Musicothérapie, la musique qui guérit (1)


Y a-t-il des musiques de guérison ? Les sons auraient un effet thérapeutique ? La musique pourrait guérir les maladies comme le cancer ? On vous fais part de cette petite enquête pour répondre à cette question.

René Egli écrit dans « Le principe LOL²A » :

« La maladie n’est rien d’autre qu’un état vibratoire disharmonieux. Il est donc logique que cette disharmonie puisse être modifiée par d’autres vibrations : la musique, les couleurs, les odeurs, et bien sûr, nos propres pensées… »

Le principe de la musicothérapie

On écoute une vibration spéciale, qui correspond donc à une fréquence (en Hertz symbole Hz) particulière, ce qui a un effet thérapeutique sur les cellules malignes qui rentrent dans le droit chemin.

Qu’en est-il exactement ?

Chaque son est composé d’ondes sonores produites par la vibration mécanique d’un support fluide ou solide, et qui ont une fréquence qu’on peut percevoir, au niveau du tympan humain, entre 20Hz et 20 000 Hz.

En-dessous de ce seuil, ce sont des infrasons, au-dessus des ultrasons. Ne pas confondre la fréquence (vibration) et l’amplitude (volume) du son.

Après le tympan, ces vibrations se propagent dans tout notre corps, et tous nos organes.

Pour bien comprendre ce phénomène, pensez aux vibrations des basses que vous ressentez dans votre ventre quand vous entrez en boîte de nuit, ou à un concert.

La musicothérapie a-t-elle un effet thérapeutique sur les organes, sur les cellules ?

Les fréquences basses sont-elles plus appréciées par le corps que les fréquences aigues ? Que disent les recherches et expériences scientifiques ?

Selon une étude menée par les médecins Leonard G. Horowitz et Joseph S. Puleo, il y a une corrélation fondamentale entre les fréquences des notes de base du solfège et leurs effets sur les corps.

A l’origine, le solfège a été créé au 11e siècle par le musicien Guido de Arezzo à partir d’un hymne latin, et se composait de 6 notes au lieu de 7, sans la note « Si ».

L’étude démontre que le solfège repose donc sur 6 fréquences fondamentales car elles présentent toutes des effets positifs sur le corps humain et notamment sur les CHAKRAS :

1. Ut*=  396Hz. – CHAKRA racine. Contre la peur et la culpabilité
2. Re =  417Hz – CHAKRA sacré. Adaptabilité
3. Mi =  528Hz – CHAKRA solaire. Fréquence miracle car elle est capable de réparer l’ADN humain
4. Fa =  639Hz – CHAKRA du coeur. Amour, émotions
5. Sol = 741Hz – CHAKRA de la gorge. Sociabilité, communication
6. La =  852Hz – CHAKRA du 3ème oeil. Intuition et action du subconscient

* devenu do au 17è siècle

7. Le si correspond au CHAKRA coronal. Spiritualité.

Horowitz et Puleo vont plus loin en créant un algorithme de fréquences, sous la forme d’une étoile de David à 6 branches, en rajoutant les 3 notes du solfège prolongé : si bas (285 hz), si haut (963 hz), do (174hz).

Vous remarquerez que chaque fréquence est une anagramme (de chiffres, ça a peut-être un nom ?) des autres fréquences : 285, 528, 852/ 396, 639, 963/ 174, 417, 741 Ce qui rajoute une dimension mathématique logique ainsi que sacrée à cet algorithme.

Comment la musicothérapie peut-elle utiliser ces découvertes ?

Soit en utilisant une combinaison de fréquences, soit en se concentrant uniquement sur les effets de chaque fréquence en particulier, ce qui est une nouvelle forme de musicothérapie.

On appelle cette dernière la « guérison par fréquence ».

Les principes de la guérison par fréquence

La « guérison par fréquence » peut se faire à titre préventif ou comme moyen de guérison. Dans les deux cas, il s’agit simplement d’écouter des enregistrements de ces fréquences, pour faire résonner le corps avec elles.

A titre d’exemple, écoutez donc « Temple of silence » de Deuter (avec un casque c’est nettement plus impressionnant) qui traite particulièrement la fréquence miracle de 528 Hz.

On trouve cette musique céleste, divine ! Certes, ce n’est pas de la grande musique, c’est à la musique classique ce qu’André Rieu est au violon ou Clayderman au piano, mais parfois, un compositeur moderne peut confiner au sublime.

Un autre chant très pur et cristallin est le « duo des fleurs » dans Lacmé de Delibes.

Delibes – Lakmé – Duo des fleurs par Quarouble

Écoutez ces deux musiques en boucle et vous serez en pleine santé (en tout cas ça ne peut pas faire de mal comme dirait l’autre) !

Mais revenons à la question de base :

La musicothérapie peut-elle guérir ?

Si la fréquence miracle peut réparer l’ADN, c’est gagné puisqu’on sait maintenant que le traumatisme préalable au cancer induit des modifications dans l’ADN de la personne.

On sait aussi que les bactéries et virus peuvent être anéantis en les submergeant de fréquences auxquelles ils sont sensibles. Chaque bactérie et chaque virus sont réactives à une fréquence-clé qui leur est propre et qui peut les « tuer »: c’est leur tendon d’Achille.

Pensez au film « Mars attack », où un ado découvre qu’une musique particulière (« Indian Love Call » de Sam Whitman) fait exploser le cerveau des aliens (dans un gros dégueulis verdâtre pas très ragoutant), ben c’est un peu ça !

La musicothérapie soigne-telle aussi le cancer?

Une étude a été menée à Bristol sur les effets thérapeutiques de la musicothérapie sur un groupe de 29 malades du cancer âgés de 21 à 68 ans.

Les patients écoutaient de la musique enregistrée et de la musique en live dans un état de relaxation.

Les questionnaires qui ont suivi ont mis en évidence au niveau des sensations : une augmentation du bien-être et du niveau d’énergie, ainsi qu’une baisse significative des tensions.

Les données physiologiques ont montré une augmentation d’immunoglobuline A salivaire (qui contribue à une meilleure immunité) et une diminution des niveaux de cortisol (qui témoignent d’une baisse du stress) sur une période de 2 jours après l’expérience.

Des études similaires sur des personnes en bonne santé aboutissant au même résultat, on peut conclure que la musicothérapie est efficace sur le renforcement du système immunitaire et la gestion du stress.

La médecine a déjà mis en place des utilisations pratiques des vertus de la musicothérapie avec l’introduction de la musique avant des actes de chirurgie :

Zeev Kain de l’Université de Yale a mené une étude comparative sur des patients devant subir une opération qui montre que l’écoute de la musique a fait baisser le niveau d’anxiété des patients de 16%, et permet de diminuer les doses de produits sédatifs utilisées normalement pour l’intervention.

Lisez la deuxième partie de cet article

yogaesoteric
26 novembre 2019

 

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