L’itinéraire étrange d’un enfant qui a été inclut dans un « Programme Secret Noir » (Black Program) (I)
Les interviews présentées ci-dessous sont apparus dans la célèbre revue des milieux underground « NOVA POLICE ». Du fait que cette publication diffuse des matériaux d’un certain genre où sont faites des révélations tant sur la politique secrète du groupement dit des « illuminati », que sur les plans sataniques de ceux-ci sur le « NOUVEL ORDRE MONDIALE », elle n’a pas de copyright ; c’est justement pour cela qu’elle encourage en permanence la libre diffusion (gratuite) des informations inclues périodiquement dans ses pages. Nous apprécions cette publication comme étant d’une grande valeur et pourtant elle n’est jamais diffusée par le réseau Internet. Nous précisons que cette publication est l’organe d’information de la cellule-mère d’un groupement secret qui est apparu aux Etats-Unis et qui est connu sous le nom de W.O.R.C. (World Order Research Center). La cellule-mère W.O.R.C. est coordonnée par un officier en réserve qui a fait partie de la U.S. Navy. Tout comme nous l’avons mentionné plus haut, l’organe de diffusion de W.O.R.C. est la revue élaborée en secret « NOVA POLICE ».
Etant donné la valeur évidente de ces révélations, il est même très bien de copier cette interview explosive et de la transmettre sans tarder à tous ceux qui sont intéressés par de telles informations et qui sont en mesure de les comprendre. Même si ces informations semblent à première vue pour beaucoup incroyables, il ne faut jamais perdre de vue l’idée exposée dans un aphorisme que nous incluons ici : « Non seulement le Macrocosme nous apparaît comme étant bien plus étrange et bien plus mystérieux que nous, les êtres humains, sommes capables de l’imaginer – même lorsque nous sommes déjà doués d’une imagination créatrice hors du commun –, mais dans plusieurs situations, le Macrocosme s’avère être encore plus étrange et encore plus mystérieux que n’est son apparence autant dans la vision des grands initiés que dans celle des grands sages. »
Professeur de yoga Gregorian Bivolaru
Il y a peu de temps, j’ai eu l’occasion de rencontrer un homme qui, enfant, avait fait partir des enfants inclus dans un Programme Secret Noir (Black Program). Comme vous allez l’observer, il a eu une évolution difficile et extraordinaire à la fois. Aujourd’hui, car il est venu le temps d’assumer certains risques en ce qui concerne la crédibilité, surtout lorsqu’il s’agit de la révélation de certains aspects étonnants qui peuvent être pour nous d’une aide réelle dans notre progrès sur le chemin de la connaissance et de l’exploration des possibilités souvent insoupçonnées de l’être humain, j’ai insisté pour qu’il ose se confesser. Evitant de divulguer les aspects concernant certains projets secrets en cours de déroulement, dans lesquels il est encore impliqué, cet homme a accepté de nous parler pour nous aider à comprendre ce qu’est en fait la réalité soigneusement occultée ainsi que les enjeux, enjeux qui sont souvent cachées aux êtres humains communs. Plus que de simples révélations détaillées, ces confessions représentent un avertissement aux lecteurs avisés qui sont prêts à comprendre les révélations qui nous sont faites.
Nous mentionnons dès le début que dans le cadre de ces confessions, des informations précises et les données présentées ne seront pas fournies, les endroits où toutes ces choses se passent ne seront pas mentionnés. Nous souhaitons garder ainsi l’anonymat de l’interlocuteur pour assurer sa protection, surtout parce que cette personne doit toujours répondre à l’appel de ses supérieurs pour collaborer dans le cadre de tels projets qui se déroulent en secret.
Reporteur (R):
Je vous remercie d’avoir accepté de répondre à nos questions.
L’enfant des Programmes Secrets Noirs (EPSN) : Par respect pour tous ceux qui liront ces confessions, je vous avoue dès le début que je vais répondre sincèrement, mais sans dépasser certaines limites qui s’imposent. Note mise étant de garder le secret, je souligne que je ne veux faire du mal à personne, encore moins à moi-même. Mon intention est d’informer ceux qui sont capables de comprendre et de croire.
R :
Pouvez-vous nous dire qui vous êtes ?
EPSN : Je suis un ancien agent PSI et à la fois un militaire avec le degré de colonel. A présent, je suis actif dans le cadre d’une structure non-conventionnelle spéciale, qui est intégrée dans un programme secret très avancé. Donc, étant encore partiellement actif, je souligne que je ne peux pas offrir de détails ni sur le contenu de ce programme ni sur ses objectifs.
R :
Nous vous prions de nous raconter comment vous avez été recruté et quelles sont en général les personnes qui travaillent dans le cadre de tels programmes secrets. D’où viennent-elles ?
EPSN : De telles personnes proviennent le plus souvent de familles très pauvres ou sont des orphelins. Elles sont choisies pour être formées à partir d’un âge très jeune (entre 3 et 5 ans) et ultérieurement, elles sont intégrées dans divers programmes secrets de recherche, mais dans 99% des cas il s’agit de certains programmes très secrets, dont l’existence a toujours été entièrement niée par les officiels. Les facteurs décisionnels agissent de sorte que toute personne qui va oser parler de ces aspects, qui sont aussi réels que possible, finit par être considérée par les autres comme déséquilibrée au point de vue psychique ou paranoïaque. Mon père naturel était d’origine américaine et travaillait dans une telle agence ultra secrète très grande. En ce qui concerne ma mère naturelle, elle était d’origine sicilienne, et du fait qu’elle n’a pas pu continuer la relation avec mon père, elle n’a pas eu d’autre option que de m’abandonner dans un orphelinat.
R :
Dites-nous ce que ces personnes souhaitent en fait ?
EPSN : Ces enfants ? Ils ne savent même pas ce qui se passe et pour cela ils ne veulent rien. Ils sont sélectionnés, ensuite soumis à des tests, suite auxquels on détecte avec précision quelles sont leurs aptitudes en fonction desquelles ils seront inclus dans de tels programmes secrets, qui en feront ultérieurement des personnes totalement différentes des autres à certains égards.
R :
Oui, mais que veulent en fait les mentors de ces enfants ?
EPSN : Ceci pourrait être effectivement le vrai problème, parce que nous devrions être en mesure de définir avec précision qui sont ces mentors, quelles sont leurs intentions et quels sont les objectifs sinistres qu’ils visent.
Ce que je peux vous confesser, c’est qu’après avoir été sélectionnés, ces enfants sont élevés dans des endroits confidentiels, et quelques-uns vivent dans les familles le groupement dit des « illuminati ». Cela a été mon cas. Ce n’est pas du tout facile de suivre une éducation très stricte, d’être obligé d’assimiler différentes informations sans pouvoir comprendre dès le début à quoi tout cela sert.
Ce que je dis, c’est que ce n’est pas du tout facile d’être gardé dans un tel état, conditionné à ne jamais divulguer les dures règles dans lesquelles sont élevés et instruits ces enfants. Pratiquement, ces enfants n’ont pas une enfance normale, il leur est entièrement interdit de jouer avec des enfants de leur âge.
Je peux ajouter que dans ces cas, on n’a que très rarement de contacts avec l’extérieur. Alors tout est rigoureusement organisé, planifié et dirigé pour qu’il n’existe aucune autre préoccupation quotidienne que celle de devenir ce qu’il nous a été demandé et pour lequel nous avons été programmés chaque jour. Je vous avoue que j’ai mis des années pour comprendre ce qui s’était passé. J’ai dû franchir des limites pour réussir à comprendre ce qu’est en réalité la dite programmation MK ou d’autres processus de ce genre qui sont inclus dans ces formations… En général, j’ai constaté que ces enfants attentivement programmés et préparés pour intervenir à un moment donné lorsqu’ils sont envoyés en mission (par exemple, un tireur isolé qui reçoit l’ordre d’assassiner un personnage important qui dérange) ou, éventuellement, d’accomplir des fonctions qui vont rester pour toujours dans l’ombre, sont justement ceux qui tirent les ficelles dans les coulisses. Dans cette situation, les êtres humains intelligents et doués de bon sens vont évidemment comprendre qu’en réalité, derrière le déroulement de ces événements se cache quelqu’un.
R : Qui êtes-vous dans ces conditions ?
EPSN : Je peux dire que je ne suis qu’un individu qui, jusqu’à l’âge de 3 ans a vécu dans un orphelinat, pour être ensuite élevé dans une famille des dits « illuminati » et qui a reçu une certaine éducation sur beaucoup d’aspect qu’il ne comprenait pas trop à l’époque. En même temps, je me souviens avoir été l’objet de nombreux tests, étant inclus dans des programmes de type MK et destiné à devenir quelqu’un qui devrait aller dans un monde différent, un monde secret qui est toujours occulté pour la plupart des humains, un monde qui fait que, lorsqu’on le quitte (si on réussit cela), on se sent complètement seul, car tout ce qu’on vit en étant dans ce monde étrange ne peut être en aucun cas raconté, car si on ose le faire, on risque sa propre vie, celle de sa famille et de ses amis. Compte tenu de ces aspects, il faut toujours être aussi prudent et discret que possible sur ce que nous racontons de ce monde. Certains tests secrets, qui sont devenus ultérieurement une véritable activité pour laquelle nous avons été formés, avaient pour but principal de faire de nous des agents secrets PSI. Certains de ces tests impliquaient d’être enfermé sous terre (à plus de 150 m profondeur) dans des chambres qui n’avaient qu’une porte métallique, rien d’autre. Dans ces chambres, il n’existait aucun moyen de communication, on pouvait hurler de toutes ses forces mais personne ne pouvait nous entendre ou y entrer. Le but principal de ces tests était de nous apprendre à chercher et ensuite à trouver, par voie paranormale, des informations sur ce qui se trouvait à l’extérieur de cette chambre, parfois même à l’extérieur de l’édifice et ensuite, de devenir totalement autonomes en réussissant à devenir capables de voir aussi précisément que possible un certain point qui nous était indiqué comme cible et qui, dans certaines situations, pouvait se trouver sur un autre continent.
Graduellement, à l’aide de cet entraînement dur et intensif, nous sommes devenus, parfois sans le vouloir, des espions psychiques doués de pouvoirs paranormaux redoutables. Notre éducation, qui visait l’éveil de ces capacités paranormales, a été poussée de plus en plus à l’extrême. Ainsi, même lorsqu’on était assis à table avec d’autres personnes et qu’on donnait l’impression de lire avec attention un journal (du moins on faisait semblant de lire avec attention un journal), on utilisait les pouvoirs paranormaux éveillés en nous pour chercher et identifier certaines informations précises sur quelque chose de précis qui se trouvait soit dans un autre pays, soit sur un autre continent. Plus précisément, je peux dire qu’ainsi nous avons développé la capacité qui nous permet de sembler être des êtres humains communs, qui « se perdent dans la foule », tout en étant capables de nous projeter psychiquement ailleurs pour obtenir ainsi certaines informations qui nous étaient sollicitées. Dans le cadre de cet entraînement secret nous avons appris entre autres à avoir la perception complète de deux endroits simultanément, en maîtrisant aussi bien que possible notre présence en chaque endroit. Alors on peut être conscient de l’ambiance physique de l’endroit où l’on se trouve tout en se projetant psychiquement dans un autre endroit qui se trouve à des milliers de kilomètres de là où on est avec le corps physique. Finalement, cette parfaite bilocation est devenu notre mode d’existence habituel.
R : Considérez-vous que l’éveil de cette capacité paranormale a été pour vous une chance extraordinaire ou un malheur ?
EPSN : Je pourrais dire que cette situation nous permet de jouir de certains avantages. Par exemple, par l’éveil total de telles capacités paranormales il était facile d’entrer, sans que personne ne le soupçonne, dans certains endroits ou institutions strictement secrètes, dans certaines écoles, et de monter ainsi rapidement les niveaux hiérarchiques dans le cadre de certains programmes ultrasecrets où nous étions inclus.
Généralement parlant, les choses se sont passées ainsi dans mon cas. Pourtant, j’ai senti à l’âge de 18 ans l’impulsion de chercher mes parents naturels et, comme j’ai rencontré quelques difficultés, tout ceci m’a déterminé à suivre une école de détectives privés. A cette époque-là, je vous avoue, je ne voulais pas me servir de mon instruction paranormale, seulement pour avoir accès à certaines informations qui existaient dans mon dossier.
En fin de compte, les choses ont pris une tournure différente puisque j’ai effectué ce qu’on appelle « les trois jours de sélection » pour être recruté dans l’armée.
Après avoir passé avec succès le test des trois jours de sélection, j’ai été accueilli par un colonel qui m’a proposé une rencontre avec un général. Celui-ci m’a orienté vers une école militaire qui allait m’ouvrir les portes pour devenir par la suite employé dans le cadre de certains services secrets. J’ai eu ainsi l’opportunité d’être admis dans une école non-conventionnelle. L’armée a ultérieurement effacé du diplôme de détective privé certaines évidences en éliminant des petites « déviations » de ma vie, comme s’est exprimé à un moment donné le général qui m’a employé.
Ultérieurement, sous une autre identité, j’ai suivi une instruction particulière dans le cadre d’un service spécial, dès que je me suis formé en tant que pilote de chasse pour des avions de type Mirage 3 et Mirage 2000. Puis, je suis parti en mission, toujours sous une identité différente, avant de m’intégrer quelque part aux Etats-Unis, dans une des écoles secrètes de l’Air Force où sont préparés les pilotes pour des appareils de vol non conventionnels. Ces appareils sont construits sur la base des technologies très avancées, et il est absolument obligatoire de garder le secret autant en ce qui concerne leur existence qu’en ce qui concerne la technologie utilisée pour leur fabrication, ainsi que les programmes ultrasecrets où ils sont utilisés.
Par la suite, je suis resté pendant plusieurs années dans un certain endroit très retiré de ce monde, dans la compagnie d’extraterrestres. Ceux-ci sont structurés d’une manière que je définirais succinctement comme non-humaine mais ils vivent cependant avec nous, les êtres humains, sur la planète Terre. Je vous avoue que jusqu’à ce que je me retrouve face en face avec ces créatures extraterrestres, je n’avais jamais cru qu’elles existaient et, jusqu’au dernier moment, l’existence de telles créatures m’a semblé invraisemblable. D’ailleurs, vous devez savoir que de tels êtres extraterrestres travaillent avec nous, les êtres humains, depuis plusieurs années, utilisant des technologies sophistiquées pour la description desquelles le qualificatif de « technologies avancées » est insuffisant. Pendant cette période j’ai fait partie d’une structure ultrasecrète, dont l’existence n’est même pas reconnue officiellement, et j’ai travaillé aux côtés d’extraterrestres qui sont structurés de manière complètement différente que nous, les êtres humains. Je peux vous dire que c’était la première fois que j’entendais parler de leur existence ! De plus, je les ai rencontrés chaque jour dans le cadre de mes activités secrètes.
R : Pouvez-vous nous dire quelle était votre activité à l’époque, et aussi quelles sont les activités réalisées par ces êtres extraterrestres « différents »?
EPSN : A l’époque, mon travail consistait en calculer à chaque fois les éléments de certaines manœuvres qui devaient être réalisées promptement, avec une grande rapidité. Ces manœuvres étaient exécutées pendant les vols d’entraînement, afin de mettre à l’épreuve des technologies de pointe qui existaient et qui m’avaient été confiées pour que je les teste. Autrement dit, je devais pousser à la limite extrême toutes les capacités de tels appareils sophistiqués de vol. Je devais analyser chaque aspect des caractéristiques de ces appareils et ensuite, je devais m’occuper que les améliorations nécessaires soient faites. Au sein du personnel qui travaillait là-bas, il y avait des participants qui étaient en réalité différents de nous, bien qu’en ce qui concerne l’apparence extérieure ils nous ressemblaient entièrement. Ces êtres avaient une structure non-humaine. La plupart de leurs activités étaient reliées au domaine des matériaux utilisés pour la construction de ces appareils ou étaient reliées aux systèmes de communication qui se trouvaient à bord. Dans ces cas, il s’agissait évidemment de quelque chose de hors de commun, mais je ne peux pas offrir plus de détails à ce sujet.
Je peux vous dire que ces êtres non-humains ne semblaient pas avoir les mêmes origines que nous. Là où je me trouvais, plusieurs races extraterrestres travaillaient ensemble. Quelques-uns étaient grands de taille, d’autres plus petits. Les hauteurs pouvaient varier entre 1,20 m et 2,40 m en moyenne. Tels que je les ai connus là-bas ils ne semblaient pas être agressifs. J’ai noté un autre détail intéressant : on peut dire que tous étaient doués de télépathie. Ils s’entendaient même très bien entre eux sans se parler. Au moment où je m’adressais à l’un d’eux, celui-là me faisait comprendre qu’il savait déjà ce que je pensais et ce que je voulais. Dans le cadre de telles équipes tout se déroulait d’une manière très organisée, toutes les activités se déroulaient avec beaucoup de calme, tranquillement, et ces êtres n’oubliaient jamais ce qu’ils avaient à faire. Quelques-uns de ces êtres étaient des clones, on pourrait dire des robots vivants, et je dois avouer qu’il m’était difficile de les différencier des êtres humains, bien que la plupart de ces êtres semblaient être complètement dépourvus de sentiments. Autrement dit, je pourrais dire que ces êtres qui étaient des robots n’avaient aucun sentiment.
Article pris du Cahier du Camp Spirituel Yogi de VacancesCostineşti 2011, vol. 3
Lisez ici la suivant partie de cet article
yogaesoteric
19 mars 2017
