Un Black Swan nommé Vladimir ou quand le « mauvais génie » sort de sa bouteille

« La crise est inévitable parce que c’est une crise du Savoir, de la fausse science. Nous sommes au bout d’un cycle de faux savoir idéologique de circonstance qui s’est implanté avec le cycle du crédit qui a pris naissance en 1945, qui s’est développé avec le dollar impérial et qui trouve maintenant ses limites , avec la nécessité de stopper l’inflationnisme du dollar car on a rencontré l’inflation des prix des biens et des services. » – Jeffrey P. Snider

Depuis 1971 et la fin de l’étalon or, et ceci jusqu’en 2008, les Banques Centrales, et la FED plus particulièrement, ont créé par leurs interventions ciblées ce qu’il convient d’appeler de pseudo cycles économiques et financiers, essentiellement boursiers. Des cycles factices pour une « économie Potemkine » tout à la gloire du complexe militaro-industriel américain et au service hégémonique de son principal outil politique et monétaire appelé Dollar.

À partir de 2008, sous prétexte de renforcer les bilans bancaires, mais avec l’objectif caché de reculer les limites de la dette et du crédit, les Banques Centrales ont mis à disposition des principaux opérateurs financiers de l’argent gratuit en quantité illimitée. Mission réussie : 13 ans de hausse interrompue des marchés financiers, et une dette gouvernementale portée à des niveaux stratosphériques, et largement monétisée par les Banques Centrales elles-mêmes.

Une création monétaire tout azimut qui aura permis d’enrichir des oligarques devenus bientôt milliardaires, et d’appauvrir les classes moyennes blanches et occidentales, devenues entre temps indigentes tant sur le plan monétaire qu’intellectuel, gouffre éducationnel oblige. C’est le système des vases « communiquants » et le sens de la propagande « communiquante » moderne.

Abrutir pour Asservir, Asservir pour mieux Tenir !

1ère Crise d’insolvabilité en 2008 : le système bute sur la solvabilité de la demande des plus pauvres mettant fin à l’adage devenu obsolète qu’on ne prête qu’aux Riches !

Confronté en 2008 à la limite et à l’effondrement de ses profits exponentiels liés aux fausses promesses « vertueuses » américaines (Subprime) adossé à l’accès à la propriété des plus pauvres, le capitalisme financier mondialisé ne dut sa survie que grâce à l’intervention musclée et unitaire des Banques Centrales qui ont agi alors en tant que préteur de dernier ressort.

Un interventionnisme forcené des Banques Centrales, BCE et FED en tête, qui ne devaient plus cesser depuis, puisque toujours en place actuellement, et nous sommes en 2022. Un interventionnisme tout azimut qui devait prendre des formes aussi diverses qu’un maintien des taux d’intérêt à des valeurs négatives, ou d’une monétisation absolue des dettes gouvernementales au travers de l’achats direct d’obligations d’état, et corporatisme oblige, de l’achat d’actions des grosses Multinationales fleurons de la Mondialisation.

Et ceci dans l’objectif final bien sûr d’un financement sans limite des déficits budgétaires des états, et d’une augmentation de l’endettement des générations futures.

La Dette étant, comme chacun sait, le plus court chemin vers la « dèche » et la vassalisation.

Mais c’est dire comme le système est résilient tout de même, puisque s’il fut souvent touché au cours de cette période, et bien souvent au bord de l’apoplexie bancaire, il ne fut jamais coulé réellement. Bien au contraire, puisque faisant « feu de tout bois » avec sa cavalerie financière, il réussit à rouler sa dette jusqu’à des niveaux stratosphériques, il est vrai au prix d’une dévaluation continue de la monnaie papier.

Échappant au krach boursier et financier toujours pronostiqué par les Cassandres mais jamais réalisé, et pour cause, le système financier a bénéficié de conditions d’endettement maximales et de liquidités en quantité illimitée, grâce au soutien inconditionnel et la quasi bénédiction des Banques Centrales.

2e Crise d’insolvabilité en 2022 : le système bute cette fois sur la solvabilité de l’offre à destination de la classe moyenne : la pénurie rattrape la rareté, la virtualité se cogne à la réalité, l’inflation fait son grand retour sur fond d’excès monétaire.

À nouveau confronté à une limitation drastique de ses taux de profits dès 2019, tous les actifs existants en ce bas monde, si l’on excepte l’or manipulé à la baisse par le système bancaire, le capitalisme financier évoluant dans des univers de bulle et de planète ponzi, et toujours inventif, pris le prétexte du covid-19 pour décider d’une OPA sur les classes moyennes en vue d’une destruction économique et systématique de ces dernières.

Avec la complicité des milieux politiques mondialistes et de leur idéologie socialiste, il est devenue évident que sur un marché déjà presque en totalité socialisé, la pseudo pandémie covid-19 constituait pour le système financier vendu au plus offrant, une opportunité en or de s’approprier sans arme, ni haine, ni violence l’accumulation générationnelle des biens tangibles des classes moyennes, à savoir leur immobilier, leurs entreprises et leur épargne.

Vous l’aviez rêvé, covid l’a réalisé !

Le vol est d’autant plus couvert et officialisé qu’il est effectué avec la bénédiction des « volés » qui ne demandent qu’une seule chose : être protégés d’une violente grippe dont ils ont eux-mêmes fort peu de chance d’être atteints.

Mais la peur et la trouille inculquées depuis tant d’années à une population vieillissante, ont ceci de particulier qu’elles conduisent souvent à des conduites irrationnelles, où la menace fantôme masque l’existence d’épées de Damoclès bien plus dévastatrices.

Pour rappel remettre les compteurs à zéro (Great Reset) est un vaste programme qui consiste à :
– À tordre le cou à la dette par davantage encore de dette pour tous mais au seul profit de quelques-uns.
– À substituer le revenu du travail par le revenu du chômage payé par de la fausse monnaie sortie de nulle part si ce n’est des générations futures déjà mortes avant la naissance.
– À déflater les salaires des quelques « indispensables qui resteront au boulot » et qui contribueront ainsi à consolider et à restituer des taux de profit de quelques grosses corporations malmenées par des années de revendication salariale mais désormais toutes puissantes dans leurs négociations avec les fameux partenaires devenus au fil du temps asociaux.
– À faire l’éloge de la paresse et de la moindre résistance par la libéralisation du cannabis assisté médicalement
– À réorganiser et à tester au sein des entreprises et le temps du confinement, aux sus et au vu de tous – les absents ayant toujours tort – des procès et des méthodes de travail qui permettent de se passer du plus grand nombre et de « pressuriser » encore davantage ceux qui restent mais cette fois sans aucune contreparties, avec à la clef : davantage de temps de travail pour un salaire moindre et une retraite repoussée comme en Grèce aux fameuses calanques, sous la plage ne restant que les pavés.
– À user et à abuser de la destruction créatrice de ce cher Schumpeter qui consiste à faire perdre dans un premier temps aux petites mains économiques un maximum de « cash », et qui bientôt faute de trésorerie suffisante et d’accès aux crédit illimité des Banques centrales, se verront contraintes de mettre la clef sous la porte pour le plus grand bonheur des plus grosses mains qui, comme au poker, rafleront ainsi la mise.
– À appliquer le raisonnement précèdent au monde de la bourse et de la finance.

L’inflation, l’arme atomique du Grand Reset

Comme la bombe H a fini par mettre fin à la Deuxième Guerre Mondiale faute de belligérant, l’inflation est l’arme atomique susceptible pour les Mondialistes de signer la fin des accords de Bretton Wood et la mise au rencart du Dollar aux profits d’une monnaie mondiale numérique et d’une gouvernance mondiale non élue.

L’inflation, l’arme atomique du Grand Reset

Les raisons d’une résurgence de l’inflation sont multifactorielles, et il y a au moins 7 facteurs importants désormais se conjuguant :
– Les conséquences du covid et la perturbation occasionnée sur les chaines d’approvisionnements, qui oblige les opérateurs à s’organiser non plus en flux tendu, mais par plateformes et reconstitution des stocks pour éviter les ruptures; phénomène hautement inflationniste, puisque par la tension sur les flux qu’il occasionne, il augmente les couts de transports et concoure à augmenter les anticipations d’inflation sur les marchés et chez les opérateurs. C’est ce qu’on appelle un effet boule de neige.
– Une tension très importante sur les prix des matières premières confrontées à des phénomènes à répétition de pénurie et rareté conséquences d’un sous investissement chronique dans les énergies traditionnelles et d’un sur investissement non rentable dans la 4e révolution industrielle voulu par les Mondialistes. Le tout dans le cadre d’une demande globale de matières premières extrêmement forte. Pour faire court, à l’exemple du pétrole, si les pays de l’OPEP n’augmentent pas davantage leur production c’est que pour beaucoup, ils n’en ont pas la capacité. C’est un problème structurel qui date de bien avant le conflit en Ukraine ou la reprise post-pandémie. Pour favoriser une économie décarbonée, de nombreux investissements ont basculé vers le renouvelable au détriment de la production de pétrole. Les investissements dans les infrastructures pétrolières ont radicalement baissé à partir de 2015, et on en subit aujourd’hui les conséquences. Pour le moment, la transition vers les énergies renouvelables ne comble pas la soif de pétrole. D’autant moins que pour maintenir des prix hauts, le Kremlin en guerre n’hésitera pas à réduire sa production, et que même l’Arabie Saoudite malgré les gesticulations « hystériques » de la France et des Etats-Unis n’a plus la capacité de compenser le manque de Pétrole russe sur les marchés.
– La prise en compte de la montée hégémonique et économique de la Chine qui constitue une pression à la hausse sur le prix des matières premières considérable, avec ses corollaires : des négociations de plus en plus tendues entre la Chine et ses fournisseurs, et des tensions géopolitiques très importantes avec l’Australie par exemple.
– Les tensions géopolitiques en Asie entre Chine et États Unis qui se focalisent sur Taiwan, qui est un des principaux fournisseurs de puces électroniques au monde, entrainent une pénurie de ces dernières. Ajoutez à cela que la Chine est un des principaux producteurs de métaux rares: métaux, qui rentrent dans la fabrication des composants électroniques, et vous avez là un cocktail inflationniste de taille de ce qui jusqu’à présent participait d’un phénomène déflationniste, c’est à dire le secteur des biens informatiques et de téléphonie.

– Les phénomènes migratoires internes très importants qui affectent les États Unis, conséquence d’une fuite massive des conservateurs US des villes « shithole » démocrates, vers des lieux ou règne davantage de liberté et une meilleurs gestion des affaires publiques, entrainent une grosse tension sur les prix des marché immobiliers locaux et sur tous les matériaux servant à la rénovation de ces nouveaux « paradis » de migration. Il est à noté qu’un phénomène similaire existe en Europe où l’on assiste à une recomposition de certaines régions européennes, mais cette fois sous les coups de boutoir de l’invasion migratoire venue d’Afrique, qui pousse à la fuite les populations locales.
– Une pénurie de main d’œuvre et une tension sur les salaires, conséquence des chèques fin des mois des gouvernements occidentaux, suite aux mesures de confinement liées au covid. Il devient plus rentable pour le travailleur lambda de rester chez lui, que d’aller chercher du travail. Ce que l’on cache sous le vocable charmant de grande démission.
– Et enfin cerise sur le gateau des raisons de cette inflation : une expansion monétaire ex-nihilo tout azimut par les Banques Centrales, qui a nourri et subventionné durant de nombreuses années les mauvais investissements au détriment des bons, et favorisé le maintien économique d’entreprises « zombies » au détriment et au mépris de toute règle concurrentielle. La mauvaise monnaie comme la mauvaise entreprise chassant la bonne !

Il est donc fort à parier, que l’inflation continuera d’effectuer son grand retour dans les prochains mois, et que les Banques centrales tarderont à agir efficacement, prétextant une stagflation – faible croissance économique sur fond d’inflation- empêchant un relèvement des taux d’intérêt trop rapide.

L’inflation, il faut y voir là surtout un bon moyen, pour les Banques Centrales et leurs gouvernements d’alléger leurs dettes et leurs promesses non tenues, parce qu’intenables, sur le dos des populations.

Quant aux marchés mis sous la pression d’une toujours possible augmentation des taux d’intérêts, ils « kraqueront » en douceur comme à l’habitude, permettant ainsi aux gros de se « refaire » sur le dos des petits, les petites mains cédant les premières, permettant aux plus grosses pognes des rachats à moindre cout.

Si l’on conjugue à un temps X un choc sur l’offre avec un augmentation pléthorique de la masse monétaire, on obtient donc ce qu’il convient d’appeler un cocktail détonnant appelé inflation.

Laboratoire de catastrophe générale

Alors pourquoi donc cette inflation est elle apparue seulement maintenant, alors que les conditions préexistantes à celle ci étaient toutes réunies bien avant et voulues à la fois par les États-Nations surendettés et les Mondialistes de Davos à qui il fallait un nouveau prétexte pour paupériser toujours davantage les populations occidentales.

Eh bien parce que dans toute crise il faut un évènement déclencheur du type de ce que Nassim Taleb appelait déjà en 2009 un Black Swan ; un évènement imprédictible, rare et puissant. Et quoi de mieux comme Black Swan qu’une guerre régionale qui dure depuis déjà 8 ans, qui n’embête que ceux qui en subissent quotidiennement les conséquences, et qui se transforme par la magie d’un Vladimir en conflit généralisé avec les États Unis et ses mercenaires européens.

Ce que nous apprend Vladimir avec sa conquête ukrainienne c’est qu’un monde interconnecté ne fait pas pour autant un monde uniformisé. Et malheur alors à celui qui se trouvera du mauvais coté du couteau : Celui qui tient le manche aura toujours un avantage sur celui qui tient la lame.

Autrement dit mieux vaut être du bon coté de la chaine d’approvisionnement, et à trop vouloir croire que le client est roi, l’occidental européen repu en a oublié, qu’en temps de pénurie, la concurrence est reine.

Au fond ce qu’a fait notre Vladimir, si injustement décrié, c’est d’appliquer à l’Europe et à l’ensemble du monde, ce qui a fait la success story de l’Amérique, et que l’on peut résumer ainsi :
« Tu vois le monde se divise en deux catégories. Ceux qui ont un pistolet chargé, et ceux qui creusent. Toi maintenant, tu creuses car c’est moi qui a désormais le révolver et qui fabrique les balles qui vont avec. »

Vladimir, il en a eu vraiment assez de creuser, alors il a commencé par s’armer avec des armes du futur que même l’Oncle Sam n’arrive pas à créer, ni à copier. Ensuite Vladimir a fabriqué pendant 20 longues années une économie de guerre antichoc monétaire. Pour cela il a dédollarisé son économie, accumulé de somptueuses réserves d’or, et nec plus ultra : désendetter la Russie pour qu’elle ne soit plus tributaire du bon vouloir de ses créanciers internationaux. Et plus encore, pour que la Russie n’est plus jamais recours aux « affameurs du FMI », à leurs prêts usuraires, et aux restructurations économiques et sociales telles que voulues par les néo conservateurs américains, de tous temps les véritables maitres des États-Unis.

Au point que la Banque centrale russe suggère désormais aux entreprises russes de se débarrasser de leurs dollars et de leurs euros, au profit de dénominations dites « amicales ». En langage clair cela signifie que la Banque centrale russe a appelé les fabricants et les fournisseurs de services non financiers à convertir leurs avoirs en dollars et en euros en monnaies « amies » telles que le yuan chinois. Des mesures supplémentaires seront prises pour réduire les opérations bancaires dans ces monnaies, a ajouté le régulateur.

En mai, le ministre des Finances Anton Siluanov a qualifié le dollar et l’euro de « monnaies toxiques » pour la Russie, leur utilisation ayant été restreinte dans le pays dans le cadre de sanctions occidentales sans précédent.

Mais plus encore, en imposant le paiement de ses matières premières en rouble, notre Vladimir met à mal toute l’architecture financière mise en place par les États-Unis depuis 1945 et plus particulièrement depuis 1971 qui a vu la rupture du dollar avec l’or. Pour les Russes, terminé le règne du pétrodollar, place désormais au pétro-rouble adossé à l’or.

Bref ce à quoi l’on assiste là, est une deuxième révolution russe, mais cette fois c’est une révolution monétaire ! Où pour une fois le nerf de la guerre est non pas l’idéologie, mais l’argent en tant qu’agent de transmission de la richesse. Une richesse non plus adossée sur de la dette libellée en « dollar militarisé », mais sur des matières premières libellées en rouble et transformables en or.

Manuel de survie en territoire zéro

Mais pour en arriver là la Russie n’en oublie pas qu’elle se doit pour être prise au sérieux de se doter d’un Empire. Une Russie fédérale ne lui suffit plus à éviter, d’un coté la fange mondialiste qui lui promet une obsolescence programmée, et de l’autre, des néoconservateurs américains, certes déclinants, mais toujours capables d’envoyer quelques missiles nucléaires à titre préventif sur tous ceux susceptibles de vouloir leur faire de l’ombre. La Russie n’a donc pas le choix, pour éviter la guerre, il va lui falloir recouvrer un peu d’espace non pas pour épouser les anciens contours de l’Union soviétique mais pour s’unir avec ce qu’elle peut considérer comme des « peuples frères », et créer ainsi avec des pays jugés inamicaux un rapport de force qui lui soit favorable.

Et c’est là tout le sens du message « intriguant » apparu sur la page VKontakte de Dmitri Medvedev, l’ancien Premier ministre et président de la Russie, aujourd’hui vice-président du Conseil national de sécurité. Le message parle de restaurer les frontières de la Russie, en examinant de plus près les pays voisins.

Le message est resté en ligne pendant 10 minutes seulement sur VKontakte, le deuxième réseau social d’Europe, suffisamment longtemps cependant pour être lu et capturé. Le message indiquait :
« Après la libération de Kiev et des autres régions de Russie des groupes de nationalistes, la Russie sera à nouveau réunie. Nous poursuivons une nouvelle croisade pour restaurer les frontières de notre patrie. »

Ce message constituait également une menace pour d’autres anciens États soviétiques limitrophes de la Russie actuelle.

« L’Ossétie du Nord et du Sud, l’Abkhazie et la Géorgie ne peuvent être unies que dans le cadre de la Russie », indiquait-il. Le Kazakhstan est également mentionné : il s’agirait d’un « état artificiel », et les autorités locales déplaceraient divers groupes ethniques, ce qui est considéré comme un « génocide russe ». « Nous n’allons pas rester aveugles face à cette situation », concluait le message.

On peut toujours douter que le message ait réellement été écrit par Medvedev ou son équipe. Mais on peut aussi se dire qu’à l’image de l’empire du mensonge américain et de ses guerres perpétuelles de prédation, manger pour ne pas être mangé peut faire partie pour la Russie, d’un plan plus global de survie. Seule l’avenir nous le dira, mais l’extension de la guerre en Ukraine peut être vu comme le signe pour la Russie, et pour paraphraser cette fois Houellebecq et non pas Dantec, d’une extension du domaine de la lutte.

 

yogaesoteric
18 octobre 2022

 

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