Seul, soutenu seulement par l’aide énigmatique de Dieu, lorsque ceux, féroces et médisants, s’unissent pleins de haine gratuite et de venin contre lui
Le professeur de yoga Gregorian Bivolaru compte, à travers plus de 1000 articles et émissions radio et télé bourrés d’animosités et d’insinuations misérables qui ont explosé dernièrement dans les mass-médias, parmi les personnes les plus dénigrées au monde.
Les mass-médias, non seulement de ROUMANIE, mais également celles internationales, ont explosé aux ordres secrets donnés en coulisses par les émissaires des dits ILLUMINATI, se dirigeant avec une virulence morbide, étrange et excessive contre un professeur de yoga qui a été condamné parce qu’il aurait eu en 2003 une relation inadéquate avec une femme de 17 ans, bien que cette femme ait nié avec véhémence la véracité des accusations tout au long du procès.
La raison de cette étrange et excessive inflammation médiatique, qui a pu être constatée à peu près sur toutes les chaînes de mass-média, mettant ainsi en plan secondaire les problèmes réels, graves et urgents de la société roumaine, est la remise en liberté de Gregorian Bivolaru, au terme légal rapporté par la loi appliquée dans ce cas – de 2 ans (ce qui représente en fait un tiers de sa punition de 6 ans), qui s’applique aux personnes à l’âge de 60 ans. Pourtant, personne des mass-médias n’a observé ou, peut-être, ils ont tous sciemment fait semblant de ne pas observer qu’en réalité dans le cas de Gregorian Bivolaru la libération conditionnelle a été ajournée, de sorte que le terme de 2 ans qu’il devait exécuter soit dépassé de 43 jours.
Avec un acharnement continu et une malveillance paradoxale, au-delà des apparences, les mass-médias se sont précipités à inciter la population à la haine et l’animosité tant contre le professeur de yoga Gregorian Bivolaru, que contre les magistrats roumains qui, cette fois-ci, ont appliqué correctement une loi de l’état de droit. Sur la base du même texte de loi, des milliers de personnes condamnées pour des actes extrêmement graves, telles que des crimes ou d’énormes fraudes de l’ordre de dizaines de millions d’euros, sont libérées.
Prenant en considération ces aspects étranges qui nous font réfléchir, il vaut la peine de se demander : Pourquoi uniquement la libération conditionnelle (parfaitement légale) de Gregorian Bivolaru a déclenché un scandale de telles proportions ?
En outre, il est étrange que les mass-médias aient omis de mentionner le fait que la première évaluation de l’opportunité de libération conditionnelle de Gregorian Bivolaru ait été rejetée. En conséquence, si l’on considère le fait que sa situation était parfaitement légale et si l’on se souvient qu’il n’a pas bénéficié de réductions considérables de sa peine en raison de l’activité entreprise ou des livres qu’il aurait pu publier, gagnant ainsi des jours de liberté à l’occasion de sa libération conditionnelle, il vaut la peine de se demander quel est l’intérêt de cette excessive agitation assaisonnée de nombreuses calomnies, diverses aberrations et accusations fantasmagoriques de « viol » ou de « pédophilie »?
En considérant ces aspects, il est nécessaire de retourner dans le temps, quelques années auparavant, afin d’identifier maintenant, avec bon sens et lucidité, quelques plans misérables et diaboliques, qui se sont concrétisés ultérieurement lors d’actions menées contre le professeur de yoga Gregorian Bivolaru.
Si l’on se souvient ce qu’il s’est passé en 2012, on constate que Gregorian Bivolaru venait d’être acquitté par deux tribunaux de Roumanie pour toutes les accusations formulées contre lui. A l’époque, justement parce toutes les accusations qui lui étaient adressées avaient été dissipées, des mesures, qu’on pourrait appeler d’urgence, ont été conçues et mises en application :
a. Dans ce sens, il fallait identifier un juge corrompu, qui puisse être sujet au chantage, qui obéisse aux ordres donnés en coulisses d’annuler les acquittements antérieurs et qui condamne Gregorian Bivolaru à la peine de PRISON. Dans ce qui suit, nous allons exposer la preuve incontestable de la mise en œuvre de cet objectif. Sachant qu’en fin de compte la vérité éclate au grand jour, voilà que, à la surprise de tous, il y a seulement quelques jours, la véracité de nos affirmations a été confirmée. Le 18 septembre 2017, à l’émission Sinteza zilei (La synthèse du jour), la chaîne de télévision Antena 3 a eu comme invitée Mme INGRID MOCANU, ancien directeur au Ministère de la Justice, connue entre autres pour la manière dont elle a dénoncé les abus et la corruption de DNA (Direction Nationale Anticorruption) et de la justice. A cette occasion, à la surprise de ceux qui suivaient cette émission, Mme Ingrid Mocanu a affirmé pour la première fois que le Juge IONUȚ MATEI « A ÉTÉ SUJET AU CHANTAGE À L’AIDE D’UN DOSSIER INVENTÉ, CELUI DES “ PRÊTEURS ”, CAR IL ALLAIT JUGER LE DOSSIER DU LEADER DE MISA, QUI DEVAIT ÊTRE CONDAMNÉ À LA DEMANDE DU « SYSTEME ”. »
b. Ultérieurement, d’autres voies ont été identifiées sur le territoire roumain, voies qui permettaient de continuer la chasse de Mr Gregorian Bivolaru, par la mise en scène de prétendues infractions similaires, à savoir « racoler » de fausses victimes qui devaient reprendre l’estafette de fausses accusations, au cas où la stratégie de destruction de l’école de yoga MISA de Roumanie allait échouer ou au cas où le professeur de yoga Gregorian Bivolaru allait être remis en liberté.
Compte tenu de ces aspects, il vaut la peine d’analyser avec attention ce qu’il s’est passé en 2012 :
– Aux ordres donnés en coulisses a été enrégimenté, pour ainsi dire, le juge Ionuț Matei, qui, une fois que le dossier du professeur de yoga Gregorian Bivolaru est arrivé à la Haute Cour de Cassation et de Justice, a décidé de le démonter, prouvant ainsi un maximum d’obéissance, tous les acquittements disposés par les 3 juges qui ont été impliqués dans l’analyse de ces dossiers. Ultérieurement, le juge Ionuț Matei a choisi, dit-il, de juger ce dossier à partir de zéro. Après une véritable mascarade durant laquelle il a simulé avec insolence à plusieurs reprises l’acte de justice, il a finalement décidé, abusivement, la condamnation à une peine excessive de 6 ans de prison de Gregorian Bivolaru pour de supposées relations sexuelles avec une femme de 17 ans, qu’il a d’ailleurs humilié publiquement dans la salle de jugement, s’adressant à elle avec l’appellatif « l’infractrice ».
– Plusieurs opérations destinées à enquêter et surtout à intimider les autres écoles de étrangères qui sont en contact avec l’Ecole de Yoga MISA ont été mises en action ; de telles opérations de chasse suivies par des enquêtes de la justice se sont déroulées en Italie ; d’autres opérations de chasse menées contre les écoles de yoga se sont déroulées dans certains pays, parmi lesquels nous citons : l’Uruguay, le Danemark, la Finlande et l’Allemagne. Partout a été utilisé un modèle précis, facile à identifier : il fallait trouver au moins une personne, une femme, qui s’est retrouvée antérieurement dans une situation de conflit soit avec ses professeurs de yoga, soit avec des collègues de cours, ou bien un parent mécontent par le fait que son « enfant » MAJEUR suive les cours de l’école de yoga du pays en cause. Ultérieurement, il leur était mis à disposition un dossier consistent qui frisait le scandale et qui provenait des mass-médias roumains. Ainsi, ces personnes étaient bombardées avec des soi-disant preuves ou matériels vidéo envoyés par certains agents payés pour dénigrer l’école MISA à l’étranger. Parmi ces agents nous mentionnons ROXANA MĂLINA CHIRILĂ et CECILIA GHIȚULESCU TIZ. Cette dernière a été même condamnée par un tribunal allemand pour les calomnies et les dénigrements proférés tant contre l’école allemande, que contre Gregorian Bivolaru.
En analysant avec attention et lucidité ces aspects, nous découvrons que ce n’est pas un hasard que l’« émissaire » des prétendus abus qui, dit-on, ont eu lieu en Finlande, ait été ROXANA MĂLINA CHIRILĂ, qui dans son cas, la séparation avec son ancien amoureux yogi ait alimenté la haine non seulement contre l’école de yoga MISA, mais l’a aussi fait devenir une militante acharnée non seulement contre Dieu, mais aussi contre tout mouvement spirituel, promouvant finalement l’athéisme et la « libre pensée » en dehors de toute croyance.
Ultérieurement, Roxana Mălina Chirilă a contacté une réalisatrice TV de Helsinki, où le cours de yoga existant avait déjà pris un essor considérable, même fleurissant, et à cette occasion elle lui a présenté une ancienne étudiante de yoga qui avait été évacuée de l’immeuble utilisé par l’école de yoga de Helsinki, pour la raison de ne pas avoir payé le loyer. Il est significatif qu’un peu plus tard, cette ancienne étudiante de yoga se soit même adonnée à des actions de chantage contre le professeur de yoga Daniela Dae. Bien que les organes de police soient avertis, ceux-ci ont considéré avec une étrange tolérance la plainte pénale de Daniela Dae et, en dépit des preuves présentées par celle-ci, de manière suspecte ils ont vite fermé le dossier de chantage de l’étudiante de yoga. Plus tard, cette personne a été contactée par les organes de police et elle a eu le toupet de déclarer à tort qu’elle avait été trafiquée et abusée sexuellement. En fin de compte, il paraît que cette ancienne étudiante ait été convainque à jouer un rôle important dans les nouvelles mises en scène qui étaient préparées à être livrées « en cas de nécessité ». Finalement, elle a été instiguée à s’hypostasier dans l’interview accordée à une chaîne de télévision en dite victime de Gregorian Bivolaru, sans apporter des preuves édificatrices.
Il est nécessaire de souligner que la législation se référant aux infractions sexuelles de Finlande est la plus étrange législation sur le globe, étant ainsi extrêmement protectrice avec toute personne qui, même à tort, s’érige en supposée victime. La Finlande est le seul pays au monde où le seuil pour démarrer une investigation pour la protection des victimes des possibles abus sexuels est extrêmement bas, de sorte que tout type d’accusations de ce genre est annulé, on pourrait dire, par la présomption d’innocence. C’est justement pour cela que l’on rencontre un nombre extrêmement élevé de cas où les réclamations des femmes qui se sont plaintes, parfois faussement, pour des prétendus abus sexuels ont cependant été prises en considérations et, finalement, en dépit des preuves qui infirmaient l’abus sexuel, nombreux sont ceux qui sont tombés dans la piège étrange de la justice finlandaise, qui, dans cette direction, est dure et impitoyable. C’est ainsi, il s’est arrivé à ce que, malgré les preuves qui infirmaient l’acte, soient émises des sentences avec des peines d’années lourdes de prison, seulement à partir de fausses plaintes de certaines femmes. Actuellement, la jurisprudence finlandaise présente des situations du genre « la parole de la partie accusée contre la parole de la victime », faute de l’obligation d’un minimum de preuves claires.
Il est étrange et, bien qu’il semble difficile à croire, la Finlande est le seul pays sur le globe où il est possible que la simple réclamation d’une femme qui prétend après des années avoir été abusée sexuellement, même faute des preuves, soit prise en considération et qu’ultérieurement la personne accusée soit déférée en justice et condamnée de façon injuste sur la base de telles déclarations aberrantes qui peuvent être lancées, fait hallucinant, même après 10 ans.
En conséquence, la législation finlandaise permet qu’en raison des déclarations d’une femme, même mensongères, un homme qui est faussement accusé puisse être condamné à la prison, même s’il n’a jamais abusé la personne qui a l’insolence de l’accuser.
En considérant tous ces aspects, nous pouvons constater que d’ici et jusqu’à démarrer une enquête pour de supposées relations sexuelles, qui en fait n’ont jamais existé, il n’y a qu’un pas. C’est pourquoi, quelques semaines avant la mise en liberté de Gregorian Bivolaru du Pénitencier de Bistrița, les autorités finlandaises l’ont visité, lui exposant qu’il était enquêté pour des faits supposés qui, disent-ils, se sont déroulés entre 2007-2011. A cette occasion, Mr Gregorian Bivolaru a sollicité qu’il lui soit envoyé le dossier afin qu’il puisse étudier toutes les accusations formulées contre lui. Au lieu d’accomplir cette demande de procédure, tout ce qui a suivi de la part des autorités finlandaises a été une très longue période de silence.
Voilà que maintenant, après 130 jours, étonnement, seulement quelques jours après la mise en liberté de Gregorian Bivolaru, sans qu’il soit cité, sans mettre à sa disposition des témoignages dont on affirme qu’ils existeraient et sans respecter le droit à un procès équitable, la Finlande a émis de façon bizarre un mandat d’arrêt préventif qui viole de façon flagrante les lois en vigueur.
En fait, tous ceux qui disposent d’un minimum de connaissances concernant une telle recherche, peuvent se rendre facilement compte que la justice de l’Etat finlandais a violé de manière flagrante les dispositions de la législation internationale et voilà que, ne tenant pas compte des dispositions qui existent depuis plusieurs années dans le cadre de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, elle a disposé de façon aberrante l’arrêt de quelqu’un sans avoir réalisé de recherche personnelle minimale de l’être humain dont l’arrêt a été disposé de façon arbitraire, illégale et abusive.
Au-delà des apparences, ce qui se passe dans ce cas est une réflexion fidèle des menaces reçues par Gregorian Bivolaru à travers des lettres anonymes, et la situation nouvelle à laquelle il est confronté prouve sans doute que le but de ces actions est qu’il soit à nouveau arrêté et incarcéré en prison, faute de preuves et sans aucun fondement légal.
Il est significatif que tous ces aspects auxquels Gregorian Bivolaru est confronté maintenant aient été explicitement synthétisés dans une lettre de menace reçue à la date du 11 juillet 2016 à l’adresse du Cabinet d’avocat Patrice Spinosi, dont le siège est à Paris. Dans cette lettre, on peut retrouver l’affirmation suivante que nous citerons dans ce qui suit : « Tu verras sur ta propre peau que nous ferons tout pour te détruire, te gardant pendant des années en prison », « tu n’as aucune chance, tu as voulu lutter contre nous, mais tu es trop petit pour réussir quoi que ce soit ».
yogaesoteric
28 septembre 2017