Poison venu du ciel «CHIMIOTRAÎNÉES»

Par William Thomas

NEXUS N°4 sept-oct 99 –

Des traînées de condensation d’avions ravitailleurs de l’US Air Force ont zébré le ciel des États-Unis depuis deux ans et cela a coïncidé avec l’apparition de mystérieux troubles respiratoires. S’agit-il de guerre bactériologique ou d’expériences de contrôle climatique?






Il y a deux ans, William Wallace était en train de labourer des champs dans un ranch de l’état de Washington quand quelqu’un lui déclara la guerre. Sans aucun avertissement, un Intruder de la Marine américaine descendit en piqué, pulvérisant sur ses champs une fine bruine. J’ai été sérieusement malade pendant au moins trois semaines, raconte Wallace. J’avais les yeux qui pleuraient et mon nez coulait, et après j’ai eu des maux de tête et à nouveau les yeux qui pleuraient. Pendant des jours et des jours je n’ai pas pu lever mon bras au-dessus de ma tête, il me faisait très mal. Je ne pouvais même pas me peigner. Comme son patron se plaignait parce que Wallace ne faisait plus la moitié du travail, il l’a licencié.

L’été suivant, Wallace et sa femme Ann, qui construisaient un petit chalet dans un coin reculé et montagneux de l’état de Washington, près de Kettle Falls, virent des jets aller et venir à très haute altitude. Jour après jour et deux par deux, des avions multi moteurs sillonnèrent le ciel, formant des X et des schémas élaborés de lignes s’entrecroisant. Cela ressemblait à des traînées d’avion.

Mais les traînées d’avion habituelles se dissipent peu après que les cristaux de glace aient tourbillonné loin des ailes et des moteurs, alors que là, ces banderoles de volutes qui sortaient de la queue des mystérieux avions restaient des heures entières en suspension dans le ciel bleu et pur. Les alignements de traînées chimiques, qui reflétaient une couleur huileuse pourpre dans la lumière du soleil, s’épaississaient graduellement jusqu’à former un écran matérialisé d’où de longues et plumeuses volutes retombaient vers le sol. William et Ann n’en finissaient pas d’être malades. Chaque fois que les jets revenaient, un goût fort et étrange leur venait en bouche. Extrêmement fatigués, ils se retrouvaient couchés avec de forts maux de tête. Je pense que j’ai saigné 15 fois du nez l’été dernier, ajoute Wallace. Dès que je me mouchais mon nez se mettait à saigner. Je n’avais jamais eu ça avant.

Horreur pour les Wallace et stupéfaction pour leur vétérinaire : une moitié du visage de leur chat se paralysa et commença à se dissoudre. à la mort du chat, Wallace alla voir le service des informations de Channel 2 (télévision) avec cette histoire. Les journalistes refusèrent de le croire, mais quelqu’un avait entendu les protestations de Wallace.

Deux jours après le passage de deux jets de combat qui avaient rasé leur chalet et laissé derrière eux des traînées de produits chimiques, un avion à turbopropulseur, blanc avec le bout des ailes bleu, piqua sur la maison et pulvérisa quelque chose qui descendit et resta en suspension au-dessus de leur propriété, les rendant tous les deux malades. Wallace se dit : Cet avion à turbopropulseur me dit de la fermer !

Pour trouver un peu de répit, Wallace attrapa ses affaires et se dirigea vers les montagnes autour de Yosemite. Grimpant dans une forêt alpine à plus de 2 600 m d’altitude (près de Bass Lake) à environ 75 km au nord de Fresno, l’Américain harcelé fut fort ahuri de voir des sortes de toiles d’araignée glisser du ciel. Il observa la chose, et il vit alors que de longues bandes s’étalaient à partir des arbres de la forêt silencieuse sur des centaines de mètres. Intrigué, Wallace fit une boulette de la grosseur d’une bille avec la substance vaporeuse, et elle se désintégra purement et simplement.

Le jour du Nouvel An 1999, William Wallace était dehors à fendre du bois quand les avions de combat revinrent, à trois reprises. Le même soir un autre jet passa, et Wallace montra à Ann la trace de la substance tenace, argentée à la lueur de la lune. Vers six heures le lendemain, Wallace eut une diarrhée qui le rendit malade. Un voisin qui avait aussi fait divers travaux à l’extérieur toute la journée fut également malade. Wallace eut la diarrhée -toute la journée ; la pire que j’aie jamais eue. – déclara-t-il. Leurs femmes, qui étaient restées dans la maison, ne souffrirent d’aucune suite de ces attaques.


VISIONS d’ailleurs – ou les dossiers-X…

Wallace ne le savait alors pas mais à Noël dernier, au large du golfe du Mexique et à environ 35 km de Corpus Christi (au Texas), un homme responsable de l’entretien des plates- formes de pétrole – un dur à cuire – est entré dans le monde du mystère. Alors qu’il descendait d’un hélicoptère pour effectuer des réparations sur cinq plates-formes pétrolières, ce technicien fut abasourdi de voir une toile d’araignée blanche ou un truc qui ressemblait à des cheveux d’ange draper chaque plate-forme. Peu importe ce que c’était, il n’avait en tout cas jamais vu cela. Le pilote de l’hélicoptère non plus, d’ailleurs, alors que cela faisait des années qu’il faisait le trajet jusqu’aux plates- formes.

L’ouvrier pétrolier m’a dit : Cela couvrait plusieurs plates-formes qui étaient pourtant à des kilomètres les unes des autres. La substance n’était pas poisseuse, elle était plutôt filandreuse, comme une toile d’araignée de couleur blanche. Elle flottait dans le vent, adhérant simplement à la structure. C’était vraiment dommage de devoir la traverser en marchant. Le lendemain, pourtant, il n’y avait plus rien ; elle avait tout bonnement disparu. Plus aucune trace !






Quelques semaines plus tard, à Sallisaw (dans l’Oklahoma), Mary Young regardait une émission de nuit à la télévision quand son attention fut attirée par un avion tournant en rond et qui se rapprochait de plus en plus. Tout à coup l’avion passa au-dessus de la maison dans un fracas de tonnerre, si bas que les fenêtres tremblèrent. Tout trembla, et quelque chose qui faisait un bruit comme du sable crépita contre les vitres. Et la femme indienne d’une cinquantaine d’années dit : Je n’arrête pas de tousser gras, et ça n’a pas du tout bon goût. Mes yeux me font mal, mes articulations me font mal, je ne peux pas reprendre normalement mon souffle, je ne peux pas me débarrasser de ce rhume, et j’ai cette espèce de mal de tête – mais ce n’est pas juste un mal de tête. Mes globes oculaires me font très mal, en arrière, et des fois je voudrais tout simplement qu’ils tombent. Pat Edgar habite près de chez Mary Young. La première fois qu’il a vu des avions diffuser ainsi des produits sur l’est de l’Oklahoma c’était un jour ensoleillé d’octobre 1997, et pas moins de 30 traînées d’avion avaient progressivement obscurci un ciel clair et tout bleu.

On aurait dit qu’ils étaient en train de jouer au morpion là-haut, dit-il. Et vous savez fichtrement bien que ce ne sont pas des avions de ligne.

Edgar avait observé une sorte de toile d’araignée tomber d’en haut, sortant de jets qui n’ont pas arrêté de zigzaguer, toute la journée, ligne après ligne, aller et retour, comme des sillons dans un champ. Il fait également le commentaire que Il y a plein de lupus dans la région maintenant. Plein de femmes en ont.

Bill Ed Rogers, le beau-père d’Edgar, est juge d’état à la retraite, et maintenant il est à bout de souffle après avoir marché jusqu’aux toilettes. Monter les escaliers est totalement hors de question pour lui. Rogers n’attribue pas son étrange maladie aux mystérieux jets, mais ni lui ni ses médecins ne peuvent pourtant expliquer ses difficultés respiratoires, apparues peu après les premières pulvérisations par les avions en novembre 1997 et qui empirent. En janvier dernier, pensant qu’il souffrait d’une déficience cardiaque congénitale, l’ancien juge (qui a 57 ans) a été admis à la clinique Mayo. On lui a, en fait, diagnostiqué une sévère inflammation du poumon droit, mais l’équipe de chirurgiens  n’a pas pu aspirer du poumon une sorte de fluide inconnu, ressemblant à de la gelée.

Avant que Pat Edgar ne vende son restaurant il arrivait que des clients se plaignent que des avions avaient tourné toute la nuit avec du truc qui sortait de leurs ailes. Edgar connaît 48 personnes tombées violemment malades, toussant du sang pendant deux semaines [avec] des saignements de nez vraiment graves. Selon lui, cela a un rapport avec ce maudit avion qui était en train de cracher des trucs en plein milieu de la nuit.

Greg Hanford, dentiste californien habitant Bakersfield, voit depuis 1996 des jets volant en formations lâcher des zigzags de produits pulvérisés au-dessus de sa maison. Un jour il a compté 40 ou 60 avions, et alors il a acheté un bon appareil photographique et une paire de jumelles à 6 000 francs pour garder un œil sur ces jets tout blancs qui ne portaient pas la moindre trace d’identification.

Ça fait vraiment drôle, dit-il. Vous avez l’impression que les deux avions vont se rentrer dedans, et ils font un X.

Il est arrivé que le dentiste voie des boules globuleuses et velues s’étirer sous le vent en une longue plume, venant des traînées chimiques laissées par ces avions à haute altitude. Tout le monde a l’air de tomber malade avec ça, note Hanford. On tousse et on crache C’est vraiment un truc qui ne vous rate pas !

Le dentiste, un bon nombre de ses patients et deux réceptionnistes ont contracté de sérieuses infections respiratoires à répétition. Lorsque le dentiste en colère a téléphoné à l’aéroport local, le personnel de la tour lui a répondu qu’il ne se passait rien d’anormal. Que les avions étaient juste des avions commerciaux participant à des vols d’entraînement internationaux.

Mais bien sûr ! a répondu Hanford. Est-ce que l’Agence fédérale de l’aviation va maintenant autoriser les avions à se rentrer dedans ?

La maladie d’Hanford a duré cinq mois, en dépit d’un traitement avec quatre antibiotiques différents.


Une arme militaire pour modifier la météo ?


Est-ce que les avions-citernes provoquent des nuages pour modifier la météo ? C’est ce que pense Tommy Farmer. Depuis plus d’un an, cet ancien technicien d’ingénierie suit les traînées de produits à travers les états-Unis, et avec le système Raytheon Missile il a clairement identifié deux des tankers qui ont pulvérisé le plus souvent : Boeing KC-135 et Boeing KC-10, utilisés par l’armée de l’Air pour le ravitaillement en vol. Mais les avions qui pulvérisent les produits chimiques ne sont absolument pas engagés dans des opérations de ravitaillement.

L’unique explication officielle de l’armée de l’Air est que à Las Vegas, quand on déverse du carburant lors d’opérations de routine au-dessus de la ville, les gens sont malades. Mais des formations d’avions-citernes pulvérisant du carburant pendant des heures n’a rien d’une routine. Les pilotes des jets disent que leur avion consomme le carburant à une vitesse tellement prodigieuse… Le seul moment où il est évacué est lorsqu’il y a une urgence peu après le décollage, car les gros porteurs doivent alors réduire leur poids pour atterrir.

Farmer remarque que les avions sont peints, soit tout en blanc, soit tout en noir, sauf deux KC- 135 qui sont aux couleurs des avions d’entraînement (orange et blanc). Aucune marque d’identification n’est visible.

Selon Farmer, les espèces de tissages argentés qui font penser à des toiles d’araignée tombent généralement en boulettes ou en bourre, et cela va de la taille d’une gomme d’écolier à la taille d’un poing fermé. Le vent déchire souvent cette sorte de toile d’araignée en filaments pouvant avoir jusqu’à 15 m de long. Farmer dit que la substance collante vous fond dans la main ou adhère à tout ce qu’elle touche.

Forrest McClure est d’accord. Alors qu’il patrouillait sur l’aéroport de Denver en novembre dernier, cet officier de police repéra de fins filaments qui flottaient dans l’air. Il y en avait des milliers, et certains mesuraient plus d’une dizaine de mètres.

Quelques jours plus tôt, le même mois, Michael Cloutier, officier de police de service pour le 3ème quart avait remarqué un truc comme une toile d’araignée qui pendait d’un poteau électrique dans la rue principale d’Anthony, petite ville dans une région d’élevage bovin au Kansas. C’est venu pendant la nuit, rapporte Cloutier, mais ça n’a pas pu résister à la lumière du jour.

Comme il est tombé malade dès son premier contact avec les cheveux d’ange, Tommy Farmer met sérieusement en garde les gens qui en ramassent. Comme pour le docteur Greg Hanford et les autres personnes exposées à la pulvérisation, les maux de gorge et l’infection des sinus qui s’en sont suivis pour Farmer ont duré plusieurs mois.

Farmer est pratiquement certain que le phénomène de ces traînées d’avion fait partie d’un système militaire d’armes d’influence sur la modification de la météo. Ce n’est pas la même chose que pour les opérations commerciales d’ensemencement de nuages, répandues dans tous les États-Unis et pour lesquelles on injecte de l’iode argenté dans les nuages de pluie ; ici les immenses X que des jets volant en formations tracent dans des ciels clairs peuvent être retracés par satellite, et peut-être coordonnés aux faisceaux croisés de réchauffeurs ionosphériques afin de chauffer les couches supérieures de l’atmosphère, ainsi sa température et sa densité changent et cela intensifie ou atténue les effets des tempêtes.

Basé à Gakona, en Alaska, le projet High- frequency Active Auroral Research Program (HAARP), projet conjoint à la Marine et à l’armée de l’Air américaines, a depuis quelques années utilisé des rangées d’antennes en phase pour guider de puissants faisceaux d’ondes radio dont la convergence était soigneusement étudiée de façon à réchauffer et à avoir le plein contrôle sur des sections entières des couches supérieures de l’atmosphère.
Le brevet commercial de HAARP, attribué en 1985 à Bernard Eastlund, physicien à l’Institut technologique du Massachusetts, déclare que l’on peut utiliser des faisceaux d’énergie dirigée, supérieure à un milliard de watts, pour altérer les comportements du vent des couches supérieures de l’atmosphère. On a alors recours aux panaches de particules atmosphériques, et les panaches de particules atmosphériques jouent alors le rôle de lentilles ou de matériel de grossissement de façon à perturber lla météo à des milliers de kilomètres de là.

Lors d’une interview (avec moi-même), Eastlund a admis : J’avais pensé utiliser ce faisceau ultra puissant, dont on peut modifier l’angle, dans quelques expériences pour diriger les traînées d’un jet, les orienter sur un point ou sur un autre. Je présume que c’est faisable, et cela ajouterait foi à ces autres choses.

Malgré la Convention de la Modification de l’environnement – qui interdit aux États-Unis et aux autres signataires l’usage militaire de techniques de modifications environnementales, l’altération de la météo reste en tête des priorités de l’armée américaine. Un article intitulé 2025 : la météo facteur de développement de la puissance de l’armée fut présenté en août 1996 par plusieurs officiers de l’armée américaine. Cette étude de l’armée de l’Air met l’accent sur le fait que les forces aérospatiales américaines pourraient dominer la météo en 2025, juste en utilisant des avions- citernes en vol pour ensemencer l’atmosphère et en ajoutant de petites quantités d’énergie juste quand il faut-là où il faut. Parmi les objectifs on trouve Développement des tempêtes, Modification des tempêtes et Induction de sécheresses.


La disposition caractéristique des réseaux de grillage aérien orienté est-ouest rappelle les nuages alignés sous l’action de faisceaux de fréquences radiophoniques émises à partir de réchauffeurs de l’ionosphère tels que HAARP. Le brevet américain numéro 4 253 190 démontre comment un miroir de résine en polyester pulvérisé derrière un avion à haute altitude peut tenir en suspension, rien que par la pression exercée par des transmissions de type HAARP. Selon un chercheur (qui désire garder l’anonymat), la résonance électron-cyclotron résultante pourrait, par la polymérisation des préliminaires pulvérisés, former un miroir en plein ciel.

Est-ce que ces banderoles de polymères, qui ressemblent à des toiles d’araignée et qui tournoient derrière les avions-citernes – et qui sont peut-être contaminées avec un agent précis pour décourager toute manipulation ou tout désir d’en poursuivre les traces de dispersion – est-ce que ces banderoles, donc, pourraient être formées dans les strates froides de la stratosphère simplement pour se sublimer et disparaître très vite à la chaleur [de la terre] au niveau de la mer ?

Bernard Eastlund, inventeur de HAARP, a déclaré à l’auteur de ces lignes qu’un article, présenté à l’O.T.A.N. en mai 1990, débattait de la Modification des conditions de propagation dans la troposphère pour contrecarrer l’ennemi.

Selon Eastlund, la recherche étudiait en détail comment on peut modifier l’atmosphère de façon à absorber les radiations électromagnétiques, quoiqu’il ait précisé que ses brevets originaux laissaient entendre la même chose. Le détenteur du brevet d’origine de HAARP a ajouté que des travaux récents sur les additifs polymères pour l’absorption des micro-ondes ont été réalisés aux fins d’applications commerciales en salaison. Les fibres polymères sont donc disponibles.

Joe Six-Pack Burton se demande encore comment des tornades, qui se forment par temps chaud, ont bien pu arriver au-dessus de la terre vallonnée de l’Arkansas vers la mi-janvier. Avec une toute nouvelle caméra cravate qu’il venait d’acheter, munie d’un zoom de 72, cet homme du Tennessee a réussi des gros plans d’avions pulvérisateurs juste quelques jours avant que 38 tornades d’hiver ne touchent l’Arkansas – 38 en une seule journée. En tout, ce sont quelqueq 90 tornades qui ont mis à sac le Tennessee et trois états adjacents.
L’armée de l’Air américaine dit que d’autres missions de routine de modification de la météo ont pour but de déployer les boucliers de cirrus formés par les traînées de produits chimiques des avions de haute altitude, cela afin de rendre impossible à l’ennemi toute surveillance visuelle ou par infrarouges. Mais nos prévisions atmosphériques officielles, de 30 ans d’âge, pourraient être un paravent.


Masquer la capacité opérationnelle de former des nuages.

Quelques investigateurs se demandent si les pulvérisations (énormément complexes et coûteuses) qui ont lieu sur la plupart des états de l’Amérique du Nord (mais également en Angleterre et en Australie) ne seraient pas une tentative pour protéger des populations (qui ne se doutent de rien) de l’intense éclat du soleil et autres activités de la haute atmosphère. Mais les intenses rayons gamma et les rayons X qui frappent la Terre et qui proviennent de l’intense éclat du soleil ne sont pas affectés par la couverture de nuages. Un autre problème, avec ces théories, est que, comme la pulvérisation aérienne s’intensifie à travers les États-Unis, HAARP a été interrompu. Son programme de recherche pour février a été reporté à mars car un de ses compagnons de réchauffage de la ionosphère, plus petit et basé à Arecibo (Porto Rico), a été mis à mal par un ouragan.



Retrouvez l’intégralité de notre dossier dans NEXUS N° 4


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