternum, voire sur les seins, l’eczéma nous renvoie de manière caractéristique à une problématique de type psychogénéalogique.
•  L’eczéma du deltoïde, c’est-à-dire du muscle de l’épaule, envoie à un stress professionnel de type financier ou légal. Etre confronté(e) à la dureté de la loi et à la peur des foudres, être enfermé(e) dans la culpabilité et la peur de la faute.
•  L’eczéma des mollets, particulièrement sur la face externe, correspond à la nécessité de se séparer dans une situation d’impossibilité de séparation consciente ou inconsciente chez un adulte : « je veux être séparé, mais je n’y arrive pas ».

La notion de la séparation renvoie chacun de nous à son histoire et à son vécu personnel et familial où prennent source nos croyances.

Lisez la quatrième partie de cet article

yogaesoteric
12 juin 2020

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