Les vaccins ARNm anti-covid peuvent induire le cancer de 17 manières distinctes selon plus de 100 études (1)
Une partie de la communauté scientifique a alerté il y a plus de quatre ans sur les risques de cancer associés aux injections à ARNm contre le covid. Les données de la littérature suggèrent aujourd’hui qu’elles auraient la capacité d’induire, d’accélérer ou de réveiller des cancers de 17 manières différentes.
La vaccination de masse contre le covid est-elle à l’orgine d’une explosion des cas de cancers comme l’affirment de nombreux scientifiques, dont certains l’avaient prophétisée dès mai 2021 ? Un collectif d’oncologues français a publié il y a deux ans une tribune dans laquelle ils réfutent catégoriquement cette hypothèse : « À ce jour, aucun lien d’alerte n’a été publié entre une incidence accrue ou risque de progression rapide de cancer après vaccination anti-covid-19 ou après une autre vaccination. » Ils affirment aujourd’hui être confrontés à un tsunami de cancers fulgurants, en particulier chez les jeunes, auquel ils disent ne trouver aucune explication rationnelle :
« On a une augmentation foudroyante du cancer du pancréas sans qu’on ait la moindre idée de la raison. Il s’est passé quelque chose ? On ne sait pas. Le monde entier, toute la cancérologie mondiale se pose la question. […] Le système qui nous permet de comprendre le cancer est mis en défaut. » – Pr Khayat, cofondateur de l’InCA
Si le Pr Khayat est cohérent, il ne peut théoriquement pas exclure que la vaccination puisse être à l’origine de cette explosion des cas de cancer puisque celle-ci est (1) extrêmement récente si l’on se réfère à ses précédentes interventions, (2) elle touche l’ensemble de la planète – en particulier les populations qui ont été contraintes de s’injecter pour conserver une vie sociale ou qui ont fait une promotion agressive de la vaccination (les influenceurs notamment) –, et (3) elle semble répondre à une logique inédite. Comme le ferait une substance utilisée pour la première fois chez l’homme, dont on ne connaît qu’une partie de la composition et dont l’impact sur le cancer n’a pas été évalué avant son déploiement massif[1].
L’épidémiologiste Nicolas Huscher a répertorié en mars dernier 10 manières dont les injections à ARN messager anti-covid peuvent provoquer le cancer. Cette liste, issue d’une étude[2] publiée en décembre 2023 dans la revue Cureus peut selon nous être aujourd’hui étendue à 17 items sur la base (non exhaustive) de plus de 100 études.
1. Instabilité du génome
Le risque d’une intégration de l’ARN vaccinal dans le génome des personnes vaccinées a été confirmé en 2021 par une série d’études[3],[4],[5]. La mutagenèse insertionnelle induite par l’intégration de l’ADN provoque des mutations de décalage de trame (frameshift) qui induisent la production de protéines aberrantes conduisant au cancer.
L’Agence européenne des médicaments affirme toujours que l’ARNm vaccinal ne peut pas pénétrer le noyau des cellules, cette intégration supposant le recours à une enzyme (transcriptase inverse) qui serait, selon elle, absente des cellules humaines. Or cette affirmation, qui ne repose sur aucune preuve, a été infirmée en juin 2021. Ce phénomène a été observé en juillet 2023 chez des souris, où une seule injection d’ARNm a permis d’induire une modification génétique[6]. Plus récemment, de la protéine Spike vaccinale a été retrouvée dans des tumeurs de patients vaccinés[7], ce qui suggère qu’il peut s’intégrer dans le génome, la première conséquence redoutée d’une telle intégration étant le développement d’un cancer.
Cette hypothèse a été relancée mi-avril par les scientifiques d’un laboratoire de recherche biomoléculaire (Neo7Bioscience) et des chercheurs de l’Université du Nord-Texas[8]. Les données moléculaires qu’ils ont recueillies suggèrent que l’ARN dérivé du vaccin pourrait être rétrotranscrit dans le génome de l’hôte, modifiant de manière permanente la régulation des gènes. Elles révèlent également des signes cancérigènes et un effondrement immunitaire.
2. Évasion immunitaire
La protéine Spike (S2) inhibe plusieurs gènes suppresseurs de tumeurs (p53, BRCA1/2, RB1)[9],[10],[11], auxquels elle se lie, permettant aux cellules cancéreuses d’échapper à leur détection et à leur destruction par le système immunitaire. L’épidémiologiste Nicolas Hulscher parle d’un « retournement oncogène ».
La première étude démontrant cette interférence de la protéine Spike avec la protéine p53, également appelée « Gardienne du génome » a été publiée en octobre 2021[12] par Jiang et al. L’étude a été rétractée en mai 2022 sur ordre du NIH d’Anthony Fauci. Une demande de publication des échanges de mails concernant cette rétraction a été déposée dans le cadre de la loi d’accès à l’information, mais le NIH refuse toujours de communiquer les 490 pages de communications. Ces résultats ont été confirmés in vitro par Zhang et El Deiry[13] en 2024 et un mois plus tard in vivo[14].
3. Mécanisme de réparation de l’ADN altéré
La protéine Spike vaccinale induit des altérations génomiques et inhibe le système de réparation de l’ADN (Jiang, Zhang et El Deiry). Ce mécanisme se met normalement en place en cas d’agression de l’organisme, pour prévenir des mutations qui peuvent favoriser l’apparition de cancers, réparer des erreurs affectant les oncogènes ou les gènes suppresseurs de tumeurs.Son altération induit une immunodéficience qui est « une voie directe vers le cancer[15] ».
La séquence stratégique de la protéine Spike brevetée en 2016 par Stéphane Bancel, le PDG de Moderna, permettrait de cibler un gène (MSH3)[16] dont la modification entraîne un déficit de la réparation de l’ADN[17]. Les voies par lesquelles la protéine Spike inhibe ce mécanisme sont répertoriées dans l’article de Başaran et al.[18] publié en avril dernier.
4. Inflammation chronique
Les nanoparticules lipidiques[19],[20] servant au transport de l’ARNm vaccinal induisent une sécrétion massive de protéines inflammatoires[21],[22],[23],[24] (tempête cytokinique) ouvrant la voie à l’émergence de cellules souches cancéreuses. Ces cellules sont susceptibles de se développer dans l’ensemble des organes (y compris les cellules souches sanguines[25]) compte tenu de la biodistribution généralisée de la protéine Spike[26],[27], dont la pathogénicité est décrite de manière détaillée dans trois revues de la littérature[28],[29],[30] et dans plus de 320 études. Cette inflammation peut résulter en un épuisement des cellules T, qui ne sont alors plus en mesure d’éliminer les cellules cancéreuses.
L’IA Grok confirme que les injections sont à l’origine d’une inflammation aiguë, mais qui se résoudrait en quelques jours (Bergamaschi, Ogata) et qui serait comparable à celle d’autres vaccins. Il précise qu’une inflammation chronique nécessite une stimulation prolongée, alors que « la production de Spike vaccinale est limitée dans le temps (l’ARNm est dégradé en quelques jours, la Spike en quelques semaines), rendant improbable une inflammation chronique ». Cette affirmation est contredite par une série d’études[31], notamment quatre études récentes où la protéine Spike a été retrouvée dans le plasma sanguin jusqu’à 709 jours après une injection[32] (245 jours[33] ou 12 mois[34] selon d’autres études), et jusqu’à 17 mois[35] dans les tissus et les organes de patientes japonaises, en particulier le cerveau. Plus de quatre ans après les premières injections, personne ne sait en réalité si le corps s’arrête de la produire.
5. Dysrégulation du système immunitaire
La vaccination ARNm entraîne une suppression des cellules T (lymphopénie)[36] et des réponses à l’interféron de type I[37], qui joue un rôle crucial dans la surveillance et la prolifération du cancer. Ces modifications conduisent à une altération de l’immunité innée[38],[39],[40],[41] et à une reprogrammation de la réponse immunitaire adaptative[42],[43]. Une dérégulation du système immunitaire dans le système nerveux central a également été rapportée[44].
« Dans le cadre de la vaccination contre la covid-19, cette inhibition garantit une synthèse appropriée des protéines de pointe et une activation immunitaire réduite. Il est prouvé que l’ajout de 100 % de N1-méthyl-pseudouridine (m1′) au vaccin à l’ARNm dans un modèle de mlanome a stimulé la croissance du cancer et les métastases, tandis que les vaccins sans modification de l’ARNm n’ont pas été induits par des résultats opposés, suggérant ainsi que les vaccins à l’ARNm covid-19 pourraient aider le développement du cancer. » – Rubio-Casillas et al. Review : N1-methyl-pseudouridine (m1Ψ) : Friend or foe of cancer? (Revue : N1-méthyl-pseudouridine (m1Ψ) : Ami ou ennemi du cancer ?) https://doi.org/10.1016/j.ijbiomac.2024.131427.
Grok cite une étude de 2020[45], réalisée par Ugur Sahin, le CEO de BioNTech, qui soutient que les vaccins à ARNm induisent des réponses robustes des cellules T CD4+ et CD8+ persistantes, détectées dès les premiers jours post-vaccination, ce qui contredirait l’idée d’une immunosuppression générale et durable. Les propres données cliniques de Pfizer démontrent au contraire une diminution des lymphocytes T de 6 à 8 jours après la vaccination chez 45 % à 46 % des participants[46] dont on sait aujourd’hui qu’elle s’aggrave dans le temps.
Lisez la deuxième partie de cet article
Références :
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[7] Le Dr McKernan a fait cette découverte en analysant la biopsie du cancer du côlon d’une personne ayant reçu quatre injections d’ARNm de Pfizer. Le député et ancien ministre japonais Kazuhiro Haraguchi a déclaré publiquement fin mai que de la protéine Spike vaccinale avait également été retrouvée dans les cellules cancéreuses de son lymphome malin.
[8] https://x.com/tatiann69922625/status/1931708697379480010. Cette découverte a fait l’objet d’une discussion avec l’épidémiologiste Nicolas Hulscher : https://www.thefocalpoints.com/p/breaking-reverse-transcription-cancer.
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[10] Chen X, Zhang T, Su W, Dou Z, Zhao D, Jin X, et al. Mutant p53 in cancer: from molecular mechanism to therapeutic modulation. Cell Death Dis. 2022 Nov 18;13(11):974. https://doi.org/10.1038/s41419-022-05408-1.
[11] Selon Valdes Angues et al., « Les cancers associés aux mutations TP53 incluent le cancer du sein, les sarcomes des tissus osseux et mous, les tumeurs cérébrales et les carcinomes corticosurrénaliens. D’autres cancers moins fréquents incluent la leucémie, le cancer de l’estomac et le cancer colorectal. Les cancers associés à une altération de l’activité de BRCA1 comprennent le cancer du sein, de l’utérus et de l’ovaire chez les femmes, le cancer de la prostate et du sein chez les hommes, et une augmentation modeste du cancer du pancréas chez les hommes et les femmes. Les cancers les plus fréquemment rapportés avec des mutations BRCA2 incluent le pancréas, la prostate chez les hommes et le mélanome ».
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[17] http://genatlas.medecine.univ-paris5.fr/fiche.php?symbol=MSH3.
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1 juillet 2025